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noir;

kuat= KUn,

cons-truire;

Uçl

,katn

= KO'TE»

astuce;

-Ul

,/«A'rt

= TîK,

étincelle,etc.

Sil'on (li^sirnit lesdislingiierdnn.s

latranscriptiondes liiéroglyphes,il fmi-droit, je crois,les(écrire

K

et

K pour

éviterlegrave inconvénient

de

transcrire le

même mot,

suivantlesvariantes, avec

deux

lettresdilTérentes.

42

MÉMOIRE

SUR EÜHIGINE ÉGYI’TIENNE lesmots

"

î,barkabuUi

niDin,pisciiiex;

,tmrkabuta

unpluriel[inerkabol)denas-ie, char.

On

pourraiten ajouter plusieurs autres; Je

me

contentede citer,

comme

unnouvelexcm[dede cesempruntssémitiques,le

nom

delacitharede David, i\n;ilapparaîtsouslaforme ,Kenaanaur,dansuntrés-curieux passagedu papyrus Anastasi, IV.

Latranscriptiondu3parlacoupe .estdonc unerèglea.ssez fidèlement observée;onapu remarquer quele3,avecou.sans daguesch,estindiiréremmentrenduparle

même

signe

;il

me

semble doncbienprobableque M. Brugschs’esttrompé,quandila cru reconnaître l’équivalentdu3dans J,dontlavaleurest

kh^n;

le seulexemplesur lequelilse fondene

me

paraîtpasconcluant:le

nom

deville Khanart'a,estattribuéparluià

r333,leGénésarethde l’Evangile. Je vois plusieurs raisons de ne pasadmettre cette identification;lajireinièreseraitla transcrip-tiontout exceptionnelledu3parJ;celledun par quiest spé-cialementaffectéaus,neseraitpasmoinsirrégulière,ris?, suivant touteapparenceprovientdela

même

racinequeleH33, dontnous venonsdevoirl’orthographe égyptienne;les

mêmes

écrivainsne l’auraientpas transcritpardes signes d’une valeur phonétique aussi différente.Khanraiaestmentionnée danslepapyrusAnastasi,1

(56,6),parmileslocalitéssyrienneset

comme

appartenantau psysI L/po(?):cette placeportelaqualification de Tau-reau surses frontières.M. Hincks afaitremarquer,è propos de ce nom, quelesEgyptiens ajoutaientvolontiei's lanasale à certaines syllabesoùlesSémitesnelaprononçaient pas oudu moinsne l'écrivaientpas.Nousavonsvérifiésouvent l’exactitude de cette importante observation.M.liinckscompare doncKhanrat’aàla villed’E/usah),citéepar saintJérùmc.Eneffet,cemotse trans-criraittrès-exactement par en négligeantlanasale.

On

pmir-Onverrnplus loinqueleS se transcrit parRen i^^yplicn.

DEI;AI.I>HAI!ETphénicien. h3 rail

yvoirégalementun terme employépar Uanielpourdésigner lefosséd’une place forte;V’’”’!maislaracine yjn

me

plaît da-vantage,parce qu’ellesignifie la/orceet la vaillance,etqu’elle sc trouvepar conséquentenrapport avec l’épithètede Taureau sur sesfrontières,que donneà cettevillel’écrivaindelaxix''dynastie.

Cesremarquesjustifientl'opiniondeM.Hincks;ainsitombele seulexemplesur lequelM.Brugschavait établiladistinctiondes transcriptionsentrelesdeuxcaph3et tousceuxque nous avonscitésmontrentqu’ilsont étéindilTéremmcnt transcrits par le

«.

Lalettrequelesbiérograinmates ont rapprochéedu3avec cette constance devait avoirune nuance deprononciationquijustifiait ce choix; dans notre système,c’estcelle-là,à l’exclusiondetoute autre,dontlesPhéniciens ontdû emprunterlaformecursivepour enfaireleur3.Laplanchenepeut, à cequ’il

me

semble,laisser aucundoute surlaréalitédufait.La formedel’inscription d'Es-climun-eter seremarque

comme

laplusressemblanteautype cur-sifdu papyrusPrisse;ellen’aguère subi d’autre altération qu’un simpleredressement; l’appendicedegaucheestdevenuplus carré parlatendance naturelledelagravure,et latige l’aun peu dé-passéeen hauteur.Cetype explique parfaitementlesdiverses abré-viationsquiluisuccèdent. Lesformesaraméennes,ouvertespar en haut, ont leurs correspondants danslesvariantesdu papyrus de Berlin.

Renouvelonsici,avant de quitter cettelettre,notreremarque paléographique:c’estdu premiertype égyptienqueprovientla lettrephénicienne;lalettreredevienthorizontaleàuneépoque moinsreculée.Danslespapyrusdelaxix'dynastie,laforme oblique n’estplususitéequelorsquele

^,

écritau-dessous d’une autrelettre,sedétachedelaligneparle traitinférieur;

danslecorpsdel’écriture, laformeestdéjà horizontale9—7. Dans lepremierstyle,au contraire,c’estlalettreisolée qui occupe toutelahauteurdelalignepar sa position oblique. C’estdoncà

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MÉMülllI-;suitU’OUICINKÉGVPTIKNNK ccttoépiMjiic(|u’ilfauticnionterpourtrouverletjpe(juenous dierclions,etilfautavouerqu'onlereconnaît])lusfacilementdans le 3i\'Kschmun-e:erque dansleslettresdtimotiquesetcoptes,dont lafiliationne pourraitcependantôtrecontestée.

LePadonnélieu,delapartdes liiéiograrnniates, àunerégie de transcription aussi tranchéequecelledu3.C'estlesigne j, qui luiestspécialementaflecté.M.HincksclM.llrugscliont déter-minécettecorrespondancedanslesmotssuivanUs;.<^*7

* 11' karla

=ivip, n: 3p, bourg,ville; A'inn

njpl'lParmiles villesprisespar Seionkl,en Palestine, figure: AVi-lamat; ce

nom

sereconnaîtfacilementdans ntcip,citédelatribu deHuhen. Ankarana,estuneplacedontlaprise estfigurée àKarnak parmilesconquêtesdeUainsèsII.Ainsiérril, ce

nom

suitlaformearabe quicorresjiondàfhébmi pSptfN,Ascalon.M. Brugsebcroitreconnaîtredanslesconquêtes deSeèoiik lemotpoï, profondeur,vallée,quisertàcomposerlenom dediverseslocalités,danslaplace

nommée —

Pa-amàk.

Puest l'articleégyptien, quiaété ajoutédans cetcxempleetdans plusieursautresàdesmotssémitiques,

même

servantdenoms propres,mais dontlesKgy|)tienscomprenaientlesens.Cette der-nière identification pourraitlaisserdudouteàquebpies person-nes, maisle

nom même

duroiSeionkne se prêle.'iaucune ob-jeclion.

La formehébraïqueptf'Ç,comparée fégypticn Seienk,nousesttrès-précieuse

comme

un exempleno delasuppression delanasaledansl'orthographesémitique,ou plutùtdeson insertionparlesEgyptiens, carc'estavec toute ap-parencede raisonque M.Lr'psiusindique à ce

nom

royalune ori-gine sémitique'*.

ParmilesmotsempruntésauxHébreux,je crois pouvoir indi-C*csllenom duriiisseniiqui cou- sur Mngijtnldo.

OuleIrouve|xjrle luitoiiti'ül'qihrüïmetMnnnsse,etque pnrtiiillebreunuu»Inrorme pçftf

.

ThotilmèsIIIrcnconlredans $nmarche 1,vni,iV)

^

J

.

1conleslalde

UKL'ALI'IIAIIKTl’HÉMaEN. hô

f|iicr

comme

lîcrilsavecleJ

=

p: ^^ornata,que

jecompareà corne»; roncesouépinesI'),

oùje reconnais yip, épines; ® "ÿ ,jfirkata'**,queje rapporte auradicalpin, frenduitdcniihus.

La transcriptiondupparlesipnejpeutdoncùtreconsidérée

comme

unerègle assezconstante,pour nousindiquerunrapport intime entrelesnuancesd’articulationsquelesdeuxpeuples écri-vaientpar ceslettres.Jen’aidoncaucunelibertédans

mon

choix, etc’estàlaformecursivedu s queje doisdemanderl’originedup phénicien.Icileslettreshiératiquesn’ontvariéessentiellement qu’aprèsla xix'dynastie.Ilsuflitde redresser ces diverses ligures pourlesreconnaître;danslephénicien,latige s’estseulementun peuallongée.Letypearaméen,ainsiqueleslettresitaliques,sont restésplussemblablesau modèleégyptien,parcequ’ilsont été tracés,

comme

celui-ci,pardeuxtraitsdecalame oude burin.

Danslephéniciend’Esckmnn-ezeretses dérivés immédiats. Injonc-tiondesdeuxtraitssefaitparunretour,qui a produituneseconde boucle en avant. Les formes plus récentesdel’écriturehiératique ontdonnénaissanceau kdémotique delaforme

^

,quiest in-finiment plus éloignédu modèle quelalettrephénicienneou hé-braïque,ouquele

Q

de nos écritures occidentales.

Nousavonsremarqué quelalangue égyptienne n’avail pas pos-sédél’articulation

G —

j;nousnedevonsdoncpasnousattendre à trouvericides transcriptions aussi régulièresque pourle3etle p.

Lorsquelesécrivainségyptiensrencontrentun3àtranscrire,ils hésitentquelquefois entrelesdiverehomophoneshiéroglyphiques.

Ainsi je trouve3rendupar

^,

lereprésentantdu3,dans

=

133D,etdanslemot maoar

=

'?03,chameaul’h

Pap. AnasUisi,58,3.

Pap. Ana»lafli,I.aô.g.

Onpeut encoreciterlenomroyal

^ ,Talcert, (|iii

parait êtrelenom dutigre 1 maislatonne |>euttairedoutersi lesÉgyptiensontvtmlutranscrireici un

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if, MÉMOIIIKSU!I;0I\IC.1^KÉCYI'TIENNE M.Biixlianotà éj'alcmcntdanslestribusd'Asieunesurtede vase d’arRcnt nuiniiK^^

U

\

akeiia,qu’ilcompareàl’iiébreu

tjK, jielvis.Lejesticiécritpar[J,lequatrième k é|;yptien, d'un iisaj'eun peuplusrestreint.Ilserait diflicilede diresice caractère serapprochait plus delanuancedu quedecelledu•—^“3.

Ilexiste,danslesmotségyptiens,des variantesde[Javec cesdeux signes.Les dérivés copteslerapprochent plus souventduk;on peutnéanmoinsciter

comme

exceptionJLI Ç bekau

qai6e, lucere,etquelquesautresmots.Cuininetransrii|itiondesmots sémiti(|ues,[Jestégalement rapprochédu3,dansle

nom

duroi Nekau,135,écritparletaureau,homophone du|J, et dansle

nom

delaprincesse

SS

kerama;lesigne•ÎT.

ajoutéauxlettres,sembleindii|uer<|u'ils'agitd'une plante,dans lesens radicaldece

nom

propre:jelerapporte àd'j:,vinea.Les moLssémitiques transcrits aveclesignejjdevrontdoncêtre cher-chés d'abord souslarubriquedu3,mais sans exclurelesautres pa-lataleset gutturales.

LeJ,correspondantdup, apparaîtàson tour,

comme

tran.s-criptiondu5dansle

nom

deville Kahuâtm,dela listedes conquêtesde Sdoiik.M. Brugschl’identifieavecGubaon, p5'35, villedelatribudeBenjamin.

Maisilexisteuncaractère<|uia servi bien plushabituellement à transcrirele5 ,c’estlesigneQ; onvoitpar certaines transcrip-tionsduDictionnairehiérogli/pliiciHe,que Champollionavait déjà re-marquécerapprochementduESavec les; maisc’estM. Brugsch quil’adéiinitivementmis enlumière.Lavillenommée, dansles hiéroglyphes Mûknier,répondbienan Muç*'*de laBasse-Egypte, etlepaysde 77!

O \

1.,5a«tar,coiista

ni-LavillenomriR^c pe-nml;ieren Seli Meri^en-Plah {Sfltcl pnp^r.pl.xcm)ne meparaitpasmte variante de Migdol.

Cepeut êtreunedesvillesnomméesdnn5 laBible. turriit.I/nilhn^rnphe

avorW9(leux (lélerminnlirs. se prêle à ee sens:lesigne indiquerait |>ent-èLreneanmoins undérivédeloracine "ins. circHnuifdil ,

signifiantmcfinle.

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DKK'AI.l'HUlKTl’HÉMCIKN. 47 mentcitédansle!\almrmn,estbiencertainementleisiÿ, sous laformearabe Cesdeuxattributionsproposéesdepuis long-tempsetcitéesparM. Brugschsont incontestables.Cesavant a éga-lementreconnu,danslalistede Seionk/,diversexemplesde cette lettreainsiem|)loyée;ainsi:

n

A‘«ewo«estbien cer-tainement ranciemiecitéchananéenne quilitpartiedelatribu deManassc,et futdonnée auxlévites.

La

même

listeporte toutefoislenomdelieu I

V^.

^.pe-nekru

;

outreledéterminatifgénéraldes régions nousavonsicil’angle V,déterminatif spécial descdlés,direction»,etc.

comme

dans mehi-t,nord,vie,.;pe-nekvu(avecl'articlepe)

me

paraitdonc évi-demmentcorrespondreaumot3^:,qui caractériseladirectiondu midi.

Unautre

nom

delienoude peuple revientégalementtrois fois

danslalistede Seionk;ilest écrit pe-hakeri; ces

troisplacesdésignentcertainement des fractions des peuples arabes

nommés

o'3:n, qui attaquaientlestribus établiesau delàdu Jour-dain

Danslevoyagementionnépar l'auteurdupapyrus Anastasi, n°1

,jetrouve surlecheminde Khélauneplace

nommée

Ikari;ce

nom

représenteexactementpV»,villeroyale desChananéens,citéeaulivrede Josué(x,i3), et attribuée àla tribudeJuda.

On

pourraitnéanmoinsconservericidesdoutes à causedel’absencedelalinalep, quiesthabituellement trans-critepar na.Enrevanchelesmotssuivants,empruntésà Thé-breuparlesécrivainségyptiens,ne

me

laissentaucune incerti-tude.

Akarta

=

ciirru»,plauslnim.Cemot apparaît,deuxfoisde suite, dansuneinscriptiondelaxx'dynastie conservée àHammamat;lerédacteurydécritunearméede huit

Cf. ilenestdemêmede markabuia,cii^

Celteforme ahurat semble se rap- plushaut,quitranscritexnrlcment: porter hreliede IVtat d'annexion : T2Z7P.eurruM.

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/i« MÉMOIIIEsuitLORIGINK KGVI’TIE.NM-millehommes,dans ses divers détailsl'I;l’énumération se termine parlaphrase suivante:

^en-niu

m

ten —Iferkemicmio ch mkarata

\

s ::\ 1=11 :i a

ïq^th-au G hctar rn nua-uher Aakarata

motàmot:nSuntallatæillisresdeÆgyptoindecemplaustris.

Itérantsexparia

boum

pro(uno)plaustro.n

,^PnVTD'^’

pe-scfair ;lesdéterminatifsde cemot,[j le

mur

et

n

lademeureen (jénéral,fontreconnaîtreaisément njw, ekusti'um,carrer,oulaformevoisinenl3ç,clatisura.

Je pourrais encore indiipier d'autresmots empruntésàl’hébreu, telsque: kiu-l—n':(c. vallis,etleverbe J'rtrpw

~

>yij,verrere;maislespreuves seraientmoins immédiates.

Lesexemplescitéssullisentd’ailleurspourétablirque,sauf quelques exceptions,le3aété transcritparlesigneO,choisipour cetusage avecunepréférence très-marquée. Cette attribution spé-cialede3à

n

estd’ailleursconfirmée par l’emploidu

même

signe pourtranscrirele^dansle

nom

deGaza.Celtevillesemontre à l’entrée de Thoulmès III en Palestine, souslaforme Kal’alu,(]uireproduit scrupuleusementlaformearabe

On

saitque,l'alphabethébreun’aduiettantpasladistinctionentrele

£etlej,labibleécritcemotniv'*'.L’ethnique 'm?,faitressortir lelfinal, etl’orthographe l’â^amontrel’antiquitédela pronon-ciationparle guttural.

Touscesfaitsnousforcent àchercherdanslesigne

n

letype du3.Lesignephénicienquejesuppose dérivédelaformecursive,

'*l.cpius,Uenkmilec,lit.aip. ***t.aviilcurexacte«te

^ s.îsera '*Seîect pl.\01II. e.xpliqncoplusloin.

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1)Bl,(UMIAliKTPIIK.NK'.IK.N. A!)

n'apas cuiiservélaresspinhlaiiccIrappantciiuenousavonsIi-oiivihî flans le 3 etiftP;ilfautsiijiposer (pie l’alin'-viation l’aréduitA la moitiéde son traeé, etquetoutelapartieinférieureadisparu;

aussileghimelest-ilunedeslettresquej’aisignalées

comme

étant très-altérées.Ledémotiquen’apasconservéplusfidèlementla formecorrespondante.Jesuispersuadénéanmoins,(ju’ilfaut suivreencoreicilesindicationsdes transcriptions,clquele

O

est

levéritable prototypedu3par l’entremisedusijpiecursifdu pre-miertype.

Leplusancien A,gamma,estidenli([ueau pliénicien d’/sscA-mun-ezer;lasecondebranchedel’aiq'leneserelève borizonlale-ment quedans des typesmoinsarchaïques. Ainsi tracés A,leghimel etle

gamma

sont exactementlapartiesupérieuredelalettre co-piéedanslepapyrus Prisseet lemanuscritde Berlin. Cette figure aurait,

comme

presque toutesles lettresphéniciennes, subiun re-dressementpourrégularisersontracé.

DKXTAI.ES.

L’alphabet l'gvptiennousoll'rcencoreiciquatreliumophones pourune.seulearticulation, Asavoir:

—,

•,)ett=s, ipii repré-sententunT. Les Phéniciens avaientau contrairereconnula né-cessitéde distinguer dans leur langagetroisdentales:1,oetn.

M. Brugsch, poursuivantlesconséquencesdesou système, voudrait égalementnoterdanslesmotségyptienstroisdentales;I),

T

et T'.Mais je

me

rangeici,sansaucunerestriction,àl’avisdeM. Lc|i-sius,quin’enreconnaîtqu’une seule.M.Hincksestarrivéau

même

résultat;car,après avoir indii[ué ses soupçons surune va-leurs|)écialcqu’aurait eula lettre ilrecormaîldansunenote riiomiqilionieparfaitede ce signe aveclestroisautresI.Jen’ai remarqué aucunediiîércncedanslesdérivés coptes qui proviennent de motségyptiensécritsparl’unde ces quatre signes. (Juant aux variantesorthographiques,M.Brug.schadmet lui-même quelles

A

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