orienté : aluls de distanes, d'aires, de volumes, d'angles...
ChantalMenini
19 mai2009
Avantdevouslanerdansetexposéassurez-vousquevoussavezdénirequ'estuneorientation.
Nous supposonsonnueslesdénitionsduproduitsalaireet produit vetoriel.Nousutiliseronsessentiellementles
propriétés(oudénitions)suivantes:
−
→a ·−→b =k−→akk−→bkcos (−→a ,−→b)et labilinéaritéduproduitsalaire.
−
→a ∧−→b est orthogonalà−→a et−→b ;k−→a ∧−→bk=k−→akk−→bk |sin (−→a ,−→b)|.
Danstoutequisuitonsupposeral'espaemunid'unrepèreorthonormédiret(O,−→ı ,−→ ,−→k).Noussupposonsqu'il
existe unproduit salaireassoiéàlanormeet travailleronsavee produit salaire(nousnous plaçonsdon dans
unespaeeulidienorientédedimension3).
1 Calul de distanes.
Commençonsparrappellerladénition deladistaned'unpointM àunedroiteouàunplanD d(M,D) = inf{M N, N ∈ D}.
Si l'on appelle H le projeté orthogonal de M sur D alors pour tout point N de la droite ou du plan, M N2 = M H2+HN2 etM N est minimalpourN =H,d'où, d(M,D) =M H.
1.1 Distane d'un point à une droite.
1. DroiteDdontononnaitunpointAet unveteurdireteur −→u : d(M,D) = k−−→
AM∧ −→uk k−→uk .
Sil'onappelleH leprojetéorthogonaldeM surDalorsd(M,D) =M H.
−−→AM∧ −→u = (−−→AH+−−→HM)∧ −→u =−−→HM∧ −→u puisque −−→AH et −→u sontolinéaires.Etk−−→HM∧ −→uk=HM× k−→uk
puisque
−−→HM et−→u sontorthogonaux.
2. DroiteDdontononnaitunpointAet deuxveteursnormauxnon olinéaires−n→1 et−n→2 :
d(M,D) =k−−→AM∧(−→n1∧ −n→2)k k−→n1∧ −n→2k .
C'estuneonséquenedurésultatpréédentpuisque−→u =−n→1∧ −n→2 estunveteurdireteurdeladroiteD.
Remarque.Onrappellequelesystème
a1x+b1y+c1z=d1
a2x+b2y+c2z=d2
dénitunedroitedanslerepère(O,−→ı ,−→ ,−→k)sietseulementsilesveteurs−→n1(a1, b1, c1)et−n→2(a2, b2, c2)sont
nonolinéaires(elarevientàdirequelerangdusystème est2). Alors−n→1 et−n→2 sontdeuxveteursnormaux
nonolinéairesdeladroite.
1. PlanP dontononnaitunpointA etunveteurnormal−→n : d(M,P) = |−−→
AM· −→n| k−→nk .
Sil'onappelleH leprojetéorthogonaldeM surP alorsd(M,P) =M H.
−−→AM· −→n = (−−→
AH+−−→
HM)· −→n =−−→
HM· −→n ar−−→
AH et−→n sontorthogonaux.Puis|−−→
HM· −→n|=HMk−→nkar−→n et
−−→HM sontolinéaires.
2. PlanP dontononnaitunpointA etdeuxveteursdireteurs−u→1 et−→u2:
d(M,P) = |−−→AM·(−→u1∧ −→u2)| k−→u1∧ −→u2k .
C'estuneonséquenedurésultatpréédentpuisque−→n =−→u1∧ −→u2est unveteurnormalduplanP.
Remarque.
−−→AM·(−→u1∧ −u→2) = [−u→1,−u→2,−−→
AM] leproduit mixte('estledéterminantdanslabase(−→ı ,−→ ,→− k)de (−→u1,−→u2,−−→
AM)).
Exerie. Soienta, b, ctrois réelsnonnuls et P leplan passantparlespointsA(a,0,0),B(0, b,0)et C(0,0, c).On
note h=d(O,P), montrerque h12 = a12 +b12 +c12.
Solution : Une équation duplan P est xa + yb +zc = 1 (trois points non alignés dénissent ununique plan). Ilen
déoule queleveteur
−
→n(1/a,1/b,1/c)estunveteurnormalduplan.
Ave equipréèdeh= |
−−→ OA·−→n|
k−→nk = √ 1
1/a2+1/b2+1/c2
et lerésultatannoné.
Onremarqueraquel'onpeutaussiutiliserquelesveteurs
−−→ABet−→AC sontdeux veteursdireteursnonolinéaires
duplanP.
1.3 Distane entre deux droites non oplanaires.
Proposition1.1 SoientD etD′ deuxdroites non oplanaires. D(resp. D′) passantparle pointA(resp.A′) etde
veteur direteur
−
→u (resp.−→
u′).Alorsla distane entreesdeuxdroites est d(D,D′) =|−−→
AA′·(−→u ∧−→ u′)| k−→u ∧−→
u′k = |[−→u ,−→ u′,−−→
AA′]| k−→u ∧−→
u′k .
Preuve.Commençonsparmontrerqu'ilexisteune uniquedroite∆ perpendiulaireàDetD′.
Si ∆ existealorsnéessairement
−
→v =−→u ∧−→
u′ estunveteurdireteurde ettedroite . Alors∆ appartientauplan P passantparAetdeveteursdireteurs−→u et−→v.Demême∆appartientauplanP′ passantparA′ etdeveteurs
direteurs
−
→u′ et −→v et∆∈ P ∩ P′.
Réiproquement,onsidéronsles plansdénisi-dessus. Cesplans nesontpasparralèlespuisque lesveteurs
−
→u et
−
→u′ sontlibres(eneetV ect(−→u ,−→v) =V ect(−→
u′,−→v)équivautà−→u et−→
u′ liéspuisque−→u et −→
u′ sontorthogonauxà
−
→v).
Leurintersetionestdonunedroitequel'onnote∆,d'oùl'uniitéet'estuneperpendiulaireommuneàDetD′
(pourquoi?).
Calulons maintenantd(D,D′) = inf{M M′, M ∈ DM′∈ D′},notonsI=D ∩∆ etI′=D′∩∆alors: M M′2=k−−→M I+−−−→
I′M′k2+II′2
et M M′ estminimalpour−−→M I+−−−→
I′M′ =−→0 equi équivautà−−→M I=−→0 et−−−→
I′M′=−→0 puisque−−→M I estolinéaireà−→u
et
−−−→I′M′ estolinéaireà−→
u′.Onvientdondemontrerque d(D,D′) =II′. II′ = |−−→
AA′ · −→v |
2.1 Calul d'aires.
2.1.1 Aired'un triangle.
Proposition2.1 L'aire dutriangle ABC estAABC =12k−−→AB∧−→ACk.
Preuve.SoitH lepieddelahauteurdutriangleissuedeCalorsl'airedutriangleest
AABC = 12HC×AB=12k−−→ABkk−→ACk|sin (−−→AB,−→AC)|= 12k−−→AB∧−→ACk.
Exerie.SoientABC untriangleetB′ ∈[AB],C′ ∈[AC];montrerquelerapportdesairesdestrianglesABC et A′B′C′ estégalauproduitdurapportdeslongueursdesotés.
Solution:AA′B′C′ = 12k−−−→
A′B′∧−−→
A′C′k= 12kAAB′B′−−→AB∧AAC′C′−→ACk=AAB′B′AAC′C′AABC.
Exerie.SoientA,B etC troispointsnonalignés,ononstruitA1,B1 etC1desortequeB milieude[A, A1],C
milieude[B, B1]et Amilieude[C, C1]montrerqueAA1B1C1= 7AABC.
Solution :
−−−→A1B1∧−−−→A1C1 = (−−→A1B+−−→BB1)∧(−−→A1A+−−→AC1) = (−−→BA+ 2−−→BC)∧(2−−→BA+−→CA) = 7−−→BC∧−−→BAen utilisant
que
−−→BA∧−→CA=−−→BA∧−−→CB=−−→BC∧−−→BAet que−−→BC∧−→CA=−−→BC∧−−→BA.
2.1.2 Aired'un parallélogramme.
Proposition2.2 L'aire duparallélogramme ABCD estAABCD=k−−→AB∧−−→ADk.
Preuve.AABCD= 2AABD.
Pourdémontrerque AABD =ABCD onpeut utiliserlasymétrie deentre leentreduparallélogrammeouenore utiliserque2ABCD=k−−→BC∧−−→BDket −−→BC∧−−→BD= (−−→BA+−→AC)∧(−−→BA+−−→AD) =−→AC∧−−→AD=−−→AB∧−−→AD.
2.2 Calul de volumes.
2.2.1 Volumed'un parallélépipède.
Proposition2.3 SoientA,B,D etI quatrespointsnon oplanaires etP leparallélépipède d'arêtes [AB],[AD] et [AI].Levolume duparallélépipède P estVP =|−→AI·(−−→AB∧−−→AD)|=|[−−→AB,−−→AD,−→AI]|.
Preuve.Notons I′ leprojetéorthogonaldeI surleplan P ontenantA,B etD alorsVP =II′× AABCD oùl'on
note Clepointdénipar−→AC=−−→AB+−−→AD. II′=|−→
AI· k−AB∧−AB∧−−→→ −AD−ADk−−→→ | d'oùVP =|−→
AI·(−−→
AB∧−−→
AD)|=|[−−→
AB,−−→
AD,−→
AI]|.
Uneautreformulationpossibleenutilisantladistaned'unpointàunplanest:VP =II′×AABCD=d(I,PABD)k−−→AB∧
−−→ADk=|−→
AI·(−−→
AB∧−−→
AD)|oùPABD désigneleplanpassantparlespointsA,B etD.
2.2.2 Volumed'un tétraèdre.
Proposition2.4 SoientA, B,C etD quatrepoints non oplanaires alors levolume du tétraèdre T déni pares
quatrepoints est
VT = 1
6|−−→AD·(−−→AB∧−→AC)|=1
6|[−−→AB,−→AC,−−→AD]|.
Preuve.Si onnoteD′ leprojetéorthogonalde D surleplanpassantparA,B etC alorsVT = 13DD′× AABC et
lerésultatenutilisantqueAABC = 12k−−→AB∧−→ACketque|−−→AD·(−−→AB∧−→AC)|=|−−→
DD′·(−−→AB∧−→AC)|=DD′k−−→AB∧−→ACk
ar
−−→AD′ et−−→AB∧−→AC sontorthogonauxet
−−→DD′ et−−→AB∧−→AC sontolinéaires.
3.1 Angle géométrique.
Proposition3.1 Formules d'Al Kashi. SoitABC untriangle, on note a =BC,b =CA, c =AB etAb=\BAC
alors
a2=c2+b2−2cbcosA.b
Preuve.a2=k−−→BCk2 = (−−→BA+−→AC)·(−−→BA+−→AC) =k−−→BAk2+k−→ACk2−2−−→AB·−→AC.Etavel'expressionduproduit salaire
−−→AB·−→
AC=k−−→
ABkk−→
ACkcos\BAC nousobtenonsl'égalitéannonée.
Exerie.Déterminerlamesuredel'angle géométrique\BAC i-dessous.
A
8
6 4 B C
Solution :Avele théorèmedePythagoreAB=√
82+ 62= 10,AC =√
62+ 42=√
52etBC =√
82+ 42 =√ 80.
Ave laformuled'AlKashi
cos\BAC=52 + 100−80 2×10√
52 ≃0.5
et \BAC≃60◦.
3.2 Angle dièdre.
SoientP1 et P2 deuxdemi-plansséantsselonunedroite D alorspourtout planP perpendiulaireàD l'angle
nonorientédesdemi-droitesobtenuesommeintersetiondesdemi-plansetdeP estindépendantduhoixdeP,et
angle est appelé angle dièdre desdemi-plansP1 et P2. NotonsA unpointde ladroiteD, −→u1 (resp.−u→2)unveteur
normédesortequelademi-droiteintersetiondeP etP1(resp.P2)soitd'origineAetdirigéepar−→u1(resp.−→u2).Soit
−
→v un veteur normédireteur de D telque (−→v ,−→u1,−→u2) soit une base direte. Une mesure de l'angle dièdre A des
deux demi-plansestdonunemesurel'anglenon orientédesveteurs
−
→u1et −→u2.
Soient
−
→e1 (resp.−→e2) unélément norméde V ect(−→v ,−→u1) (resp.V ect(−→v ,−u→2)) onva donnerune relation entre l'angle
dièdreAetl'anglenonorientédesveteurs−→e1 et−→e2.Notonsa= (−→\e1,−→e2),a1= (−→\v ,−→e1)eta2= (−→\e2,−→v),V ect(−→v ,−u→1)
et V ect(−→v ,−→u2)sontmunisdel'orientationinduiteparlabasedirete(−→v ,−→u1,−u→2).Alors
−
→e1 = cosa1−→v + sina1−→u1
−
→e2 = cosa2−→v + sina2−→u2
et cosa=−→e1· −→e2 = cosa1cosa2k−→vk+ sina1sina2−→u1· −u→2 arlesveteurs−→v et−u→1 (resp.−→u2)sontorthogonaux.Les veteursétantsnormésonendéduit
cosa= cosa1cosa2+ sina1sina2cosA.
Commeappliationsnousavonslealul d'angledièdredesfaesdepolyèdresréguliers.
1. Le tétraèdre régulier : on prend pour −→e1, −→e2 et −→v des veteurs direteurs de trois arètes issues d'un même
sommet alors a = a1 = a2 = π3 et cosA = 13 (résultat que l'on peut retrouveren utilisant que les arètes
opposéesd'untétraèdreréguliersontorthogonales).
2. Leube:cosA= 0résultatqui nenoussurprendpasvraiment.
3. L'otaèdrerégulier (8faes qui sontdes triangleséquilatéraux):on onsidèredeux faes séantes,−→v est sur
−
→ −→ π
4.1 Orthogonalité
Proposition4.1 SoientA,B,C etD quatrepoints de l'espae, alors
−−→AB·−−→CD+−→AC·−−→DB+−−→AD·−−→BC= 0.
Preuve.C'estuneonséqueneimmédiatedelabilinéaritéduproduitsalaire,
−−→AB·−−→CD = −−→AB·(−−→AD−−→AC)
−→AC·−−→
DB = −→
AC·(−−→
AB−−−→
AD)
−−→AD·−−→BC = −−→AD·(−→AC−−−→AB)
Corrolaire 4.2 1. Leshauteursd'untriangle sont onourrantes.
2. Dansuntétraèdresideuxouplesd'arêtesopposées sontformésd'arêtesorthogonalesalors letroisièmeouple
d'arêtesopposées estaussi formé d'arêtesorthogonales.
4.2 Puissane d'un point par rapport à un erle.
Proposition4.3 Soient C unerle de entre O et rayon R, A un point duplan et ∆ une droite passant par A,
oupantC enM etM′ (éventuellementonfondus),alors leréelP(A) :=−−→AM·−−→
AM′ estindépendantde ∆.P(A)est
appelé puissanede A parrapport auerle C etde plusP(A) =OA2−R2.
Preuve. Notons N le symétrique de M′ par rapport au entre O du erle, lorsqu'il n'est pas aplati le triangle M N M′ estretangle enM et −−→AM·−−→
AM′ =−−→AN·−−→
AM′.Cetteégalité estenorelairementvériéesiN =M ousi M =M′.Ainsidanstouslesas
−−→AM·−−→
AM′ = (−→
AO+−−→
ON)·(−→
AO+−−−→
OM′)
= (−→AO+−−→ON)·(−→AO−−−→ON)
= AO2−ON2=OA2−R2.
4.3 Coordonnées baryentriques.
Proposition4.4 SoientABC un triangle non aplati et M unpointdu plan. Alorsles oordonnéesde M dans le
repèreane (A, B, C)sontproportionnelles auxaires orientées destriangles M BC,M CAetM AB.
Preuve. Le plan est onsidéré omme unsous espae ane de l'espae an que le produit vetoriel ait unsens.
(−−→AB,−→AC) est une base du plan vetoriel assoié, on hoisit l'orientation de sorte qu'elle soit direte. Ainsi les veteurs
−−→M A∧−−→M B,−−→M B∧−−→M C et−−→M C∧−−→M Asontolinéairesà−−→AB∧−→AC,nousappelonsaireorientéelesréelsnotés
respetivementA(M AB), A(M BC)et A(M CA)tels que−−→M A∧−−→M B=A(M AB) −AB∧−→ −→AC
k−−→ AB∧−→
ACk
,et...
SoitM unpointduplanalorssesoordonnéesbaryentriquesdanslerepère(A, B, C)sontproportionnellesà(α, β, γ)
telsque
α−−→M A+β−−→M B+γ−−→M C=−→0.
En faisantleproduitvetorielave,respetivement,
−−→M A,−−→M Bet −−→M Conobtient
β−−→M A∧−−→M B−γ−−→M C∧−−→M A = −→0 α−−→M A∧−−→M B−γ−−→M B∧−−→M C = −→0 α−−→M C∧−−→M A−β−−→M B∧−−→M C = −→0.
Ce qui peutse traduireomme lefait que le produit vetoriel duveteurde oordonnées (α, β, γ) ave le veteur
deoordonnées(A(M BC),A(M CA),A(M AB))estégalauveteurnul.Cesdeuxveteurssontdonolinéairesou
enoreleursoordonnéessontproportionnelles.
5 Commentaires.
Mêmesien'estpaslebutdelaleçonilestindispensabledebienavoirlesidéeslairesonernantlesdénitions
hoisiespourleproduitsalaireet leproduitvetorielainsiqueleursonséquenes.
Ces appliations peuvent illustrer les leçons sur le produit salaireet le produit vetoriel(et vie et versa).
Ellespeuventaussiêtrelethèmed'exeriespourlesdossiers.
Pouraluler les volumes du parrallélépipèdeet du tétraèdre nous utilisons sans lesdémontrer lesformules
VP =II′× AABCD pourleparrallélépipèdeet VT = 13DD′× AABC pourletétraèdre. Ilestbond'avoirune
idéedelafaçondelesobtenir.Pourleparrallélépipèdeundéoupageetreollementsut,pourletétraèdreil
fautreouriraualulintégral.Danslesgrandeslignes:onhoisitunrepèreorthonormé(O,−→ı ,−→ ,−→k)desorte
queO =D et −→k olinéaireet demême sensque −−→
DD′, alorsen notantA(h)l'airede lasetiondutétraèdre
aveleplan d'équationz=hnousavons
VT = Z DD′
0 A(h)dh=AABC Z DD′
0
h DD′
2 dh
parhomothétiedeentre D etrapport DDh′ et lerésultatannoné.
Ladernièreappliationàl'angledièdren'estpassimple,ànemettrequesionlamaitrisevraimentbien.
6 Bibliographie.
AudinM.,Géométrie,EDPSienes.
MonierJ-M.,GéométriePCSI-PTSI,Dunod.
LombardPh.,Géométrieélémentaireetalul vetoriel,Topiqueséditions.