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Chapitre X : Les activités dominantes

X.5. La composition professionnelle de cette population

Elle est un rapport avec le type d’organisation de la vie économique (une société rurale traditionnelle) des sociétés à différentiation professionnelle plus marquée (comprenant une population commerçante, des employés divers). La différenciation professionnelle est en

rapport avec une différenciation des niveaux de vie, mais il n’y pas entre telle profession et tel niveau de vie un lien nécessaire.

Une première distinction est qu’il existe des personnes exerçant une profession, même si elle est en chômage et en deuxième lieu, il y a des jeunes qui sont en majorité des jeunes et des infirmes, des ménagères et des rentiers à Betania, qui encore déclarent en général une profession. Les statistiques sont viciées par l’interprétation différente qu’on peut faire encore la femme du commerçant qui aide ou non son mari et réciproquement ou « sans profession ».

Pour des raisons fiscales ou l’opinion gratuite le secrétaire de Mairie montre que 60%

sont actives mais 20 sont dans le registre administratif et fonctionnaire et 40% aux travaux informels. Le taux d’activité des femmes varie bien évidemment avec l’âge ; en moyen de 16 et 24 ans, c’est-à-dire après l’éducation et après le mariage mal mené, il se stabilise ensuite et manque parfois un léger maximum secondaire après 45 ans, quand il n’y a plus de jeunes enfants au foyer.

Le pourcentage des hommes actifs à Betania s’est récemment abaissé avec une proportion de 15% dans l’ensemble. Dans ce monde d’économie archaïque, cette proportion semble très faible, alors que les femmes sont majoritairement fortes pour le travail informel surtout pour le petit commerce. Les structures mentales des femmes jouent un très grand rôle pour augmenter acte proportion active.

Puisqu’il s’agit d’activités informelles, elles ne demandent aucune preuve de qui que ce soit mais quand elles se trouvent laissées ou que leurs maris ne s’intéressent pas de leur avenir, sans dispute, elles prennent les choses en main.

Dans le secteur Est de Betania Tanambao, la répartition professionnelle des actifs, les primaires sont estimés moins de 20% des gens qui acceptent la pêche comme les Vezo et qui prétendent avoir une place considérable dans la vie de tous les jours, les agriculteurs comme les Masikoro 2ème rang et qui s’engagent à donner des fruits de récoltes très stomatiques. Et les carrières dont là un mélange peut s’intervenir, car sa demande que la volonté et quelques sommes pour assurer l’approvisionnement à Sakaraha, en entendant la réussite du saphir.

Pour les secondaires, ils sont seulement les bijoutiers qui ne sont pas nombreux et les ouvriers de menuiserie et de charpentiers qui essaient de montrer leur performance en artisanat malgré la mauvaise gestion qui fait traîner la progression de leurs petits métiers.

Ce sont les commerçants qui présentent la majeur partie de la population. il existe d’autres professions telles que : les transporteurs, les domestiques, les administrateurs, les représentants de la culture ou de la religion. Ici on y estime presque plus de 60%. Il n’y a pas

phénomènes prouvent que les gens de Betania selon les enquêtes faites dans le secteur d’Andaboly, sur 203 habitants interrogés, la majorité de leurs activités sont militaires, instituteurs et vendeurs mais les cadres supérieurs sont moindres.

La recherche ou l’exercice d’activités lucratives est la principale occupation des habitants. Elle a donc une influence sur la vie de cet arrondissement, car tout dépend de la réussite de cette activité. L’intensité des activités est très remarquée, car des familles choisissent à se catégoriser dans divers produits pour assurer et lutter la famine. Pour les travaux sur le maïs(mouillage, broyage, tamisage, mise en vente) quelque soit manuel ou par machine, qui demande une bonne coordination et dépend de la récolte ; si on regarde de prêt, ce sont les Tanalana qui en occupent en majorité.

Photo n°14 : Fabriquant de (toaka gasy) rhum local à l’intérieur du quartier de Betania.

Les troncs de bois creusés servent de condensateurs : la vapeur d’alcool sortant des barriques de canne à sucre bouillies se condensent et le « toaka gasy » coule dans un récipient par ces deux tuyaux.

En ce qui concerne la confection de réchaud à charbon en fer qui est une activité de manière artisanale avec des difficulté pour ramasser la matière première (en fer). On peut

En quelque sorte, l’utilisation de la charrette (location, transport) il existe de nombreux petits parcs à bœufs qui solidarisent le va et vient dans cet arrondissement par vocation des marchandises ou pour assurer des commissions en brousse. Ces cultures vivrières et saisonnières sont localisées sur le RN 7 (Andranohinaly, Masiakampy, Andalanambo, Befaly,…) et d’autres régions (Vatolatsaka, Plateau Mahafale, et celle du Fiherenana). Les gens de la ville plus particulièrement ceux de l’arrondissement assurent d’aller et retour pour le bon fonctionnement sur les lieux de culture.

Enfin les autres activités qui restent ne présentent que 3% dont on peut citer quelques uns tels que : maçon, manœuvre, dockers mécanicien, fonctionnaire, réparateur, divers,…

La Jirama, la Hasyma ou la star sont les grandes entreprises privées qui se trouvent à l’intérieur de l’arrondissement. Elles tentent d’embaucher comme main d’œuvre temporaire ou définitif. Les femmes à moitiés stables préfèrent s’organiser dans leurs maisons à tout prix de la rue ou ruelle en montant des épiceries pour la sauvegarde des bénéfices et en achetant d’autres produits.