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et mise à l’épreuve empirique

Dans le document La structuration des pratiques sociales (Page 170-190)

Nous avons montré, dans les chapitres qui précèdent, la pertinence heuristique, selon nous, de la théorisation en termes de structuration des pratiques sociales. Giddens, on l’a vu, se propose de déconstruire le dualisme structure/pratique, et de lui substituer ce qui nomme la « dualité du structurel ». Nous avons, également, mis au jour, au chapitre [6], la relation entre structure et système, en examinant la critique de Sewell et les aspects où elle nous semblait déficiente, aussi intéressante soit-elle. Nous voudrions, maintenant, souligner en quoi certaines critiques formulées à l’égard du schème explicatif avancé par Giddens, dans on approche de la structuration du monde social, doivent faire l’objet d’une attention effective, soutenue.

Nous pensons en particulier à la critique adressé à Giddens par Margaret Archer 1. Celle-ci peut être résumée, en disant que le schème de la structuration induit un volontarisme de l’action. Il s’établit, selon elle, une fusion centrale (central conflation). En avançant la thématique de la dualité du structurel à la place du dualisme de la structure et de la pratique, Giddens propose une « ontologie de la praxis » où le structurel (ou la structure) dépend de la pratique. Toutefois, énonce-t-elle, « celle-ci n’a aucune indépendance par rapport aux pratiques qui constituent sa réalité. » Promouvoir de cette façon, l’indissociabilité du structurel et des pratiques sous la figure de l’actualisation des

1. C. Leneveu n’indique aucune référence. Signalons toutefois cet article de M. Archer initialement paru en 1982, republié dans un numéro spécial du British Journal of

Sociology (2010) à l’occasion du 60e

anniversaire de la revue. Voir également, dans ce même numéro, l’article de A. King [NdE].

propriétés structurelles au sein de ces dernières, revient, en fait, à dissoudre la structure dans la pratique. D’où l’accusation récurrente de volontarisme de l’action : il ferait fi de toute dimension contraignante et indépendante des structures à l’égard des pratiques : celle-ci est, en fait, annulée.

Il faut, selon nous, prendre cette critique au sérieux. Elle signale, sans doute, une faiblesse dans le dispositif conceptuel du grand sociologue britannique. Mais, pour nous, cependant, ce qui apparaît en cause, c’est moins la pertinence globale du schème explicatif que les termes trop abstraits, insuffisamment étayés empiriquement, en lesquels il est formulé. C’est notamment vrai, s’agissant du concept de « structurel », de propriétés structurelles. Il conviendrait de le complexifier concrètement. De ce point de vue, un retour analytique sur le concept marxiste de rapport social, conçu en tant que propriété structurelle, plus spécialement à celui de rapport de production ne s’impose-t-il pas ?

Comme on l’a perçu, Giddens n’utilise pas le concept de rapport de production, il emploie, en revanche, le concept de « ressources d’allocation » : celui-ci va désigner la distribution différentielle des moyens de production entre les agents sociaux économiques. Il peut aussi, si nous le comprenons bien, renvoyer à toute ressource matérielle pouvant générer des relations de pouvoir, ce concept va être, d’autre part, combiné, on le sait, à celui de « ressources d’autorité ». Au vrai, ce que Giddens refuse, dans la théorisation de Marx, c’est l’économisme que semble inévitablement véhiculer le concept de rapport de production. Autre aspect : les deux types de ressources s’articulent à la compétence des individus : ceux-ci sont définis comme des sujets connaissants, dotés d’un savoir commun, d’essence pratique. Nul principe de non-conscience n’est par conséquent postulé, afin de rendre compte de la régularité des pratiques.

En ce qui concerne les rapports de production – concept que nous maintenons, et sur lequel nous nous appuyons – peut-on dire qu’ils résistent aux pratiques ? Oui, à première vue, car n’observe-t-on pas, à la lumière des expériences historiques, que celles-ci peinent à transformer la matrice d’exploitation qui est au principe de leur constitution ? Un examen des mécanismes et du

fonctionnement des rapports de production capitalistes, de leur composition interne, n’est-il pas ici, en conséquence, requis ?

Il est manifeste, en effet, selon nous, qu’une propriété structurelle, comme les rapports de production capitalistes, doit être, tout d’abord, caractérisée en relation avec les pratiques. Lesquelles comportent une série articulée d’actions matérielles de transformation de la nature en valeurs d’usage définies. Ces pratiques, dans leur réalité productive, sont inextricablement, des pratiques de mise en valeur du capital. En fait, les rapports de production capitalistes recouvrent la monopolisation privée des moyens de production, ceux-ci étant actualisés dans les procès de travail. Cette caractéristique qui circonscrit l’existence d’un ensemble de détenteurs de ces moyens, et elle n’est pas séparable, dans le même temps, de la présence d’un ensemble de non- détenteurs. Autrement dit, la monopolisation privée des moyens de production délimite simultanément, l’existence du salariat, le salarié se définissant, on le sait, par le fait qu’il est exclu de la propriété des moyens de production : il est contraint de vendre l’usage de sa force de travail. C’est pourquoi, elle acquiert la figure sociale de la marchandise. Le procès de travail est procès de valorisation : l’exploitation de la force de travail salariée productive ne fait qu’un avec l’extorsion d’une survaleur. De ce point de vue, on peut dire que la propriété structurelle « rapports de production capitalistes » devient le medium social des pratiques de travail ; elle leur confère leur trait économique et social : la production de survaleur. Elles les organisent donc sur un mode structurant, au sens où ces pratiques seront, sans cesse, en voie ou en procès de structuration interne spécifique. Mais les rapports de production, si nous employons le schème explicatif d’ensemble de Giddens, sont, dans un même mouvement, le résultat des pratiques de travail qu’ils organisent de manière récursive. Ce qui exige, selon nous, que l’on procède à une décomposition analytique du concept de rapport de production capitaliste, si l’on veut réellement apprécier la pertinence théorique et empirique de ce schème.

En fait, les rapports de production capitalistes expriment, on l’a dit, une dimension matérielle, mais aussi socio-économique, un procès de travail, aux pratiques qui s’y localisent. Celles-ci

vont être le lieu du déploiement de contradictions, d’un antagonisme qui s’enracinent dans la séparation économique, sur le registre de la propriété, de la force de travail, par rapport aux moyens de production. De ce point de vue, chaque acte de travail va reconduire, dans son effectivité matérielle, cette séparation économique et sociale. L’ouvrier, ayant telle ou telle qualification reproduit, dans ces actes de travail quotidiens, de manière récurrente, ce trait distinctif de la propriété structurelle des rapports de production capitalistes. Ce qui implique que la dissymétrie sociale constitutive de ce ceux-ci n’en finit jamais d’être à l’œuvre. Il s’ensuit que, les ouvriers ne cessent en aucun cas de se constituer, de façon réitérée, en classe, via l’actualisation permanente des rapports de production dans les procès de travail matériels.

Toutefois, la réalisation des rapports de production capitaliste dans les forces productives, plus précisément, ici, les dispositifs matériels socio-techniques et les combinaisons technologiques qu’ils incluent, et cela sous la forme de la séparation économico- sociale des moyens de production, entre agents du capital et ouvriers et salariés d’exécution ou non (ainsi reproduits comme tels), ne saurait occulter la dimension objective, proprement transformatrice, des pratiques que ces derniers matérialisent. Ch. Bettelheim, N. Poulantzas, ainsi que M. Harnecker, ont naguère indiqué, dans cette perspective, ce qu’il fallait penser, au sein des rapports de possession ou d’appropriation réelle. Pour eux, ces rapports désignent les formes variables, différentielles, inégales de maîtrise matérielle-sociale des moyens de travail de la part des ouvriers et des salariés d’exécution. Ce qui veut dire que la « désappropriation » économique et sociale salariée est, dans le champ des rapports de production, indissolublement liée à une possession des moyens de travail. Au sens où les ouvriers, par exemple, font nécessairement usage, pour produire la survaleur, de moyens de travail, monopolisée par des détenteurs- propriétaires.

Si l’on suit ce raisonnement, on peut, selon nous, avancer l’idée que les rapports de production capitalistes, par ce qu’ils incorporent, comme l’une de leurs composantes, des rapports de possession ou d’appropriation réelle, seront nécessairement

affectés par les types inégaux de maîtrise des moyens de travail (outils, machines…) par les diverses composantes de la main- d’œuvre salariée. C’est ce que Marx a, notamment, porté au jour, dans le livre 1 du Capital, quand il examine la forme manufacturière des rapports de production capitalistes. Il nous l’a appris, le travail de main-d’œuvre caractérise intrinsèquement cette forme. Les travaux concrets vont reposer sur l’usage d’outils, puisque le machinisme n’est pas encore présent. Il s’agit d’outils de plus en plus spécialisés au regard de ceux employés dans la production artisanale, par exemple. Mais, comme Marx l’observe, les premières manufactures ne font que réunir une main-d’œuvre, travaillant sur un mode artisanal, c’est-à-dire où chacun fabrique, dans sa totalité, la valeur d’usage visée. Cependant, cette main-d’œuvre est salariée, soumise à l’autorité d’un même propriétaire capitaliste, qui la concentre en un même espace de production.

Dans la forme sociale manufacturière des rapports de production, une maîtrise ouvrière réelle, étendue, des moyens de travail va, en fait, perdurer. Même si la spécialisation de ceux-ci s’accentue progressivement et est, pour une part, au principe d’un travail parcellaire, où la production des valeurs d’usage est répartie entre différentes catégories de main-d’œuvre, de qualifications diverses. Il faut souligner, néanmoins, que ce travail parcellaire s’articule toujours à une dominance des outils dans la production. Si la qualification des ouvriers connaît un restriction, dans la mesure où ils ne réalisent plus entièrement un produit, par contre, leur qualification s’accroît en profondeur dans le domaine de travail qui est le leur. La dominance des outils est l’indice d’une maîtrise ouvrière : elle s’est modifiée comme nous venons de l’entrevoir, mais elle demeure forte. Cette maîtrise induit des effets potentiels et actuels, réels, sur le fonctionnement même des rapports de production.

Par exemple, de nos jours encore, comme nous nous proposons de l’étudier par la suite, il subsiste dans le bâtiment, une forme néo-manufacturière des rapports de production 2. La

2. C. Leneveu fait allusion à son travail doctoral, Les ouvriers du bâtiment et des

travaux publics en France (1983), dont la reprise constituait le matériau du troisième

force de travail ouvrière demeure « le principe régulateur de la production » (Marx). Les chantiers sont, en réalité, peu concernés par la mécanisation des moyens de travail, sauf sous la forme « engin » (Tractopelle, bétonnière, grue, etc.). Quelles que soient les transformations sensibles qui ont été apportées ces vingt dernières années. Plus particulièrement, celles qui touchent à la délocalisation en amont de la production de produits préfabriqués et standardisés par l’industrie des matériaux. Ce qui amène que, dans certains cas, et cela pour certains bâtiments, le chantier peut se rapprocher d’un chantier de montage. Celui-ci jette, dès lors, sous certaines conditions sociales, les bases d’une rationalisation – limitée – des tâches productives. Elle peut prendre formellement les traits d’une organisation taylorienne. Mais celle-ci ne saurait reposer sur l’assise matérielle qui conditionne toujours la mise en place d’un taylorisme attesté, effectif. En effet, l’introduction du taylorisme et aussi du fordisme, dans l’espace de production, en tant qu’organisations socio-techniques du travail, présupposent que l’on puisse fractionner, en gestes élémentaires, standardisés, la dépense de travail. Ce qui n’est rendu possible que par la présence de machines-outils spécialisées et/ou par la ligne de montage. Rien de tel n’existe dans le secteur de la construction. Ce qui, comme nous le montrerons, plus concrètement, ne va pas être sans conséquences sur le mécanisme de fonctionnement des rapports de production. Ces rapports vont être perturbés par l’existence de rapports de possession, où se révèle une maîtrise ouvrière des moyens de travail et de l’organisation socio- technique et qui est particulièrement dense.

Selon nous, on peut avancer l’hypothèse que la présence des outils, et de ce que nous nommons la « forme-procédé » (procédé de coffrage outil par exemple) par les ouvriers, a des incidences sur la régularité des procès de travail, de leur rythme, donc, en définitive, sur le cycle de rotation du capital, lié à l’extorsion de survaleur. Les pratiques ouvrières de travail affectent les rapports de production dans leur fonctionnement alors qu’elles en sont, néanmoins, toujours le medium social. Conclusion : le mécanisme de fonctionnement des rapports de production apparaît bien ici, comme le résultat des pratiques

ouvrières qu’[ils] continuent à organiser, toutefois, et toujours, sur un mode récursif.

Dans le secteur des entreprises artisanales, mais aussi des petites entreprises capitalistes, indice d’une maîtrise ouvrière préservée, les ouvriers possèdent (au sens ici de propriété) nombre d’outils. Ils sont propriétaires d’une caisse à outils. Plus largement, la dépendance de la mise en œuvre de la « forme–procédé » à l’égard des qualités notamment physiques et musculaires, de la force de travail, malgré l’existence de moyens de mécanisation (la grue de chantier), entraîne une matérialisation singulière, originale, des rapports de production dans les pratiques de travail. Celles-ci sont soumises, en retour, aux contraintes de formes d’auto-régulation fortement prégnantes de ces pratiques. Il se constitue ce que l’on pourrait appeler un inachèvement capitaliste des rapports de production. Il se trouve que ceux-ci ne sont pas encore fordisés ; une subsomption réelle du travail sous le capital.

Quand nous disons cela, nous ne voulons pas dire, bien entendu, que le « cœur » des rapports de production est touché. L’extraction de survaleur se poursuit inlassablement. Mais la configuration sociale du procès de travail, celle des pratiques ouvrières, ne garantissent pas une production rapide de survaleur. L’industrialisation lourde du capital constant, notamment sous l’aspect de l’accumulation temporelle longue de fragments, de la valeur d’usage en procès (la construction dans son processus de localisation), pèse sur le cycle de rotation du capital, et, donc, avec la production de survaleur. Au sein du capital constant, s’affirme le poids massif du capital circulant par rapport au capital fixe immédiatement engagé. Ce que nous voyons ici, c’est que les dispositifs matériels et les formes d’organisation socio- techniques du travail qui les intègrent, et en lesquelles s’incarnent les rapports de production, vont offrir une résistance beaucoup plus faible aux pratiques sociales ouvrières productives ou non, que dans les industries tayloriennes, fordistes ou post-fordistes. Dans ces domaines se mettent en œuvre, on le sait, de nouvelles techniques de management. Elles visent à impliquer et [à] « responsabiliser » les salariés. Dans le BTP, les contraintes sociales exercées par les pratiques ouvrières autorisent, par exemple,

comme nous l’avons évoqué, des formes faiblement hétéronomes de régulation des temps de travail, de gestion des temps d’exécution. Il s’agit là d’expressions matérielles et sociales d’autonomie ouvrière. Autonomie certes relative, car non- pensable en dehors des relation d’hétéronomie. En tout cas, il est clair que les rapports de production capitalistes inscrivent, dans la construction, de telles plages d’autonomie. De ce point de vue, on le constate encore, autonomie et contrainte ne sauraient être opposées. Comme nous le mettrons au jour plus tard, on peut même dire que l’autonomie ouvrière dans le BTP est l’envers symétrique des contraintes réalisées dans le procès de travail. On peut ajouter que l’autonomie ouvrière va apparaître, à son tour, comme une contrainte pour les capitalistes et la mise en valeur de leur capital.

On le voit, le concept de propriétés structurelles mérite une spécification précise, concrète : il nécessite d’être mis à l’épreuve dans l’enquête empirique. C’est à ce prix que l’on peut saisir ou non le principe heuristique de la problématique de la structuration. Plus généralement, l’examen du degré de résistance des rapports sociaux aux pratiques qu’il conditionnent, ne peut être vraiment élucidé qu’en généralisant les enquêtes empiriques en direction de pratiques sociales différenciées. Même si, pour nous, l’énoncé du principe de la structuration nous semble décliner dans sa formulation rigoureuse une pertinence opératoire, il s’agit en permanence, de vérifier si celui-ci s’applique à toute pratique. En bref, s’il est généralisable. Sinon, on peut le présumer, le risque de théoricisme est grand, et de même, celui d’un volontarisme de l’action, dénoncé par Margaret Archer.

À ce stade de notre démonstration, on peut donc avancer que les rapports de production sont toujours affectés par les pratiques qu’ils déterminent. Les pratiques et la capacité transformatrice qu’elle engage de manière interne, sont concentrées, on l’a vu, par Giddens, sous le concept de pouvoir. Le pouvoir, indique-t- il aussi, c’est la capacité d’agir autrement, de maîtriser, dirions nous, des alternatives. Trait qui est intrinsèque, malgré sa variabilité, à l’ensemble des pratiques ouvrières. Comme le souligne Yves Clot, « il n’est par rare que dans les milieux de

travail “ceux d’en haut” soient aveugles à ce fait : si les choses ne vont pas plus mal, c’est que “ceux d’en bas” comblent le fossé qui sépare la situation prévue et la situation réelle en prenant sur eux. » Et il poursuit : « le travail relève de “l’efficacité malgré tout” le plus souvent anonyme, et ne redevient visible qu’au moment où la défaillance signale sa portée. Elle est alors imputée au sujet. Pourtant, il n’est pas rare que celui-ci paye par cette défaillance le prix des efforts invisibles qu’il a dû longtemps consentir pour faire face aux handicaps de l’organisation du travail qui lui est imposée. 3

»

Analyse remarquable, qui nous invite à prendre en compte le jeu des contradictions des pratiques dans lesquelles s’actualisent les propriétés structurelles. Ce qui nous amène à ne pas opposer reproduction et transformation de ces dernières. La reproduction des rapports de production n’est jamais une reproduction à l’identique du même. Les transformations, contingentes quant à leur forme ou leur cadre – nous ne parlons pas ici de leur noyau dur, de leur cœur (l’exploitation), sont toujours en jeu à l’arrachement de plages de temps non productifs, la diminution du temps de travail produisant en fait des effets d’aménagement des rapports de production. L’antagonisme est inscrit au centre même de l’extraction de survaleur. Selon les circonstances concrètes, il peut être au principe de dérégulation[s] majeure[s]. À titre d’illustration, on peut citer le résultat des pratiques diverses des OS, dans les années 1960 et 1970, sous l’aspect de l’absentéisme, d’une résistance à l’hétéronomie temporelle, mais aussi des luttes sociales [qui], pour une part, sont à la base de la transition du fordisme au post-fordisme. Celui-ci est une « réponse » des rapports de production aux pratiques ouvrières et salariées par la mise en place d’une organisation encadrée, de l’autonomie productive.

Mais il est un autre aspect qu’il convient de prendre en compte : celle de la détermination marchande des termes de l’échange de l’usage de la force de travail. Si le contrat de travail est par essence précaire, il est nécessaire, cependant, d’avoir à

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