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Le corps a ses raisons

Dans le document VOTRE LITEST-ILA LA BONNE PLACE? GEOBIOLOGIE (Page 111-115)

Ce qui est négatif pour les uns peut être régénérateur pour les autres.

Certains médecins pensent qu'un organisme sain sur une zone géopathogène réagira au stress et se développera en prenant des forces supplémentaires, alors qu'un organisme moins fort ou affaibli ne surmontera pas la situation et ne pourra réagir positivement. C'est une des raisons pour laquelle l'ambigüité des phénomènes de nocivité déroute des esprits parfois bien intentionnés, ne comprenant pas qu'une "ambiance"

satisfaisante pour les uns, peut être mauvaise ou mortelle pour les autres.

Pour sa part, le docteur PICARD déclare qu'il n'y aurait pas "d'ondes telluriques" nocives, mais un désaccord entre une fréquence et le résonateur qu'est l'individu.

Il ajoute que la croissance des cellules dans les organismes placés dans un milieu approximativement uniforme, se développe pratiquement normalement. Si ces mêmes organismes sont placés dans un milieu non cohérent, avec une variation localisée de potentiel et d'intensité, la croissance des cellules n'est absolument plus uniforme.

L'expérience journalière montre qu'il suffit de rétablir une régularité du champ de rayonnement dans une habitation, pour obtenir une amélioration immédiate et une atténuation progressive des troubles. Les organismes rétablissent leur équilibre d'ensemble uniquement par induction cellulaire lorsqu'il y a un trouble léger, mais ils sont absolument incapables do le faire lorsque la force d'induction extérieure est localement prédominante sur les forces intérieures du corps.

Ainsi, est-il possible de s'adapter aux zones géopathogènes?

Faut-il commencer par changer de niveau de conscience ou de mode de vie? Dans son traité sur la physiologie des ondes, le docteur AVELINE a remarqué sur lui-même et sur plus de cent de ses patients, que des organes sont chargés de filtrer les ondes qui nous conviennent de celles qui ne nous conviennent pas, absolument comme le tube digestif garde ce qui nous est favorable et élimine le reste.

Le rein est soumis à une activité des plus intense: sur une zone pathogène, l'urine, par son eau chargée en sels dissous, est bonne conductrice et devient un des premiers moyens qu'utilisé l'organisme pour éliminer l'excédent d'ondes qu'il reçoit: sur l'eau souterraine, beaucoup de personnes se lèvent régulièrement la nuit pour soulager leur vessie. 80 % des "pipis au lit" récalcitrants à un âge avancé de l'enfance seraient en correspondance avec des passages actifs de rayonnement dans la région du ventre.

L'intestin réagit aux surcharges d'ondes par les selles, bien évidemment, mais aussi par les gaz, en ballonnements périodiques. Mais c'est au duodénum qu'est dévolu le rôle le plus important: portion essentielle de l'intestin, il fait suite à l'estomac. Autour de lui, le foie, la rate et le pancréas: à travers tous ces organes circule le sang collecteur d'ondes. Le foie, régulateur et filtre de la masse sanguine, ainsi que la rate, représenteraient le premier barrage de nos organes face aux rayons telluriques intenses et donneraient des signes de faiblesse ou de mauvais fonctionnement en cas de surcharge des radiations (tendances accrues des crises de foie, rhumatismes, infections, etc.). Les anciens savaient cela en examinant le foie des animaux sacrifiés sur les zones géopathogènes. Les ondes emmagasinées à l'excès devront aussitôt être rejetées. Le duodénum y contribue et produit des gaz qui seront résorbés par voie sanguine ou éliminés par l'intestin.

Indépendamment d'éventuels mélanges alimentaires incorrects ou d'aérophagie, l'intestin se distend, se ballonne dans la portion sus-ombilicale de l'abdomen et, dans les cas

extrêmes, cesse de se contracter pour être l'objet de spasmes douloureux, en crises espacées.

Bien sûr, toutes les personnes n'auraient pas la même capacité de fixer ou d'emmagasiner ces ondes, mais pour celles qui sont particulièrement réceptives, la réaction aux ballonnements se déclencherait plus facilement au contact des zones géopathogènes.

Par ailleurs, l'épuisement du système nerveux central et du système neurovégétatif (nervosité, troubles d'adaptation, irritabilité, fatigue, douleurs le long de la colonne vertébrale) seraient en correspondance étroite avec la présence de zones géopathogènes qui polluent partiellement ou totalement une habitation, d'après les observations de médecins avertis.

Le docteur AVELINE s'était intéressé, en son temps, aux fonctions de la peau: elle respire, mais rayonne aussi des ondes par toute sa surface, surtout par les extrémités, orteils, doigts, et par l'éminence Thénar en particulier (saillie externe de la paume de la main). Il existe en effet, selon lui, une correspondance étroite et facile à vérifier entre chaque viscère et une zone déterminée de la main ou des doigts. L'éminence Thénar correspondrait au cœur. L'importance attribuée à cette dernière dans l'émission et la focalisation de nos ondes magnétiques propres, la place à ce titre au premier rang des organes essentiels. Elle devrait naturellement disposer des moyens de protection les plus développés. Le processus de rayonnement de l'éminence Thénar et des extrémités des doigts est mis en évidence par les tests de résistivité cutanée, effectués sur les paumes de la main (géorythmogramme), dont il est fait description dans cet ouvrage (voir p. 61).

Les lavages fréquents à l'eau froide, en frictions et massages des avant-bras, mains, jambes et pieds, faciliteraient autant la circulation du sang (celle de l'influx magnétique normal) que l'évacuation des surcharges étrangères comme celles dues au rayonnement de notre environnement quotidien.

Mais les réactions du rein, du foie, de l'intestin et de la peau sont variables selon les individus. La régulation se fait automatiquement

sous l'influence du bulbe rachidien qui préside à toutes les fonctions de la vie végétative. Dans quelle mesure pourrions-nous maintenir une réaction de défense permanente aux influences géopathogènes sachant que notre volonté est sans effet direct sur ce type d'organe? D'après le docteur

AVELINE, il est possible d'agir indirectement grâce à l'action de la respiration dont le jeu commande celui des trois autres fonctions, à condition d'en connaître toutes les modalités d'action.

L'action puissante du diaphragme sur tous les viscères abdominaux active leurs fonctions par voie de massage et facilite l'irrigation sanguine.

Il est intéressant d'observer que les civilisations antiques avaient de la respiration une connaissance approfondie. Là où nous ne voyons que des phénomènes chimiques sans signification particulière, ces civilisations savaient que le rythme des quatre temps de la respiration, dans ses rapports avec les pulsations du cœur, commande une physiologie remarquable des ondes ainsi que des centres cérébraux. Nous retiendrons seulement que l'expiration est spécialement liée à cette physiologie des ondes.

Jointe à la parole par les vibrations qu'elle imprime au thorax et aux viscères, l'expiration prolongée représente le mode de défense le plus actif que nous ayons naturellement contre les agressions de notre système neuro-végétatif. La nature, en même temps qu'elle donne à l'organisme le moyen de rejeter les ondes, doit lui permettre d'exalter ses moyens de défense. Les glandes à sécrétion interne en sont le plus puissant stimulant sous l'effet des cordes vocales. À une fréquence donnée, elles activent la fonction de tel ou tel groupe de ces glandes. C'est dans la prière et dans le chant que cette action conjuguée de l'expiration et de la parole trouve le maximum d'effet.

Les ressources oubliées du chant et de la voix nous révèlent l'existence d'une véritable alchimie qui s'exprime dans notre être et dans tout ce qui l'entoure. Dans la cosmogonie des aborigènes, un grand nombre de rituels chantés sont destinés à assurer le flux harmonieux et continu de leur énergie vitale et de celle du territoire qu'ils occupent.

II est ainsi beaucoup plus facile de comprendre les cérémonies traditionnelles religieuses pratiquées en commun et soutenues par des chants où le texte, admirablement bien étudié pour le souffle, confère aux fidèles, par un rééquilibrage et un échange d'influx, l'apaisement face aux problèmes de la vie courante.

Les enseignements yogiques utilisent des mantra, chantés. Certains d'entre eux ont pour but d'élargir notre propre champ de rayonnement (aura) et par là même de renforcer nos défenses face aux agressions de l'environnement.

Après une demi-journée de chant en communauté, on peut ressentir cet aura, dans un local qui peut par ailleurs être fort banal. Il semble que les murs en sont chargés ce qui leur donne, pour quelques instants, une densité différente.

Personne ne conteste qu'il faille conserver à nos tendons, ligaments, articulations et au tissu conjonctif en général, par des mouvements appropriés et quotidiens, leur élasticité fonctionnelle pour éviter raideur et ankylose. Pourquoi, de façon toute aussi impérieuse, ne pas préserver toute la souplesse de notre système neuro-végétatif afin de mieux assimiler l'effet des zones géopathogènes.

Dans le document VOTRE LITEST-ILA LA BONNE PLACE? GEOBIOLOGIE (Page 111-115)