Nœud autoroutier
Là on va arriver dans une grande agglomération. Là ça va être le nœud autoroutier.
Encore ce n’est pas trop mal fait là. Voilà, ils nous ont mis des jolis lampadaires, bon
tout à fait… banals. Et puis on va arriver sur Saint-Etienne gentiment. Séparation et confusion des voies
On a une séparation des autoroutes, on arrive à Saint-Etienne. On va passer sur un pont. Là on a le sentiment un peu de passer sur des trucs qui se croisent dans tous les sens. ® Ça passe dessous, à-côté, dessus… Ça fume ! [rire]
Après le contournement de Saint-Chamond, c’est plus large
Après, l’environnement a plutôt été bien vu. Là on respire, puisqu’on a 3 voies. c’est ouvert, c’est dégagé, c’est propre, on se sent plutôt bien. Précédemment c’était 2 voies, c’était crasseux, poussiéreux, l’environnement n’est pas beau, donc on ne se sent pas bien. Là, vous voyez, c’est bien fait [sous ligne haute tension, mur anti-bruit
végétalisé] Magnifique, il y a des genêts là. Il ne me semble pas que jusqu’à Saint- Etienne maintenant on ait de points trop critiquables.
Bretelles d’accès à l’autoroute nombreuses et trop courtes [Terrenoire]
Cette partie là ça commence bien, et puis il y a des entrées et des sorties après tous les 500m, là c’est pareil [que Rive-de-Gier], surtout pour les entrées, c’est des distances
très courtes de voie d’insertion, et c’est très très très dangereux aux heures de grosse circulation. Même là on voit que ça roule, il n’y a pas non plus beaucoup de monde, et
en même temps c’est tout de suite très tassé, très condensé. Là on passe vraiment autour de la ville, en serpentant comme ça.
En arrivant à Saint-Etienne
Des panneaux on n’en voit pas trop ici. Là c’est jeu de piste après. C’est ça que je
reproche, c’est pour ça qu’on ne vient jamais sur Saint-Etienne, c’est à cause de la signalisation, on ne sait pas où on va. Moi je me perds, on ne sait pas où on va. Le
viaduc je le trouve très dangereux, il n’y a pas de bande d’arrêt d’urgence, moi je ne
suis pas bien du tt là. C’est triste, on ne se sent pas du tout en sécurité, protégé, et puis il y a des immeubles juste à-côté. Moi ça me choque.
Inquiétude en arrivant sur le viaduc
Là ce n’est pas très beau. Là non plus il ne faut pas crever, pas tomber en panne. Quand on pense au nombre de véhicules qui passent par heure, forcément il y en a un
qui va tomber en panne, donc forcément il y aura un bouchon, et forcément il y aura un accident, surtout s’il pleut.
[Avez tout ça en tête quand vous conduisez ?] Oui, mais moi je ne suis pas un inquiet de nature, donc ça ne me perturbe pas, mais je sais qu’il y a des gens ça les perturbe. Moi je roule beaucoup, alors je n’y pense pas honnêtement. Mais on constate quand même en route qu’un véhicule peut tomber en panne brutalement, vous êtes là, donc vous bloquez la file, ben c’est l’accident assuré. Je sais que si ça m’arrivait je laisse la voiture et je m’en vais.
Sur le viaduc : attention radar
Attention à la limitation de vitesse là, parce qu’ils en prennent plus d’un ! [en direction de Rive-de-Gier) Là on y fait attention, parce qu’en plus il y a un radar. Là on sait qu’on sort d’une zone à 110 et on rentre dans une zone à 80, donc on peut se laisser prendre facilement.
L’autoroute est agréable [après le viaduc de Terrenoire vers Rive-de-Gier]
Là c’est agréable. [Sensation d’ouverture à partir d’où dans ce sens ?] Une fois qu’on est sorti sur l’échangeur. Parce que sur le viaduc de Terrenoire on se sent à l’étroit aussi. [Va jusqu’où ?] Jusqu’à ce qu’elle revienne à 2 voies ! [rire] Par exemple ici, je ne vois pas ce qu’on peut rajouter. On peut rajouter des détails, mais elle est tout à fait
convenable, large, il y a la bande d’arrêt d’urgence, les murs en niveau sécurité sont bien traités. Même l’îlot central on sent que… ça va… on ne peut pas demander la
lune. Large, bretelle de sortie de la station service, les gens ont le temps, on peut rectifier, c’est bien. [Tronçon « modèle », référence ?] Oui, la qualité du revêtement est bonne pour l’instant, parce qu’elle est relativement récente, bien qu’on voie quand même que sur la file de droite, où les camions passent plus souvent [orniérage]. Alors quand il pleut !, mais c’est le propre de toutes les chaussées.
Tendance à accélérer
Là [en allant sur Saint-Chamond], généralement quand je conduis et que j’arrive ici,
j’ai envie d’accélérer vraiment, parce que là justement c’est beaucoup plus large, le revêtement est meilleur, je ne sais pas, et puis ça descend comme ça, ça donne
La nuit [avant Saint-Chamond]
Là ce qui est marrant, c’est que les lampadaires s’arrêtent juste ici, et après on arrive
en plein noir. Juste ici il n’y a plus de lampadaires. Et pour l’avoir fait pendant une
semaine où j’étais très fatiguée tous les soirs, je travaillais sur un festival de musique et je rentrais tous les soirs à 2h du matin, j’étais vraiment crevée, et vraiment je n’étais pas bien sur cette portion là quand ce n’est plus éclairé. Je sortais à Saint-Chamond- centre, je traversais le centre de Saint-Chamond pour ne pas prendre le contournement, tellement j’étais fatiguée, que je n’étais pas sûre de moi. Sinon bon il n’y a pas de souci, quand on est en bonne forme. Et je n’ai pas peur sur la route sinon.
4/ Une proximité végétale efficace mais des écrans acoustiques qui posent