• Aucun résultat trouvé

LE CHÂTEAU ET LE BASSIN OCCIDENTAL DU PARTERRE DU MIDI

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "LE CHÂTEAU ET LE BASSIN OCCIDENTAL DU PARTERRE DU MIDI"

Copied!
21
0
0

Texte intégral

(1)
(2)

V E R S A I L L E S

(3)

LE C H Â T E A U ET LE BASSIN O C C I D E N T A L D U P A R T E R R E D U MIDI

(4)

R A Y M O N D E S C H O L I E R

V E R S A I L L E S

A q u a r e l l e s d e N I C O L A S M A R K O V I T C H

E D I T I O N S A L P I N A 20, rue Armand Moisant, 20

P A R I S X V e

(5)

LE BASSIN D ' A P O L L O N E T LE G R A N D C A N A L

Tous droits de traduction et de reproduction réservés Copyright by Alpina - 1937. Paris.

(6)

L A C O U R DE M A R B R E

" Q U E L Q U E CHOSE DE ROYAL"

— Vous voulez connaître la France? Allez à Versailles.

Ce conseil, j e l'entendis donner p a r Madame de Caillavet à certain jeune Asiatique qu'on lui présentait.

Comme tous ceux qui hantaient ce jour-là — i l y a quelque trente ans

— le grand salon de l'avenue Hoche, cet avis me séduisit. J e le goûte moins aujourd'hui; en l'émettant, l' Egérie de Monsieur Berger et, ne songeait qu'à sa propre gloire. Apparemment il lui plaisait qu'on recueillît autour d'elle un propos aussi profitable.

Mais que précisément, le fils du Soleil Levant auquel il s'adressait, en ait p u tirer quelque profit, c'est ce dont j e ne suis guère assuré. Tout au contraire de la proposition risquée p a r « Madame », on ne peut sentir Versailles que si l'on connaît la France et vous engager à déchiffrer le secret du Roi, dans les galeries décorées p a r Le Brun, sur la façade de Mansart, aux bosquets de Le Nôtre, avant d'avoir goûté Racine et Watteau, Lulli et Rameau, Hubert Robert et Chénier, Verlaine et Fauré, le royaume des lis de Toulouse à Nancy, de la Provence au Valois, c'est mettre pro- prement la charrue avant les bœufs. Versailles n'est pas une préface au

voyage en France. C'en est la leçon suprême, la sublime conclusion.

E n vérité, le culte de Versailles — il n'est pas d'autre mot — exige de ses dévots de nombreuses oraisons, plus d'un pélerinage, une culture profonde, mais aussi une grande ferveur d'âme.

(7)

D R O U I L L Y - LE P O È M E H É R O Ï Q U E (AU P A R T E R R E NORD)

Ce Palais de la Belle au Bois Dormant, ne livre pas ses secrets aux gens pressés. L'auto s'arrête à ses portes et le Tapis vert n'est pas près de servir de terrain d'atterrissage pour avions.

La vitesse n'a pas droit de cité dans la Cité des Eaux. I l f a u t du temps et comme une sorte de lente divination pour distinguer, dans l'ordonnance de ses architectures végétales, p a r m i la douceur attendrie de ses pierres et la

(8)

magnificence de ses marbres, les traits divers dont se compose l'harmonieux visage de la France.

Rien ne donne, en effet, l'image de l'unité française comme Versailles où le marbre rose du Languedoc s' allie au gris ambré de la pierre du Vexin, comme ces bassins creusés, sur l'ordre du maître, p a r tous les régiments de nos vieilles provinces, comme ces statues et ces groupes, dus au ciseau du Lyon- nais Coysevox, des Champenois Girardon et Bouchardon, de Puget de Marseille.

J ' a i parlé d'harmonie. A Versailles, en effet, pour honorer le dieu Louis X I V et la France éternelle, tout est harmonie, harmonie délicate, mais aussi harmonie grandiose.

La volonté d'un grand roi, l'élan magnanime d'une nation privilégiée, le Temps aussi, avec ses souvenirs héroïques, tragiques, mélancoliques, et la magie de sa patine verte et dorée, tout ici a collaboré à la création d'un ensemble unique au monde.

Cette harmonie dans le grandiose, marque suprême de la civilisation gréco-romaine, j e n'en ai trouvé l'équivalent qu'à l'intérieur de Sainte Sophie de Constantinople. Là seulement, on peut mesurer comme ici, à quel point nous émeut l'alliance inattendue de la puissance et de la grâce.

Aux âges romantiques, après une promenade enivrée aux Trianons, Théodore Chassériau souhaitait de garder en lui « quelque chose de royal et qui dure ».

Ce qu'avait entrevu ce jeune génie, guetté p a r la mort, ce « quelque chose de royal » et qui doit durer plus que nous, voilà ce qu'il nous f a u t demander à Versailles.

LE H A M E A U D U P E T I T T R I A N O N

(9)

LE VASE D E LA G U E R R E , par COYSEVOX

(10)

CHAPITRE I

L E C H A T E A U

Nul en Languedoc n'ignore ce que c'est que pelleverser, labourer avec la bêche. En Provence, Mistral emploie ce vocable: versano, pour désigner des champs fraîchement labourés. C' est, au demeurant, le sens même d'un vieux terme français: ver saine ou ver saigne, qui signifie précisé- ment terre préparée pour la semence.

Telle paraît devoir être la véritable origine du mot:

Versailles, c'est-à-dire terres nouvellement défrichées. Ori-

gine lointaine d'ailleurs, puisqu'on trouve le nom de Ver-

sailles dans une charte du XIe siècle.

(11)

V E R S A I L L E S E N 1668 P A R P A T E L

Catherine de Médicis fit don de ce domaine à son favori Gondi; mais c'est à Louis XIII que Versailles doit sa première fortune. Cette butte, assez proche de Saint- Germain, et où tournait un moulin à vent, cette butte qui dominait un terrain giboyeux, semé de marais et de rus, tenta ce grand chasseur. Il y fit construire, selon le mot de Saint-Simon, un « château de cartes ».

Ce « chétif château de Versailles », comme l'appelle Bassompierre en 1627, n'était à vrai dire dans la pensée du roi, qu'un rendez-vous de chasse, de quoi ne pas coucher à la paillade.

Avec le temps, Versailles fait la conquête de Louis le Chaste. En 1631, l'architecte Philbert Le Roy consacre deux cent mille livres à la reconstruction de ce « petit château de gentilhomme». L'année suivante, Louis XIII acquiert de Jean François de Gondi, archevêque de Paris, la terre et la seigneurie de Versailles: les jardins encore bien étouffés vont pouvoir prendre de l'ampleur.

Un modeste bâtiment à deux étages, dont les deux

ailes que relie un portique, encadrent la future cour de Mar-

bre. Un pavillon carré à chacun des quatre angles; une ter-

rasse à balustres et des douves qu'enjambent, vers les jardins,

dessinés par Claude Mallet, un pont de pierre, et, au cou-

(12)

chant, un pont-levis: la monarchie démantèle les châteaux des grands féodaux, mais continue de se fortifier. Avec Ri- chelieu, Louis XIII ne s'est-il pas réfugié là, lors de la Journée des Dupes?

Hauts faîtages à la française, chaînes de brique et de pierre, dans le goût de l'époque... Une gravure d'Israël Silves- tre nous a conservé l'image de cette charmante demeure aux couleurs vives et franches: bien que surélevés et chargés d'or- nements, les murs intérieurs qui entourent la cour de Marbre, peuvent encore nous montrer ce que fut ce premier château.

Le roi, qui s'y plaît décidément, ne se contente pas d'y chasser; dans son « agréable maison de Versailles », il lui arrive d'offrir la collation à la reine, voire à Mademoiselle de Hautefort.

Louis X I V a douze ans, lorsque, en 1651, il vient chas- ser à Versailles pour la première fois. Loret nous en a gardé le souvenir dans sa Muse historique, et c'est bien la pre- mière fois, mais non la dernière, que Versailles, célébré en poésie, rime avec broussailles:

Jeudi, le roi vint à Versailles

Chasser p a r bois et p a r broussailles...

Le roi...

F u t en son château de Versaille Faire joyeusement ripaille...

F A Ç A D E D U C H Â T E A U S U R LES J A R D I N S A V A N T 1678

(13)

La gravure de Silvestre, dont nous parlions (elle est de 1652) ne porte-t-elle pas, d'ailleurs, cette légende: Veue du Chasteau Royal de Versaille, où le Roy se va souvent divertir à la chasse?

En 1660, l'année de ses noces, Louis XIV mène à Ver-

sailles la reine Marie-Thérè- se. L ' a n n é e suivante, le roi, p a s s i o n n é m e n t épris de Mlle de la Vallière, se la voit d i s p u t e r p a r l' a u d a c i e u x F o u q u e t . Le 17 août 1661, c'est la fameuse fête de V a u x , qui m a r q u e l'apogée

— et la ruine — du surin- tendant. Le roi d e m e u r e confondu d e v a n t les ma- gnificences du château de V a u x , créées en cinq années p a r Louis Le Vau, A n d r é Le Nôtre, et Charles Le B r u n . Q u e sont les résiden- ces royales auprès de ces merveilles? L a haine de Col- bert p o u r F o u q u e t , son zèle p o u r le souverain, se liguent p o u r c o n s o m m e r la perte du ministre et édifier un c h â t e a u royal qui l'emporte de b e a u c o u p sur les splen- deurs de V a u x . Les artistes de F o u q u e t , Colbert les en- rôle a u service du roi, c o m m e il e m b a u c h e r a également Mo- lière et la F o n t a i n e qui, après avoir chanté les nymphes de V a u x , v a n t e r o n t les gloires de Versailles.

C H A R L E S LE B R U N , PAR C O Y S E V O X

Tout d'abord, Louis X I V entend que l'on respecte la demeure paternelle. Il exige de Le Vau un plan qui assure la conservation du petit château et lui fasse seulement une

« enveloppe ». Des bâtiments annexes s'élèvent; les jardins agrandis et disciplinés par Le Nôtre, se peuplent de bassins

(14)

et de statues. Dans un charmant tableau peint en 1668, Patel nous a gardé le souvenir de ce premier Versailles de Louis XIV, d'un style déjà un peu désuet, mais si clair, si charmant, si franc d'accent et de ton.

Précédé de timbaliers, escorté par les mousquetaires, on y voit le carrosse royal

se diriger vers le châ- teau. Pour quelque fête sans doute? Versailles n'est déjà plus qu'une fête perpétuelle. E n 1662, grand bal en l'honneur de la Reine Mère et de Marie-Thé- rèse; l'année suivante, le Roi et la Reine y ré- sident: le dimanche 14 octobre, Molière y re- présente devant Louis XIV, et pour la pre- m i è r e fois, l' I m - promptu de Versailles.

Versailles a connu d'autres premières de Molière: l' A m o u r mé- decin (14 septembre 1665), Georges Dandin (18 juillet 1668); mais surtout la Princesse d'Elide, représentée dans les Jardins de

Versailles le 8 mai 1664, et qui évoque p o u r nous les P l a i - sirs de l ' I s l e enchantée, (l'avant-propos g a r d e le souvenir d ' u n e de ces folles prodigalités qui vidaient le trésor et désolaient Colbert): « Le roi,' v o u l a n t d o n n e r a u x siens et à toute sa cour le plaisir de quelques fêtes peu communes, d a n s un lieu orné de tous les a g r é m e n t s qui p e u v e n t faire a d m i r e r une maison de c a m p a g n e , choisit Versailles, à q u a t r e lieues de Paris ».

LE N O T R E , P A R M A R A T T E

(15)

Pour se faire une idée de ces fêtes magnifiques qui du- rèrent une semaine et au cours desquelles le roi traita plus de six cents personnes, « outre une infinité de gens néces- saires à la danse et à la comédie, et d'artisans de toutes sortes venus de Paris, si bien que cela paraissait une petite armée », il suffirait de consulter les sept planches d'Israël Silvestre, ayant trait aux fêtes de Versailles et qu'on peut acquérir à la Chalcographie du Louvre.

Durant ces fêtes illustres, Molière ne se contenta point, d'ailleurs, de jouer devant la Cour, la Princesse d'Elide, laquelle faisait l'éloge de Versailles, d'un Versailles encore très agreste:

Oui, j ' aime à demeurer dans ces paisibles lieux:

On n'y découvre rien qui n' enchante les yeux...

A quoi la confidente de répondre:

j e chéris comme vous ces retraites tranquilles Où l'on vient se sauver de l'embarras des villes...

LE RHÔNE JEAN BAPTISTE TUBI PAR

(16)

Après la Princesse d'Elide, qui fut donnée le deuxième jour des Fêtes de Versailles, on représenta les Fâcheux le cinquième jour, et le sixième, Tartuffe, dont Molière se ha- sarda à produire devant le roi les trois premiers actes. Grand événement qui devait valoir à Molière l'appui du monarque contre la cabale des hypocrites et des faux dévots.

Enfin, les comédiens de Monsieur représentèrent le Mariage forcé, avec les ballets et les récits.

Contre de telles dépenses, dont rien, selon lui, ne doit rester, le sage Colbert, nommé depuis peu surintendant et ordonnateur général des Bâtiments du Roi, ne cesse de pro- tester; et il lui arrive même en 1664, de plaider cette cause, avec une rare véhémence: « Votre Majesté sait qu'au dé- faut des actions éclatantes de la guerre, rien ne marque davantage la grandeur de l'esprit des princes que les bâti- ments; et toute la postérité les mesure à l'aune de ces su- perbes maisons qu' ils ont élevées pendant leur vie. Ah!

L A S A Ô N E PAR JEAN B A P T I S T E T U B I

(17)

LE T E R R E - P L E I N D E V A N T LE C H Â T E A U

(18)

quelle pitié que le plus grand Roi et le plus vertueux, de la véritable vertu qui fait les plus grands princes, fût mesuré à l'aune de Versailles! Et toutefois il y a lieu de craindre ce malheur... ».

Imprudent Colbert! Certes, Louis X I V ne va que trop l'écouter. Sans doute, il fera travailler au Louvre, qui lui devra ces deux fastueuses merveilles, la Galerie d'Apollon et la Colonnade de Perrault; mais aussi bien ces mots: « Quelle pitié que le plus grand Roi fût mesuré à l'aune de Versailles...»

il les retiendra, il les justifiera avec un si splendide orgueil, il fera de Versailles un palais si vraiment souverain, qu'en effet, et pour jamais, selon le mot prophétique de Colbert, le plus grand Roi est mesuré à l'aune de Versailles. Il n'est pas, au monde, d'aune plus royale.

Dès lors, Louis XIV, que la Fronde avait fort dégoûté de Paris, n'a plus qu'une volonté: résider à Versailles. D'un règne infiniment glorieux, du culte monarchique qu'achève de diviniser le symbole solaire, Versailles va devenir le temple, le sanctuaire. L'Europe, étonnée ne tardera pas à y découvrir la grandeur de la France.

Entre deux conquêtes, le Roi Soleil va construire Ver- sailles.

C'est en vain que Colbert tente à nouveau de l'en dé- tourner, espérant peut-être le rebuter, en lui recommandant de tout raser et de bâtir « une grande maison ». De Ver- sailles Louis X I V fait son œuvre personnelle, et, à vrai dire, le plan de Le Vau, adopté contre ceux de Jacques Gabriel, de Claude Perrault, d'Antoine Le Pautre et de Vigarini, porte bien la marque royale. Comme l'a écrit M. Pératé dans sa très belle étude sur Versailles, c'est « une traduction fidèle des ordres de Louis X I V ».

En 1668, la paix d'Aix-la-Chapelle permet au Roi de se donner tout à Versailles. Selon le mot de Saint-Simon, ce conquérant va connaître le « plaisir de forcer la nature ».

Versailles n'est jamais si beau qu'en automne. La Fon- taine et ses amis, qui sont sans doute Racine, Molière et Boileau, découvrirent ainsi les grâces nobles de Ver- sailles durant l'automne de 1668 (« Les jours étaient encore assez longs et la saison belle »). Leur promenade s'achève

(19)

B U S T E D E L O U I S XIV, P A R LE B E R N I N

sur l'un de ces crépuscules émouvants, qu'il nous est tou- jours donné de contempler en ce lieu vraiment unique, mais où manque la présence réelle de quatre de nos plus grands poètes.

Après avoir porté leurs pas de la Ménagerie, située à l'extrémité du bras du Grand Canal opposé à celui de Tria- non, à l'Orangerie, dont les orangers viennent de Vaux et rappellent la disgrâce du surintendant; après avoir visité l'intérieur du château, la chambre et le cabinet du Roi, les quatre amis se sont fait conduire à la Grotte de Thétis, ro- caille qui s'élevait à l'endroit où se trouve aujourd'hui le vestibule de la Chapelle; et là, pour les reposer, Polyphile

— ou La Fontaine — a commencé de lire à ses amis le récit des touchantes Amours de Psyché.

La lecture du premier livre terminée, les quatre amis

ont repris leur promenade et, traversant les parterres en

(20)

A C H E V É D ' I M P R I M E R S U R L E S P R E S S E S S P É C I A L E S DES É D I T I O N S A L P I N A D E PARIS, A N O V A R E ( I T A L I E ) E N J U I L L E T M C M X X X V I I

(21)

Participant d’une démarche de transmission de fictions ou de savoirs rendus difficiles d’accès par le temps, cette édition numérique redonne vie à une œuvre existant jusqu’alors uniquement

sur un support imprimé, conformément à la loi n° 2012-287 du 1er mars 2012 relative à l’exploitation des Livres Indisponibles du XXe siècle.

Cette édition numérique a été réalisée à partir d’un support physique parfois ancien conservé au sein des collections de la Bibliothèque nationale de France, notamment au titre du dépôt légal.

Elle peut donc reproduire, au-delà du texte lui-même, des éléments propres à l’exemplaire qui a servi à la numérisation.

Cette édition numérique a été fabriquée par la société FeniXX au format PDF.

La couverture reproduit celle du livre original conservé au sein des collections de la Bibliothèque nationale de France, notamment au titre du dépôt légal.

*

La société FeniXX diffuse cette édition numérique en vertu d’une licence confiée par la Sofia

‒ Société Française des Intérêts des Auteurs de l’Écrit ‒ dans le cadre de la loi n° 2012-287 du 1er mars 2012.

Références

Documents relatifs

Cette édition numérique a été réalisée à partir d’un support physique parfois ancien conservé au sein des collections de la Bibliothèque nationale de France, notamment au titre

Cette édition numérique a été réalisée à partir d’un support physique parfois ancien conservé au sein des collections de la Bibliothèque nationale de France, notamment au titre

Cette édition numérique a été réalisée à partir d’un support physique parfois ancien conservé au sein des collections de la Bibliothèque nationale de France, notamment au titre

Cette édition numérique a été réalisée à partir d’un support physique parfois ancien conservé au sein des collections de la Bibliothèque nationale de France, notamment au titre

Cette édition numérique a été réalisée à partir d’un support physique parfois ancien conservé au sein des collections de la Bibliothèque nationale de France, notamment au titre

Cette édition numérique a été réalisée à partir d’un support physique parfois ancien conservé au sein des collections de la Bibliothèque nationale de France, notamment au titre

Cette édition numérique a été réalisée à partir d’un support physique parfois ancien conservé au sein des collections de la Bibliothèque nationale de France, notamment au titre

Cette édition numérique a été réalisée à partir d’un support physique parfois ancien conservé au sein des collections de la Bibliothèque nationale de France, notamment au titre