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10 trimestr ie1BULLETIN DE L'ASSOCIATION DES PROFESSEURS DE TECHNOLOGIE DE L'ENSEIGNEMENT PUBLIC
, 61,'avenue du Président-Wilson·94 -CACHAN - Tél. 253.74,10
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édltorücenl
parb.
méry
Pepuis bientet dix ans on parle de réformes dans l'enseignement. Ce fut, vers les années soixante cinq la préparation pUis la mise en place de la réforme FOUCHER pour l'enseignement supérieur. Je passerai brièvement sur la réforme des structures mise en place par Edgard FAURE à la suite des événements de soixante huito Puis ce fut le tour de l'enseignement du second degré qui mijota quelques années pour apparaître sous fonne de différents projets. L'opinion commença à se mobiliser autour des projets FONTANET, puis ce furent les projets RABY.
Tous ces projets, toutes ces réformes ont ceci de commun qu'elles modifient les structures, les cycles d'études, les examens qui les sanctionnent, le détail les volumes horaires attribuées aux différentes disciplines. Ces modifications ne sont certes pas négli~ables, puisque des disciplines peu-vent ee développer, d'autres diminuer d'importance, d'autres enfin, ignorées
jusque-là faire leur apparition. Ce fut le cas de l'initiation technologique dans les classes de quatrième et troisième avec la venue des collè~B d'ensei-gnements secondaf.res ,
A c6té de l'évolution des structures, il faut poser le problème de l'évolution des contenus. Cette évolution là est absolument nécessaire, c'est trivial de là dire, mais elle ne se fait pas pour autant. I.e mécanisme habituel des com-missions de programmes, rassemblées à la hâte et priées de déposer leurs
conclusions dans un temps très bref ne pennettent pas un travail en profondeur.
Pour faire un tel travail, i l faut une commission largement ouverte et indé-~ndante de l'administration, dont les membres puissent travailler efficacement, {ce qui supposent qu'ils aient du temps à. y consacrer) et qui dispose de moyens d'expériment~tion sérieux
C'est la commission LINCHNEROWICZqui a pu étudier en profondeur le problème de l'enseignement des mathématiques,
C'est la oommission LAGARRIGUE qui peut étudier le problème de l'enseignement des soienoes physiques.
Pour notre disoipline, il faut une oommission semblable,
au
sein de laquelle des professeurs, a,vant activernent réfléohi k l'enseignement de la teohnologie et de l'initiation teohnologique, soient largement représentés. Il faut aussi que cette oommission dispo.e des moyens néoessaires pour faire de larges etsérieuses expérimentations. Ce n'est qu'k cette oondition que notre disoipline pourra aocéder k la plaoe qui lui est dde dans l'enseignement français.
Je
voudrais oonclure en oonstatant que les conolusions de telles commissions ne sont pas toujours aocueillies sans réserves, et les oritiques peuvent 8tre parfois légitimesJ il ne faut donc pas leur accorder la pérennité. Hais nous sommes bien plaoés, nous technioiens, pour savoir que la solution d'un pro-blbe, mAme imparfaitement étudiée, C!st tcujours préférable k une solutionpu étudiée du tout•
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