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Huitième Année. — N° 45.

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Les Consulats suisses à l'étranger reçoivent le journal. pa

Huitième Année. — N° 45.

P r i x d u n u m é r o 1 0 c e n t i m e s .

Dimanche 3 Juin 1894.

B u r e a u x : R u e d e l a S e r r e , 2 7 .

ABONNEMENTS

Un an: Six mois:

Suisse . . . . Fr. 6»— Fr. 3»—

Union poslale » 12»— » 6»—

On s'abonne a tous les bureaux de poste. Chanx-de-Fonds.

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Provenant, de la Suisse 20 et. Ia ligne

» ' de l'étranger 25 » » Minimum d'une annonce 50 cent.

Les annonces se paient d'avance.

Oi-Ktme ili» l a Société i n t e r c a n t o n a l c dcw Indue* r i e Uu J u r a , €le« Cliamltree d e c o m m e r c e , de» B u r e a u x «le c o n t r ô l e

e t «les S y n d i c a l ! » j>r<»fe««ioiiaielH.

Contradictions socialistes On lit dans le Nouvelliste vaudois : Au fond, môme p o u r les socialistes, le m o u v e m e n t actuel, est tout factice, et s'ils espèrent réunir u n e minorité im- posante, leur ambition, p o u r le m o m e n t du moins, ne va p a s au-delà. L e u r ini- tiative a moins p o u r b u t de l'emporter dans u n e lutte où ils se sentent buttus d'avance q u e d'entretenir l'agitation au sein du corps électoral. L'agitation à propos de tout et à p r o p o s de rien, sans Irêve, sans arrêt, est la ligne d e con- duite qu'ils se sont tracée lors du Con- grès de Zurich, et qu'ils suivent scru- puleusement. Voilà l'origine du mouve- ment qui doit trouver sa solution le :! juin.

Peut-être, à ce point de vue, ne sont- ils q u ' à moitié satisfaits de leur œuvre ; l'agitation s u r laquelle ils comptaient n'est guère q u ' à la surface ; le droit au travail préoccupe p e u le peuple, trop peu môme. Ils n ' e n a u r o n t p a s m o i n s attiré l'attention s u r e u x , fait preuve d'existence ; ils n ' e n d e m a n d e n t p a s da- vantage.

Ce qui frappe le plus dans leur atti- tude, ce sont les étranges contradictions dans lesquelles ils tombent. Voilà des gens qui n ' o n t jamais à la bouche q u e le m o t d'économie ; il faut se garder d'employer mal à p r o p o s l'argent d u peuple : il faut p o u r s u i v r e de sa haine la société bourgeoise parce qu'elle élève des statues à ses grands h o m m e s avec l'argent des contribuables ; et ces m ê m e s hommes si soucieux de la b o u r s e du peuple n'hésitent p a s , dans u n simple but d'agitation politique qu'ils savent sans résultat pratique possible, à pro·=

voquer u n e dépense aussi considérable qu'inefficace.

Pas u n socialiste, e n signant la d e - m a n d e d'initiative, n'a eu le moindre

doute sur l'issue d u m o u v e m e n t . Les chefs du moins ne se sont p a s fait d'il- lusion. Ils o n t su qu'ils poussaient à des frais inutiles ; inutiles les jetons de pré- sence dus aux commissions des Conseils p o u r l'étude de la question ; inutiles les frais d e séance de ces Conseils consa- crées à la discussion ; inutiles les nom- b r e u x frais d'imprimés, de votalion, etc.

E n tout quelques dizaines de mille francs dépensés en p u r e perte. O ù ces gens-là ont-ils pris le droit de crier si fort contre les dépenses de la société bour-

geoise ? N Autre contradiction. L e s mêmes ci-

toyens q u i réclament le droit au travail, sont ceux qui fomentent la plupart des grèves, et s'opposent, p a r la violence s'il le faut, aux ouvriers q u i voudraient persister dans leur travail ! Qu'ils orga- nisent des grèves, il est difficile de s'y o p p o s e r ; ils agissent à leurs risques et périls. L e droit à la grève existe et doit

être respecté à l'égal de tout autre droit.

>iul ne saurait obliger son voisin à tra- vailler, surtout p a s à des conditions que ce voisin estime insuffisantes. Mais nul n o n plus ne saurait obliger son voi- sin à ne pas travailler alors q u e ce der- nier entend continuer son travail. Ceux- là, particulièrement, n e doivent p a s s'arroger cette prétention immorale, qui proclament comme la première des re- vendications le droit au travail.

L'horlogerie à l'Exposition de Chicago Le J u r y

Trafic avec la France

Comme la statistique du commerce suisse du 1

er

trimestre qui vient de paraître le dé- montre, l'exportation de Suisse en Fronce a augmenté de 1,333,000 fr. ou de 7

2

/s % par rapport au chiffre correspondant de l'année antérieure (18,659,000 fr. vis-à-vis de 17 mil- lions 326,000 fr.), tandis que l'importation de France en Suisse des principales positions de combat a fléchi encore d'un demi-million ou de 8°/o (5,651,000 fr. vis-à-vis de 6,153,000 fr.).

Los délégués envoyés à Chicago par la Confédération aux fins d'étudier les diverses divisions de l'Exposition universelle de 1893, on t présen té au département fédéral des affaires étrangères (division du commerce) des rap- ports aussi intéressants qu'instructifs, celui sur l'exposition d'horlogerie a été fait par M. Charles-Emile Tissot, du Locle, membre du jury international ; le but du rapporteur a été de fournir à l'horlogerie suisse tous les renseignements qui lui ont paru utiles, tant au point de vue artistique que technique.

L'espace dont nous disposons ne nous per- met pas de reproduire ce rapport d'une soixan- taine de pages, dans son entier; nous nous bornons à le résumer.

Après avoir donné un aperçu succinct du plan général de l'exposition et de ses divi- sions, il arrive au département H dans lequel est comprise l'horlogerie. Ce département était formé de deux sections; il comprenait 35 groupes, subdivisés en 214 classes; l'hor- logerie en formait 8, savoir : Montres de tous genres, mouvements de montres et parties de montres, boîtes de montres, outils et machines pour l'horlogerie, pendules en tous genres, mouvements de pendules, pendules fabriquées par moyen mécanique, pendules — indicateur de temps pour gardiens, surveillants de fa- brique, etc.

Le bâtiment des « manufactures et arts libéraux», qui abritait le départementH, me- surait 514'"20 de longueur, 239'" 88 de lar- geur; la hauteur du toit au centre était de 72"', le vitrage avait une surface de 44,514 mètres carrés, on avait employé pour sa cons- truction 17 millions de pièces de bois, 12 mil- lions de pièces d'aciôr, 2 millions de pièces de fer. 75,000 personnes qui avaient trouvé place assises dons la partie centrale et 300,000 dans le bâtiment tout entier.

Cc gigantesque et magnifique palais dépas- sait tout ce que l'imaginotion peut concevoir.

Les Américains ont voulu ainsi honorer la science et l'industrie.

Les juges du département H ont commencé les opérations dans la seconde quinzaine du mois de juillet. Chaque objet exposé était examiné par un juge unique, seul responsable de son verdict.

A Paris, en 1889, le jury de classe, com-

posé d'éléments français et étrangers travail-

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192 LA FEDERATION HORLOGERE SUISSE

lant collectivement. Chacun de ses membres attribuait un chiffre à chaque exposant. La moyenne de ces chiffres déterminait ensuite la nature de la récompense : Grand prix — Médaille d'or — Médaille d'argent — Médaille de bronze — Mention honorable, à laquelle l'exposant avait droit.

A Chicago, il n'était pas établi de parallèle entre les exposants. Ceux-ci, dans le cas où la valeur de leurs produits est réellement re- connue, reçoivent tous la même récompense:

une médaille do bronze accompagnée d'un di- plôme qui fait ressortir les motifs pour les- quels la récompense a été accordée par le j u g e : bienf'acture, beauté du produit, modifi-

cation ou innovations heureuses qui ont été réalisées.

Au contraire, d'après le système adopté jusqu'ici dans les expositions universelles, les exposants, qu'on ferait presque mieux d'ap- peler concurrents sont classés on catégories nettement tranchées et reçoivent des récom- penses graduées : « Grand prix , médaille d'or, etc. » P o u r procéder au classement de tous les exposants, le j u r y est obligé de tenir compte non seulement de la nature et de la valeur intrinsèque des produits exposés, mais encore de certaines considérations indépen- dantes du produit même : importance, an- cienneté, réputation, histoire de la maison en cause. Les membres du j u r y se trouvaient souvent dans l'alternative de juger par com- paraison entre exposants. A Chicago, le juge après avoir constaté la valeur du produit, sa bienfacture, sa beauté, les modifications pro- venant du génie de l'exposant, déclarait si oui ou non il méritait une récompense.

Les deux systèmes pourraient donner lieu à de longs d é b a t s ; tous les deux comportent des inconvénients et des a v a n t a g e s ; aussi, serait-il intéressant que cet important sujet fût traité au sein d'une assemblée d'hommes experts, au point de vue de l'organisation des expositions. Une semblable étude serait d'une g r a n d e utilité dans l'avenir pour la réglemen- tation des jurys de nos expositions nationales ou internationales.

En présence des nombreux projets d'expo- sition qui surgissent de divers côtés, l'impor- tante question de l'organisation du jury de- vrait être examinée à tous les points de vue.

Il ressortirait de cette étude des enseignements précieux qui conduiront certainement à un système équitable pour l'organisation des fu- turs j u r y s et donnant, comme de juste, salis- faction aux exposants qui s'imposent tant de sacrifices pour soutenir le bon renom de nos industries nationales. On peut se demander si le principe mis jusqu'ici à la base des j u r y s européens n'a pas fait son temps; et si les ré- compenses graduées représentées par des g r a n d s prix, des médailles ou des mentions honorables, ne devraient point faire place au système de diplômes !

Un diplôme officiel accompagné d'un rap- port à l'appui, donnant l'opinion du j u r y , signé par le président et le secrétaire du groupe aurait une valeur plus effective et sérail, même aujourd'hui, plus apprécié qu'une médaille dont on fait souvcnl un emploi abusif.

Les. avantages qui paraissent ressortir du système américain sont de plusieurs ordres : nous signalons tout d'abord le fait que les ex- posants n'étant pas mis en parallèle, les ré- clamations qui se produisent souvent après le verdict du j u r y sont évitées. En second lieu, le m a n d a t de juge acquiert une plus grande importance à mesure que chaque juré doit présenter au groupe un rapport écrit et signé sur les expositions qu'il a été chargé d'examiner. Sa responsabilité est directement engagée ; il n'y a pas de chiffres donnés, il n'y a u r a pas de moyenne prise, ses apprécia- tions seules feront que l'exposant obtiendra une récompense ou n'en obtiendra pas.

La conscience même de cette responsabilité l'obligera à procéder à l'examen des produits avec une attention, une minutie si possible, plus grande encore que précédemment et l'em- pêchera peut-être de se laisser entraîner dans ses appréciations, par des considérations per- sonnelles ou étrangères à la valeur même des produits.

Marques de fabrique et de commerce

La loi fédérale du 20 septembre 1890, con- cernant la protection des marques do fabrique et de c o m m e r c e , des indications de prove- nance et des mentions de récompenses indus- trielles*), n'a rien prévu à l'égard des marques enregistrées antérieurement à l'entrée en vi- gueur de celte loi. En vue de régulariser, par voie législative, la situation de ces marques, le Conseil fédéral a élaboré un projet de loi.

Ce projet fait une distinction entre les marques déposées conformément a u x prescriptions de la loi fédérale du 19 décembre 1879 et celles qui l'ont été sans l'observation de ces pres- criptions, en vertu de traités. Ces dernières m a r q u e s , dont un petit nombre seulement fi- g u r e n t encore utilement dans les registres d'inscription, ont été publiées sommairement et sans clichés. La durée de protection primi- tivement fixée pour ces marques et qui pren- dra fin dans peu d'années, en 1897 pour les dernières, ne serait pas prolongée à raison précisément de la proximité de l'échéance de la protection et aussi de l'insuffisance de la publicité qui leur a été donnée.

Au contraire, les marques déposées en con- formité des prescriptions de la loi fédérale du 19 décembre 1879 bénéficieraient de la pro- longation de protection accordée aux marques par la loi fédérale du 2Ii septembre 1890. Ces marques, qui représentent, à peu de chose prés, la totalité de celles qui sont encore va- lablement enregistrées, jouiraient ainsi d'une protection de vingt années, au lieu de quinze années prévues par la loi fédérale du 19 dé- cembre 1879.

Bn contre-partie de cet avantage et en vue d'une égalité de traitement désirable à tous égards, ces marques seraient soumises, à par- tir du I1''' janvier 1890, a u x dispositions de la loi fédérale du 20 septembre 1890 qui touchent l'emploi des armoiries publiques et des signes ou figures devant être considérés comme pro- priété d'un état ou propriété publique, ainsi qu'à l'emploi des fausses indications de pro- venance, des raisons de commerce fictives, imitées ou contrefaites, et des mentions illé- gitimes de récompenses industrielles.

L'application des dispositions précitées aux marques enregistrées depuis l'entrée en vi- gueur de la loi fédérale du 20 septembre 1890 a déjà contribué à la répression des abus qui s'étaient glissés dans l'usage des marques de fabrique et de commerce. Mais ce n'est que lorsque les marques antérieurement déposées seront également placées sous la discipline de la nouvelle loi que cesseront vraisemblable- ment les plaintes qui se font encore jour, par- ticulièrement dans les centres horlogers, à l'égard des procédés de réclame basés sur les indications mensongères que renferment des marques enregistrées. Quant a u x mentions de ce genre figurant dans des marques non enregistrées, elles ne peuvent être atteintes que par la voie des tribunaux, voie qui, dès l'entrée en vigueur de la loi de 1S90, est ou- verte aux peronnes s'estimant lésées dans leurs intérêts. Cette circonstance parait fré- quemment ignorée.

Les dispositions de la loi de 1890 ont été appliquées, dés l'entrée eu vigueur de celle-ci,

*) Voir le texte de celte loi dans le n" 150 de notre feuille du 18 octobre 1890.

a u x marques dont la transmission était de- mandée ou pour lesquelles on sollicitait le re- nouvellement du dépôt. Il continuera à en être de même. En procédant autrement, on perpétuerait des abus que ce te loi doit servir à faire disparaître.

(Feuille ojfic. suisse du commerce.)

Les assurances obligatoires en Allemagne

Un ingénieur, M. Grimer, a réuni récem- ment une série de documents et de statistiques concernant le fonctionnement des assurances ouvrières en Allemagne. On sait que l'organi- sation de ces assurances comporte trois branches distinctes, maladie, accidents, vieil- lesse et invalidité. Cette dernière ne fonction- nant que depuis 1891 n'a pas encore donné de résultats suffisants pour qu'on puisse en tirer des conclusions. Mais il peut être intéressant et utile de s'occuper des deux premières, qui sont d'ailleurs à l'ordre du jour dans notre pays.

D'après un résumé que donnent -lés -Débats des travaux de M. Grimer, en 1885, on comp- tait en Allemagne 18,942 caisses d'assurances contre les maladies, comprenant 4,294.17:5 personnes astreintes à l'obligation de l'assu- rance. En 1891, le nombre des caisses s'élève à 21,498 et celui des assurés à 0,530.513. A ce dernier chiffre, il faut ajouter les ouvriers mineurs, au nombre de 481,010, qui conti- nuent à faire partie de leurs anciennes cais- ses. De sorte que le nombre total des travail- leurs astreints à l'assurance était, à la fin de 1891, de 7,012,123, soit 14,1 % de la popula- tion totale de l'empire allemand. Ces caisses ne sont pas établies d'après un type uniforme, leur organisation est très compliquée, mais on peut dire que l'immense majorité est ali- mentée par des subventions des communes et des corporations, par un prélèvement sur les salaires et par un versement des patrons.

P o u r l'année 1891, le produit du prélèvement sur les salaires a été de 70/126,896 marks et les dépenses (les maladies de 89,100,091 m a r k s . Le déficit, s'élevant à 19,039,195 m a r k s , a été comblé par les patrons, qui, en outre, sup- porteront seuls les frais de gestion et de cons- titution de réserve. La part contributive des patrons est évaluée à un tiers des dépenses.

En ce qui concerne la moyenne des jours de maladie, elle est de 11 jours pour les ou- vriers travaillant dans les ports, de 10 pour les ouvriers porcelainiers, de 9 pour les ou- vriers employés dans la métallurgie, de 8 pour les mécaniciens, de 8,5 pour les impri- meurs, brasseurs et zingueurs, de 8,1 pour les maçons. Dans les mines de houille, le nombre des journées de maladies n'est que «le 7,4 et de 7,0 pour les mines de fer. Il con- vient de remarquer que les frais d'administra- tion ont doublé de 1880 à 1892. Les frais d'en- quête et de justice arbitrale croissent d'année en année et ont quintuplé dans le même es- pace de temps. Au contraire, les dépenses mo- tivées par les mesures de précaution varient peu depuis 1887. Quoique les versements an- nuels au fonds de réserve soient déjà en voie de décroissance, et que le nombre des asso- ciés demeure constant, cependant les dépenses totales annuelles ne cessent de croître de 4 millions de marks par an depuis cinq a n s . Tandis que, dans les premières années, les versements au fonds de réserve étaient de 300, 150, 100, 80, 6 0 % des dépenses en se- cours et indemnités, dans la septième année (1892) le versement n'a plus été que de 50° n et il continuera à diminuer désormais de 10" « par an pour cesser entièrement la douzième année.

Examinons maintenant l'assurance sur les accidents qui a fonctionné avant toutes les autres et a déjà une durée de sept années

(3)

LA FEDERATION HORLOGERE SUISSE 19:$

•consécutives. En 1893, l'assurance contre les accidents s'est étendue à' 415,335 établisse- ments industriels et à 4.869,018 exploitations agricoles ; elle a inscrit s u r ses registres -5,078,132 ouvriers industriels, 12,400,000 ou-

vriers agricoles et 640,733 ouvriers d'adminis- tration publique. Ainsi, plus de 5 millions de patrons et plus de 18 millions de travailleurs sont visés par la loi et en supportant les charges.: 268,777 personnes ont joui de ses a v a n t a g e s . Ge dernier chiffre se décompose ainsi : ouvriers blessés, 190,510 ; veuves d'ou- vriers tués, 22,405 ; orphelins d'ouvriers tués, 43,924: ascendants d'ouvriers tués, 1,620. Le nombre des acsidents signalés a été de 262,633 dont 6,285 mortels. Le nombre des accidents mortels varie peu, d'ailleurs, d'une a n n é e à l'autre : il était de 6,047 en 1890. Les chiffres relatifs a u x blessures légères a suivi u n e plus forte proportion : il s'est accru dans la proportion de 5 0 % · C'est là une des c o n - séquencee inévitables de la loi : plus elle est connue et plus augmente le nombre des acci- dents. Lc chiffre des indemnités, secours et pensions, a donc passé de six millions de m a r k s en 1887 à 20.315,320 m a r k s en 1890 et à 38,175,000 m a r k s en 1893. Les frais de gestion ont dépassé 24°/Ί> du montant des in­

demnités.

Comme pour les maladies, les frais d'admi- nistration augmentent rapidement pour les accidents, et les chiffres que nous venons de d o n n e r au sujet des deux sortes d'assurances, montrent d'une façon bien claire que l'en- semble des dépenses qu'elles nécessitent, croissent d'année en année dans de vastes proportions. Les assurances obligatoires, tel- les qu'elles sont organisées chez nos voisins du Nord, arrivent à grever l'industrie alle- mande de charges énormes et qui deviendront peut-être un j o u r insupportables.

Il est utile de signaler cet écueil, car si l'assurance des ouvriers contre les maladies et contre les risques de leur métier, est en elle-même une excellente chose, il ne faudrait pas néanmoins qu'elle devienne une manière de pavé de l'ours écrasant l'industrie.

Nouvelles diverses

Relations avec la France. — Lc Jour reproduisant la circulaire de l'Union pour la reprise des relations commerciales avec la Suisse, dit que cette tentative est absolument digne d'attention et intéressante, mais que la question commerciale n'est pas seulement en jeu : les rapports diplomatiques s'en ressentent.

Il est temps que cela cesse entre les deux peuples qui ne demandent q u ' à s'entendre et à reprendre leurs bons rapports.

Procédés industriels

Poudre à argenter le cuivre. — Voici la recette d'une poudre dont je me sers, à la manière du Tripoli, c'est-à-dire par le frotte- ment pour argenter les bassines de cuivre toutes les fois que j ' a i à préparer du sirop de violettes ou des sirops de fruits. — Cyanure de potassium 12 p a r t i e s : Nitrate d'argent 6 parties : Carbonate de c h a u x 30 parties. Faire

une poudre bien homogène. „

Cote d e l ' a r g e n t

du 2 Juin 189/f

Argent fin en grenailles . . fr. 108.50 le kilo.

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Extrait des Volumes des Marques de fabrique

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W^S"-a8i,,,8P«ï8,^eM8e,,î8M8Pe,8P,,iPi,9P^P,8P,ee,,»P*iMP^P,8PW

Société' suisse pour la construction j * | de locomotives et de machines à Winterthour W

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M o t e u r s à p é t r o l e «ge»

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Imprimerie de là Fédération horlogère suisse (R. Haefeli & O ) , Ghaux-de-Fonds.

Références

Documents relatifs

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