Bureaux: rue de la Serre, 58.

La Chaux-de-Fonds, Mercredi 7 Septembre 1927.

Bureaux: rue de la Serre, 58.

Quarante-deuxième Année — N° 70.

M TMlMON

• S U I S S E -

ORGRME DE LR CHHMBRE SUISSE DE L'HORLOGERIE, Des CHAMBRES DE COMMERCE, DE5 BÜRERCJX. DE CONTROLE, DES ASSOCIATIONS PATRONRLCS ET DE L'INFORMATION HORLOGÈRE SUISSE

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ABONNEMENTS: c . » six mou | Suisse Fr. 14.05 Fr. 7.05 i Union postale » 26.— » 13.—

Majoration pour abonnement par la poste X

!

t Compte de chèques postaux IV b 426 X

T . » . . . . . . ^ . . - . . . - ^ . . . ^ * • • • • • • • • • • • • • • • •

PARAISSANT LE MERCREDI ET LE SAMEDI A LA CHAUX-DE-FONDS Les Consulats suisses à l'étranger r e ç o i v e n t le j o u r n a l ANNONCES: PUBLICITES, S. R. suisse de Publicité, 22, rue Leopold Robert, La ChauK-dè-Fonds. — Succursales et agences en Suisse et à l'étranger.

A N N O N C E S

suisses 30 c t . , offres e t d e m a n d e s : : d e places 20 e t . la ligne, é t r a n g è r e s 35 c e n t i m e s la ligne.

Les annonces se paient d'avance

Notre représentation commerciale à l'étranger

I.

L a Suisse, avec son caractère de pays de plus en plus industriel, en est réduite, vu l'exiguïté du mar- ché intérieur, à développer ses débouchés étran- gers, pour les produits de ses usines et manufac- tures. Il n'y a, certes, là rien de nouveau et plus d'un s'étonnera peut-être de voir cette vérité à L a Palisse énoncée dans l'organe officiel de l'industrie horlogère suisse, industrie qui, pour ainsi dire depuis son apparition dans notre pays, est tournée presque exclusivement vers l'exportation.

Il n'est cependant pas inutile de redire, de temps en temps, certaines de ces choses qui, à force d'êire connues, finissent par tomber dans le domaine du subconscient, pour ne pas dire de 1 oubli. E t si la question est reprise ici, c'est à propos de la repré- sentation commerciale de notre pays à l'étranger.

L a Suisse, petit pays, sans prétentions d'aucune sorte au point de vue politique et au point de vue colonial, entretient à l'étranger un corps diplomatique et consulaire qui lui coûte bon an mal an, le joli denier de 4,8 millions de francs. Il n'entre dans l'idée de personne de contester les services rendus par nos diplomates, dans différents domaines, mais il peut cependant paraître souhaitable que plus d'importance soit donnée aux services commerciaux dépendant des légations et des consulats. A quoi peut, en effet, aspirer notre pays, à qui son exiguïté interdit toute velléité de pratiquer une politique'de puissance? Uniquement à vivre en bons termes, avec les autres nations et à développer le plus pos- sible les échanges commerciaux avec elles, ce qui revient à dire que le principal souci de nos diri- geants doit être d'assurer l'existence de la popu- lation, tant industrielle qu'agricole, ce qui ne peut se faire qu'en procurant du travail à l'industrie, grâce aux débouchés qu'on lui aidera à se créer et à con- server.

O r , on a bien dû constater, ces dernières années, que la question de notre représentation commerciale à l'étranger ne retenait peut-être pas l'attention des pouvoirs publics comme il semble qu'elle le méri- terait, et ceci à cause du manque de compréhension de certains bureaux.

A ce sujet, on peut dire, sans exagération, que, quoique les trois quarts des questions que nos léga- tions et consulats sont amenés à traiter, soient d'or- dre économique et commercial, on ne leur attachait jusqu'à ces dernières années, dans les sphères fédé- rales compétentes, qu'une importance secondaire.

Dans ce même ordre d'idées, il faut mentionner qu'aux Chambres fédérales, toute une catégorie de députés, moins directement au courant des besoins des exportateurs, semblent considérer comme un luxe inutile, une représentation commerciale digne de ce nom, qui peut, au contraire, être d'une importance vitale pour le pays.

Cependant, l'agriculture elle-même qui. jusqu'à maintenant, a eu plus que toute autre branche do notre

économie nationale, le privilège de pouvoir écouler ses produits sur le marché national, devrait, sem- ble-t-il, devenir consciente de l'importance que peut présenter pour elle l'exportation, soit directement, pour l'écoulement de ses fromages, soit indirecte- ment, du fait qu'une exportation florissante main- tient le travail au pays, donnant ainsi à la popula- tion industrielle la capacité d'achat dont dépend la prospérité paysanne. Logiquement, il peut donc sembler que tous les efforts faits par nos indus- tries d'exportation en vue de leur expansion commer- ciale à l'étranger, devraient trouver l'appui intelli- gent des milieux agricoles et de leurs représentants aur. Chambres.

On attache, cela va de soi, dans les milieux industriels, une importance énorme à la question de la représentation commerciale de la Suisse à l'étranger, et des efforts soutenus ont été faits, ces dernières années, et plus spécialement ces der- niers mois, avant tout par les industries de l'horlo- gerie et de la broderie, dans'le but de lui assurer le développement qu'elle mérite. Nous ne voulons rappeler à ce sujet que les démarches nombreuses entreprises par les organisations de ces deux indus- tries, en vue de la réorganisation de notre repré- sentation commerciale aux Etats-Unis. )

Il convient de rappeler également ici l'énergique intervention de M . le Conseiller national D r . Bruno Pfister, de St-Gall, à la session d'été du Conseil national, où il réclamait entre autres la création de postes d'attachés commerciaux dans un certain nom- bre de légations.

Peu importe la forme de notre représentation com- merciale, pourvu qu'elle rende les services que l'in- dustrie d'exportation attend d'elle; il est, en effet, indifférent, à l'industrie, que ce soit tel Départe- ment plutôt que tel autre, qui en ait la surveillance et la direction, ou encore que le service commercial dépende plutôt des Légations que des Consulats ou vice-versa. Tout ceci n'est que détail d'orga- nisation et il n'est pas impossible que telle solution, qui, dans un pays, produira des résultats excellents, ne vaudra rien du tout ailleurs, où il faudra choisir autre chose. C'est dire que l'industrie horlogère fait abstraction de tout espèce de formalisme et l'idée préconçue dans cette question et qu'elle attend de connaître les résultats pour juger.

Elle suivra, notamment avec un vif intérêt' l'ex- périence que dans les hautes sphères fédérales l'on paraît être disposé à tenter dans ce domaine, en remaniant les services commerciaux du Consulat gé- néral de Suisse à New-York.

Une seule chose est souhaitée, c'est que l'ex- périence réussisse et que le système, s'il donne de bons résultats, soit généralisé.

L'industrie d'exportation et, notamment l'industrie horlogère a des vues très précises concernant les services à attendre d'une représentation commerciale à 1 étranger. Cette question fera l'objet d'un prochain article.

Douane:

Droits actuels nouv.

le kg. Fr.

10.08 18 <>/o 8.67 15 "/o 5 o/o 7 c/o 5.0/0 7 o/o

10 o/o 10 o/o A c c o r d c o m m e r c i a l f r a n c o - a l l e m a n d . Le Departement fédéral de l'économie publique vient de publier le texte intégral du nouveau traité de commerce conclu entre la France et l'Allemagne avec mention des différentes positions des tarifs douaniers respectifs des deux pays, susceptibles d'in- téresser la Suisse. Les augmentations du tarif mini- mum français qui seront appliquées à partir du 6 septembre, frappent également l'exportation des mar- chandises suisses en France.

Voici les positions concernant l'horlogerie de gros volume et la bijouterie-joaillerie:

N"ftu tarif français

491 Maroquinerie:

Souple Dure

495 Orfèvrerie d'or et de platine, d'argent et de vermeil

Joaillerie, bijouterie

ex 496 Ouvrages dorés ou argentés par divers procédés :

A. Bijouterie doublée d'or ou d'ar- gent, etc.

B. Plaqué et orfèvrerie argentée, etc.:

1° Non ciselés, ni gravés, ni ornementés par matriçage, estampage ou autrement, le kg., Val.

2" Autres, le kg., Val.

496 bis. Bijouterie fausse:

504 Horlogerie (gros volume) : Mouvements de réveils, de pendu- les, d'horloges, de jouets, de télé- graphe, et en général, tous les mouvements dits d'horlogerie, avec ou sans sonnerie, non dénommés ailleurs, complets ou incomplets,, avec ou sans moteur, pesant par unité (A) :

501 grammes et plus, le kg.

251 grammes à 500 gr., le kg.

250 grammes ou moins, la pièce 504 bis. Réveils, pendules en tous genres, y compris les horloges en bois, complets ou incomplets (mou- vement et cage, enveloppe, boîte ou cabinet et leurs pièces déta- chées à taxer séparément) :

Mouvements 1), la pièce Cages, enveloppes, boîtes ou ca- binets 1) :

A. En bois commun avec ou saiis métal commun :

Sculpté, le kg.

Autre, Idem

B. En bois fin, massif ou pla- qué, Valeur

10 o/o 1.0 o/o 15 o/o

10,—

17.—

20 o/o

10,625

?

•p

16.—

1 1 — 7.—

Régime 10,625du u'5ü4

selon la matière ;rc t

*) Voir Fédération Horlogère, No. 48 du 22 et 53 du 9 juillet.

4.50 2.—

15 o/o (A) Y compris les mouvements d'allumeurs, d'ex- tincteurs, de constatcurs colombophiles et d'autres appareils similaires. Pour les mouvements rentrant dans les catégories visées par les Nos. 504, 504 bis et 505, les porte-échappements importés isolément

sont taxés aux droits des Nos. 498 et 499, selon l'espèce.

1) Le même régime est également applicable aux mouvements, cages, enveloppes, etc., lorsqu'ils sont importés isolément. Les accessoires et garnitures en matières non précieuses autres que la matière prin- cipale ne modifient pas le classement des cages.

2) Les enveloppes, cabinets ou cages de pendules ou de réveils sont taxés aux droits qui leur sont propres, d'après la matière qui les compose.

664 L A F É D É R A T I O N H O R L O G È R E SUISSE

N'dutaril Droil français actuels nouv

504ter. Penduks-bijoux, pendules- Kr.

veilleuses et autres petites pen- dules similaires et mouvements des- dites pendules; petits réveils et mouvements desdits réveils, avec ' ou sans sonnerie, pesant par uni-

té 2) : leks.

De 251 à 500 grammes, la pièce 11.90 1 6 . - De 250 grammes et moins, le kg. 4.25 7.—

ex 505. Compteurs d'électricité, d'eau, la pièce de gaz, de filature et, en général,

tous compteurs ou appareils dans lesquels il entre un mouvement

\ d'horlogerie 3) :

Petits compteurs pesant au plus

5 kilogrammes par unité, la pièce 17.— 28.—

Compteurs pesant plus de 5 ki-

logrammes par unité, le kg. 2.55 5.50 Fournitures d'horlogerie (gros

volume) 4) :

509 bis. Spiraux de pendules ou de

• réveils en tous métaux; ressorts K'Okg.

de pendules ou de réveils, Valeur 255.— 20 <y0

Autres :

Aiguilles, balanciers, barillets, ca- drans, pièce de cadraiure, de son- neries et de mouvements, pi- gnons, axes ou arbres de baril- lets, ancres, clefs, lunettes, mas- ses, fausses, plaques, tampons, pierres artificielles travaillées, montées ou non, pignons et roues de balanciers, portetimbres, res-

sorts de timbres, tiges de gongs, uirj k^.

tubes de gongs, vis, etc. 5), val. 255.— 15 »/o

une taxe de service de port de douane de 11/4 0/0 ad valorem.

Commerce extérieur

Suède.

Jusqu'à présent, les résultats du commerce extérieur de la Suède pour 1927 sont satisfaisants, et les chif- fres enregistrés pour les cinq premiers mois de cette année sont beaucoup plus élevés que ceux de la période correspondante en 1926. Ceci s'applique parti- culièrement aux exportations; en conséquence, la réduction de l'excédent des importations a été plus sensible que l'année précédente, le chiffre en ayant atteint 60,3 millions de couronnes contre 112,5 mil- lions de couronnes en 1926. Les chiffres quantitatifs publiés pour juin font ressortir un excédent d'expor- tations pour ce mois.

Ecoles professionnelles

C h i n e . N o u v e l l e s t a x e s d o u a n i è r e s . Le gouvernement nationaliste vient de décréter de nouvelles mesures concernant l'importation et le tran- sit des marchandises, mesures qui sont entrées en vigueur le 1er septembre et qui sont appliquées dans les six provinces de Kiangsu, Anhui, Chekiang, Fu- kien, Kwantung et Kwangsi:

L'horlogerie sera désormais soumise aux droits suivants en Chine :

Droit de douane actuels 5 0/0 ad valorem, plus a) pour les montres en nickel et autres une surtaxe

de 71/2 °/o, total pour cet article 121/2 °A>- b) pour les montres en argent une surtaxe de 15 °/o,

total pour cet article 20 0/0.

c) pour les montres, tout ou en partie, en or o u en platine, ainsi que pour les montres- en argent serties de brillants, une surtaxe de 25 0/0, total pour ces articles 30 0/0.

Les autres articles qui ne sont pas considérés comme articles de luxe acquittent outre le droit pri- mitif actuel de 5 0/0 ou un autre droit spécifique, la surtaxe simple de 71/2 <y0.

Les redevances perçues à l'intérieur du pays (li- kins), dans le trafic entre provinces, au lieu de des- tination ou dans le transit, sont abolies. Il en est de même pour les redevances acquittées jusqu'ici dans le trafic entre les ports chinois, et pour les taxes encaissées par l'administration des douanes maritimes lors' de la délivrance des certificats de transit.

Iles F i d j i . — N o u v e a u x d r o i t s d o u a n i e r s . Pour l'exercice 1927-1928, les droits d'entrée pour la bijouterie, les instruments de musique, et pour l'horlogerie de tous genres sont de 27 i/a 0/0 ad valo- rem (tarif général) et de 15 0/0 (tarif préférentiel britannique).

En outre, en plus des droits de douane établis, il sera perçu sur les marchandises de toute nature 3) Le Gouvernement français, sous réserve de l'examen effectué par le Comité d'électricité dans les conditions prénies au cahier des charges-type de concessions de distribution d'énergie électrique, ne tirera pas argument de la nationalité de la firme ou des compteurs' pour faire obstacle soit à l'im- portation, soit à l'examen, soit à la mise en service dont cet examen est la condition. Les compteurs seront soumis à l'examen du Comité d'électrich^é dans l'ordre de présentation et sans qu'il soit fait de distinction pour cet ordre entre les produits nationaux et les produits étrangers.

Il sera recommandé au Comité d'électricité de ne point tenir les compteurs plus de trois mois en ins- tance.

4) Les parties de mouvements ayant subi un as- semblage sont passibles du tarif des mouvements.

Voir ci-dessus pour les échappements importés iso- lément. Les fournitures en imetal doré, nickelé, ar- genté ou platiné et composites doivent être soumises au tarif ci-dessus.

5) Sont taxés à la pièce: les platines et fausses

* platines seules mesurant clans leur plus grande dimension :

Plus de 65 millimètres la pièce fr. 8.—

65 millimètres ou moins » » 3 . -

T e c h n i c u m d e l a C h a u x - d e - F o n d s . Il résulte du 62e rapport annuel 1926-1927, qui vient de paraître, qu'au cours de l'année scolaire 1926-27, la Commission plénière a siégé 3 fois et le bureau 21 fois. Les sous-commissions, de leur côté, ont eu à se réunir pour étudier toutes les questions particulières à leurs sections.

Ecole d'Horlogerie.

Du 1er mai 1926 au 30 avril 1927, l'Ecole d'hor- logerie a été fréquentée par 236 élèves, dont 202 élèves réguliers, 33 externes et 1 auditeur.

Les 156 élèves réguliers que comptait l'Ecole d'horlogerie au commencement de la nouvelle année scolaire étaient groupés dans les diverses sections ainsi qu'il suit:

Section technique 16

» pratique. 56 des rhabilleurs 6

» des spécialistes 24

» des régleuses 47

» des sertisseuses 3 Cours d'instruction générale (1 an) 2

Cours de perfectionnement dans la

branche du réglage 1

Auditeur 1 D'après la nationalité:

Elèves neuchâtelois 54

» suisses d'autres cantons 95

» étrangers 7 D'après le domicile des parents:

A La Chaux-dc-Fonds 133 Dans d'autres localités de la Suisse 20

A l'étranger 3 115 élèves ont subi les examens théoriques et

pratiques de fin d'année scolaire.

Pendant l'année scolaire écoulée, l'Ecole a distribué 988 bulletins pour le travail exécuté par ses élèves pour les fabriques qui s'intéressent à elle.

Section de Mécanique.

Au cours de l'année scolaire 1926-1927, 171 élè- ves réguliers et apprentis des ateliers du district ont suivi les cours de la section de mécanique.

La répartition entre les différentes divisions est la suivante:

Pour les cours réguliers de l'Ecole de mécanique:

Division supérieure (techniciens) 33 Division inférieure (praticiens) 50 Classe préparatoire pour apprentis monteurs de

boîtes 8 Pour les cours obligatoires pour apprentis

mécaniciens:

Degré 1 13

» Il 12

» 111 16 Pour les cours obligatoires pour apprentis

monteurs de boîtes:

Degré 1 9

» Il . 17

» III 13 11 n'y a plus aucun élève étranger à l'Ecole.

L'exercice 1926-27 marque le retour à un état plus stable, au point de vue de la régularité des travaux que l'Ecole peut mettre en chantier dans ses ateliers.

Les ventes ont sensiblement repris et on a pu cons- tater avec plaisir une diminution du stock accumulé au cours des derniers exercices. Au point de vue pédagogique, il y a un gros avantage aussi à pou- voir mieux répartir les travaux selon les capacités et l'état de développement des élèves. Les difficultés graduées correctement sont vaincues plus facilement, et l'on obtient à la fin de l'apprentissage un résul- tat meilleur dans son ensemble.

Jusqu'ici, les circonstances avaient obligé la direc- tion à accepter presque tous les travaux qui se pré- sentaient, et les délais prescrits pour les livraisons s'opposaient parfois à une répartition judicieuse de ces travaux entre les différents élèves.

Les nouvelles constructions, en particulier la frai- seuse-outilleur, ont trouvé auprès de la clientèle un accueil très favorable et la demande a dépassé sensi- blement la capacité de production de l'Ecole. Dans ces conditions, elle a pu mettre en travail des séries suffisantes pour occuper les élèves, selon les néces- sités pédagogiques, pendant une forte partie du temps qu'ils passent aux ateliers. Les travaux occa- sionnels devraient à ce point de vue ne représenter que peu de chose.

L'enseignement des branches dites théoriques s'est poursuivi normalement sans modifications fondamen- tales aux programmes.

Depuis longtemps et à plusieurs points de vue différents, la nécessité de la formation à l'Ecole de faiseurs d'étampes se faisait sentir. D'une part, Mes- sieurs les industriels se plaignaient régulièrement de pénurie de main-d'œuvre qualifiée dans ce do- maine. D'autre part, la tendance industrielle à fabri- quer toujours à meilleur compte, en particulier à l'élampe, laisse entrevoir une demande croissante de bons faiseurs d'étampes. L'Ecole avait, il est vrai, orienté, déjà linéiques mécaniciens vers cette spé- cialité, mais un examen approfondi de la question montra clairement l'insuffisance d'une simple spécia- lisation partielle. Plusieurs séances successives de la sous-commission aboutirent à l'adoption d'un pro- gramme général en vue de la formation non plus de mécaniciens spécialistes, mais véritablement de spé- cialistes faiseurs d'étampes. Dans deux ans, les pre- miers élèves formés selon ce programme nouveau sor- tiront et permettront ainsi de donner partiellement satisfaction aux demandes. Il s'agit pour le moment de 2 élèves seulement par année, mais selon les ré- sultats obtenus ce nombre pourra s'augmenter à 4, et même à 6, sans qu'il soit nécessaire pour cela d'ouvrir une nouvelle classe.

Section de l'Ecole d'Art.

Cet enseignement a été le même que l'année pas- sée; il consiste en cours de dessin artistique, de modelage, de composition décorative, de dessin géo- métrique, de perspective et de dessin professionnel.

Trois cours de soudage, d'une durée de 3 mois, ont été ouverts pour les ouvriers bijoutiers, pour les horlogers-rhabilieurs et pour les apprentis mécani- ciens-dentistes.

Au 31 mai 1927, il y avait dans les classes pro- fessionnelles, 22 bijoutiers-joailliers et 12 sertis- seurs.

Les deux apprentis bijoutiers qui sortaient de l'Ecole cette année, étaient demandés par des fabri- ques de la ville avant la fin de leurs apprentissages.

Ces jeunes gens étaient d'ailleurs fort bien préparés à la pratique du métier.

Cette année encore les classes de gravure et de guijlochis sont malheureusement restées fermées, fau- te d'inscriptions suffisantes.

Chronique des métaux et diamants

La crise dans l'industrie du diamant. J j Dtns son numéro 68, La Fédération Horlogèrc a publié (et d'autres périodiques de même) un article nu sujet de la crise qui sévit dans l'industrie du diamant, et qui a provoqué des réclamations de la part de bijoutiers particulièrement intéressés dans cette question. A en croire ces derniers, la situation ne serait pas aussi mal en point que certains jour- naux le laissent entrevoir; et en particulier les faits cités dans notre article correspondraient à la situation telle qu'elle était il y a quelques mois. Nous sommes heureux d'être amenés à faire une rectification dans ce sens.

La relation contenue dans l'article en question re- présenterait une opinion qui ne semble pas être par- tagée par les milieux bijoutiers. Bien que les des- criptions de la situation en Afrique du Sud corres- por.dent avec les communications de Londres et d'An- vers, il est évident que le correspondant va un pou loin lorsqu'il déclare qu'il ne faut pas escompter une hausse quelconque ou prochaine sur le marché du diamant.

Cette déclaration laisse même plutôt supposer que \i contraire est le cas. Cette déclaration peut être justifiée pour les diamants industriels (diamants défectueux, teintés du jaune au noir), mais elle n'entre pas en considération pour les diamants de première classe, destinés à la décoration de bijoux, et dénommés cou- ramment sous le ternie de «brillants». Les bril- lant* de première qualité, principalement les grandes p i t a * ont toujours été recherchées et payées leur

a é ^ * — i « M t » ^ ^ i - • • j^mÊamâ^àM^Êâi

L A F E D E R A T I O N H O R L O G E R E SUISSE 665

prix, et une baisse de prix n'est pas à craindre. De beaux brillants constituent toujours, comme aupara- vant, un excellent placement de capitaux. Ainsi les communications sur le marché du diamant et sur la crise diamantaire doivent être acceptées avec prudence et le lecteur doit établir une distinction entre le diamant industriel et le brillant, dont les conditions sur le marché sont absolument différentes. Ams- terdam, le centre de l'industrie du diamant pour la bijouterie, annonce, en août, une vente satisfaisante en diamants de bonne et de moyenne qualité, prin- cipalement pour les grosses pièces, dont le prix s'est maintenu dans les limites ordinaires. Si, comme il est dit dans l'article en question, les marchands doivent vendre leur marchandise en partie en-dessous du prix d'achat, puisqu'ils n'ont pas d'autre moyen de la liquider, cela ne doit être que la conséquence d'un mouvement boursier, et aujourd'hui, cette obliga- tion n'existe plus, même pour les diamants^

industriels La quantité considérable de diamants russes, que les Bolchévistes et les emigrants russes jetèrent sur le marché ne contribua en son temps même pas à influencer le marché dans le sens d'une baisse de prix.

Pour ce qui concerne la fabrication artificielle de pierres, précieuses, qui fait également le sujet de l'article en question, il convient de dire que Les pierres produites artificiellement n'égalent jamais les pierres naturelles, bien que chimiquement semblables;

les pierres synthétiques trouvent leur principal emploi dans l'industrie (pierres pour l'horlogerie) ; dans la bijouterie, on ne les emploie que pour des parures tout à fait bon marché. Le bijoutier, et même n'im- porte quelle personne quelque peu intéressée est en état de distinguer une pierre naturelle d'une pierre artificielle. Quant à l'émeraude, on peut dire que piatiquement on n'a pas encore réussi à la fabri- quer par synthèse.

D a n s l e d o m a i n e d u R a d i u m .

Pour ceux de nos lecteurs qui pourraient l'igno- rer encore, nous répéterons que l'honneur et la gloire de la découverte de cette matière lumineuse, vrai soleil minuscule transportable, revient aux époux- Curie. La découverte est donc essentiellement fran- çaise et ajoute un nouveau fleuron à la couronne de tant d'autres découvertes qui ont vu le jour dans ce pays.

Son application pratique a eu lieu également en France, la première usine ayant été construite à Nôgent-sur-Marne en 1904, où elle fonctionne encore.

La deuxième a été fondée plus tard dans l'île Saint- Denis afin d'expérimenter les minerais de Mada- gascar dont le plus riche seerait la « bétafite », re- connue il y a dix huit ans par un savant minéralo- giste français. Les Allemands guettaient les gise- ments qui seraient peut-être devenus leur propriété si la guerre n'avait éclaté.

La troisième usine fût établie à Saint-Joachimstal, en vue d'y traiter la pechblende que l'on trouve dans cette région et dont l'Autriche voulait interdire l'ex- portation. Les quatrième et cinquième établissements furent fondés en Amérique, mais ces drois dernières usines ont fermé leurs portes il y a plusieurs an- nées déjà. Il ne reste donc en activité que les deux usines françaises précitées et une autre en Belgique qui traite le minerai provenant du Congo belge.

Ce qui frappe dans l'industrie du radium, c'est l'énorme disproportion que l'on constate entre la quantité considérable des matières nécessaires à sa fabrication et l'infime poids du produit obtenu.

En effet, pour produire un gramme de bromure de radium il faut faire intervenir 400,000 kg. de minerai dont le traitement exige 800,000 litres d'eau, 100 mille kg. de charbon et 200,000 kg. de produits chimiques variés. Lorsqu'on se représente le vo- lume de 800 mètres cubes d'eau, qu'on a vu, en- tassés dans d'immenses magasins, 700,000 kg. de matières diverses et que l'on considère ensuite dans une capsule minuscule le gramme de radium produit, on est saisi d'une émotion bien naturelle.

Le milligramme de bromure de radium qui était coté 10 francs en 1903, était monté à fr. 800 en 1913, ce qui mettait le prix du gramme de radium à fr. 800,000 environ. En 1922, il montait à fr. 1 million 400,000 d'où il s'éleva encore pour atteindre le joli prix de fr. 1,800,000. La découverte de gisements dans le Congo belge a ramené le prix du gramme à un million de francs français environ, mais la dépréciation du franc a certainement fait re- monter ce dernier prix. La production mondiale d'avant-guerre était d'environ 30 grammes (dont deux tiers étaient extraits en France) et pouvait être estimée à 42 millions de francs. Cela correspondait à cette époque à la valeur de 200,000 tonnes d'a- cier. Ces 30 grammes tiendraient dans un verre à liqueur: ils équivalent en poids à, 42,000 carats de diamant ou 8 kg. 400 environ.

Le prix du radium suit naturellement celui des

diverses matières premières utilisées dans sa produc- tion, tant pour le minerai que -pour les autres pro- duits. On estime que normalement fr. 1400.- de mi- nerai donnent fr. 2,000.— de radium, mais ceci est approximatif. Les frais énormes de fabrication et la rareté du minerai radifère, la qualité du produit et la valeur considérable qu'il acquiert font que le commerce de cette marchandise revêt un caractère tout spécial qui empêche le premier venu de s'en occuper. Il y faut des capitaux: de ce fait la pro- duction en est limitée aussi strictement que possible à la demande.

Si l'on considère que le minerai de Katanga (Congo belge) qui pourtant paraît aujourd'hui le plus avan- tageux, ne contient qu'une partie de matière utile pour douze à vingt millions de parties inertes et que la récupération utile en produit lumineux n'est que d'un milligramme par mètre cube, on conçoit que les usines ne foisonnent pas et que l'article constitue à l'heure actuelle un monopole pour ainsi dire inat- taquable.

En raison de son prix élevé, le « vrai radium » n'a pu servir jusqu'ici qu'à des usages très spéciaux et il faudrait une baisse considérable pour l'amener à un prix assez abordable pour en rendre l'emploi plus général. Le radium ne s'usant ni ne se détrui- sant, l'acheteur n'a nul besoin de renouveler un achat.

Et maintenant, que dure la radium en puissance d'irradiation, car tout a une fin? Cent, mille, dix mille ans ou cent milliards d'années et plus? Personne ne saurait répondre de façon exacte. En attendant la solution du problème qu'il serait intéressant de connaître, nos horlogers peuvent toujours continuer à vendre des montres, etc., avec cadrans et aiguilles

« lumineux », et si l'un deux veut tenter l'expé- rience de durée du «Radium», nous lui souhaitons assez d'années de vie pour constater le résultat.

(Schweizerische Uhrmacher Zeitung).

Prolongations:

juillet 1922, 19 h. (Ile période No. 33870. 18

1927-1932). — 1 modèle. — Aiguilles pour mon- tres, chronographes et compteurs de sport. — Les fils de ' Jmnneret-Brehm, Excelsior Park, St- Imier (Suisse) : enregistrement du 5 août 1927.

No. 33893. 28 juillet 1922, 19 h. — (Ile période 1927-1932). — 2 modèles. — Mouvements de montre. - H. Oasser et Co., Preciosa Watch Co., Bienne (Suisse) ; enregistrement du 5 août 1927.

No. 34114. 9 octobre 1922, 19 h. — (Ile période 1927-1932): — 2 modèles. — Cadrans pour mon- tres, chronographes et compteurs de sport. — Les Fils de /eanneret-Brehm, Excelsior Park, St-Imier

(Suisse) ; enregistrement du 5 août 1927.

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6 Septembre 1927 Métaux précieux

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» laminé, pour doreurs » 3575,— » Platine fr. 14,— le gr.

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3 septembre 1925.

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Chronique du travail

Un jubilé.

A l'occasion du 25e anniversaire de sa fondation, la Société horlogère de Reconvilier, aussi connue sou* le noni de « Reconvilier Watch Co. », a remis samedi 3 courant, un souvenir à 33 ouvriers, soit plus de la sixième partie du personnel, ayant 25 ans de service ou plus.

Légations et Consulats

Paris Platine Or Argent

Londres Or Argent

New-York Argent

Change sur Paris

2 sept.

62 — 289 >/4 22 »/s 27 Vie

31 août 56.000 17.400 530 84/10»/

25 «.'u

54 ' / ,

E sept.

54 2V3» 82 — 289 S/B 21'/B 27'/B I sept.

58.000 17.400 530 84/10 'I,

25 i/ia 54 »/B

2 sept.

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S sept.

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«7^M/is 3 sept.

58.000 17.400 530 84/J 0»/i

25 Vie 54 Vs 20.26 Escompte et change

Suisse: Taux d'escompte

» » avance s/nantissement

a crée, a t.au- avec juridiction sur Suisse.

Autriche. Le gouvernement autrichien sanne, un consulat honoraire

les cantons de Vaud et Genève, et nommé M. le Dr Rohert Rey-Willer, avocat, comme chef du rouveai' poste Le Conseil fédéral a accordé, à ce dernier, l'exequatur en qualité de consul hono- raire

— Eu date du 23 août écoulé, le Conseil fédéral a accordé l'exequatur à M. Wilhelm Ursprung-Fen- ner, nommé consul honoraire d'Autriche à Bâle, en remplacement de M. Wilhelm Vischer-Iselin missionnaire.

dé-

Brevets rf invention

France Or. Bretagne U. S. A.

Canada Belgique Italie Espagne Portugal Hollande Allemagne Autriche Hongrie Tcheooslov.

Russie Suède Norvège Danemark Bulgarie Roumanie Yougoslavie Grèce Pologne Turquie Finlande Argentine Brésil Indes Japon

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Radiations:

113396. — Cadran et procédé de fa-

Fre Liv. 8t.

Dollar Dollar Belga Lires Pesetas Escudos Florins Reichsmk 100 Schilling 100 Pengös 100 Cour.

100 Roubles 100 Cr. sk.

100 Cr. sk.

100 Cr. sk.

100 Leva 100 Lei 100 Dinars

100 Drachm.

100 Zloty 1 Liv. turq.

100 Mksfinl 100 Pesos 100 Miireis 100 Roupies 1100 Yens

Parité Escompte en 'r. suhses °/o

100.—

25.22 5.18 5.18 72.10 100.—

100.—

560.—

208.32 123.45 72.93 90.64 105.01 266.67 138.89 138.89 138.89 100.—

100 — 100.

100.—

100.—

22.78 100 — 220.—

165 — 168.—

258.—

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Banque Nationale Suisse

Situation au 31 Août 1927.

Actif.

Encaisse métallique :

or . . . 443 489.465,35 Fr.

argent . 67.000.985,— 51C.490.450,35

Portefeuille 344163.401,11

Changements depuis la dernière situation

Avoir à vue sur l'étranger . Avances sur nantissements Titres

Correspondants Autres actifs

Dessins et Modèles

Dépôt:

No. 41100. 13 août 1927, 12 Vi h. — Ouvert. — 1 modèle. — Mouvement d'horlogerie électrique.

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49.874.304,35 5.924.395,60 22.114.892,63 18.958.022,58 998.957.466,62 Passif.

Fonds propres 32.940.868,48 Billets en circulation . . . . 843.196.535,—

Virements et de dépôts . . . 104.213.551,61

Autres passifs 18.606.521,53 998.957.466.62

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— 7.825.621,11 + 16,295.652,—

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1. Crête (via Athènes)

par le train Orient-Express jusqu'à Athènes

2. Malte

voie de Syracuse

3. Chine (Hong-Kong, Macao), Klauts- chou, Mandchourie, Philippines via Transsibérien

Lettres, cartes, papiers d'affaires via Berlin-Varsovie-Moscou.

Imprimés, échantillons (même acheminement) 4. Penang, Malacca, Siam 5. Ceylan

6. Chypre

7. Inde Britannique (sauf Ceylan), Aden, Chandernagor, Goa, Pondicherry, Afghanistan et Belouchistan, Méso- potamie (Irak)

8. Indes Néerlandaises

9. Singapore, Bornéo, Cochlnchine, An- nam, Tonkin . . 10. Japon, Formose, Corée

a) Lettres, cartes postales, papiers d'affaires et envois express

via Berlin-Varsovie-Moscou-Fusan b) Imprimés et échantillons

via Berlin-Varsovie-Moscou-Fusan

11. Egypte

12. Colonie du Cap, Natal, Orange, Rho- desia, Transvaal, Basoutoland, Be- chouanaland, Lourenço-Marquès, Mozambique

13. Zanzibar, Afrique orient, brit.

14. Etats-Unis 15. Canada

16. Mexique. Costa-Rica, Cuba, Curaçao, Equateur, Guatemala, Haïti, Hon- duras, Jamaïque, Nicaragua, Pana- ma, Pérou, Porto-Rico, Salvador.

St-Domingue

17. Venezuela

18. Argentine, Bolivie, Brésil"), Chili, Paraguay, Uruguay

*). excepté Para, Pernambouc et Bahia 19. Australie méridionale, occidentale,

Nouvelles Galles du Sud, Queens- land, Tasmanle, Nouvelle Calédo- nle, Nouvelle-Zélande, Victoria 20. Hawaï (Iles Sandwich)

Observations: L'heure indiquée « les lettres « ordinaires » seulement, les <

par contre, en règle générale, être remi

— 20 minutes avant les heures prévi

Date des départs

Chaque jour

Départ de Chiasso tous les jours, sauf le jeudi.

Septembre 3, 7, 10, 14, 17, 21, 24, 28.

Octobre 1,5.

Septembre 1, 8, 15, 22, 29.

Octobre 6.

Septembre 3**, 8*, 9 " , 15*, 17", 22*, 2 3 " , 29*.

Octobre 1".

Sep. 2,3,9,14,16,17,21,23,28,30.

Octobre 1.

Septembre 1, 8, 15, 22, 29.

Octobre 6.

Septembre 1*, 1", 8, 15*, 15**, 22*, 29*, 29**.

Octobre 6.

Septembre 1*,3***,8***, 15*, 17***, 22***, 29*.

Octobre 1***.

Septembre 3, 7, 10, 14, 17, 21, 24, 28.

Octobre 1, 5.

Septembre 1, 2», 3*, 5, 8, 9*, 12, 14*, 15, 16*, 17», 19, 21", 22, 23*, 28*, 29, 30*.

Octobre 1*.

Septembre 7, 14, 21, 28.

Octobre 5,

Sept. 1*, 8*, 14, 15*, 22*, 28, 29*.

Octobre 6*.

Sept. 1,2", 5, 6*, 8, 12, 13*, 15, 18, 19,20*, 22,24*, 26,27*, 27,29,30*.

Octobre 3.

via New-York

Via New-York

via New-York.

Septembre 2, 6, 8, 12*, 13**, 14, 16, 19***, 21*, 23, 25, 26* 26**.

Octobre 4», 5**.

Sept. 1, 8*, 9*, 15, 22*, 23*, 29.

Octobre 6*.

Via New-York.

»Dîme dernière limite concerne ( lettres recommandées » doivent ses au guichet — au minimum les ci-dessus.

Dernière heure pour la remise dans la boîte aux lettres à La Chaux-de-Fonds

Semaine 18,35 Dimanche 18,15 Semaine 18,35 Dimanche 18,15

via Bâle 14.25 via Bâle 14.25 via Genève 20.15

•) via Genève 20.15

")via Chiasso sem. 18.35 dim. 18.15

•••) via Genève 12.20 via Chiasso 20,15 via Genève 20.15 (via Marseille)

via Chiasso sem. 18.35 dim. 18.15

•) via Genève 12.20

**) via Genève 20.15

*) via Genève 20.15

•**) via Chiasso 18.35

via Bâle 14.25

via Genève 12.20

*> via Chiasso' £ } | ? | via Bâle 20.15

(via Le Hâvre- Southampton) via Genève 12,20 .

*; via Genève 20.15 20.15

*) 14.25 20.15

*) 14.25

20.15

*) 14.25

20.15

*) 14.25 via Bâle 14.25

*) via Chiasso 18.25

**) via Chiasso 8.25

***) via Genève 12.15 via Genève 20.15

•)i via Chiasso 18.35 20.15

*) 14.25

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4.—

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10.45 6.—

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10.35 21.15 17.30 lelendem.

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17.30 10.—

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*)18.—

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11.50 19.20 19.20 13.30 19.20 13.30

19.20 13.30

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Bienne Transit 21.—

20.45 20.35 20.20

19.10 19.10 le lendem.

7.20 ') le jour suiv. 7.20

**) 20.35

***) 12.25 20.35 Chaque vendredi à

7.15 S. 20.35 D. 20.20

*)21.—

**) 12.25

*)le jour suiv. 7.20

***) 20.35

19.10

11.50 s. 20 35 d. 20.20

21,—

12.25

*)21.—

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*) 16.55 2 1 . -

*) 16.55

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*) 16.55 16.55

*)21.—

**) 13.25

***) 12.25 le jour suivant 7.15

*)20.35 21.—

*) 16.55 'embarq e bureai de.

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10.45 uement i de pos

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Durée probable du trajet

Athènes = 5 jours

Départ d'Athènes par prochaine occasion

Syracuse à Malte = 11 à 12 heures

Canton = environ 24 jours Hongkong = environ 22 jours Shanghai = environ 18 jours De Hongkong à Manille 3-4

fois par semaine en 2-3 jours Canton = environ 28 jours Shanghai = environ 24 jours Hongkong = environ 27 jours De Hongkong à Manille 3-4

fois par semaine en 2-3 jpurs Penang = 20 jours Colombo = 16 à 18 jours Larnaca = 4 à 5 (jours

Aden = 10 jours Bombay = 15 jours Sabang = 21 jours Batavia = 26 jours Padang = 25 a 27 jours Singapore = 22 jours

de Singapore a Saigon par la prochaine occasion

Shimonoseki = 16 jours Shimoniki = 19 à 23 jours

Port-Saïd = 5 jours Alexandrie = 4 jours Capetown = 18 jours

de Capetown :

à Durban 69 heures à Bloemfontein 28 » à Johannesburg 38 » à Pretoria 39 » à Lourenço-Marquez 4 jours Zanzibar = 19 à 22 jours

New-York = 8 à 9 jloiurs

de New-York:

à Mexico 5 jours à Kingston 5 à 6 jours à St-Domingue 7 à 9 » à Panama 7 à 10 » à San-José 8 à 10 » à Lima 15 à 16 » Buenos-Ayres = 20 jours Rio de Janeiro = 16 jours

de Buenos-Ayres à La Paz environ 3 jours

de Buenos-Ayres à Santiago et Valparaiso environ 2 jours

Fremantle = 27 jours Adélaïde = 29 jours Melbourne == 30 jours Sydney = 31 jours Brisbane = 33 jours Honolulu = 22 jours Via Naples, via Lisbonne, te acheminant — toujours lant à l'horaire ci-dessus.

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