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CHAPITRE VI Ŕ DE LA PATRIMONIALISATION À LA MUSÉALISATION (1930-

6.4. Bilans et nouvelles approches (2000-2012)

6.4.4. Un patrimoine à transmettre

La transmission du patrimoine matériel et immatériel, autrefois assurée naturellement de génération en génération, demande aujourd’hui une nouvelle gestion. À la question « à qui souhaitez-vous transmettre le patrimoine de la congrégation? », une religieuse répond candidement « au monde entier ». Une autre précise : « nous avons quelque chose à transmettre à chaque génération». Davantage que des objets et des biens matériels, le patrimoine implique pour les Sœurs du Bon-Pasteur une identité, un charisme, des valeurs. L’immatériel et l’invisible doivent être transmis : « si nous comprenons bien le musée, nous savons qu’il n’est pas seulement constitué d’une exposition de tableaux ou de sculptures. Le musée met en scène la vie qu’il y a dans les tableaux, les sculptures, dans tout. C’est l’alliage des deux [le matériel et l’immatériel] qui fait en sorte que nous protégeons ce que nous avons. (D.R.) »

256 Musée Bon-Pasteur, « Nouvelles», Musée Bon-Pasteur, Un trésor caché au cœur du Vieux-Québec, 26

juin 2013, [En ligne], <http://www.museebonpasteur.com/nouvelles-plus.html?109>, (page consultée le 12 décembre 2013).

257 Voir Musée virtuel du Canada (MVC). Histoires de chez nous, « Les vies cachées de la Maison Béthanie.

Musée Bon-Pasteur, Québec », Réseau canadien d’information sur le patrimoine (RCIP), 2013, [En ligne], <http://www.museevirtuel-virtualmuseum.ca/sgc-cms/histoires_de_chez_nous-

La congrégation assure aujourd’hui la diffusion de son histoire et de son patrimoine grâce à plusieurs programmes destinés aux élèves ou aux jeunes. La transmission et le prolongement de la mission éducative des Sœurs du Bon-Pasteur impliquent également, selon elles, l’accessibilité des archives aux universitaires et aux chercheurs. Pour les religieuses, la transmission est un enjeu crucial, afin « que l’histoire de la communauté et celle de Marie Fitzbach [ne meurent pas] ».

Les questions « pourquoi garder ? », « pour qui ? », « pour combien de temps ? » se posent continuellement dans la congrégation. L’une des religieuses interrogées évoque les interrogations des autorités et leurs représentants à propos du patrimoine québécois, qui se demandent si les communautés religieuses sont conscientes de la valeur de leur patrimoine. Sa réponse, « oui, elles sont conscientes, mais… », laisse deviner tous les enjeux qu’impliquent la conservation et la transmission du patrimoine de même que l’impuissance, parfois, des groupes concernés. La question du legs influence au quotidien le travail de la congrégation dans la préservation du patrimoine : « chaque fois [que nous réfléchissons sur la collection et] la politique de collectionnement, nous devons nous questionner et faire des choix entre ce que nous gardons et ce que nous ne gardons pas. Si nous gardons un objet, il faut que ça soit justifié et c’est difficile [d’expliquer un choix] quand nous ne savons pas ce que nous en ferons. (A.L.) » Une autre participante ajoute : « que deviendra notre patrimoine documentaire, mobilier ? Nous nous y penchons, nous nous y réfléchissons ; mais ce ne sera pas nous qui prendrons la décision. » Cette affirmation pleine de lucidité laisse entrevoir la complexité de la situation pour les religieuses.

Conclusion

D’abord né d’une volonté de rappeler les origines et de pérenniser la fondatrice, le processus de patrimonialisation s’est développé dès la fin du XIXe siècle et s’est adapté au fil des ans. Si les années 1930 à 1960 connaissent un relatif essoufflement, des religieuses motivées par la diffusion du message de Marie Fitzbach entreprennent de nouvelles actions de protection et de transmission de l’héritage. Le projet d’un musée ouvert au public, initié dès la fin des années 1980, donne un véritable élan aux gestes culturels posés par les Sœurs

du Bon-Pasteur. Assurant à la fois un rôle de conservation et de mise en valeur de la collection, le musée impose une réflexion sur l’œuvre de la congrégation et son apport à la ville de Québec. Source de connaissances et de découverte pour les visiteurs, il apparaît pour les religieuses comme un « lieu de ressourcement symbolique258 ». Car si les musées sont d’abord destinés au public, le Musée Bon-Pasteur s’adresse également aux membres de la congrégation. Conscientes de la situation actuelle et des multiples interrogations liées à la transmission de leur héritage, les Sœurs du Bon-Pasteur se trouvent désorientées face à la perte et la mise à l’abri d’un patrimoine qu’elles côtoyaient autrefois quotidiennement ou occasionnellement.

Le redéploiement considérable de la collection, l’élaboration d’une politique de conservation, le renouvellement du Musée Bon-Pasteur et la réalisation d’une exposition virtuelle ne sont-ils pas la preuve du dynamisme de la congrégation ? Ces initiatives et les actions entreprises depuis 1992 témoignent non seulement d’une conscience patrimoniale, mais surtout d’une volonté de réaffirmer les processus de patrimonialisation et de muséalisation, d’assurer leur longévité en dépit de leur éventuelle disparition.

CONCLUSION

Depuis leur fondation en 1850, les Sœurs du Bon-Pasteur de Québec ont accumulé et préservé un patrimoine unique, à leur image. Celui-ci est l’aboutissement du travail de religieuses visionnaires et influentes qui en connaissent l’intérêt cultuel, puis culturel. D’abord constitué afin de perpétuer le souvenir de Marie Fitzbach, des collaboratrices et des bienfaiteurs, l’héritage répond, au fil des ans, aux besoins de l’enseignement et à la curiosité grandissante de la population. Le patrimoine des Sœurs du Bon-Pasteur de Québec est le résultat d’une pratique spécifique à la communauté. Il se distingue par un triple rapport identitaire : à l’histoire (par les objets rappelant la fondation), au rôle social (par les objets témoins des œuvres) et à la religion (par les objets à caractère religieux).

Nous avons tenté, tout au long de notre recherche, de comprendre la situation du patrimoine religieux en questionnant ses processus de constitution et de mise en valeur. Si l’étude du patrimoine religieux connaît un intérêt grandissant ces dernières décennies, les processus de patrimonialisation dans les communautés religieuses sont peu connus. Notre idée de départ était d’identifier et d’analyser les pratiques patrimoniales et muséales en privilégiant une approche ethnologique. L’ethnologie, en privilégiant le point de vue des détenteurs d’un patrimoine, tient en effet une place originale dans les travaux portant sur la patrimonialisation. En plus de rendre compte de la mémoire des Sœurs du Bon-Pasteur de Québec, l’enquête ethnologique nous permettait d’accéder à l’expérience sensible des religieuses et de comprendre des moments associés à une pratique patrimoniale particulièrement significatifs pour les religieuses. De notre intention a été formulée une problématique organisant la suite de notre mémoire : comment et pourquoi le passage du cultuel au culturel s’est-il effectué dans la communauté?

Dans le but de nous familiariser avec le patrimoine religieux québécois, les discours relatifs à une congrégation et les spécificités des Sœurs du Bon-Pasteur de Québec, nous avons d’abord eu recours à la recherche documentaire. Notre terrain de recherche, puisqu’il impliquait une première analyse, a fait émerger des reformulations et de nouvelles idées,

qui ont influencé le déroulement et l’issue de nos travaux. Après nos premières rencontres avec les religieuses, nous avons par exemple décidé de tenir davantage compte des sources archivistiques, qui permettaient d’identifier les premières actions de conservation et de mise en valeur. Afin d’avoir accès à la conscience et à la pratique patrimoniale des Sœurs du Bon-Pasteur de Québec telles que vécues par les religieuses, nous avons mené des entretiens auprès de membres de la communauté. L’intérêt de l’enquête orale résidait alors dans l’atteinte de l’expérience sensible des intéressées et dans l’obtention de connaissances livrées de l’intérieur. L’enquête ethnologique nous a également permis d’appréhender le patrimoine des Sœurs du Bon-Pasteur tel qu’elles le définissent et le perçoivent.

En plus de mettre en relation les différents témoignages et de confronter les points de vue personnels et communautaires, nous avons procédé à la triangulation des données. Nous appuyant sur des sources bibliographiques, archivistiques et manuscrites, nous avons confirmé l’information issue des entrevues et nous nous sommes assurée de l’exactitude des faits. Cette approche, qui privilégiait la complémentarité des données, a élargi notre vision des pratiques patrimoniales et muséales des Sœurs du Bon-Pasteur de Québec. Nous avons favorisé l’analyse en continu, alternant les séances de collecte et de traitement des données afin d’adapter continuellement nos travaux. Nous avons aussi questionné notre posture de chercheure, étant notamment fortement impliquée dans la « production » des données et l’enquête. Confrontée aux questions d’objectivité et de subjectivité, de distance et d’engagement, nous avons adopté une approche réflexive en soumettant notre méthodologie à une réflexion critique.

Pensée à la fois comme un processus et un produit, notre recherche a donné lieu à un riche matériau, qui s’est développé tout au long du terrain ethnologique. Au terme de nos travaux, nous avons eu accès au discours de la communauté et à son regard porté sur le patrimoine. Nous avons été à même de saisir ce que les Sœurs du Bon-Pasteur valorisent parmi les éléments de leur héritage, sans porter de jugement quant à leur pertinence. Offrant davantage qu’un aperçu de la constitution de l’héritage de la congrégation, notre recherche a permis de comprendre l’immatériel qui donne sens au patrimoine. Les témoignages ont mis au jour les valeurs conférées au patrimoine, mais également une sensibilité vécue de

l’intérieur. Notre enquête nous a ainsi révélé les « émotions patrimoniales259 » des religieuses, définies comme les pensées, affects ou motivations associées à l’atteinte ou la menace d’un patrimoine essentiellement matériel. L’atteinte de cette charge émotive a assurément contribué à une meilleure compréhension du patrimoine des Sœurs du Bon- Pasteur de Québec et de ses processus de constitution.

Cette appréhension du patrimoine a en outre impliqué une recherche de l’expérience sensible des religieuses. S’organisant avec ces émotions patrimoniales, le sensible a mis au jour une autre manière d’investir et d’interpréter le patrimoine. Si les processus de patrimonialisation peuvent être considérés comme des efforts de mise en forme de sensibilités, la demande de patrimonialisation peut, pour sa part, être envisagée comme une réponse à des sensibilités260. En constituant un patrimoine à leur image, les Sœurs du Bon- Pasteur ont fait davantage que conserver des biens matériels. Elles ont « [fait] collectivité autour de ce qui est patrimonialisé et [ont créé] des liens [sociaux] pour articuler […] un Ŗpartage du sensibleŗ, c’est-à-dire la formation d’une expérience sensible du monde par une affirmation conjointe de manières d’être, de faire, de dire.261 »

Bien que nous nous doutions que la perpétuation du souvenir de Marie Fitzbach et de la fondation avait motivé une prise de conscience patrimoniale, nous avons été surprise de constater la variété et l’innovation des initiatives culturelles engagées dès la fin du XIXe siècle. L’étude des processus de patrimonialisation nous a révélé les valeurs attribuées à la culture matérielle. D’abord jugés dignes d’intérêt pour leur filiation avec la fondation, les objets sont progressivement appréciés pour leur valeur historique, artistique, éducative ou culturelle. Si les propriétés conférées à certains artefacts évoluent au fil des ans, les biens associés à Marie Fitzbach et aux collaborateurs gardent un statut particulier, conservant en

259 Voir, entre autres, Christian Hottin, dir., Émotions patrimoniales, Paris, Livraisons d’histoire de

l’architecture, 2009, Daniel Fabre, Émotions patrimoniales, Paris, Éditions de la maison des sciences de l’homme, 2013.

260 Auzas et Tran, dir., Patrimoines sensibles : mots, espaces, pratiques, p. ix. 261 Ibid., p. xxi.

Les auteurs empruntent l’expression « partage du sensible » à Jacques Rancière (Jacques Rancière, Politique

et littérature, Paris, Galilée, 2007 et Le partage du sensible : esthétique et politique, Paris, La Fabrique,

quelque sorte leur rôle de reliques. La protection de ces objets constitue d’ailleurs un premier élan à la pratique patrimoniale et une première appropriation de l’héritage des origines. La reconnaissance du legs des aïeuls s’établit quant à elle par la mise en valeur, avec notamment la création d’un musée-souvenir. La diffusion et la transmission chargent alors la culture matérielle d’une valeur collective, sinon culturelle. Les artefacts, qui deviennent des références physiques de la fondation, incarnent une construction du temps. Davantage, ils s’affirment comme une construction de sens et un vecteur d’affirmations identitaires. À l’image des rôles conférés à la culture matérielle, le patrimoine des Sœurs du Bon-Pasteur de Québec revêt, successivement ou simultanément, un statut de témoin historique, de signe, de construction sociale ou d’expression de la mémoire. Considéré comme une marque du passé, l’objet est toutefois pensé par les religieuses dans le présent. Puisqu’elle propose la réédification d’un héritage perdu et qu’elle est envisagée à partir d’une rupture ou d’une continuité, la patrimonialisation peut se comprendre selon le principe d’une « filiation inversée262 ».

En nous intéressant à la constitution du patrimoine des Sœurs du Bon-Pasteur de Québec, nous avons cherché à faire ressortir les motifs ayant influencé la création d’un corpus. Nos travaux ne prétendent toutefois pas présenter une vision exhaustive des actions patrimoniales des Sœurs du Bon-Pasteur de Québec. Ils exposent plutôt une vue d’ensemble des processus de patrimonialisation, qui permet de comprendre les différentes motivations des religieuses. Devant la situation du patrimoine religieux et les interrogations des communautés et des chercheurs, nos travaux ne peuvent être que provisoires. En analysant les raisons ayant motivé une prise de conscience, puis une pratique patrimoniale et muséale, ils peuvent néanmoins participer à une meilleure compréhension du patrimoine religieux québécois.

L’étude de la patrimonialisation, telle que nous l’avons conçue, ouvre plusieurs pistes de recherche à approfondir. Si ces possibilités peuvent conduire au développement du sujet d’origine, par l’exploration, par exemple, du patrimoine immatériel ou des

prochaines pratiques patrimoniales, elles peuvent également mener à l’élargissement de nos travaux à d’autres terrains ou approches. Il serait par exemple intéressant d’analyser la (re)construction du patrimoine des Sœurs du Bon-Pasteur de Québec au cours des prochaines décennies. Que va devenir en effet leur patrimoine à la disparition de la communauté? Les objets conserveront-ils la même valeur? Préserveront-ils toujours un caractère patrimonial? Il serait également pertinent d’étendre notre recherche à d’autres communautés religieuses, soucieuses de comprendre la production de leur patrimoine. Une étude comparative des processus de patrimonialisation dans différents groupes religieux permettrait en outre de mettre en parallèle les initiatives de conservation et de mise en valeur proposées. Elle pourrait également établir un portrait plus global de la pratique patrimoniale en contexte religieux. Ce type de travaux faciliterait assurément la compréhension de la constitution de leur héritage, privé ou collectif.

BIBLIOGRAPHIE

SOURCES

I. Sources orales et manuscrites

VACHON-BELLAVANCE, Valérie. Entrevue réalisée auprès de sœur Denise Rodrigue à

la Maison généralice des Sœurs du Bon-Pasteur (Québec). 15 novembre 2011.

Enregistrement sur support audionumérique. 1h14.

VACHON-BELLAVANCE, Valérie. Entrevue réalisée auprès de sœur Claudette Ledet au

Musée Bon-Pasteur (Québec). 8 août 2012. Enregistrement sur support audionumérique.

1h29.

VACHON-BELLAVANCE, Valérie. Entrevue réalisée auprès de sœur Céline Lacoursière

à la Maison généralice des Sœurs du Bon-Pasteur (Québec). 20 août 2012. Enregistrement

sur support audionumérique. 29h43.

VACHON-BELLAVANCE, Valérie. Entrevue réalisée auprès de sœur Denise Rodrigue à

la Maison généralice des Sœurs du Bon-Pasteur (Québec). 20 août 2012. Enregistrement

sur support audionumérique. 56h43.

VACHON-BELLAVANCE, Valérie. Entrevue réalisée auprès d’Amélie Leclerc et de

Mélanie Woodman à la Maison généralice des Sœurs du Bon-Pasteur (Québec). 30 août

2012. Enregistrement sur support audionumérique. 1h48.

VACHON-BELLAVANCE, Valérie. Carnet de terrain. Notes manuscrites d’enquête et

comptes-rendus des visites au Musée Bon-Pasteur. 2011-2013.

II. Sources archivistiques et documents des Sœurs du Bon-Pasteur

Archives des Sœurs du Bon-Pasteur de Québec (ABPQ) :

Acte d’érection canonique de l’institut. 1er février 1856, 110-10-02. Annales de la Maison-mère, 1850-1976

Correspondance reçue par Mère Marie-du-Carmel (Émilie Langlois) Constitutions et règles

Documents publiés dans le cadre des anniversaires de fondation de l’œuvre

Le Bon-Pasteur de Québec. Un siècle d’histoire, 1850-1950. Extrait du Petit

Courrier du Bon-Pasteur de Québec. Septembre 1949, 20 p.

Le Musée Bon-Pasteur des Sœurs du Bon-Pasteur de Québec dans la maison Béthanie ŕ rue Couillard, I. Concept.

Les Temps Héroïques de notre Histoire, 1850-1856. Album-souvenir. Asile du Bon-

Pasteur, Québec, 1910.

Mère Marie-du-Sacré-Cœur, fondatrice du Bon-Pasteur de Québec. Imprimatur.

Québec, 4 mars 1947.

Nos souvenirs de la fondation. Précieux registre de Mère Marie-du-Carmel (Émilie Langlois) Nomenclature des objets du Musée souvenir.

Notices nécrologiques

Position sur les vertus et la renommé de sainteté. Marie-Josephte Fitzbach (Mère Marie-du-Sacré-Cœur, 1806-1885). Fondatrice de l’Institut des Sœurs du Bon- Pasteur de Québec. Rome, 1997.

Promoteurs et protecteurs de l’Œuvre du Bon-Pasteur de Québec

III. Sources électroniques

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VACHON-BELLAVANCE, Valérie. « Les Sœurs du Bon-Pasteur de Québec et la Crèche