• Aucun résultat trouvé

Détectez vous-même

Dans le document VOTRE LITEST-ILA LA BONNE PLACE? GEOBIOLOGIE (Page 138-146)

Pour apprécier rapidement la "qualité" d'une zone de sommeil, le futur habitant peut utiliser un matériel de détection à sa portée: postes à transistors modulation de fréquence à ondes courtes ou téléviseurs portatifs.

Au passage d'un "rayon H", la réceptivité des ondes radio et de télévision se trouve- modifiée, occasionnant une légère chute d'audition pour les postes de radio et des parasites sur l'écran de télévision. Cette expérience est nettement plus sensible si l'émetteur ou le relais est proche de l'habitation.

Pour ce faire, il suffit de diriger l'antenne des postes récepteurs dans la direction de l'émetteur et de régler le poste à transistors entre deux émissions afin de favoriser la mise en évidence des parasites et la chute d'audition; pour le téléviseur, il faut abaisser le son et la luminosité et se concentrer sur l'apparition de lignes parasites sur l'écran. L'opérateur doit alors se déplacer avec le récepteur dans la direction nord-sud,

repérer les murs invisibles et entreprendre la même démarche dans le sens est-ouest. Les croisements du quadrillage seront déterminés en prolongeant les repères dans les directions cardinales.

Par ailleurs, l'eau souterraine et les canalisations enfouies dans le sol peuvent être détectées avec deux baguettes en forme de pistolet (simple tige de cuivre de un mètre de longueur et de 5 mm de diamètre cuite au four ou au chalumeau et pliée à angle droit, approximativement à 20 cm de l'une des extrémités). L'opérateur debout tient une baguette pistolet dans chaque main, par la partie coudée, l'autre partie restant à l'horizontale. Les mains écartées de 40 cm, il se déplace lentement en avant et se contente de maintenir en équilibre instable les deux baguettes.

Au passage de l'eau, celles-ci se croisent ou s'écartent irrésistiblement, la même opération devant être répétée dans le sens inverse et à nouveau dans les deux sens précédents afin de vérifier la position exacte des réactions.

Il faut préciser que cette méthode peut être utile dans un bon nombre de circonstances, mais se révèle insuffisante lors de brouillage dû au cumul d'influences.

L'utilisation d'une simple boussole peut révéler, avec l'expérience, la présence d'une anomalie dans le sous-sol d'une habitation, mais deci est valable si l'on se trouve près du sol ou dans des maisons à deux étages maximum. En repérant l'axe nord-sud à chaque angle intérieur, s'il n'y a pas de pièces métalliques, les déviations du nord magnétique d'un point à un autre du logement peuvent être l'indice de cette anomalie. Cette observation est plus sensible encore sur terrain nu.

Ces quelques points-clés, confrontés à la réalité de chacun, permettront d'enclencher une réflexion de l'habitant et de nourrir ses intuitions dans ses choix, face à la réalisation de son habitation.

Neutraliser.

Des expériences menées dans divers pays d'Europe montrent qu'il est possible, dans une certaine mesure, d'atténuer ou de compenser certains flux géopathogènes lorsque ceux-ci deviennent difficilement supportables.

Mais avant d'envisager le recours matériel, il est préférable de s'attacher à une démarche méthodique qui consiste à éliminer si possible toute source de perturbation, tout en cherchant la meilleure façon de s'adapter aux lieux tels qu'ils sont. Si après transformation, l'habitant retrouve son équilibre, une neutralisation des influences géopathogènes ne s'avère pas nécessaire -ceci est valable dans 75 à 80 % des cas. Tout au plus, si l'environnement extérieur ou le contexte de l'habitat est perturbé par des champs électromagnétiques et électrostatiques, on peut envisager la mise à la terre de certains éléments ou la mise en place d'écrans électrostatiques (feuilles de plomb, d'aluminium) reliés aussi à la terre.

Reste 20 à 25 % des cas, pour lesquels les emplacements perturbés réclament une protection particulière au niveau des lits ou sur l'ensemble de l'habitation. Mais attention, il existe en Europe une multitude d'appareils de protection basés sur des recherches dont on ignore trop souvent l'origine. Bien entendu, tous prétendent à une réelle efficacité. Il convient de faire la part entre les facteurs psychologiques et une réelle modification des effets géopathogènes, bien qu'il ne s'agisse pas de dénigrer systématiquement des systèmes sans en avoir étudié sérieusement les effets.

Il est à noter que, seuls les Suisses et les Allemands proposent actuellement une vérification concrète des résultats en comparant les courbes des tests de résistivité cutanée effectués avant et après la mise en place de dispositifs neutralisants dans les habitations.

Parmi les dispositifs commercialisés, ceux qui modifient les résonances du milieu paraissent les plus fiables et les plus efficaces. Les résultats sont parfois spectaculaires. Mais la modification des résonances se révèle insuffisante, voire inefficace dans certains cas, sans que l'on sache pourquoi, alors que d'autres systèmes, à base de radionique ou d'ondes de forme et les biorésonateurs (bobine + condensateur) apportent satisfaction.

Il semble que l'habitat, de par ses constituants, ses formes, sa situation géographique, se révèle plus ou moins sensible à tel ou tel type d'appareillage, d'où la nécessité d'effectuer plusieurs essais dans les cas difficiles. Ceci bien entendu est l'affaire de spécialistes avertis et honnêtes.

Si la source de pollution est trop importante, en présence des veines de plomb du sous-sol par exemple, le rééquilibrage ne

peut être effectué totalement, sans risquer de créer d'autres sources de perturbation artificielle dont celle justement, provenant des appareils destinés à combattre les effets des rayons pathogènes.

D'une manière générale, le principe de la neutralisation doit être envisagé avec beaucoup de prudence, les recherches scientifiques à ce sujet sont récentes et leur champ d'application encore mal défini. Il est bien entendu qu'un suivi médical est nécessaire puisqu'il s'agit d'une médecine de l'habitat et non de l'habitant1.

Parallèlement à ces possibilités, on retrouve toute une série de

"pratiques" héritées d'un savoir empirique: objets sculptés, assiettes remplies de sel marin ou de charbon de bois, pentacles ou dessins

"magiques", sont directement placés sous les lits. Au-dessus de ceux-ci, on peut voir aussi des crucifix bénits, des icônes, des inscriptions hébraïques ou des masques. Sur les tables de nuit, des bougies dans des assiettes d'huile et de multiples petits appareils fonctionnant le plus souvent sans apport d'électricité (boîtes, tubes, formes pyramidales), sont orientés selon des axes bien précis. L'essentiel, semble-t-il, est que l'utilisateur se sente apaisé, mais il est difficile d'évaluer leur efficacité intrinsèque et de les prendre en compte en tant que tel, dans le cadre d'une recherche à caractère scientifique.

Restent les traditionnels fils de cuivre, plaques de plomb ou d'aluminium, mis à la terre. Là encore, c'est une question de lieu et de circonstances: la qualité des prises de terre peut être insuffisante pour éliminer les surcharges de potentiel électrique sur des zones pathogènes,-surtout actuellement où la pollution électrique du sol est plus intense et que les matériaux utilisés en barrage comme le plomb, l'aluminium, etc. se

1/ Par ailleurs, il ne faudrait pas croire qu'une maladie grave, tel le cancer, puisse être simplement résorbée par le déplacement du lit ou la neutralisation d'un habitat, mais c'est un moyen possible à envisager pour stopper une amplification extérieure des troubles au bénéfice de l'efficacité d'un traitement curatif.

chargent à la longue et deviennent inefficaces. Seul le bois paraît être un isolant efficace à l'emplacement des lits et particulièrement l'okoumé rouge lorsqu'il est en plaques de deux à trois centimètres d'épaisseur. On a remarqué par ailleurs, que les personnes utilisant pendant la nuit des couvertures chauffantes branchées à une prise de terre ont la sensation d'être "déchargées". Mais il semble que ce soit plus une élimination de la pollution électrique accumulée pendant la journée qu'une véritable protection. Des essais de neutralisation peuvent être envisagés aussi à l'échelon collectif dans des habitations groupées afin de mieux contrôler les diverses corrections des influences. Les expériences tentées en RFA, à la suite des accidents de la route pour cause géophysique, ont permis de constater la réelle efficacité des dispositifs mis en place.

Une médecine de fréquence pourrait aussi s'envisager à l'intérieur des habitations ou dans les patios, par la construction de fontaines: le bruit de l'eau jaillissante, au contact de la vasque réceptrice, provoque une fréquence salvatrice capable de compenser un déséquilibre vibratoire préjudiciable à l'habitant. En outre, l'eau cassée libère des ions légers négatifs immédiatement disponibles, facteur d'enrichissement non négligeable pour l'air ambiant.

Il a souvent été observé que les personnes habitant des maisons situées au pied d'une cascade bénéficiaient toujours d'une excellente santé et d'une longévité inhabituelle. D'où l'intérêt pour les promeneurs d'aller humer les embruns des cascades en montagne.

En matière de lutte contre les zones géopathogènes, certains médecins suisses et belges renforcent les défenses de leurs patients en leur prescrivant des oligo-éléments de manière à favoriser une meilleure adaptation ou une plus grande résistance aux phénomènes perturbants. Une hygiène alimentaire et respiratoire appropriée peut également enrayer les effets secondaires des radiations telluriques lorsqu'elles sont faibles en intensité.

En dernier recours, lors de circonstances critiques - où des lieux très perturbés agissent fortement sur la santé des habitants -, si les essais de correction et d'adaptation se sont révélés infructueux, il faut envisager de déménager à brève échéance. Cette opération doit être conduite sans panique et avec réflexion afin de ne pas se retrouver confronté à une situation analogue dans une enveloppe différente! Fort heureusement, la probabilité en ce domaine n'est pas chose courante et l'inquiétude mal canalisée est parfois pire que les troubles eux-mêmes. Souvent, le refus conscient d'une influence résoud 50 % de nos difficultés en libérant certaines énergies ou en réactivant nos "défenses".

7

Dans le document VOTRE LITEST-ILA LA BONNE PLACE? GEOBIOLOGIE (Page 138-146)