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Des lits à déplacer

Dans le document VOTRE LITEST-ILA LA BONNE PLACE? GEOBIOLOGIE (Page 121-126)

Il ne s'agit plus, comme dans les temps anciens, voire préhistoriques, de considérer l'habitat seulement en tant qu'abri contre les agressions du monde extérieur, utilisé à titre précaire, mais de le considérer comme un lieu de "recharge" nerveuse, de détente émotionnelle, de création, d'épanouissement et d'écoute intérieure.

À la ville comme à la campagne, la " maison " et plus particulièrement la chambre à coucher, joue pour l'être humain un rôle important par sa fonction de récupération et de recharge. En effet, la fatigue musculaire comme la fatigue nerveuse requiert un milieu isolé de toute source d'excitation et de perturbation à quelque niveau que ce soit. Et pourtant, chaque matin, de nombreuses personnes quittent ce lieu privilégié, plus tendues et plus fatiguées que la veille. L'habitat serait-il responsable de tous ces maux?

En 1965, un médecin allemand, le docteur ASHOFF, ne pouvant se résoudre à accepter les révélations de ses confrères

en géobiologie, se décida à tenter une expérience sur 125 de ses patients sur lesquels il n'obtenait aucun résultat probant. Il leur demanda de déplacer leurs lits selon les indications précises d'experts en géobiologie:

les maux disparurent du jour au lendemain en ce qui concerne 30 % des cas, 40 % réagirent plusieurs semaines après et, pour les 30 % restants, il semble que le lieu d'habitation n'avait aucun rapport avec leurs maladies.

À la faveur de cette expérience, voici certains faits relatés par le docteur ASHOFF:

Premier cas (concernant un enfant):

La mère, ma cliente, mettait la nervosité de son enfant sur le compte de ses insomnies qui duraient depuis 4 ans. À peine couché, l'enfant se levait immédiatement et commençait, debout dans son lit, à se balancer d'un côté à l'autre, sans répit, jusqu'à ce qu'il s'effondre, trempé de sueur, vers 1 heure du matin. À l'aube, il se relevait tout vacillant, semblant lutter contre le sommeil. Tous les efforts des médecins pour faire dormir l'enfant au moyen de tranquillisants furent vains. Pour moi, le cas était clair: le lit devait être placé, d'après mes expériences, dans une zone géopathogène. Je conseillai à la mère de faire vérifier cet emplacement par un expert. En attendant, à titre d'essai, les parents déplacèrent le lit de quelques mètres, certains que la situation ne pouvait empirer. Le soir même, la mère mit l'enfant au lit à 8 heures. Il se coucha et dormit jusqu’au lendemain 9 heures, sans s'être levé une seule fois. Par la suite, tout resta dans l'ordre.

Quelques semaines plus tard, la venue de l'expert confirma les faits:

l'ancien emplacement se trouvait à l'intersection de deux rayons H !

Deuxième cas.

Une petite fille, Tania M., la "boule de nerf" de la famille, refusait tous les soirs d'aller au lit. À peine ses parents couchés, elle se glissait immédiatement auprès d'eux. Toutes les tentatives pour la remettre dans son propre lit étaient vaines. Cela durait depuis 3 ans environ. Selon mon conseil, le lit de l'enfant fut placé de l'autre côté de sa chambre. Ce soir-là, on mit Tania au lit, comme d'habitude. Le lendemain matin, aux environs

te lever?», l'enfant répondit: «Non, il fait si bon dans mon petit lit». Cette réponse fut donnée par un enfant qui depuis trois ans ne voulait plus dormir dans son lit!

Troisième cas.

Dans le lieu où je passais mes vacances, en Italie, une voisine me pria de venir voir son mari qui souffrait depuis plusieurs années. Il ne pouvait se tenir debout qu'avec difficulté et une grande énergie lui était nécessaire pour marcher. Lorsque je vis cet homme, je reconnus l'image typique d'une sclérose multiple. À 45 ans, il ne pouvait dormir qu'avec du Valium; il avait des crampes dans les jambes, des douleurs dorsales et, lorsqu'il se levait, ses orteils se recroquevillaient, remplis de crampes. Sans connaître les lieux, je constatai le croisement de deux rayons sur son lit, à l'aide d'un récepteur FM qui se trouvait là. Après avoir déplacé le lit en zone neutre, cette personne put marcher et vivre normalement.

L'amélioration est restée stable et une année plus tard, sa femme me rapporta que les médecins avaient confirmé ce surprenant changement.

Quatrième cas.

Un collègue me signala le cas d'une malade qui, incapable de mener une vie active à 38 ans, souffrait d'une maladie chronique des reins, s'accompagnant toujours de fortes fièvres. Comme son état ne s'améliorait pas malgré les soins intensifs, je présumai qu'elle devait se trouver sur un lieu pathogène. Elle fit venir un expert qui détermina deux zones d'agression en provenance du sol. Ma patiente était couchée sur l'une d'elles, son enfant asthmatique sur l'autre. Les quatre habitants qui dormaient aux mêmes endroits, à la verticale, étaient tous atteints d'affections diverses.

À la lumière de ces expériences, peut-on raisonnablement penser que le dépistage des zones géopathogènes soit la clé d'une médecine préventive efficace?

Mais avant de reconsidérer d'une manière différente notre

"enveloppe habitat", pourquoi ne pas envisager systématiquement le déplacement de nos lits dans les cas d'affections chroniques ou aiguës?

Simple en elle-même, puisqu'il suffit parfois de 50cm à -1 mètre pour éviter l'emplacement perturbé, cette opération est à la portée de tous.

Reste à savoir comment et dans quel sens se déplacer et si cette démarche suffit, si l'on considère le nombre des influences qui règnent dans l'habitat.

De nombreux médecins, alertés par l'inopérante de certains traitements, surtout dans les maladies chroniques, peuvent convier eux-mêmes leurs patients à prendre en compte l'incidence du cadre de vie. Si une fois le lit déplacé, le patient retrouve le sommeil et le bien-être, cet indice suffit au médecin averti pour intégrer ces données dans les difficultés rencontrées par son client.

La situation se complique pour les lits de couples: on peut observer un transfert d'influences, du plus fort au plus faible et, même si le flux perturbateur est situé sur la personne la plus résistante, l'autre peut subir indirectement les conséquences du transfert, par une interaction inconsciente. Il faut donc dans cette circonstance, trouver une zone neutre pour les deux personnes ou se résoudre à dormir seul. Ainsi, déplacer un lit ne pose pas de grandes difficultés en soi, mais au-delà de quelques centimètres, on se heurte aux autres meubles, aux portes et aux fenêtres, etc. Si l'on découvre que le seul emplacement favorable se situe au milieu de la chambre, quel dilemme: bien dormir ou préserver l'esthétique du décor?

Certaines circonstances ne permettent pas toujours une adaptation harmonieuse de l'aménagement: on se heurte aux. petites dimensions des chambres à coucher et plus encore aux habitudes de vie! Si l'on veut bien quitter un instant nos conceptions occidentales pour survoler d'autres civilisations,

on observe une notion plus répandue des espaces polyvalents comparée à celle de notre traditionnelle chambre à coucher. Les lits ne sont souvent constitués que de simples nattes en laine, en coton ou en matériaux légers, posées à même le sol et roulées pendant la journée pour libérer l'espace. Aucun mobilier n'accompagne cette "couche" bien souvent familiale. Historiquement d'ailleurs, le concept du lit est une invention assez récente, d'environ 3 000 ans. La chambre à coucher individuelle date du xve siècle et le matelas à ressorts, de la Guerre de Sécession, il y a cent ans, en Amérique 1.

1/ Informations données par le Club du sommeil et du rêve, association des

En occident, un tour d'horizon sur 80 % des lieux de sommeil révèle la présence de ce que les ensembliers nomment maintenant la chambre à coucher. Tout un ensemble: lit, chevet, meubles divers, étagères sont souvent indissociables parce que montés sur appuis fixes. Ils ne peuvent que s'encastrer dans une place bien déterminée pour justifier la présence d'autres éléments parfois entassés en nombre impressionnant.

Dans le document VOTRE LITEST-ILA LA BONNE PLACE? GEOBIOLOGIE (Page 121-126)