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Accidents de la route

Des accidents automobiles particulièrement meurtriers se produisent par collision frontale, en pleine ligne droite, sur route dégagée et souvent aux mêmes endroits.

Dans la plupart des cas, on constate que le conducteur n'a pas fait usage de ses freins pour diminuer la vitesse. Sur le nombre des victimes, les conducteurs miraculeusement épargnées affirmaient qu'ils avaient ressenti un malaise subit, une vision noire, voire une perte de conscience complète. Dans le cadre d'une recherche géophysique et biophysique, pendant une douzaine d'années, l'ingénieur R. ENDRÔS a minutieusement

examiné les circonstances sur plus de 2 000 accidents et surtout ceux pour qui les causes étaient à première vue inexplicables. Les résultats de cette recherche ont permis de constater que ces accidents s'étaient produits presque sans exception sur des lieux géographiques précis. L'accident typique a lieu lorsque le conducteur roule à 100 km/heure environ, au-dessus de perturbations géophysiques successives, par exemple des cours d'eau souterrains situés à une distance de moins de 50 à 70 mètres les uns des autres. À la surface du sol, la radioactivité naturelle et, indirectement, le champ des micro-ondes sont perturbés. D'après l'ingénieur ENDRÔS, ces modifications sont immédiatement enregistrées par le système neurovégétatif qui, à travers l'activité du système endocrinien, tend à rétablir son équilibre par la sécrétion des glandes hormonales.

Normalement, ce phénomène compensatoire intervient en une fraction de seconde, grâce aux réserves d'hormones disponibles dans les glandes. Mais si cette provision est de nouveau mobilisée quelques secondes plus tard par une perturbation extérieure, le temps de stimulation de la sécrétion des glandes est trop court pour permettre un nouvel apport immédiat d'hormones. Autrement dit, le système nerveux n'est pas renforcé pour assimiler sans conséquence ce nouveau "stress" : il s'en suit une perte momentanée de l'état de vigilance ou de conscience pour le conducteur.

Il est intéressant de constater que les accidents typiques dûs aux perturbations géophysiques localisées ne se produisent pas lorsque le trafic est intense ou en présence d'une colonne de voitures, mais au contraire, lorsque le conducteur a devant lui une route libre et une circulation peu dense. Les rapports établis sur les circonstances de tels accidents font toutefois ressortir que l'état psychique du conducteur joue un rôle, dans son état de stress préalable, le prédisposant à ce genre de situation.

Actuellement, des essais sont en cours avec la mise en service d'émetteurs à interférences, sur les routes où se constate un nombre élevé d'accidents dus aux perturbations géophysiques. Ces émetteurs réagissent spontanément aux microondes de l'environnement, en émettant eux-mêmes des ondes à l'horizontale et dispersent celles qui se sont naturellement organisées en structures préjudiciables. D'après Robert ENDRÛS, des milliers d'accidents ont déjà pu être ainsi évités.

La foudre.

Les vols cosmiques ont démontré que la terre est l'armature négative d'un immense condensateur à fuites, dont l'autre armature (positive cette fois) est le cosmos. Sans arrêt, l'armature terrestre se décharge pour être instantanément rechargée par l'un des 1 000 à 2 000 orages qui éclatent chaque seconde à n'importe quel point du globe. Partout où tombe la foudre, c'est en présence d'un sol particulièrement conducteur, généralement doublé d'une proéminence de l'environnement ou d'un effet de pointe. Ainsi, arbres, toits pointus, personne debout, placés à la verticale de cours d'eau souterrains, de failles géologiques, de roches radioactives ou de filons métallifères, courent le risque d'être foudroyés. Il arrive même que ces éléments se superposent à des profondeurs variables en un point précis: arbres, maisons et fermes peuvent alors être atteints deux à trois fois en moyenne en l'espace de quelques années.

Les croisements du "réseau H" ne sont pas étrangers à ce phénomène. De nombreuses petites chapelles sont édifiées sur l'emplacement de personnes foudroyées, mais les formes étudiées en fonction des circonstances coupent l'appel de la foudre. Les paratonnerres, correctement reliés à la terre, constituent un élément de décharge permanent des armatures du condensateur et protègent les constructions implantées sur les anomalies géologiques quand des éléments naturels du voisinage ne peuvent remplir cet office par effet de pointe.

Suicides.

Le professeur K. E. LOTZ a étudié de près les circonstances de vingt et un cas de suicides: tous se sont déroulés sur l'emplacement de zones perturbées géophysiquement, combinées à des cours d'eau souterrains. Par ailleurs, il cite le cas d'une entreprise dont le siège et les bureaux étaient, depuis une quinzaine d'années, implantés en partie sur une eau courante souterraine à fort débit. Sept collaborateurs de cette entreprise se sont suicidés en quelques années, sur les lieux mêmes, à l'intérieur de l'usine, dans un périmètre de 250 mètres. Il est à signaler que les conditions familiales de ces personnes étaient tout à fait convenables.

Cet étrange phénomène peut se déclencher aussi dans des habitations situées sur des mines de plomb ou des veines de gaz naturel à faible profondeur. Les personnes sensibles commencent par être frappées de dépression nerveuse et, souvent en moins de deux années, mettent subitement fin à leur vie.

Il semble que la glande thymus (du grec signifiant âme, courage) soit perturbée dans ce genre de circonstances, ce qui expliquerait de telles attitudes.

Après énumération de l'ensemble de ces faits, une démarche analytique pourrait-elle s'envisager à l'échelon collectif? D'autre part, si un constat n'est pas clairement établi, dans quelle mesure peut-on se préoccuper de l'éventuelle présence de ces zones et de ces nœuds géopathogènes?

Plus les témoignages objectifs seront nombreux, plus les spécialistes de l'habitat et de la santé en tiendront compte, et plus vite, par voie de conséquence, les moyens de remédier à ces problèmes seront mis en oeuvre.

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