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Si nous groupons les renseignements donnés par tous ces mots, nous trouvons (jue les Égyptiens ont traité le y de plusieurs fa(;ons;

quelquefois

ils

Tout supprimé et n’ont écrit ([ue

la

voyelle; quel-quefois

ils

l’ont changé en aspiration; souvent

ils

l’ont écrit par leur voyelle emphatique

.*-1;

enlin, quand on a recherché une approximation plus exacte, on

l’a

transcrit par

le

sigle du mot

âxi, '’I".

Tout ceci nous aniène aux mènuîs conclusions que l’étude de

la

langue copte, à savoir, que les Kgyj)tiens n’avaient rien qui cor-respondît exactement è cette articulation, qui paraît d'ailleurs tout à

fait

spéciale aux familles sémiti([ues. Je crois donc que les Phé-niciens ont

faitici

ce (jue chaque nation

lit

plus tard en adop-tant un alphabet étranger;

ils

ont ajouté une articulation

(jui

leur Le y

(

^

nrnbe)seulement;

quant

nu

y

(

^

arnbe),

nous

avons vu(ju'il«Uailrendu

,

connue

le3,par

Q;

voy.p. /i8.

Hnq'srli.Ovofrr.t.II.(17. (>8.

9G MÉMOIIIRsuiti;01lIGINKKGVI'TIKNSK (Uail iH-cessairt'.Jn rappelleraiicilaconjecturede M.Leiiorraant, f|uipensequela(ijjiiredeIVeil,réduitesouventdansles liiéro-jilypliesàunpetitcercleO,peut paiTaitenient êtrel’origineduy.

Ilestcertainquel'alpliabetégyptiennefournil riende sernhlahle àcelte sortede cercle O.Le

nom

duysignifiemf.M. Lenormant faitremarquer,fortà propos,qu’ilya

même

unrapportdeson, puisquel’œilconq)let

»

avaitlavaleur syllabique an;ontrouve également ou I-^eradicalan, signifiantrevenir, retourner(en copteon,rursus,ilerum), a fournile

nom

de Yavale, '^c^.

On

sait lesrapportsqueley possède aveclanasale(oul’a souvent transcritng);ilestdoncfortpossible <|uelesEgyptiens eux-nièmcsaientindiqué,à leurs élèves dansl’artdécrire,la syllabe an, représentée par

»

ou cd, romniepro[ire à écrire les.

Les Sémitespeuventnéanmoinsl’avoirajoutée àl’alpliabetpar leur propreinitiativeen imitant grossièrement paruncerclelapupille

«ler«eil,dontle

nom

fournissait,par soninitiale,lalettre

ni‘ces-•saire.Cequi

me

paraît certain,c’estqueletypedelalettre pbé-niciiumene se trouve pas plus dansl’alpliabetantiipiedes Êgy|>-tiens,querarlirulalionne se trouvaitdansleur langage.

SElll-VOÏELLES.

Nousavonsinsistédéjà surunpointimportant de l’orlbograplic pbéniciennedi'sinscriptions anliipies;jeveux parlerdel’absence complète de voyelles quiescentes.Le«clleinesont,danscet an-cienstyle,quede véritables articulations; ce sontdonc deux semi-voyelles«{lielesEgyptiens mitdàfournirpourcompléterl’alpliabet sémitique.Lei,en égyptien,s’écrivait lesigne

w

ne

me

paraît pasautrechosequ’unesimpleabréviationdela

même

b•tlre.

M. Hrugscbprétendque\\doit êtreconsidéréromnielavovelleî,et Il

comme

lasemi-voyelle. Jenevoisaucunedillérencedansla ma-nièredont cesdeuxsignessont cmjiloyi'sparlesbiérogrammales.

SiIIremplitbabituellemcntlerôled’initialedansles

traiiscrip-DKl.AI.PHAIiETl'MKMCIEN, >J7 '

tioii:-,cVst|iai‘uninulifj’ra|ihi<|iie;\\m-rorniail|iu.sundo.ssiti

convenablepourremplirl’espace,(je.sraisonsétaient très-pnis-santesdans uneécriturequifut,dè.sl'orifjino,décorativeauplus hautde(;ré;

w

seplaçant larilcnient suruneautrelettre,setrouva aucontrairetrès-convenablepourlepetitnombrede cas oùl'on s’estservid’un»,

comme

materlectianis;mais étaiti)arfaitenicnt propreàrecevoirla

même

valeur,et lesnomsgrecsetromains en fournissentplusieursexemples.Sans attacherunetroj)grande im-portanceaux monunientsde cetteépoque,nouscroyotiscependant que, pui.squelevaguedes voyellesétaitcomplètementoj)poséau génie grec,nouspouvonsregarder

comme

conforme auxrègles antiqueslesparticularitésquiprouventquececaractèrea été conservédanslestranscriptionsdes cartouches grecs et l'omains.

XX,tout

comme

s’ymontrevoyellevague, terminant parexemple le

nom

d’.lr»i;ioc,etcommençantle titreautncralor;de

même

que nousavons vu,danslespapyrusdelaxix°dynastie,

^ |commençant lemot inebu -»**,nvie.C’estqn’cn vertude savaleur de semi-voyelle», ouxxportaitavecluisanuance d’aspirationquiluipermettaitde figurer seulpourunesyllabe.

Nousavons l'encontré dans nos transcriptionslexxtranscrivant eou « dans kajir— -imou isi,etadans

”,

A(Hrt

=

n:f;.Le vague del’iégyptien s'étendaitdoncjusqu’àl’c

etàl’rt;on.sait,d’ailleiii's,que danslesmotségyptiensil

s’échan-geait (juelquefoisavec

^

signedelavoyelle n {ou).

Comme

semi-voyelle, figuredans

=

d;,marc;

=

nr.;I!$i.-/«/«»=ts;(yoppc);

=

!«;,villedelatribudeJuda,etc.

On

voitdans cedernier

nom

le»’delaforme figurant tout àlafoisd’abord

comme

semi-voyelle, ensuite

comme

voyellevaguetranscrivant».

Cettelettrel’épondaitdoncparfaitementaubutquelesPhéniciens SCproposaient.Si l’onconsidèrele<dans renseinble de ses

varié-Pap. .Anoslasi,1.pl.LU,b.

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MIÎMOIIIE SUlii;(IIUf.l\EÉllVI’TIENNK

!>«

les,ilseciii'iii'liTisc-,nu|irciiiicTenupd'œil,parInpelile.ssc

rela-livi'(lescsdiiiiciisioiis.Omisl’inscriptionliKsrhtnnn-ezc)-,onles ronnes sont romplclcs,ilu’occiipcqueleipiarldolalianteiirde plusieursnulroslettres;ilestencore plus reiuarqiiahlcmenlpetit ilaiislestypesaraniéeus aurions.Lavariétédes poidsImhylouiens estéj;alemenltrès-petite,roni|iaréeaiiüautres raraetères.C’est doue dutypeabrégé

w

queprovient,suivanttouteapparence, lalettresémitique. Lespapyrusaraniéens présententune forme absoinmentidentiqueautracé égv])tienetlesautresformes ara-méennesn’en.sontquel’abrégé.Laforme pbénieienneestun peu pluseonqdiquée,etdiffèreasseznolablemontdutypearaméen ainsi(piedumodèleégyptien.Lorsipi’elles’abri'ge, ellerevient exaelemeutauxtroislignesformant/.i{;zagdusigleégyptien,et c’estsouscelteformeipi’elleapassédansla(îrèceetl’ilalie,ou lacoiii'burediminueprogressivement jusqu'à cequelalettreail atteint laforme dunelignedroite verticale,oi'i(diesefixa dériniti-vernent.

Vousvenons d’établiripieb-sl’béniciensavaientempruntéà rCgVjilenondi‘svoyelles,mais des articulations et semi-voyelles.

Nousn’avonsdoncpas ànousoccuperdurôletpieleijoue dans lestexteshébreuxà titredevoyellerpiii'srenteoude materlertionis.

puisijuelestextesanliipicsne nouslepnWntentpasdans ceri'de.

Lavoyelle « {on), en Kgypte, représentée parlessignes

\

,Ç se prêtait volontiersà cet usage;

^

initial,portantavecluiune

aspi-ration, paraît lépondreà lu.La syllabe ua(irn)avaitpour repréi-sentant spécial, dans l’alpbabet antiquedes Kgvpticns,lesigne

Maislaprononciationduvconsonne nesemblepas avoir été,enbébreu,lesou««;dn moinslesgrammairiensnousle donnent

comme

unr,etlestranscriptionsgrecques//«'fl

=

,ivn.etc.

indi(pientégalementnueprononciation différente de naetse ra[>-proebantdur,qui m'aiirnoins avaitsonrepri'.sentantspécialdans le:sans(lni(nesrh.Les Co|ites possédaientunearlirnlation égale-mentintermédiaire entreler

=

6{riiln).et lejili•=•tj,,carilsont

.Dioitizedb\_GooqIe

ÜKi;Al,l’ll.\lilîTl'IlÉMClK.V 'J'J

juj't'nécossaii'o dt;foiiscrvarlalellroantiqueq.i|uiu'est(jue la lettre(lémotique dérivéeduserpent eéraste* dos hiéroplypliea, eoinmeCliampollionl'arcooiiniiimniédiatemont.

Nousnepouvonsvérifiersilesliiérojjraiumatesavaient trans-crit le1consonne, parle»

;cellelettre,étantextrêmementrare, ne se rencontre pas dans nos transcriptions.Le«

yestemployé, dans son rôledeconsonne,

comme

transcrivantlesonplidud

dans

H

1 T’efla

=

,etc.Mais

nousavons déjàdémontréquel’emploidelucombinaison

,

ph

-Bprouvequele

n’étaitpasregardé

comme

uncorrespondant absoludub sans(laffmsch.

était, d’ailleurs,employéqiichpiefois

comme

voyelle;danslestextesdelabasseépoqueilremplace

«,régulièrement. Plusanciennementilexistedes formes gramma-ticalesoùiljoueégalementlerùledevoyelle;ainsidansla for-mule ,ontrouvedes variantes oùlafinale estécrite etoù,par consé(|uent,<

estsupprimé

comme

unevoyelle ordinaire.Soncaractère serésume doncainsi:

comme

voyelleil égale «vague;

comme

consonneilseplaceauprès de

J^,

bii

(t'«),de

,

ph,etde «a;ilestconservé précieu.scmenlpar lesCoptesdanslecpHétaitdoncon ne peut plus convenable pourfourniraux Sémitesletypedui.Ajoutons qu’au milieudu trè.s-petitnombre decasoùse rencontrelei,undes plus remar-((iiablesestson emploi

comme

représentantlepronomdela troi-sième pei-sonne.Laparfaite re.ssemblancedespronomspersonnels danslesdeuxlanguesn'apaspuéchapperaux ])ei‘sonnages égyp-tiensetsémitesqui se sont occupés d'adapter l’alphabetaux idiomes sémitiques.De

même

quele3,quiaservià noterlesullixedela seconde personne,n'étaitautre chosequelacoupeégyptiennews, qui avaitle

même

emploi grammatical, de

même

le

adù na-turellement servirde typeau1,qui devientpronomsullixeùla liude certainsmots.Disonsenfinquel'identitédelafigurede CCSdeuxlettresnelais.seprise àaucundoute.Danstouslestextes phéniciensd'une grande antiquité,laformedu1,quoique

redres-I

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-lOü MKMOIIIKsutI.OIIICINKÉCVI'TIKNM-;

st’C,([iii'ilfenrôlelu[racedelulonneondiiléi'ijuicniacléi’isele serpiMil

SIMILITIUES(JKMilUI.KSENTHK LESDELL SYSTEMES leÉCHITlBE.

On

poniTuil,enclioisissnnides variétés pins favorahicsparmi lesnionunicntsdesdiverses époijues,dresseruntableauoùles rapproclicmenis seraient encore plussaisissantsqncdansletableau généralquirésumenos recbcrclies; maisj’aivoulu exclure de ce tableau tout cequi pourrait paraîtrefactice.11ne secompose que d’un simplerapprochement,opérélettreparlettre,entre l’alpha-bettirédumonumenttYEschmun-ezeretdeceluidupapyrus Prisse.Surlenombre devingt-deuxlettresquicomposent l’alpha-betsémitique, huitaumoinsdoivent être considérées

comme

étant à peine altérées,soitparleredressement,soitparuntracé plus anguleux; ce sont:«y, q,L,,p-,qetY-Quatreautres sont un peuplusmodifiéesparuntracéqui paraitdùàlagravureou parleredressement; ce sont if, ett\.Cinqlettresontgardé leur aspect général, mais ont été forlement abrégées; ce sont;

5,>y,Petji.Le Aet le*>ontperdutoute leur partie inférieure.

Le“iet le«,delavariétéphénicienne, paraissent avoir reçuune légère addition.Enfin, exceptéleo,pourlequelnousavons exposé nos conjectures,chaquelettrede l’alphabet phénicien a son type, soitintégralement conservé,soitencore reconnaissable malgréles déviations,dans unelettreégyptienne.Orcettelettreégyptienne est,d’aprèsletémoignagedeshiérogrammates,précisémentcelle quiconvenaitlemieux pourrendre,l’articulationphénicienne

cor-ies|)ondante.Je crois ijue ce serait aller contre touteslesrèglesde laprobabilitéquede voirlàunjeuduhasard.

Aces similitudes,purementmatérielles,unespritjudicieuxne manquerapas d'ajouterlesrapportsintimesqueprésententles deuxméthodesd'écriture.Lesystème desconsonnes sans voyelles etdes voyelles vaguesestcertainementundes caractèreslesplus

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KEl.'Al.PllMiETl>Hf;M(’.IEV lui ri'a|i|)antsdespremiersélénieiils lillt-rairesdecesdeuxpeuples.

Ou

apucroire lon|;tempsquecelleiiiaiiièrede concevoirla syl-labeétait(|uel([ucchosed’essentielaugéniesémitique;mais on saitaujourd’huiquelesAssyriens écrivaient,au contraire, avecun syllabaire à voyellesfixes,qui fournitauxsavantsunmoyen |)uis-sanlpourdéterminerlesformesgrammaticales desmotstracésen écriturecunéiforinedelatroisièmee.spèce.L’attribution d’un sys-tèmede voyelles vagues aux langues sémitiques ne peutdoncplus êtreentendued’unemanièreab.solue.Ilestàremarquer queles Ethiopiens,parl'insertiondelavoyelledansletracé

même

de chaque élémentconsonne, sont arrivés de leur côté àunsyllabaire conçuexactement d'aprèslesmêmesbases(pieralphabel dévana-j’ari.Xou.s-mêmcsaujourd'hui,loisquenousé[irouvonsijuelque dillicultéètranscrirelesmotsarabes, cene sontpasles sous-voyelles(piinous causentdel’embarras, ce sontlesconsonnes gut-turales et aspirées,pourles(piellesilnous faut inventer des signes conventionnelsquenotre écriturenenous fournit pas.

Nousavonsdoncledroitde considérerle faitdes voyellesvagues etdes voyellesomisesdansl’ensemble desécrituivssémitiques

comme

unlegsdel'écoleégyptienne.Lesystème assyrien dispa-rut,dans l’usage, devantlasimplicitéd'une écriture(|ue legénie sémitiqueavaitréduiteaux ('léments rigoureusement néce.ssaires pourdéterminerlacharpente des syllabes, en laissant de côté tous leséléments id(‘ographi(pies, qui, chezlesEgyptiens, supphiaicnl à cetteimperfectiondel’écrilurcdes sonsetprévenaientsouvent l’obscurité.Ilestpeut-êtreàregretterquelesPhéniciensn’aient pasconservéau moinsl'usagedesdéterminatifs.Les savants phi-lologues(|uiont consacré leurselTortsàl'interprétationdes ins-criptionsde Sidonetde Marseille comjirendronl facilement com-bien leurmarcheeôt été plusassurées'ilseussent trouvé,après chai]uemot, unsigne qui eût déterminélacoupegrammaticale de laphrasecl lesens généralduradical àtraduire.

Levague des voyellesestencoreplusabsolueuEgypte(pie

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\

loi

MKMOIRE

suitL'OHIGIiVEÉGyPTlENNE dansl’écrilure acliiciledoslari(fiies si'uiiliques.Ainsinousavons vu quo11,\\,ôlailsuscc])lihledes valeursn, e,i,n, et(|uel'ii,ou, s'éciiangeaitavecl’ietl’n.Les fréquentes dilfércnccsquel’on reuiarquc,dansl'ortiiojjrajiliemassorétiijue, entrelekeri et le ke-lib,i|uandils’agitduivoyelle,permettent de penser qu’à l’ori-gineleetlei,quandonconimeneaàlesenqdoycràtitrede vovcllcs quiescentes, participaientpluslargementaucaractèrede vagueabsoludoleursmodèleségyptiens.

Ilfautencore noter,parmices ressemblances d’idéesgénérales, lafacultéd’omettrelanasale, considérée

comme

unsimple acci-dentdelavoyelle;sicelteparticularitégrammaticaleestvoilée danslestextes sémitiques,ellereparaît surlesmonuments occi-dentaux, en sorte qu’avec ces linéamentsdelettres,ildevient ex-trêmementprobablequeIfigypte atransmis à ses voisinsun en-semblede jiréceptesclde vues grammaticales dontlestraces se divisèrentet.semodifièrent suivantlegénie particulierdes nations.

NousconnaissonsdéjàlesempruntsimportantsquelaPhénicie avaitfaitsàl’Egyptedansledomainedes arts,etlesprogrèsde l’archéologietendent ànous démontrerquelesleçonsde Tholh re-vendiquentunelargepartdanslacivilisationdelacèle phéni-cienne.

iCBPROBABLE BEL'IMPOllIAIlOXUK L’ALPHABET ENPIlÉMCIE.

Sil’onadmetlapartiefondamentaledenos conjectures,l’esprit SCreportera tout aussilèlsurunedesquestionslesplus intéres-santesqui puissentprendre place dansl’histoiredelahaute an-tiquité.Dequelâge datelapremièreculturelittérairedela fa-millesémitique, et à quelleépoquendopta-t-ellclesélémentsde l’alphabet?

Le problème,<picnousavons étudié,nepermetpasde ré-pondre complètementàlapremière partie delaquestion.Nous savons enellet,anjouixl’hui,(|uel’A.siecentrale aconnu

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DK LALIMIAUKT l'MKMCIKN. i03 veinoiil un aulro syslème

il’écritui’e.

L’ôlal des études

esi

aujoni-d'iiui

assez avancé pour que Ton

j)uisse

alfinner (jue

Je

syllabaire assyneii, tout comme

les

signes idéographiques en usage dans

le

système de Ninive et de Babylono, provient d'une écriture Iiiéro-glyphique plus ancienne.

Existait-il

un rapport juimitil entre

les

hiéroglyphes de Babylone

et

ceux du système égyptien? C’est une (jueslion sur laquelle aujourd'hui toute conjecture

est

du domaine de riniagination

,

puisque nous ne possédons pas

le

corps de

la

primitive écriture babylonienne. Notre siècle a été marcpié par de

telles

résurrections,

qu’il

ne faut désespérer d’aucune découverte.

Il

semble que

la

terre tienne à honneur de ne laisser perdi

t*