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59.- Envoi par avion: 83.- Compte de chèques postaux 17-2851 La reproduction de textes ou d'il¬ lustrations ne peut se faire qu'avec l'autorisation de la rédac¬ tion

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Texte intégral

(1)

Edition, impression, administration:

Imprimerie Fragnière SA - 35, route de la Glâne - 1700 Fribonrg - Té). 037 24 ïS 75 Rédaction: Case postale 331 - 1701 Fribourg - Tél. 037 24 75 S - Téta 36 157

Rédacteur responsable: Gérard Bourquenoud moGazine

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Magazine bimensuel

paraissant le premier et I» troisième

mercredi de chaque mois maGazine

Organe officiel des Fribourgeois

«hors les murs» depuis 1967 Sommaire

Rédacteur en chef Gérard Bourquenoud Bureau: 037 24 75 75

Collaboratrice de la rédaction:

Monique Pichonnaz Correspondants régionaux Service d'expédition et abonnements Catherine Kacera

PUBLICITÉ Délai

de réception des annonces:

Quinze jours avant la parution Annonces Suisses SA (ASSA) 10, Bd de Pérolles

1700 Fribourg Tél. 037 22 40 60

Conseillers en publicité pour Fribourg-lllustré

Orner Davaz, Fribourg Tél. 037/22 40 60

André Vial, Bulle Bureau: 037 22 40 60 Privé: 029 2 55 30 Tarif de publicité:

1/1 page 1/2 page 1/4 page 1/8 page 1/16 page

Fr. 693.- 372.- 196.

103.- 57.- Reportage publicitaire:

1/1 page Fr. 819.- Rabais de répétition et sur abon¬

nements d'annonces.

Abonnements Suisse

Annuel

Six mois Fr. 44.70

26.- Etranger

Envoi normal: Fr. 59.- Envoi par avion: 83.- Compte de chèques postaux

17-2851

La reproduction de textes ou d'il¬

lustrations ne peut se faire qu'avec l'autorisation de la rédac¬

tion.

La rédaction n'assume aucune responsabilité pour les manuscrits et photos non commandés.

Notre prochaine parution:

mercredi 19 novembre

Knie toujours Knie Gravir un échelon Châtel en fête

Le Crêt dans l'allégresse Jura, canton suisse Pour vous Madame!

Le Comptoir de Payerne est là!

Une volée de jeunes pay¬

sans

Centenaire de la BPS Le huitième district Bulle, capitale de l'élevage Des arts au spectacle Juventute et l'enfance Nous les jeunes Flashes divers Entre l'église et...

Le H.C. Club Gottéron aura-t-il sa nouvelle pati¬

noire?

Les défunts

Notre couverture:

Cette photo de Léo Hilber. tirée du livre *Terre de Fribourg» qui ve sortir de presse aux Editions Fra- gnière, représente des objets sculptés sur bois qui sont une image typique de l'artisanat fribourgeois.

C'est la preuve que l'on se souvient du passé. On le ressent différem¬

ment c'est vrai, mais la racine existe.

Le Zoo itinérant des Knie - le plus grand et le plus riche de l'heure - offre chaque année à ses jeunes et moins jeunes visiteurs de nouvelles attractions. Ils ont ainsi la chance peu commune d'apprendre à connaître des bêtes très diverses, puisque provenant des cinq continents. Elles se renouvellent continuellement, en fonction des groupes de dressage engagés par les Knie. A côté des grands fauves tels que lions, tigres et léopards, on peut voir cette année des ours à collerette et d'intéressants petits fauves. On admire également les fameux éléphants d'Inde et d'Afrique, ainsi que de splendides étalons de races fort diverses. Des singes de toutes espèces sont aussi de la partie, et notamment les gorilles qui constituent une attraction spéciale. De nombreux ongulés exotiques suivent le Cirque à travers la Suisse. La girafe-Rotschild «Malik», le rhinocéros «Zeila» et l'hippopotame «Juba»

sont trois des plus prestigieux hôtes du Zoo. Mais les petits et grands amis des animaux ne s'intéressent pas moins aux cocasses cochons ventrus, aux chèvres naines, aux kangourous géants, au nandou, une sorte d'autruche d'Amérique du Sud, ainsi qu'aux perroquets bigarrés.

Les visiteurs du Zoo qui voudraient suivre le fascinant travail de dressage de la famille Knie et voir comment prennent forme les numéros de demain, peuvent assister aux répétitions des animaux sous le grand chapiteau, le matin dès 9 h.

Ils ont aussi l'occasion d'offrir à leurs enfants un plaisir inoubliable: celui d'une promenade à dos de poney et même d'éléphant. Autant dire que le Zoo Knie permet à tout un chacun d'enrichir ses connaissances et d'avoir avec l'animal un contact dont la nécessité s'impose plus que jamais dans le monde d'aujourd'hui.

A Fribourg, du 7 au 9 novembre 1980.

AU SUJET

DU CRIME DE MARACON...

Dans le magazine «Fribourg-lllustré», édition du 1er octobre 1980, un reportage fait état des circonstances dans lesquelles un crime a été commis il y a plus de trente ans, en Veveyse fribourgeoise.

Nous avons relaté la version des faits tels qu'ils résultent de l'enquête que nous avons menée de manière approfondie.

Alors que nos recherches étaient plébiscitées par une très grande majorité de nos lecteurs, une personne semble ne pas y avoir pris goût. Elle a déposé plainte pénale pour atteinte à l'honneur.

Libre à elle.

Nous restons persuadés que nos propos sont conformes à la réalité. Jamais nous n'avons voulu faire de ce crime atroce, une publicité tapageuse.

Dans un souci d'information, nous nous sommes bornés à présenter à nos lecteurs une enquête fouillée.

A nos lecteurs d'apprécier...

FIM

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le billet

bu

rabatteur

Il est très difficile pour une rédaction d'expliquer comment elle arrive à remplir chaque quinzaine un magazine que chaque famille attend avec impatience et que tout le monde veut feuilleter en même tempa. Déaireuae d'enrichir encore et toujours votre lecture préférée, elle est continuellement en quête de quelque chose de nouveau, toujours en marche, un peu comme un train qui ne voit jamais la fin de son parcours. Bien qu'un effort considérable a été réalisé cette année pour donner satisfaction à nos fidèles lecteurs et abonnés, il est indispensable de suivre l'évolution et, de ce fait, créer de nouvelles rubriques qui retiendront l'attention de milliers de personnes. La rédaction ne recule devant aucun sacrifice pour tenter d'améliorer le contenu de chaque édition. Elle se dépense sans compter pour maintenir le train sur les rails, sans jamais s'arrêter.

Gravir un échelon de plus

Pour cela, il ne faut pas que le journaliste soit obligé de se limiter è ses propres sentiments. Permettez-moi de vous dire, chers abonnés, que je suis depuis de nombreux mois à la recherche d'une solution qui puisse rendre notre magazine encore plus intéressant, plus passionnant, plus divertissant, voire plus attractif. Des projets sont à l'étude, tant sur le plan de la promotion que de la présentation, du contenu rédactionnel et de la photo en couleur. Améliorer

«Fribourg-lllustré» comme je le souhaite exige des moyens finan¬

ciers qui posent quelques problèmes à l'administration. En effet, pour envisager le projet qui me tient à cœur, il est nécessaire de pouvoir compter sur la fidélité et l'appui de tous nos abonnés, sur le soutien publicitaire des entreprises et commerçants du canton de Fribourg, en souhaitant que des milliers de Fribourgeois souscrivent un abonnement annuel è notre magazine. Cette gentillesse è l'égard de «Fribourg-lllustré» est une preuve d'attachement qui peut se concrétiser par un sentiment d'amitié, même si le prix de l'abonnement 1981 a quelque peu augmentél

J'estime que travailler en sachant qu'on fait plaisir est une approche magnifique. Personne n'a, jusqu'à présent, été parfait; c'est pour¬

quoi je n'ai aucun complexe. Et tant pis si parfois on se trompe, on a au moins l'impression d'avoir réalisé quelque chose.

Après tout, pourquoi vous parler de tous ces problèmes et soucis qui ne sont è première vue pas les vôtres mais que vous pouvez partager avec la rédaction. Bien que les temps s'avèrent difficiles, je suis convaincu qu'il existe un moyen d'aller plus loin. Gravir un échelon de plus est non seulement mon désir le plus profond, mais celui de toute l'équipe qui ceuvre pour la survie de «Fribourg-lllustré».

G. Bd

Les vingt années précédant les années cruciales de 1971 et 72 sont celles de la stabilité et de l'abondance énergétiques. Le prix du brut ne varie pratiquement pas, au travers d'une inflation mondiale modérée puis galopante. Aussi nul pays industrialisé ne souffre-t-il de crise de ravitaillement et ce d'autant moins que les énergies non pétrolières progressent, à petits pas, mais progressent (...)

Si, à l'époque, les Dr Knock de l'économie furent peu nombreux à considérer que cet état de santé ne présageait rien de bon, nous pouvons constater aujourd'hui, le recul du temps aidant, qu'il était pourtant dans l'accomplissement inéluctable de nos destins de basculer dans la crise.

Car, que je sache, à aucun moment la demande d'énergie ne se calma. En vingt ans, elle a doublé. Et môme l'extraordinaire augmentation de la production pétrolière dont je viens de parler ne parviendra définitivement à répondre à la pression de cette offre envahissante (...)

De quel type de crise s'agit-il en l'occurence? De plusieurs types assurément, car il n'y a pas qu'une seule crise, il y a un ensemble de crises superposées, induites, dérivées, dont les formes et les acceptions varient de surcroît entre les pays.

Il y a crise tant que s'exerce la pression d'une demande - que dis-je: d'une exigence - énergétique chaque année plus intense.

Il y a crise tant que, face à l'unité opépienne - sur fond de défense des lieux saints de l'Islam, valant couverture morale - l'Amérique, le Japon et l'Europe marchent en ordre dispersé, au nom de l'éclectisme de leurs conditions et du luxe de leurs oppositions, de leurs rivalités parfois.

Il y a crise tant que, en situation d'alourdissement des balances commerciales des pays importateurs, le renchérissement pétrolier ajoute à l'érosion de nos économies, qu'il submerge de pétrodollars en quête d'emploi.

Il y a crise tant que quelques purs font croisade à bicyclette pour réduire nos appétits énergétiques - prêchant par l'exemple de leur propre vertu - mais que les petits bataillons qui les suivent, préférant le verbe au geste - se délectent du confort de notre société tout en lui en refusant d'ores et déjà les moyens.

La crise vue par l'homme politique

(Propos de M. Jean-Pascal Delamuraz, syndic de Lausanne, conseiller national)

Il y a crise - non seulement économico-financière, mais politique et éthique - tant que «les restrictions, c'est pour les autres».

Il y a crise politique, à l'intérieur de la démocratie (l'expression «démocratie occidentale» serait pléonastique), tant que le dialogue intérieur est un dialogue de sourds, la passion radicalisant les attitudes énergétiques et interdisant dès lors l'approche sereine du problème. Par exemple: d'une part, contester en bloc, une fois pour toutes, le principe du recours à l'énergie nucléaire (tout en laissant «aux responsables» le soin de se libérer de la tyranie du pétrole, de ravitailler le pays, d'assurer le plein emploi, de garantir le progrès social et son cortège de joies ludiques); d'autre part, se lancer à corps perdu dans l'aventure nucléaire, sans prendre réellement les précautions vitales qui s'imposent et en lénifiant, au point de nier toute forme de danger direct et indirect.

Espérer résorber la crise demeure l'objectif. Objectif ambitieux, très ambitieux et donc lointain. Dici là, et pour repVendre un mot fameux, au moins «gérer la crise», c'est-à-dire cesser d'en subir les soubresauts, les méandres capricieux, les érosions inutilement dommageables (...)

OFEL

Journaux et périodiques AUGMENTATIONS

ANNONCÉES

L'Association suisse des éditeurs de journaux et périodiques (ASEJ) a rendu publiques les résultats de son enquête annuelle auprès des journaux et périodiques, laquelle porte sur l'évolution des coûts.

Le total des augmentations enregistrées pour 1980 et la hausse du prix du papier d'impression et des salaires prévue pour janvier 1981 provoquent auprès des journaux une augmentation des coûts d'une moyenne de 6,6%, avec des chiffres limités de 6,0 à 8,8%. Pour les périodiques, qui ont déjà absorbé une hausse du prix du papier dans le cours de cet exercice, et qui doivent faire face è une nouvelle augmentation dès janvier, l'augmentation des coûts est en moyenne de 6,9% avec des chiffres limites de 6,7 è 8,1%.

Selon un communiqué de l'ASEJ du 9 octobre, il y a donc lieu de s'attendre i une augmentation du prix das abonnements ainsi que des tarifs d'insertion pour l'année 1981.

ATS

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nouveau record pour la saison d'hiver?

Il est possible que I hôtellerie suisse réalise un nouveau record durant la prochaine saison d'hiver. C'est ce qui ressort d'une enquête effectuée par l'Union de Banques Suisses dans 40 importantes stations touristiques. C'est ainsi que 25 des stations interrogées escomptent une nouvelle progression des nuitées d'hôtel, qui devraient dépasser le record de 1979, alors que 13 d'entre elles ne prévoient pas de recul.

Dans la parahôtellerie, une moitié pense que les nuitées augmenteront, l'autre admet qu'elles resteront stationnaires. Cet optimisme a pour origine les conditions idéales d'enneigement et d'ensoleillement enregistrées en 1979 et le faible renchérissement par rapport à l'étranger. Compte tenu d'une meilleure utilisation de I offre d'hébergement, la capacité bénéficiaire de l'hôtellerie devrait plutôt s'améliorer, bien que les prix soient maintenus en grande partie à leur niveau antérieur, tandis que les charges s'alourdissent.

Union de Banques Suisses Etudes conjoncturelles et de branche

Sauce piquante aux carottes

5-10 minutes 40 minutes

env. 29 calories/121 joules Préparation:

Temps de cuisson:

Par personne:

Pour 4 personnes, comme garniture:

250 g de carottes 3 Jets de tabasco

1 / 2 cuillerée i thé de poudre de curry 1 pincée de sel

1 pincée de girofle moulu 1 petit morceau de beurre frais

Peler les carottes, les couper en petits morceaux, les mettre dans la casserole chaude, couvrir et cuire 40 minutes à feu très doux. Passer au tamis ou à la moulinette, assaisonner. Affiner avec du beurre.

ftSfSISt f

Le plaisir de la table

(kfs) La satisfaction du client est le but suprême: ce sont des spécialistes qui sont chargés de traiter et d'affiner les produits de qualité sélectionnés pour les hôtes

Menu du jour + service assiette Carte variée

Spécialités de saison (cuisses de grenouilles, chasse, poisson de mer, etc.)

Sur commande:

Ris de veau - Rognons de veau - Côte de bœuf ainsi que nos desserts maison

Salles pour sociétés, noces et banquets

Marcel Dewarrat, Chef de cuisine Tél. 021/56 70 80

s'associe à tous les plaisirs

UNE RECETTE SUISSE Tourte au kirsch

Un produit renommé de la pâtisserie suisse, très apprécié comme dessert.

Dans les environs de la petite ville de Zoug, il y a des milliers de cerisiers, d'où cette spécialité.

Fond de japonais et fond de biscuit:

voir plus bas.

Crème au beurre: 150 g de beurre, 150 g de sucre glace, 1 jaune d'oauf, 50 g de gelée de groseilles.

Pour mouiller: 4 cuillères à soupe d'eau, 20 g de sucre glace, 1/8 I de kirsch.

Pour saupoudrer: 125 g de noisettes hachées, 100 g de sucre glace.

Fond de japonais: Battre 4 blancs d'œufs en neige ferme, y incorporer petit à petit 120 g de sucre en poudre, 20 g de fécule et 100 g de noisettes hachées. Partager la masse en deux

portions. Les étaler en couches minces dans des tourtières, faire cuire 18 à 20 min. dans un four à 150-170°.

Génoise: Battre 3 jaunes d'oeufs avec 2 à 3 cuillères à soupe d'eau, jusqu'à obtention d'une crème mousseuse, ajouter petit à petit 80 g de sucre en poudre. Battre les 3 blancs d'œufs avec 10 g de sucre en neige ferme, mélanger à la crème. Passer au tamis 50 g de farine, 50 g de fécule, 1 pincée de levure, l'ajouter au reste et mélan¬

ger au fouet. Verser le tout dans un moule à biscuit et faire cuire 20 à 25 min. au four à 175-195°.

Crème au beurre: Battre le beurre, ajouter petit à petit le sucre en poudre, le jaune d'œuf et la gelée de groseilles, mettre dans un endroit frais.

Pour mouiller: Porter à ébullition l'eau avec le sucre, laisser refroidir, ajouter le kirsch.

Assemblage de la tarte: Etendre une couche de crème au beurre sur un des fonds de japonais, poser la génoise dessus, mouiller avec le sirop au kirsch, étendre une nouvelle couche de crème au beurre, puis mettre le deuxième fond de japonais par-des¬

sus. Recouvrir le tout avec la crème au beurre restante, puis garnir le pourtour avec les noisettes et le dessus avec du sucre glace.

snack-bar disco «La Falaise»

- Petite restauration - PIZZAS MAISON - Croque-monsieur Mme Michèle Jaunin -

Le rendez-vous des gens sympas (sans alcool)

Tél. 037/22 85 20 - Neuveville 37 - Fermé le lundi

HOTEL DU LION D'OR Relais routier

1699 ST-MARTIN M. Schrago-Balocchi Jambon à l'os, Charbonnade Salles pour sociétés 2 jeux de quilles autom.

Tél. 021/938785 Fermé le lundi

HOTEL

RESTAURANT GRUYERIEN

MORLON (à deux min. de Bulle) Menu du jour, carte variée

Spécialités:

Tournedos et

Filets mignons aux morilles Jambon de campagne

Café et dessert avec la véritable crème de la Gruyère

: Salles pour sociétés, banquets, . conférences, séminaires 't Chambres tout confort

i Fam.Yerly Tél. 029/2 71 58

Demandez notre menu gastronomique

du dimanche

Hôtel de la Croix Verte

Echarlens

M L~

Restauration soignée

Menu du jour, petite et grande cartes Nos grandes spécialités maison:

CUISSES DE GRENOUILLES FRAICHES de novembre à mai DELICIEUSES TRUITES DE MONTAGNE

Très belle salle pour noces, sociétés et repas de famille Prière de réserver vos tables svp. Grand parking

et Mme Frossard-Riegler Tél. 029/5 15 15

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Index des salles à disposition dans le canton de Fribourg

Exclusivité

«Fribourg-lllustré»

Index des salles publiques à disposition dans le canton de Fribourg pour:

ASSEMBLEES - CONFERENCES CONGRES

MANIFESTATIONS DIVERSES BANQUETS DE SOCIETES

REPAS DE NOCES

Tout cala résumé an cinq siglas ainsi qua le nombre de places.

A = Assemblées et conférences B = Banquets de sociétés C = Congrès

N = Repas de noces S = Séminaire

District de la Gruyère BROC

Hôtel de la Grue 150 places - A - B - N BROC

Hôtel-de-Ville

10 à 700 places - A - B - N - S VUIPPENS

Hôtel-de-Ville

10 à 150 places - A - B - N BOTTERENS

Hôtel du Chamois 10 A 100 places - A - B - N MORLON

Café-Restaurant Gruyérien De 10 à 120 places -A-B-N-S CHARMEY

Hôtel du Sapin

De 10 à 250 places - A- B- C- N- S CERNIAT

Hôtel de la Berra 10 à 110 places - A - B - N GRANDVILLARD Hôtel de la Gare

80 è 300 places - A- B- C- N NEIRIVUE

Hôtel-Restaurant du Lion-d'Or De 10 è 100 places -A-B-N-S SALES (Gruyère)

Hôtel de la Couronne 300 à 400 places - A - B - N VUADENS

Hôtel de la Gare

De 20 è 500 places - A- B- C- N PONT-LA-VILLE

Auberge de l'Enfant de Bon Coeur 120 places - A - B

District de la Glâne ROMONT

Hôtel de la Balle-Croix 70 i 140 places - B - N ROMONT

Hôtel-de-Ville

250 è 400 places - A- B- C- N VILLARSIVIRIAUX

Auberge du Gibloux 130 places - A - B - N SIVIRIEZ

Hôtel de la Gare

Jusqu'à 360 places - A- B- C- N

District de la Sarine VUISTERNENS-EN-OGOZ Café de l'Union

Jusqu'à 500 places - A- B- C- N- S LOSSY

Café-Restaurant «Le Sarrazin»

100 places - A - B - N MARLY

Hôtel de la Croix-Blanche 20 à 150 places - A - B - N BONNEFONTAINE Restaurant Burgerwald

10 à 150 places - A - B - N LE MOURET

Hôtel de la Croix-Blanche 200 places - A - B - N CORPATAUX Restaurant de l'Etoile 20 à 200 places - A - B - N CHENENS

Auberge du Châne 20 à 250 places - A - B - N BELFAUX

Auberge du Mouton De 10 à 160 places - A - B - N NEYRUZ

Hôtel de l'Aigle-Noir

De 20 è 500 places - A- B- C- N POSIEUX

Hôtel de la Croix-Blanche 80 à 100 places - A- B- C- N- S ROSSENS

Hôtel du Barrage

De 10 à 130 places - A - B - N District de la Veveyse

CHATEL-SAINT-DENIS Buffet de la Gara

Jusqu'à 100 places - A - B - N CHATEL-SAINT-DENIS Restaurant-Bar de la Croix-d'Or Jusqu'à 200 places - A - B - N SEMSALES

Hôtel-Restaurant du Sauvage Jusqu'à 150 places - A - B - N LE CRET

Hôtel de la Croix-Fédérale 20 à 300 places - A - B - N PORSEL

Hôtel de la Fleur-de-Lys 150 à 250 places - A - B - N District de la Broyé MURIST

Hôtel de la Molière 10 à 200 places - A - B - N DOMDIDIER

Hôtel du Lion-d'Or 120 places - A - B - N CUGY/FR

Hôtel de l'Ange 150 places - A - B - N CHEYRES

Hôtel de la Grappe

Jusqu'à 120 places - A - B - N District de la Singine

CHEVRILLES - GIFFERS Hôtel de la Croix-Rouge Jusqu'à 250 places - A- B- N- C

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de DUPASQUIER

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* Quatre générations

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De gauche à droite: le petit Nicolas, fils de Roland; Jean Dupasquier, fils de Joseph; Roland Dupasquier, fils de Jean et Joseph Dupasquier, père de Jean.

Monsieur Joseph Dupasquier, figure bien connue dans le monde paysan et de la peinture, est né le 7 août 1893, è La Tour-de-Trême, d'où il est originaire. Il vient donc de fêter allègrement ses quatre-vingt-sept ans, toujours alerte et n'ayant pas perdu sa verve habituelle.

Il a quitté son pays natal à l'âge de 20 ans pour se rendre en France, en Côte d'Or, où il fit un apprentissage de fromager et, après y avoir travaillé pendant plusieurs années, il revint en Suisse où il exerça son métier pour le compte de divers patrons et dans plusieurs laiteries, pour ensuite s'établir à son compte à La Tour-de-Trême.

En 1924, il épousa Marguerite Jâggi, de La Villette, qui lui donna 3 filles et un fils. Malheureusement, il perdit sa tendre épouse déjà en décembre 1958, à la suite de quoi il suivit la famille de son fils Jean qui alla exploiter un domaine dans le Jura. Tous ses enfants sont mariés et, l'année passée, il a eu la joie de marier son premier petit-fils qui, è son tour, en fit l'heureux arrière-grand-père, d'un fils également. Actuellement, il passe la plupart de son temps au domaine familial et è la montagne, dans le Jura, en compagnie de son fils et de son petit-fils. Mais il n'a pas non plus oublié sa Gruyère natale, à laquelle il reste très attaché et où il séjourne régulière¬

ment.

Dès son plus jeune fige, Joseph Dupasquier se dédia au dessin, puis è la peinture, et son talent s'est surtout manifesté en des peintures è l'huile représentant «La Poya» (la montée à l'alpage). Ses différentes œuvres sont disséminées dans toute la Suisse et même à l'étranger. Depuis l'ouverture du nouveau Musée Gruérien è Bulle, l'on peut admirer deux de ses peintures qui font la joie des visiteurs.

Simone Levrat 3

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District du Lac COURTEPIN

Hôtel de la Gare

10 à 200 places - A - B - N COURNILLENS

Restaurant de la Charrue 150 places - A - B - N

Maigrir avec notre

tisane amaigrissante Cure de 21 jours Fr. 19.50, plus port

Chez Blosanté-harboritteria - Sion - Tél. 027/22 21 64

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Malgré un temps frisquet et la neige toute proche sur les vaniis, il y avait foule dans le chef-lieu de la Veveyse pour la traditionnelle Bénichon qui, chaque année, attire autant de Vaudois que de Fribourgeois.

Majorettes <rLes Villeneuvoises», Villeneuve.

Le sourire malgré le froid. Un jeune couple qui promet. Le groupe folklorique de la Veveyse.

Le troupeau des Frères Vial.

La fête débuta à l'heure de l'apéritif par la danse du Conseil communal et par la dégustation des spécialités béni- chonnesques dans les établissements publics où, durant toute la journée dominicale, il fut très difficile de trou¬

ver une place assise.

Le cortège chantait à lui seul le lien fraternel qui unit Châtel-St-Denis - Les Paccots à la Riviera vaudoise. Son thème: «l'armally ô martchi». L'air était frais sans doute, mais la chaleureuse harmonie des couleurs, du folklore, des traditions, de l'ambiance et de l'amitié créée par les cavaliers du Gibloux, la jeunesse châteloise, les musiciens de Vevey, le partage du fromage, la jeu¬

nesse châteloise, les claqueurs de fouets, la fanfare de Châtel-St-Denis, le four au village, la fanfare d'Echarlens, les vanniers, les majoret¬

tes de Villeneuve, le forgeron et son enclume, les braconniers, les cors des alpes, les lanceurs de drapeaux et de

buisson, l'atmosphère du bistrot, la fanfare de Riaz, le groupe folklorique de la Veveyse, le train du chalet et le troupeau des Frères Vial, a fait que ce cortège a séduit, comme le veut l'habitude, une foule toute acquise à ce digne reflet des coutumes et costumes de cette merveilleuse contrée qu'est la Veveyse fribourgeoise.

Tout cela a été magnifiquement orga¬

nisé et orchestré par un comité formé de Serge Bochud, président; William Parroud, vice-président; Qaaton So- gual, caissier; Maria-Roae Pilloud, secrétaire; Marcel Dawarrat, ma¬

tériel; en collaboration avec Michel Pilloud, président de la Société de développement, ainsi que les sociétés locales. La réussite de cette manifes¬

tation est, pour ces personnes dévouées, la plus belle récompense.

(Texte et photos G. Bd)

CHATEL-SAINT- DENIS

6, 7, 8, 13, 14. 15 novembre 1980

Grande fête de la Bière

avec la duo Neuachwander, cham¬

pion d'Europe d'accordéon.

yftôtel de CVt//c MENUS DE CIRCONSTANCE.

Se recommande;

Famille J.-P. Genoud-Pugin.

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un symbole de persévérance

Le chœur mixte «La Persévérance» de la paroisse du Crêt a, dans un sentiment de pieuse allégresse, fêté dimanche 19 octobre 1980, la bénédiction de son nouveau drapeau qui a ainsi remplacé celui qui datait de 1907. Pour marquer dignement cet événement, chanteurs et chanteuses avaient associé toute la paroisse, ainsi que les chorales du décanat et les sociétés locales.

Le chœur mixte *La Persévérance» avec ses quarante membres, ses titulaires de la médaille nBene Merenti», le curé de la paroisse et le doyen du décanat.

Demoiselles d'honneur entourant Mme Irma Frossard et M. Francis Favre, marraine et parrain, ainsi que M. Jean-Pierre Grivet, porte-drapeau.

Une messe solennelle a été célébrée par l'abbé Marcel Ménétrey, chef spirituel de la communauté, et le doyen Paul Ducry, curé d'Attalens qui, dans son sermon de circonstance, a relevé le bel esprit de solidarité qui existe au sein des chorales de son décanat et surtout au chœur mixte «La Persévérance» qui réunit des chanteurs et chanteuses de Grattavache, Les Ecasseys et Le Crêt. Les marraine et parrain de cette nouvelle bannière, oeuvre de Louis Struby. de Romont.

sont Mme Irma Frossard, épouse du fromager du lieu, et M. Francis Favre, le sympathique syndic de la commune du Crêt.

Après un apéritif servi en plein air et agrémenté par les productions de la fanfare paroissiale, tout le monde s'est retrouvé dans une salle magnifique¬

ment décorée de l'Hôtel de la Croix- Fédérale pour un dîner de fête. Au cours d'une partie oratoire présidée par M. Michel Allemann, une bro¬

chette de personnalités s'exprimèrent pour témoigner leur attachement à cette chorale dirigée avec une rare compétence par M. Adrien Grand, instituteur, qui fut largement ova¬

tionné par les membres. Ce sont MM.

Raphaël Qrandjean, président; l'abbé

Le nouveau drapeau.

Ménétrey, curé; le doyen Paul Du¬

cry; Bernard Rohrbasser, préfet de la Veveyse; Ernest Qrandjean, député;

Willy Audergon, syndic des Ecas¬

seys; Albert Grandjean, président de l'intersociétés; Louis Struby, auteur de la maquette du nouveau drapeau; et Gérard Vial, président de paroisse.

Tous ces orateurs ont complimenté et félicité cet ensemble vocal bientôt octogénaire qui a l'insigne honneur d'enrichir la vie culturelle de toute une communauté.

(Texte et photos G. Bd)

(8)

CANTON SUISSE (V)

irLa valeur morale d'un peuple se mesure à la ferveur du culte qu'il a pour son passé...

Nous sommes riches surtout de ce que nous avons hérité».

(Virgile Rossel)

».««■--••• •.,

La promenade à cheval, un loisir très prisé par les touristes dans les Franches- Montagnes.

Un hôpital dans la campagne jurassienne.

Promotion de l'économie

Dans la brochure réalisée par Robert Domeniconi et publiée en 1978 par l'Assemblée constituante de la Répu¬

blique et canton du Jura, nous lisons que la structure de l'économie juras¬

sienne a été caractérisée jusqu'à présent par un important secteur in¬

dustriel, doté d'une main-d'œuvre qualifiée et dynamique. C'est le 1er janvier 1979 que la base légale insti¬

tuant une politique économique struc¬

turelle et régionale est entrée en vi¬

gueur. Cette loi jurassienne prévoit la possibilité de cautionner des crédits, de prendre en charge tout ou partie des intérêts d'un emprunt, d'octroyer des prêts dans des conditions spéci¬

fiques, d'encourager la reconversion de la main-d'œuvre, de mener une poli¬

tique active dans le domaine foncier. Il est intéressant de préciser que la poli¬

tique de développement économique est arrêtée tous les quatre à six ans, sur la base du programme visant à l'encouragement et au développement de l'économie.

Pour Bernard Kunz, du Département de l'économie publique, les instruments de la politique d'encouragement à l'économie jurassienne sont l'aide fi¬

nancière, l'aide dans le domaine fon¬

cier, les avantages fiscaux, l'aide dans le domaine de la main-d'œuvre, les conseils et services d'intermédiaire, les critères d'appréciation pour l'octroi des aides.

Environnement socio-économique Les services techniques, commerciaux et financiers ne manquent pas dans le Jura. Le réseau bancaire se révèle particulièrement efficace, alors que les grandes banques suisses comptent plusieurs établissements sur le terri¬

toire de la République. D'autre part, le canton du Jura a, en place, une infra¬

structure scolaire et hospitalière qui répond à ses besoins.

Cette région aux vastes espaces verts qu'est le canton du Jura, se prête admirablement è la détente, aux loisirs, au sport et aux activités culturelles.

Etant donné qu'elle dispose également de terrains suffisants pour l'habitat, votre implantation dans le vingt-troi¬

sième canton suisse ne vous posera aucun problème. Et cela est valable aussi sur le plan industriel.

(Texte et photos G. Bd) (A suivre)

REPUBLIQUE ET CANTON DU JURA

COMMUNES

District de Coure havon

DELEMONT Courgenay

Courtedoux

Bassecourt Courtemaîche

Boécourt Damphreux

Bourrignon Damvant

Châtillon Fahy

Corban Fontenais

Courchapoix Fregiécourt Courfaivre Grandfontaine

Courrendlin Lugnez

Courroux Miécourt

Courtételle Montenol

Delémont Montignez

Develier Montmelon

Ederswiler Ocourt

Glovelier Pleujouse

Mervelier Porrentruy

Mettemberg Réclère

Montsevelier Roche-d'Or

Movelier Rocourt

Pleigne St-Ursanne

Rebeuvelier Seleute

Rossemaison Vendlincourt Saulcy

Soulce District des

Soyhières FRANCHES-MONTAGNES

Undervelier Le Bémont

Vermes Les Bois

Vieques Les Breuleux

La Chaux-des-Breuleux District de Les Enfers

PORRENTRUY Epauvillers Epiquerez

Aile Les Genevez

Asuel Goumois

Beurnevésin Lajoux

Boncourt Montfaucon

Bonfol Montfavergier

Bressaucourt Muriaux

Buix Le Noirmont

Bure Le Peuchapatte

Charmoille Les Pommerats

Chevenez Saignelégier

Coeuve St-Brais

Cornol Soubey

(9)

CHEVALIERS

Un Ordre chevaleresque trouve-t-il encore sa place dans notre société moderne? Question que l'on est tenté de se poser après avoir as¬

sisté à la manifestation de l'Ordre de Saint-Michel, à Gruyères. C'était le 27 septembre dernier, dans la salle des Chevaliers du Château. En grande pompe et selon le rite tradi¬

tionnel, on introduisait «Dames et Messieurs Chevaliers» dont Ma¬

dame et Monsieur Ferrucio Garope- sani, peintre fribourgeois.

Pour en savoir davantage sur cet Ordre, nous avons rencontré M.

André Plumey, homme d'affaires bâlois, Grand Maître de l'Ordre de¬

puis 1976.

F.l. M. Plumey, pourriez-vous nous donner un bref historique de l'Ordre de Saint-Michel?

L'Ordre actuel est une réminiscence de l'Ordre de Saint-Michel, fondé par le roi de France Louis XI en 1469, dont l'objectif était de réunir une élite au service de l'idéal mo¬

narchique. Sous les rois suivants, l'Ordre de Saint-Michel ne fut plus qu'une décoration, prestigieuse, destinée aux hommes d'Etats, sa¬

vants, militaires (dont un certain nombre de nos compatriotes au service de la France).

L'Ordre de Saint-Michel fut défini¬

tivement supprimé, comme Ordre royal, en 1834.

Entre-temps, il avait émigré en Es¬

pagne, lorsque le petit-fils de Louis XIV, le duc d'Anjou, devint roi d'Espagne en 1700 sous le nom de Charles V. Jusqu'à Alphonse XIII, les rois d'Espagne tinrent à mainte¬

nir la tradition de l'Ordre (mais comme décoration uniquement).

Lors de l'abdication d'Alphonse XIII, en 1934, l'Ordre reprit le che¬

min de la France. IL N'ETAIT PLUS ORDRE ROYAL, LA FRANCE VI¬

VANT DEPUIS LONGTEMPS EN REPUBLIQUE, et son activité fut réduite jusque dans les années 1960 à 1970, où il reprit vie, en particulier avec mon prédécesseur, le prince de Cédron.

F.l. Comment devient-on Grand Maître d'un Ordre chevaleres¬

que?

- Entré dans l'Ordre en 1970, je n'eus pas longtemps à attendre pour prendre des responsabilités.

En 1972, un bailliage suisse était créé par le prince de Cédron, on m'en confia la direction.

En 1975, je devins Régent de l'Ordre et, Cédron ayant démis¬

sionné en 1976 pour raisons de santé, le convent de l'Ordre procéda à l'élection de son succes¬

seur, comme le veut la tradition. Je fus élu à l'unanimité, sans doute parce que j'étais celui qui connais¬

sait le mieux les rouages de l'Ordre.

Auparavant, le siège de l'Ordre

DES TEMPS MODERNES

avait été transféré de Paris à Bâle, Cédron estimant que la Suisse constituait une terre d'élection pour la chevalerie moderne, bien mieux que la France, dont les luttes politiques avaient fini par faire de notre Milice le carrefour de toutes les opinions (de l'extrême-droite à la gauche), ces dernières prenant le pas sur la chevalerie elle-même.

F.l. Quelles ont été vos réalisa¬

tions au sein de l'Ordre?

Depuis 1977, j'ai complètement réorganisé l'Ordre, en le dotant d'un conseil en harmonie avec les traditions démocratiques de la Suisse. Notre pays est divisé en 3 commanderies:

GRUYERES (cantons de Fribourg, Neuchâtel et Jura)

LE RHONE (cantons de Vaud, Va¬

lais et Genève)

L'ALEMANIE (toute la Suisse alémanique).

Les structures françaises de l'Ordre vont être reconstituées au fur et à mesure de nos possibilités.

F.l. Quels sont les objectifs de l'Ordre de Saint-Michel par rap¬

port à un club par exemple?

- Notre chevalerie est une chevale¬

rie de pensée et d'action, adaptée aux nécessités de notre temps. Elle peut se résumer par trois objectifs bien précis:

AMITIE FRATERNELLE, CHARITE, CULTURE.

Ces objectifs sont poursuivis avec une grande assiduité. L'Ordre est vraiment devenu ce que j'ai voulu qu'il soit, une grande famille dont les membres appartiennent aux ni¬

veaux sociaux et professionnels les plus divers.

La charité et l'apanage des Dames- chevaliers, dont l'activité est très importante.

Quant à l'approfondissement intel¬

lectuel des membres de l'Ordre, il est recherché dans toutes sortes de réunions, conférences, cercles d'études et voyages culturels.

F.l. Votre Ordre est-il réservé à une élite?

- Non, il est ouvert à tous les hommes et femmes de bonne vo¬

lonté, sincèrement désireux de perpétuer les grandes traditions chevaleresques, dans un esprit mo¬

derne, sans exclusive aucune, et avec la plus totale tolérance.

F.l. D'aucuns prétendent que l'Ordre de Saint-Michel s'ap¬

parente à l'Ordre franc-maçon, qu'en pensez-vous?

- Afin de remettre chaque chose à sa place, rappelons qu'il n'a aucun caractère confessionnel, ni poli¬

tique. Il n'a pas le moindre lien avec la franc-maçonnerie et encore moins d'activités secrètes.

Entrer dans un Ordre chevaleresque est une question de choix. Les uns ont leur club de quilles, de fumeurs de pipe, de cartes... Les autres font partie de Rotary, de Kiwanis, de la Chaîne des rôtisseurs, des Pots au feu... bref, chacun évolue là où il se sent à l'aise et peut s'exprimer.

Dans tout cet éventail, l'Ordre de Saint-Michel peut paraître d'un au¬

tre temps. A entendre les partici¬

pants, on constate qu'il est un lien où de nombreuses personnes peu¬

vent se réaliser, nouer des amitiés et se faire connaître. Ce qui permet aussi d'établir des relations d'affaires et ne doit pas être d'un moindre intérêt. On comprend alors leur réponse: oui, la chevalerie a toute sa place dans notre monde moderne.

Pages réalisées par Monique Pichonnaz

(10)

ECHARPE ET BONNET Fournitures

Echarpe

2 pelotes col Ponceau No 43.

2 pelotes col. Bleuet No 131.

1 pelote col. Giroselle No 85.

1 pelote col. Russe No 47.

Bonnet

2 pelotes col. Ponceau No 43.

Aiguilles No 3 1 /2.

Point employé

- Côtes 1.1: • 1 m. endroit, 1 m. en- REALISATION ECHARPE

Avec le col. Ponceau, monter 75 m. et travailler en côtes 1.1 rayées ( 1 rayure MOUFLES ET ECHARPE

Fournitures Moufles

1 pelote col. Bleu outremer No 10.

1 pelote col. Ponceau No 43.

Echarpe:

3 pelotes col. Ponceau No 43.

1 pelote col. Bleu outremer No 10.

1 pelote col. Cobalt No 148.

2 boutons rouges.

Aiguilles No 4 et No 4 1/2 - Un jeu de 5 aig. No 4.

Points employés

- Côtes 1.1 : • 1 m. endroit, 1 m. en- verse.

Monter 140 m. et tricoter en côtes 1.1.

A 25 cm de hauteur totale, travailler comme suit: 1 m. lisière, • 1 surjet double (glisser 1 m., tricoter 2 m.

ensemble, rabattre la m. glissée sur la m. obtenue), tricoter 3 m. côtes et reprendre à *.

Tricoter 4 rgs droits en côtes 1.1 puis 1 rg en prenant toutes les mailles 2 par 2. Glisser le fil dans les mailles restan¬

tes et serrer le fond du bonnet.

Fermer le bonnet par une fine couture inversée pour le revers.

- Jersey endroit: <

envers*.

1 rg endroit, 1 rg REALISATION

(taille 10 ans).

MOUFLES Avec les aig. No 4 et le col. outremer, monter 26 m. et tricoter 5 cm de côtes 1.1, puis continuer en jersey en faisant 1 augmentation au 1er rg. On a 27 m.

Au 7e rg de jersey endroit, pour former le pouce, travailler comme suit: 13 m., 1 augmentation, 1 m., 1 augmentation, 13 m. Répéter ces augmentations les unes au dessus des autres, tous les 4 rgs: 3 fois. On a alors 7 m. pour le pouce.

Laisser en attente, pour la main les 13 m. de chaque extrémité, et avec les

5 aig. No 4, fermer en rond les mailles du pouce en leur ajoutant 2 m. On a alors 9 m. Tricoter droit 13 rgs, au 14e, tricoter les mailles 2 par 2 puis passer le fil dans les mailles restantes et serrer pour fermer le pouce. Aves les 2 aig.

No 4, reprendre les 13 m. en attente à une extrémité, relever 2 m. dans les 2 m. montées pour le pouce, reprendre les 13 autres mailles. On a 28 m. Au 31e rg de jersey endroit (depuis les côtes) travailler comme suit: e 3 m. endroit, 2 m. ensemble e. Tricoter 4 rgs droits, puis tricoter 1 rg comme suit: »2 m.

endroit, 2 m. ensemble e. Au rg suivant tricoter comme suit: • 1 m. endroit, 2 m. ensemble •. Puis au rg suivant tricoter les mailles 2 par 2, glisser le fil dans les mailles restantes et serrer.

Fermer la moufle par une couture.

REALISATION - ECHARPE Avec les aig. No 4 1/2 et le col.

Ponceau, monter 39 m. et travailler

comme suit en côtes 1.1: 28 cm col.

Ponceau, • 11,5 cm col. outremer, 6 cm col. Ponceau, 11,5 cm col. Cobalt, 6 cm col. Ponceau, reprendre 4 e:

2 autres fois, mais terminer la 2e fois par 28 cm col. Ponceau. Rabattre.

Pour une poche, à 6,5 cm du bas de l'écharpe, avec le col. outremer, rele¬

ver les 27 m. centrales et travailler en côtes 1.1. A 9 cm de hauteur de poche, exécuter une boutonnière de 3 m. au centre du travail.

Rabattre è 12 cm de hauteur de poche.

Faire le même travail è l'autre extré¬

mité en col. Cobalt.

Pour les franges, couper en col. Pon¬

ceau des brins de 30 cm, les nouer par 2 è chaque extrémité de l'écharpe puis les égaliser.

Coudre les boutons.

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(12)

COMPTOIR

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PAYER m

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DES RETROUVAILLES

entre Fribourgeois, Jurassiens et Vaudois

Qui dit Payerne pense à Berthe, la royale filandière sur sa blanche haquenée, à sa fille, l'impératrice Adélaïde, qui combla de ses générosités l'Abbatiale, au général Jomini, devin de Napoléon et conseiller des tsars. On y ajoute un tabac qui, suivant un rimailleur malveillant «fait grimacer tous les Vaudois», le saucisson et autres cochonnailles, qui assurent la gloire des Anglais payernois. La Broyé vaudoise, en aval et en amont de Payerne, est une contrée verdoyante et fertile. Les gens y sont sympas et l'accueil très chaleureux. C'est pourquoi, chaque année, les visiteurs sont de plus en plus nombreux à se retrouver durant une dizaine de jours au Comptoir de Payerne, véritable reflet de l'économie de la cité de la reine Berthe.

Vue de Payerne.

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au Comptoir de Payerne

1980 Vendredi 14 novembre:

18 h., ouverture du Comptoir de Payerne

20 h. 30, concert par LA L YRE de Corcelles/Payerne.

Samedi 15 novembre:

Journée officielle et journée JURASSIENNE

14 h., envol du ballon Ajoie depuis le stade de Payerne

15 h., cortège en ville avec les Majorettes de Payerne Le Corps de musique L'Avenir de Payerne

La fanfare de Boncourt Le groupe champêtre de Aile L'Union démocratique de Porren- truy

Après le cortège, productions sur la scène

20 h. 30, concert du Corps de musique L'Avenir de Payerne.

Dimanche 16 novembre:

14 h. 30, les accordéonistes LES GAIS PINSONS de Payerne 20 h. 30, la fanfare LA CAECILIA de St-Aubin (FR).

Lundi 17 novembre:

20 h. 30, la fanfare LA LYRE PAROISSIALE de Surpierre.

Mardi 18 novembre:

19 h., démonstration du Club de lutte de Domdidier

20 h. 30, concert de la fanfare LA BROYARDE de Granges-Mar- nand.

Mercredi 19 novembre:

20 h. 30, concert de L'UNION INSTRUMENTALE de Payerne.

Jeudi 20 novembre:

19 h., démonstration des gymnas¬

tes de Domdidier

20 h. 30, concert du chœur mixte LA CHANSON DES HAMEAUX.

Vendredi 21 novembre:

20 h. 30, concert de la fanfare LA CONCORDE de Montagny-Cous- set.

Samedi 22 novembre:

15 h., démonstration du Club aïkido de Payerne

16 h. 30, démonstration des jeu¬

nes gymnastes de Payerne 20 h. 30, concert de LA L YRE de Grandcour.

Dimanche 23 novembre:

14 h. 30, concert des accordéon¬

istes LA COCCINELLE de Payerne 19 h. 15, concert du Chœur d'hommes de Pailly

20 h. 15, concert de la fanfare L ECHO DES ROCHES de ChSton- naye

21 h., fermeture du Comptoir de Payerne 1980.

(13)

Radio

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COMPTOIR 1>E PAYERNE IM)

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Message de

M. Achille Meyer, syndic de Payerne

Une porte ouverte,

ouverte è la fois «à» et «sur». Ouverte aux exposante, ces commerçants, ar¬

tisans, industriels qui voudront pré¬

senter leurs produits d'une manière attrayante, donnant le reflet de leur dynamisme et de celui de notre éco¬

nomie locale et régionale.

Porte ouverte largement aux visiteurs, venant de Payerne, des communes voisines, vaudoises et fribourgeoises, de plus loin encore. Ces visiteurs, amis fidèles, qui aiment venir et revenir à notre Comptoir, se retremper dans une ambiance de fête, de bonne humeur, d'amitié; ambiance des pintes, joie des retrouvailles, mais aussi attrait des stands. On a le temps de s'arrêter, de regarder, de toucher, de se renseigner.

L'exposant, lui, a le temps de répon¬

dre, de bavarder, d'être là. Présence et échange; bien souvent, achat ou com¬

mande.

Le Comptoir de Payerne est un peu comme une grande vitrine, où l'on expose ce que l'on veut offrir. Mais il est mieux qu'une vitrine, car celle-ci montre et sépare, par une grande plaque de verrre, froide. Au Comptoir, au contraire, il y a chaleur et contacts humains, directs.

Traditionnellement, le Comptoir de Payerne s'ouvre aussi sur l'extérieur.

Faire la fête seul, entre soi, ce n'est pas

Halle des fêtes. Photos G. Bd

vraiment la fêtel II faut associer d'autres personnes à notre joie, è notre désir d'apprendre à connaître, à notre besoin de rencontres. Cette année, l'ouverture se fait sur le JURA, elle est offerte aux JURASSIENS. Le Jura, canton jeune mais pays ancien, que l'on ne connaît pas encore très bien chez nous, il faut l'avouer. Un peu en dehors des grandes voies de commu¬

nication, il faut faire un détour pour s'y rendre. Et pourtant, quelles richesses à découvrir; dans le pays, dans la nature, dans les villes et villages de l'Ajoie, des Franches-Montagnes, du district de Delémont, chez leurs habitants.

Bienvenue au Jura et aux JurassiensI Que de ce rapprochement dû au Comptoir de Payerne 1980 jaillissent une collaboration et une compréhen¬

sion mutuelles.

Payernois, Vaudois, Jurassiens, Fri- bourgeois, gens d'ici et de partout:

bientôt le Comptoir de Payerne 1980 vous sera ouvert. Venez-y nombreux et souvent. Vous y trouverez votre intérêt, ce qui n'est pas è négliger, et votre plaisir, ce qui est bien agréable;

vous prouverez â nos exposants et à nos amis jurassiens que leur travail et leur présence ne sont pas vains.

Vive le Comptoir de Payerne 19801 Que son succès soit è l'image de ceux qui l'ont précédél

A. MEYER, syndic de Payerne

Le Jura...

invité

d'honneur

Terre d'accueil aux décors charmantsl Le Jura, pays d'une noble tranquillité dont les pentes calmes contrastent avec les gorges sauvages qui taillent dans le roc récalcitrant, de profondes coupures.

On ne peut découvrir le Jura d'un coup d'oeil hâtif. De ce balcon de la Suisse, vous pourrez admirer le grandiose spectacle des Alpes ou parcourir les immenses pâturages où les longs murs de pierre sèche accentuent l'infini des perspectives. Vous serez gagnés par un certain sens de la grandeur, parfois austère, parfois éclatante de joie. Dans ce pays où bat le coeur de l'horlogerie, il faut prendre son temps, marcher en solitaire, saisir ses parfums ou se lais¬

ser sensibiliser par ces merveilleux décors où combes et sapins, cluses et forêts, fermes et rochers enrichissent un thème dont l'unité foncière sait se soumettre à mille variations. Pas be¬

soin d'efforts surhumains pour suivre ses sentiers sur lesquels on sent naître en soit les forces vives et durables qu'apportent à qui le veut bien, l'air pur des sommets et la chaude richesse d'une nature merveilleuse qui trouvera en tout homme sensible, une victime heureuse.

Le Jura...

c'est aussi sa gastronomie. Le Juras¬

sien a compris qu'elle est un art de compagnie qui ne saurait se pratiquer égoïstement, seul en face d'une table, si somptueuse soit-elle. Le plaisir de partager, celui de recevoir, fait partie de sa philosophie, mais aussi de celle de notre coin de pays.

Mais le Comptoir de Payerne n'est pas seulement un relais pour les gourmets.

C'est également un grand centre d'achats. Comme d'habitude, les exposants ont rivalisé d'ingéniosité pour vous présenter des milliers d'articles différents sous un même toit. Alors, venez nombreux nous ren¬

dre visite pour essayer, comparer, choisir.

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GRANGENEUVE

VOLÉE 1980

Ouverte en musique par le chœur de l'Intyamon, la soirée de clôture des cours de Grangeneuve réunissait plus de 600 personnes. De nombreuses personnalités, parents et amis avaient tenu è marquer de leur présence, cette fête.

«Il y a cent ans, la Confédération mettait en consultation sa première loi fédérale sur l'agriculture. Dans sa ré¬

ponse, un canton déclarait: d'accord de créer des écoles d'agriculture, à condition que les cours aient lieu le soir ou le dimanche après-midi», relève M.

N. Philiponna, président de la commis¬

sion cantonale de formation. Depuis, l'eau a coulé sous les ponts et la majorité des agriculteurs sont acquis à la formation professionnelle.

Cette évolution, place les responsa¬

bles des écoles devant de grandes questions: comment répondre à l'at¬

tente des jeunes? Comment les prépa¬

rer au métier de paysan, alors qu'il est difficile de savoir que sera l'agriculture de demain?

A Grangeneuve, on ne se complaît pas dans les théories mais se base sur la réalité et met tout en œuvre pour que l'agriculteur puisse prendre la place qui lui revient en sachant faire fructifier son exploitation et assurer son avenir.

Depuis dix ans, on construit des bâti¬

ments plus rationnels, mieux adaptés aux besoins actuels et réorganise les programmes. Par étapes bien réflé¬

chies, on arrive aujourd'hui à offrir un enseignement solide, car ici on a com¬

pris où se trouve l'un des principaux atouts de la paysannerie: une solide formation de base alliée à une maturité d'esprit et une longue expérience.

Côté formation, il s'agit d'acquérir des bases générales et de développer des qualités humaines. Ceci vise davan¬

tage â ouvrir des horizons que de donner des recettes directement ap¬

plicables. Si les anciens ont la sagesse, les jeunes qui suivent l'école, en parti¬

culier ceux qui viennent d'obtenir un certificat ou un diplôme, ont appris à former leur raisonnement, à poser cor¬

rectement un problème, à soupeser les

solutions pour choisir en connaissance de cause. Tout cela, allié aux travaux pratiques et à l'apprentissage d'une gestion correcte, donnent à ces nou¬

veaux diplômés, la capacité d'agir en véritable chef d'entreprise.

Grangeneuve, c'est aussi la formation permanente, tant féminine que mascu¬

line.

Côté féminin, un important travail est accompli chaque année. En 1980, 19 femmes ont terminé l'apprentissa¬

ge ménager agricole, 21 ont suivi l'école ménagère, 8 le cours ouvert et 7 ont passé l'examen professionnel de Pages réalisées par Monique Pichonnaz

paysannes. Sans compter que plu¬

sieurs jeunes filles apprennent paysan.

Chez les messieurs on a délivré:

42 certificats de fin d'apprentissage, 67 certificats de capacité profession¬

nelle, 17 diplômes de chef d'entreprise et 12 maîtrises agricoles.

L'avenir plein de promesses, toutes et tous s'en vont utiliser leurs connais¬

sances sur le terrain. Comme le relève M. Pl. Robadey, directeur, ils n'oublie¬

ront pas cette vérité: «mieux vaut compter sur son savoir que sur les subventions».

Compter davantage

sur son savoir

que sur les

(16)

DE FRIBOURG

Cent bougies...

mais toujours jeune

Confectionner un gâteau de taille à contenir cent bougies et à régaler des centaines d'invités eut été quelque peu compliquél Non, à la Banque Populaire on a les pieds sur terre et l'on a su rester dans la réalité pour fêter un siècle d'existence.

C'était en septembre dernier, à l'aula de l'Université, où de nombreuses per¬

sonnalités du monde politique et éco¬

nomique se trouvaient réunies pour l'événement.

Durant la partie officielle, plusieurs orateurs rappellent l'avènement de cette banque dans le canton, son rôle et son importance. Quant à M. E.

Brugger, ancien Conseiller fédéral, il tint l'auditoire en haleine par son exposé sur un thème très actuel:

«L'industrie et les banques suisses face aux nouvelles données de l'économie mondiale». En intermède, le Chœur des XVI» donna de brillantes prestations. L'apéritif fut agrémenté par les «Petits Chanteurs d'Ursy», cette deuxième partie permis de fra¬

terniser dans une ambiance sympa¬

thique.

Mais la Banque Populaire ce n'est pas seulement un centenaire, elle a joué un rôle important dans le développement de la région. Dans son allocution, M.

Nussbaumer situe l'avènement des banques à Fribourg.

«Il y eut, d'abord, un commerce d'argent mal vu par l'Eglise, puis toléré et admis. L'on se rendit enfin compte de l'importance de ce commerce pour

le développement des échanges éco¬

nomiques et de la prospérité générale.

Au début du siècle passé naquirent les caisses d'épargne, puis les banques privées et publiques, pour aboutir à la solide organisation bancaire que nous connaissons. Pour aujourd'hui, con¬

tentons-nous de retenir que la doyenne des banques du canton, la Caisse d'Epargne de la Ville de Fri¬

bourg, commença son activité il y a 150 ans, le 1er janvier 1829, dans la ligne de progrès tracée par le Père Girard et que la Banque Populaire Suisse est la première des grandes banques suisses à s'être installée chez nous, en 1880, il y a cent ans».

Le siège de Fribourg est l'un des plus anciens de Suisse. Fondé à un tournant de l'économie fribourgeoise et c'est

précisément grâce à lui que l'industrie a pu prendre pied dans le canton. Par ses changements successifs de lo¬

caux, la BPS de Fribourg est toujours demeurée au cœur des affaires. Au¬

jourd'hui plus que jamais, elle poursuit sa mission au service de la clientèle dans tous les domaines, en ayant à disposition.les moyens les plus moder¬

nes de traitement et des personnes hautement qualifiées.

On ose donc affirmer que cette cente¬

naire se porte bien et n'a rien perdu de sa jeunesse. Tournée vers l'avenir, elle saura grâce à son dynamisme suivre l'évolution et s'adapter aux événe¬

ments.

(M. Pz)

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Noces d'émeraude à St-Prex

C'est dans la joie familiale que Francis Philipona et son épouse Marie, née Philipona, ont fêté leurs noces d'émeraude. Un anniversaire que chaque couple se doit de marquer, car une telle étape représente déjà une magnifique victoire sur les embûches de la vie. Les jubilaires ont été complimentés par leurs enfants et petits-enfants lors d'un repas qui a réuni toute la famille.

A ces fidèles abonnés, Fribourg-lllustré est heureux d'apporter ses félicitations et ses vœux pour de multiples années de bonheur à deux.

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Communication aux Cercles fribourgeois du Valais

Désireux d'améliorer les relations et les contacts avec les Cercles fribourgeois du Valais, la rédaction de «Fribourg-lllustré» pourra désormais compter sur la collaboration de Mme Michèle Gillioz, de Sion, pour lui fournir des reflets des assemblées et manifestations des quatre sections de l'Association Joseph Bovet qui sont l'Amicale des Fribourgeois de Monthey, l'Amicale des Fribourgeois de Sion, le Cercle fribourgeois de Martigny et l'Amicale des Fribourgeois de Sierre.

Nous invitons donc les présidents de ces sociétés de réserver bon accueil à notre correspondante. Il suffit d'écrire ou de lancer un coup de fil à:

Michèle Gillioz

Rue Chanoine Berchtold 43 1950 SION

Tél. 027/22 83 07 - 22 46 44

I« huitième I« nvi(i«m«

Une rubrique «hors les murs* de Gérard Bourquenoud

SOCIETES AFFILIEES A

L'ASSOCIATION JOSEPH BOVET selon ORDRE D'ADMISSION

Sociétés déclarées CERCLES «FONDATEURS»

par l'assemblée du 1er février 1959:

En compagnie des délégués de Sion et Sierre, nous reconnaissons au premier plan, à droite sur notre photo, Mme Michèle Gillioz, notre correspondante pour le Valais.

Admis à l'AJB en

1957 Cercle fribourgeois de Bâle Cercle fribourgeois de Genève Freiburger-Verein de Genève Cercle fribourgeois de Lausanne

Société des Amis fribourgeois de Montreux Cercle fribourgeois de Nyon

Club fribourgeois de Renens (Cercle fribourgeois dès 1961) 1959 Société fribourgeoise de Berne

Amicale fribourgeoise «Moléson» La Chaux-de-Fonds Cercle fribourgeois «La Fribourgia» Le Locle

Cercle fribourgeois de Martigny Amicale des fribourgeois de Morges

Amicale fribourgeoise des Avants s/Montreux 1965 Société des Fribourgeois du Val-de-Travers, Ste-Croix 1967 Dütschfryburger-Verein Basel

Société fribourgeoise de la Ville de Bienne Société fribourgeoise de Colombier Amicale des Fribourgeois de Monthey

Amicale fribourgeoise «Echo des Monts» Val-de-Ruz 1968 Union fribourgeoise de Vevey

Amicale des Fribourgeois d'Yverdon 1969 Cercle fribourgeois de la Côte neuchâteloise 1970 Choeur mixte fribourgeois «La Marjolaine» Genève

Freiburger-Verein Luzern

1972 Amicale fribourgeoise de la Broyé, Moudon

Amicale patoisante fribourgeoise «Bal Ethèla» Onex-Genève Cercle fribourgeois de Lancy «Le Vieux Chalet»

Chœur mixte «Le Moléson» Onex-Genève Société des Patoisants «Le Botyè a Tobi» Vevey 1973 Amicale des Fribourgeois de Sion

Cercle fribourgeois de la Vallée de Tavannes 1974 Amicale des Fribourgeois d'Ajoie

Amicale des Fribourgeois de Delémont Cercle fribourgeois «La Berra» Le Landeron Amicale des Fribourgeois de Prilly 1976 Amicale des Fribourgeois de Sierre

Sociétés fondées le 15.XII.1948 23.1.1920 18.1V. 1941

16.11.1901 22.111.1925 15.IX.1945 23.IX.1935 12.1.1920 14.X.1958 20.XI.1946 31.1.1959 21.111.1954 29.VII.1945 15.VI.1964 31.111.1960 1941 2.III. 1918 VI. 1967 25.XI.1966 1917 11.XI. 1967 7.VI.1968 30.V.1955 26.V.1961 17.VI.1971 21.11.1970 2.XII. 1933 4.XI.1968 2.XII. 1962 9.X.1970 30.VI.1971 2. 11.1974 19.V.1973 19.VI.1973 2.11.1972

district oiiinyk

M. et Mme Henrioud, parrain et marraine du drapeau des Fribourgeois de Vevey, entourés par M. Audergon, président d'honneur, et l'abbé Bussard.

Des Dzodzets du Val-de-Ruz. Un jeune couple qui semble heureux.

Le sourire d'une Fribourgeoise de Lau sanne.

A Lausanne, l'amitié n'est pas un vain mot.

Des compatriotes de Lausanne.

Qu'il fait bon vivre, semble dire ces trois Fribourgeois émigrés.

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Rencontre des éleveurs

au Marché-concours de taureaux de Bulle

Le 81e Marché-concours de taureaux de Bulle s'est déroulé par une température automnale agréable, qui a ainsi favorisé cette rencontre des éleveurs dans le chef-lieu de la Gruyère. Cette exposition a été visitée par des milliers de Fribourgeois et de nombreux connaisseurs de Suisse et de l'étranger. Il y a bientôt un siècle que l'élevage de notre canton fait parler de lui, raison pour laquelle le Marché-concours de taureaux attire chaque année la foule des gens de la campagne et même de la ville.

Une vue du Marché-concours de Bulle 1980.

Au mois de septembre dernier, il y avait à Bulle 113 taureaux de race noire, 122 sujets de race rouge Sim- mental et 165 taureaux de race Hol¬

stein. Bien que tout ne soit pas parfait dans le domaine de l'élevage, ils étaient tous aussi beaux les uns que les autres. Il est évident que des progrès sont encore à réaliser, car la sélection est comme une fuite en avant. Surtout lorsque l'éleveur poursuit un objectif bien précis: amélioration de la produc¬

tion laitière sans que la qualité de la viande soit négligée.

Tant que les éleveurs s'encourageront et chercheront à améliorer la qualité de leur bétail, le Marché-concours de Bulle tiendra ses promesses. Cette année, tous les jeunes taureaux qui étaient è vendre ont trouvé acquéreur, alors que la Coopérative pour l'écou¬

lement du bétail de boucherie a acheté soixante-huit sujets destinés à la con¬

sommation.

Des retrouvailles sympathiques Le Marché-concours de Bulle est à chaque fois une rencontre très sympa¬

thique pour les éleveurs de notre can¬

ton. Des retrouvailles qui réchauffent le cœur lorsque les conversations vont bon train entre gens de la campagne et gens de la ville, car ceux-ci s'inté¬

ressent également à la production ani¬

male et tout particulièrement è la qualité bouchère des animaux.

Comme le veut la tradition, une soirée a réuni tous les éleveurs dans une cantine où l'atmosphère était aussi accueillante que chaleureuse. Après que M. Jean Savary, président du Marché, eut félicité les éleveurs pour les efforts accomplis dans la recherche de l'amélioration de la qualité du bétail, M. Gerber, gérant, procéda à la re¬

mise des récompenses sous les ap¬

plaudissements des gens de la terre.

M. Joseph Cottet, conseiller d'Etat, chef de la Direction de l'agriculture, apporta le message et les compli¬

ments du Gouvernement fribourgeois.

Et la fête s'est prolongée jusqu'au petit matin au son d'un orchestre singinois.

(Texte et photos G. Bd)

J'espère que mon propriétaire ne m'oublie pasI

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