Le bac restera donc le bac. Doit-on pour autant s'interdire toute évolution, toute amélioration du baccalauréat? Je ne le crois pas et je lance deux pistes de réflexion :
1111 la première, qui me paraît la plus importante : comment améliorer la qualité de l'examen ? Les pédagogues savent bien que les méthodes d'évaluation peuvent être modernisées pour rilieux juger le niveau des candidats, leurs performances, pour éliminer autant qu'il est possible la part de l'aléatoire que comporte une épreuve ;
1111 la seconde, qui est une contrainte incontournable, quoiqu'elle ne soit pas première dans ma réflexion : comment rendre moins lourd, sinon alléger, un système d'épreuves qui aujourd'hui, pour les services des rectorats et les professeurs, frise l'exploit, un exploit chaque année renouvelé dans des conditions plus difficiles avec l'augmentation du nombre des candidats (à raison de 10% par an ) ?
Ces questions, je ne prétends pas les résoudre en un tour de main. Elles demandent étude, réflexion et concertation.
_ Aussi, je demande au directeur des lycées et collèges d'engager une concertation approfondie avec l'ensemble des intéressés sur le baccalauréat et ses méthodes d'évaluation. Je· lui donne pour cela un délai de quelques mois, jusqu'à l'automne. Il me fera un rapport sur ce sujet et je prendrai alors mes décisions, qui entreront en vigueur pour le baccalauréat de la fin de 1 'année scolaire 1994-1995, au moment où les élèves engagés dans la nouvelle seconde à la rentrée prochaine parviendront au terme de l'une des nouvelles voies de formation.
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