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Utilisation de gaz

Gaz inflammables 2010 : installation de gaz sous sorbonnes

Des salles de TP et leurs annexes (préparatoire, laverie, local de stockage de produits chimiques) viennent d'être rénovées entièrement.

Celles ci sont alimentées en gaz naturel, sous les sorbonnes (non ATEX) et sur les paillasses. Une ventilation mécanique est installée.

Le préparatoire est une salle aveugle sans grille de ventilation haute et basse, seules les bouches de

soufflage et d'extraction au plafond renouvellent l'air;

A votre avis est ce une installation correcte?

Précision: Je n'ai pas été consultée pendant la phase de conception et j'ai toujours refusé la présence du gaz sous toutes les sorbonnes.

Tu peux te référer à la présentation faite par l'INERIS lors des journées de l'ADHYS de cette année. Document à télécharger sur HYPERLINK "http://www.adhys.org/risquechimique.htm"

http://www.adhys.org/risquechimique.htm (l'ensemble des présentations).

Avant d'essayer de te répondre j'ai besoin des infos suivantes :

1/l'alimentation de gaz dans la sorbonne est-elle coupée si la ventilation ne fonctionne plus

(électrovanne alim gaz fermée si un pressostat détecte la non dépression de l'extracteur) ou bien est -elle asservie au bon fonctionnement de la VMC.

2/Y a t'il le gaz dans la salle de prépa et si oui le gaz est-il coupé si la VMC ne fonctionne plus As-tu le descriptif des lots VMC et sorbonnes?

Pour des problématiques trop techniques (comme celle-ci), je fais passer un bureau de contrôle ! De plus, les installations de gaz naturel doivent être contrôlées tous les ans. C'est l'occasion ! 2010 : remplacement bec bensen

Je souhaiterais savoir si vous avez le retour d'expérience sur la possibilité de remplacer le bec bunsen. Un laboratoire prête une attention particulière à ce qu'il soit à pédale ou avec capteur (pas d'installation "free style").

ex : pour la stérilisation de pince, il est indispensable.

L'achat de pince stérile, est impossible par rapport à la quantité, le cout.

Nous avons pensé passer sur un produit type bactipal mais on est sur un péroxyde, le pb n'est pas totalement résolu, plus déporté.

pb aussi des installations car nous avons des hottes à flux horizontal, le laboratoire réalise de la biologie végétale.

J'avais fait une recherche sur des matériels de substitution... il y a plusieurs mois.

1- voir si les stérilisateurs d'anses ne pourraient pas convenir (certains ont un orifice suffisamment large pour y introduire une petite pince)

2- lors de ma recherche, j'avais trouvé un stérilisateur ultrarapide à billes (de marque Milian). Voici le lien actualisé :

HYPERLINK

"http://www.milian.ch/Milian_France/fr/Catalogue/Sterilisation/Sterilisateurs/Sterilisateurs_ultrara pides"

http://www.milian.ch/Milian_France/fr/Catalogue/Sterilisation/Sterilisateurs/Sterilisateurs_ultrarap ides

3- Sordalab propose un bec électrique qui serait capable de stériliser des matériels mais attention au risque de brûlure (on ne visualise pas la zone de chaleur), à la consommation électrique, au temps de chauffe (+ long que le bec Bunsen ce qui suppose de changer ses habitudes de

manipulation)

Question retour d'expérience, je n'ai pas grand chose de plus que ce que je viens d'écrire sur le risque de brûlure et le temps de chauffe qui pour certains chercheurs est rédhibitoire (alors que d'autres s'y adaptent parfaitement).

PS : attention à la stérilisation au bec Bunsen, cela peut générer des aérosols. Avec des pathogènes, il vaut mieux éviter.

2009 : retrait d’une tuyauterie de gaz

Dans un bâtiment des tuyaux de gaz ont été "désactivés" depuis plusieurs années (coupure au compteur et bouchonnage). Aujourd'hui se pose la question d'enlever ces tuyaux qui gênent pour de nouveaux aménagements. Doit-on faire un dégazage?

Dans le cas de tuyaux ayant contenu des hydrocarbures, je sais que c'est indispensable, mais pour le cas du gaz... Merci de vos lumières.

Pour moi, c'est vivement conseillé. Il faut s'assurer qu'il n'y a pas de zones pouvant encore contenir du gaz (parties de réseaux où des vannes n'auraient pas été ouvertes). Théoriquement, il faut envoyer un gaz inerte (azote) sous pression pour chasser le gaz dans tout le réseau...

Il y a des sociétés qui font ce genre de chose et délivrent une attestation de dégazage.

Je confirme il faut dégager à l'azote les réseaux même plusieurs années après la coupure du réseau.

2008 : manipulation utilisant des gaz inflammables –explosifs

ce matin un chercheur qui veut monter une manipulation m'a demandé mon avis niveau sécurité : il veut utiliser une cellule (typiquement contenant 1/2 à 1l de gaz) à gaz, rempli avec de l'azote, du CO2 et de l'oxygène au départ pour recréer les conditions atmosphériques, puis ajouter d'autres gaz (type méthane et CO, donc en partie explosif) afin de tester des détecteurs nanométriques mis au point au laboratoire, détecteurs qui fonctionnent via un laser. Plusieurs questions me sont venues : peut-il utiliser autant de gaz explosif dans une pièce, sachant qu'il n'y a pas de bunker extérieur d pour ces gaz ? Comment éliminer les gaz une fois la manip' terminée (ce sont des gaz en partie polluant tout de même) ?

Pour N2 et CO2, c'est pas inflammable. Pour l'introduction de méthane et de CO

(inflammables) : tout dépend des quantités utilisées lors de la manip (car même s'il devait y avoir une explosion, si les quantités de gaz utilisés sont faibles, les conséquences seraient alors minimes).

Tout dépend aussi de la cellule dans laquelle est faite la manip (petit volume avec fortes

surpressions en cas d'explosion ?), de sa résistance mécanique, de sa fixation, de l'existence d'une soupape de sécurité... Exemple : je me souviens d'une manip où on introduit H2 et O2 en

proportions stoechiométriques mais en très faibles quantités et dans un volume ouvert. Résultat : l'explosion ressemble à un "pet de mouche"... Tout dépend aussi des proportions dans lesquelles les gaz sont introduits... (reste-t-on sous les LIE ?) et de la fiabilité du système utilisé pour contrôler les proportions des gaz introduits. Tout dépend de l'énergie d'activation nécessaire pour enflammer les gaz : j'imagine que la puissance du laser du détecteur est très faible. Après il y a le problème du stockage des bouteilles gaz et là on se trouve ramené aux prescriptions classiques : pas de stockage de bouteilles en réserve. Bouteilles de volume le plus faible possible. Bouteilles

attachées aux 3/4. Ventilation mécanique du local ou de la zone où sont situées les bouteilles (avec alarme si la ventilation s'arrête). Présence d'un extincteur à CO2 à proximité. Pas d'armoire élec à proximité.

Il faut également voir si la manip est automatisée ou non...

Peut-être que l'INERIS pourrait t'aider.

Je suis assez d'accord avec les remarques d'Olivier, notamment sur la taille des bouteilles de gaz : attention cependant à la reprise des bouteilles d'un volume inférieur à 1 litre (en général, les B04) ; il semble que praxair les reprenne dans un délai de 3 ans. A vérifier ! L'utilisation de CO doit être faite avec un détecteur de gaz toxiques, et non pas un explosimètre, car le principal risque du monoxyde de carbone est quand même le risque toxique : il y a chaque année des intoxications mortelles au CO, à ma connaissance ils ne meurent pas dans un incendie !! Penser aux actions pilotées par une détection éventuelle : les limites d'une alarme sonore sont liées à la présence obligatoire de personnel susceptible de traiter le défaut ; sinon, prévoir des asservissements de coupure des gaz à la bouteille ; toujours vérifier à la livraison d'une bouteille l'absence de fuites (systèmes de bullage).

On a dans nos locaux des manips qui doivent ressembler à ce qui est décrit. Nous avons pris les mesures suivantes :

- bouteille de Co dehors (on est en rez-de-chaussée) dans enclos, les autres à l'intérieur, attachées.

Les bouteilles qui ne sont pas branchées à une manip sont stockées dans un local extérieur

- détecteur gaz (avec webcam devant l'affichage consultable à distance par les chercheurs et visible du couloir) - asservissement à des électrovannes de coupure de l'alimentation qui se mettent

également en route en cas de panne de l'extraction, de coupure de courant. En cas de détection de

fuite : signal sonore et lumineux (le signal sonore ne peut s'arrêter avant que le taux ne soit

redescendu) ) - attention ces détecteurs sont difficiles à étalonner et on les fait régler au moins une fois par an

- détecteurs portatifs

- explosimètre (mais tout n'est pas antidéflagrant dans le labo)(ils utilisent aussi de l'H2)

- portes (coupe-feu) à hublots pour voir ce qui se passe à l'intérieur (occupation des angles morts par du mobilier)

- masque respiratoire d'intervention et formation des personnes susceptibles de l'utiliser.

- consignes aux personnels du labo et autres : personnel qui ouvre et ferme les portes - personnel de ménage

Tiennent-ils compte des risques liés à l'électricité statique (c. f. Brochure ED 874 de l'INRS

"Electricité statique")

2007 : Chauffage radiant en intérieur :

Lors d’un colloque de plusieurs jours, pour les repas du midi, un restaurateur envisage d’installer, en intérieur, dans un grand hall des chauffages radiants de type "parapluie".

Ceux ci fonctionnent au gaz, bien sur.

Nous ne sommes pas très chauds pour ce genre de solution, c’est le moins que l’on puisse dire.

Savez vous où je pourrai trouver des informations relatives à ce qui peut ce faire ou à ce qui ne peut pas ce faire en ce domaine.

Vous en remerciant par avance,

Si le hall fait partie d'un ERP les articles GZ 7 et 8 interdisent les bouteilles de propane ou de butane à l'intérieur des pièces accessibles au public et même si elles sont inaccessibles il faut des prescriptions constructives précisées dans ces articles.

Voir sur site de gaz de France ou site revue vecteur gaz ou il me semble avoir vu des infos très détaillées sur le chauffage radiant au gaz et ses contraintes (ventilation, évacuation des gaz

brulés !!!!!!!).

Voir CH 44 et suivants ainsi que GZ 20 et suivants du règlement de sécurité ERP 2006 : flexibles des becs bensen

Est-ce que parmi y aurait-il des personnes qui auraient procédé au changement des flexibles dans les salles de TP reliant l'arrivée de gaz aux bec bunsen, et suivant la réglementation en vigueur (juin 2004 à ma connaissance) ?

On doit en effet changer les flexibles (type domestique) à la fin de l'année, et je souhaiterais savoir ce qui a été mis en place dans d'autres universités.

D'autre part les bec bunsen seraient interdits en salle de TP, est ce que quelqu'un a des infos ?

Nous avons remplacé tous nos tuyaux fin 2005 par des tuyaux souples pour le gaz de ville en diamètre 12/18. Dans le même temps nous avons changé tous nos becs bunsen pour y mettre des becs de sécurité. Le rapport du bureau de contrôle est favorable à notre installation et nous n'avons aucune remarque.

Le gaz n'est pas interdit en salle de TP,

Les installations de gaz doivent être contrôlées par un organisme de contrôle (cf. GZ 30).

Les flexibles ne se commandent plus au mètre comme auparavant, maintenant il faut acheter des tubes de longueur déterminée vendus avec les colliers de serrage qui vont bien (évidemment plus chers qu'au mètre...) ; il faut être vigilant sur le changement des tubes et l'absence de dégradations Choisir des flexibles à durée de vie importante (10 ans) ou illimitée pose le problème du

raccordement bec/distribution qui sont en général prévu avec des embouts à olives et non avec un pas de vis (sur les installations anciennes au moins)

L'utilisation de becs électriques posent d'autres problèmes : - risque de brûlures

- dessèchement du manipulateur en raison du fort rayonnement thermique (prévoir l'Oil of Olaz) - appareil à puissance électrique non négligeable

Il y a plus qu'à choisir la moins mauvaise solution...

Ce qui est interdit dans les salles de TP ce sont les becs sur cartouche de gaz (camping gaz)

Cela dépend : dans nos bâtiments et en particulier l’IGH nous avons des cartouches C470 en sachant que sont localisés les brûleurs et que seulement deux cartouches sont autorisées par brûleur.

Les cartouches de remplacement sont fournies gratuitement par le PC de sécurité contre les vides pour éviter les stocks incontrôlés.

2006 : tuyau gaz bec bensen : Il semble que nous retrouvions le même problème qu'il y a quelques années concernant le renouvellement des tuyaux de gaz alimentant les becs bunsen. Avez-vous des fournisseurs qui continuent à vous fournir en 12/18 (voir plus petit) ??

J'ai acheté des tuyaux en 12/18 que je coupe à la bonne longueur et qui sont ensuite fixés avec un collier spécial "gaz". Il n'existe pas de taille plus petite pour le gaz naturel j'ai donc fait changer tous les becs des années 60 par des becs de sécurité avec raccord en 12/18. Les utilisateurs ont un peu râlé au début en raison de la particularité d'allumage des nouveaux becs mais maintenant tout va bien et le rapport du bureau de contrôle est vierge. Les tuyaux en 12/18 s'achètent chez chez ADDAX

2004 : Problème du port du voile pour les TP qui utilise un bec bunsen: Nous avons été confrontés à ce problème il y a quelques semaines avec une étudiante de microbiologie. c'est remonté au CHS et jusqu'au président ! ma position et celle du président on été fermes sur ce point : pas de voile pour questions de sécurité. On a trouvé un compromis : l'étudiante est autorisée à porter un bandana qui lui tient les cheveux couverts et attachés par l'arrière de façon tendue avec par conséquent peu de risques que le voile se trouve en contact avec la flamme d'un bec bunsen.

Chez nous le problème c'est plus posé pour les activités sportives. Ce qui nous a amené, dans le cadre de la mise en place d'un règlement intérieur du texte suivant:

"Des tenues adaptées peuvent être imposées aux usagers en salle de travaux pratiques et dans certains enseignements, notamment pour des raisons d’hygiène et de sécurité, et sont définies par les règlements intérieurs des composantes ou des laboratoires. "

Ensuite, théoriquement les infractions au règlement intérieur sont du ressort de la section disciplinaire.

Bec bunsen électrique : REX

2004 : pour les becs électriques, il faut que le manipulateur soit éloigné du bec pour éviter les brûlures sur la partie en céramique très chaude, cet appareil a aussi la particularité de rayonner très fortement ce qui a tendance à entrainer un dessèchement de la peau du visage du manipulateur !!!

cf. HYPERLINK "http://www.feminiweb.com/feminimag/beaute/hydratation.htm"

http://www.feminiweb.com/feminimag/beaute/hydratation.htm .

-euh un détail aussi la consommation électrique de ce type d'appareil... (600 W cf catalogue ELVETEC (voire 1000 W avec un microincinérateur en plus par poste) x nombre de poste = une installation électrique bien membrée...)

-euhh il faut aussi penser à organiser différemment le poste de travail parce que cela rayonne tellement que les milieux de culture ont tendance à fondre...

-euhhh pareil pour le fil électrique qui alimente l'appareil, il faut faire attention à sa position pour ne pas qu'il soit endommagé par la chaleur...

-euhhhh un autre détail il est bien de disposer aussi d'un microincinérateur pour éviter la formation d'aérosol lors de la stérilisation de l'anse

2004 : les becs électriques sont utilisables dans les laboratoires de chimie ; dans les techniques de biologie, appliquées en médecine, c'est surtout la stérilité du cône de chaleur du bec Bunsen que les utilisateurs recherchent. Comme on n'a pas installé des hottes à flux laminaire sur toutes les manips avec des bactéries (surtout en enseignement !), on voit fleurir, bourgeonner et se multiplier les cartouches de gaz (dont l'utilisation est prohibée par la commission centrale de sécurité) ! A l'ENSEEG, les travaux de mise en sécurité ont inclus une distribution du gaz de ville par réseau dans quelques laboratoires, ce réseau étant maintenant régulièrement contrôlé. L'inconvénient, c'est

que les utilisateurs ont changé, mais pas les labos desservis ! donc problème en renouvellement constant !

Comme dit Monique le pb se pose essentiellement dans les labos et salles de TP de bio où il leur faut un cône de stérilité, ou alors le bec électrique avec hotte à flux laminaire mais attention aux températures insuffisantes et atteintes trop lentement pour les utilisateurs. Attention au bec électrique qui se "voit" moins et qui brûle les mains mais aussi les vêtements. J'ai eu deux expériences dans ce domaine :

la première dans l'IGH de l'Université de la Méditerranée (distribution de GZ dans tout l'immeuble par réseaux intérieurs!) où il y avait des biologistes et j'avais commencé un sensibilisation à ce changement d'énergie mais les biologistes en nombre important avaient une forte inertie et ce n'est que mon successeur qui a réussi avec des arrangements : gaz qu'au dernier étage avec distribution extérieure.

La seconde c'est encore dans un IGH (de l'Université de Provence) mais sans biologistes : cela s"est passé plus facilement et les qqs irréductibles ont été contentés par des "bleuets 470 HPZ" de camping gaz : avec chaque bleuet une cartouche de rechange et ils ont "gratuitement" une cartouche pleine en échange de la vide. Cela en accord avec les marins pompiers qui ont une liste des labos où se trouvent ces appareils. Il faut savoir que la consommation de cartouches se réduit d'année en année.

 Au départ, on est un peu décontenancé par l'absence de flamme, surtout pour porter le fil d'oëse au rouge, mais l'efficacité est la même. Je les trouve très pratiques et les risques de brûlures sont moindres (il faut toutefois toujours mettre les étudiants en garde afin qu'il ne saisissent pas le bec à pleines mains). Il faut également faire attention au contact des fils électriques avec les parties chaudes. Cependant je trouve qu'ils sont un peu chers.

 En plus cet appareil a pour inconvénient d'avoir un fort rayonnement et d'entraîner un

dessèchement de la peau du visage du manipulateur. (en plus du risque de brûlure sur la partie en céramique très chaude....). Le rayonnement peut aussi entraîner une organisation différente de la paillasse (place des géloses et milieux de culture qui alors fondent, rendant difficile

l'ensemencement.. place du fil d'alimentation du bec...)

Changement flexibles : Les flexibles des bouteilles de gaz doivent être changés tous les 5 ans

J'ai réussi à dénicher un fournisseur sur Limoges (Sté Compteur ZENNER - 87410 Le palais sur vienne) qui nous propose des flexibles gaz de 2m avec 2 colliers de serrage à un prix raisonnable (si l'on tient compte du prix du flexible sous blister tel qu'on le trouve en grande surface...). Le problème du passage sous flexible inox c'est qu'il faut des tuyaux d'arrivée de gaz à vis et des becs par exemple à vis aussi... donc il aurait fallu tout changer !

Le tube inox est très cher mais la durée de vie est quasi illimitée...donc cela fait 3 types de tubes avec 3 durées de vie différentes :

- 5 ans : tube caoutchouc, - 10 ans : tuyaux renforcés - illimité : tuyaux inox.

Utilisation de butane et de propane : Dans nos nouveaux labos de chimie en construction il est prévu d'utiliser du propane ou du butane.. ( avec centrale de bouteilles de gaz à l'extérieur)

Un représentant pour les becs bunsen ns informe que ces gaz sont interdits ds les labos

 Article R 11 - Produits dangereux dans les locaux d’enseignement à caractère technique En application de l’article R 5, l’emploi dans les ateliers de produits nécessaires, notamment au soudage, doit être effectué dans les conditions suivantes :

§ 1. Stockage :

a) Le stockage du butane et du propane doit être réalisé conformément aux dispositions des articles GZ 4 à GZ 9.

b) Le stockage d’oxygène, d’acétylène et de gaz autres que le butane et le propane doit être effectué :

soit dans un dépôt situé à plus de 8 mètres de tout bâtiment, local ou lieu de passage ; ce dépôt doit être constitué par un abri grillagé ;

soit dans un dépôt contigu à tout bâtiment ou local, mais isolé de celui-ci par un mur plein, sans ouverture, construit en matériau incombustible, CF de degré 2 heures, d’une hauteur minimale de 3 mètres, et protégé par un auvent incombustible, PF de degré 1 heure ; la face d’accès doit être grillagée (Arrêté du 12 décembre 1984) " et située à plus de 8 mètres de tout passage du public ".

Dans les deux cas du b ci-dessus :

le sol du dépôt doit être au même niveau ou à un niveau supérieur à celui du sol environnant

le sol du dépôt doit être au même niveau ou à un niveau supérieur à celui du sol environnant