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Chapitre VII : Les problèmes de l’Habitat :

VI.1. Le mode d’occupation du sol par les constructions

Pour mieux expliquer les formes de cette répartition, on peut faire appel à plusieurs facteurs, les uns d’ordre physique, les autres d’ordre humain

VII.1.1. Les facteurs physiques

On a trop souvent affirmé quel dépendait de la répartition des ressources en eau.

Comme la terre est totalement recouverte du sable, les eaux s’engloutissent en profondeur et les sources sont rares de même que les puits doivent être profonds et coûteux, d’où la nécessité de la concentration de l’habitat communal. Quand il y a l’eau de pluie, cet eau est partout et on peut facilement disperser les maisons ou on peut entendre pendant quelques jours la disparition de l’eau sur la terre sableuse de plus sa configuration du relief nous donne une sorte de plaine, ce qui diminue les obstacles crées par le relief. Il allonge les trajets entre les maisons et les petits espaces

VII.1.2. Les facteurs humains

Pour les traditions ethniques, on a un cru à des anciens comme les Masikoro ou Tanalana mais actuellement la famille accepte sans aucun issu l’union libre. Les anciens théories n’arrivent pas à résister sur les faits, heureusement l’importance des coutumes est impérativement acceptée par les nouvelles générations.

Les sites et les formes des quartiers :

Les sites sont extrêmement variés, mais selon l’origine de cet arrondissement comme tout est bien expliqué, il existe le quartier ou village perché. Ce qui tient ainsi à partir de la raison définitive tel est le cas des Makoa à Betania centre nommé à cette époque : « kily miriorio » et comme aussi champ de culture pour les sociétés françaises…. Le percement s’explique par l’œuvre des colons et l’organisation de la fondation de l’église par les missionnaires catholiques en particuliers les Norvégiens. Souvent il existe des murailles qui commencent à s’effondrer à Betania Ouest mais, quelque soit l’endroit il existe des traces du site qui permet un aboutissement des concentrations des maisons ou un laissé aller ou des autres constructions aux environs. Un des sites les plus fréquents est l’église protestant qui fonde depuis sa création les chorales religieux de Toliara ville. Puisque, Betania n’a pas encore trouvé son aspect vrai urbain. Ces sites sont majoritairement mal vus dans la société, car même la circulation reste un des handicaps pour pouvoir conserver les sites.

La forme peut dépendre de ces sites. Une proposition a classifié beaucoup de points de vue sur le rapport des villages et des quartiers de champ ou sur le plan d’un seul grand quartier dont aujourd’hui on ne l’appelle pas de cette façon, car en principe la classification présente des similitudes et actuellement des villages et quartiers serrés. Il est parfois serré en raison d’une ancienne fortification avec un plan à géométrique. Cette forme de gros villages et/ ou la petite ville de Betania s’étend en général sur quelques rues formant un dessin irrégulier, il s’agit parfois d’un desserrement non originel, mais avec un post-médiéval.

La différence de plan avec le gros village de Mangabe viendrait donc plus d’une évolution que d’une opposition originelle. Le desserrement, quelle que soit son origine, s’explique en partie par les nécessités de l’économie des bœufs à tuer (industrie SCMA) et les champs de cultures de sisals et ce type original qui, après les années 1980, semble avoir étendu hors du noyau primitif. Plusieurs ruelles sur lesquelles les maisons se sont établies en long et en large de cet arrondissement et sur les parcelles contiguës que prolongent les champs de culture. Plus tard ou après 1990 on ne parlait pas de champs mais les types, les plus caractéristiques qui se dissocient aujourd’hui parce que, la maison cherche de l’aisance malgré la question des limites de l’aire des quartiers qui, tantôt coïncident avec celles des autres arrondissements tantôt en différent. Il s’est révélé très délicatement où est loin d’avoir élucidé tous les problèmes que pose cet arrondissement et la maison en divers sens (direction).

Si les quartiers se serrent plus encore, on ne parle plus la ville de Betania concentré, mais seulement une petite agglomération qui ne cesse de prendre l’allure d’une ville.

Il est en général combiné avec une structure très lâche de la maison qui comprend des bâtiments simples minimes, dispersés et désordonnés ; heureusement juxtaposés et ces quartiers sont remplis par les maisons en joncs.

Les formes des unités d’habitation et leur répartition se combinent dans la notion de modèle d’habitat. Dans chaque portion d’espace, il appartient au géographe de savoir comment les habitations ont occupé le sol en question : des unités géométriquement irrégulières par disposition de réseau simple et incompréhensible car les files de maisons et nœuds à leurs points de concours ne demandent aucun mode d’agencement qui contribuent à occuper l’espace

VII.1.3 La forme d’adaptation

Il y a souvent plusieurs façons pour une maison de Betania, de s’adapter à son objet et la tradition copie parfois des types de générations après générations sans les adapter nécessairement à une économie changeante. Autrement dit, elle a pu se modifier moins vite, à la fois en raison d’habitude enracinées et selon beaucoup de croyances d’ordre religieux. Les gens ont pu traduire cette maison qui est même conçue parfois comme le temple du culte domestique. On en parle beaucoup pour la formation de Betania centre et même les sociologues reflètent aussi que la maison est une disposition mentale et n’est pas uniquement une construction raisonnable. Néanmoins, d’autres s’intéressent surtout au problème de l’adaptation climatique par rapport à ceux qui habitent au bords de la mer pour s’adapter à un peu et tout près du système d’exploitation. Ici on peut la définir comme l’outil de travail des paysans. Par là, on entend non seulement le logement de l’agriculteur, mais aussi de l’artisanat de toute sorte.

La maison est naturellement en rapport avec la taille et la richesse de l’exploitation envers l’exploitant mais, dans ce milieu, celui-ci ne s’embourgeoise pas, car sa résidence à l’outil de travail dissocie l’exclue de l’étude de la maison. De toute façon chaque maison représente non seulement un type fonctionnel, mais ainsi un type social.

L’adaptation aux milieux : il est un des soucis du constructeur (propriétaire ou non) dans chaque quartier de la ville, d’une part pour se défendre contre les conditions du climat tropical semi-aride, d’autre part pour contrer les vents violents qui peuvent même enlever tous les toits des maisons en diminuant la peine ou les frais de la construction, car en majorité des maisons qui sont construites à Betania ouvrent impérativement leurs portes dans le sens ou de

direction dans la partie Nord. Il existe en revanche de singulière inadaptation au profit des places restantes dont la porte ne demande plus de directive. Ces maisons ont des murs en bois et majoritairement en vondro (jonc) sur lesquels, on a tendu du bararata avec de files à tout genre. Les gens acceptent dans cette nouveauté, pour aérer ce climat trop chaud ou un fait de civilisation qui peut être important. Une inadaptation flagrante qui se trouve au milieu et de toute façon, en cas de déménagement, le travail semble plus facile dans une petite courte durée. On peut s’étonner la place où était cette maison.

Cette forme d’adaptation traduit des influences complexes historiquement et économiquement. Pour l’extension rapide de l’arrondissement, aussi dans la ville tout entière.