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Cette recherche a été réalisée dans le but de répondre à la question : dans quelles mesures les activités d’autonomisation économique des femmes rurales par les centres d’autopromotion favorisent-elles les différentes dimensions de leur empowerment ? Trois principales préoccupations ont été formulées à la fin du chapitre consacré au cadre théorique. Il s’agit de faire ressortir : l’influence des activités des CAFE sur l’autonomisation économique des femmes rurales membres, celle de cette autonomisation économique sur l’empowerment de ces femmes ainsi que les difficultés auxquelles elles font face dans les CAFE. En prenant appui sur une démarche qualitative appuyée par l’approche GED, la collecte des données primaires et secondaires désagrégées selon les sexes a permis de dégager des résultats multidimensionnels qui ont favorisé une compréhension générale de ce qui se passe dans les CAFE et dans leurs organisations de base.

Aux termes des discussions, il faut au prime abord signaler que ce sont des catégories de femmes qui exercent leurs activités au niveau des CAFE et non un groupe homogène de femmes. Cependant dans cette partie encore l’expression « les femmes » va être employée pour faire référence à ces catégories ou groupes de femmes. Il ressort des résultats que les CAFE peuvent constituer de véritables atouts pour l’empowerment des femmes membres à condition qu’elles et leurs partenaires adoptent une approche multidimensionnelle qui leur permettra de mieux saisir les inégalités afin de définir efficacement les activités, les stratégies et les actions. Étant restées longtemps dans la sphère domestique, les femmes ont pris la décision sous l’influence des actions des partenaires au développement de faire leur parution dans la sphère productive avec des organisations formelles comme les tontines et les groupements informels. À Toubacoro et à Dioïla, les CAFE ont été des facilitateurs pour la formalisation des organisations des femmes et de leurs activités. Aussi, avec les efforts collectifs des femmes et des partenaires les activités menées par celles-ci connaissent des améliorations du point de vue du financement, et de l’exécution même de ces activités qui favorisent l’obtention de revenu sur un temps plus régulier. Les CAFE constituent un espoir et un secours économique qui permet aux femmes de résoudre leurs problèmes cruciaux d’argent. Également, les résultats confirment les motivations des initiateurs et initiatrices des CAFE pour lesquels-les ces centres peuvent servir à l’augmentation de la qualité et de la valeur commerciale des produits des femmes puisqu’ils leur facilitent l’obtention de matériels et d’équipements appropriés qui seront à l’abri des détournements par les hommes. En outre, les CAFE favorisent la diversification et l’augmentation des revenus des femmes rurales. Ils favorisent également le développement de capacités techniques et organisationnelles par celles-ci. L’amélioration de la situation économique des femmes leur permet d’acquérir du pouvoir grâce aux contributions qu’elles arrivent à faire dans leurs familles avec les revenus de leurs activités. Cependant elles saisissent moins les opportunités que ces contributions offrent pour changer leur statut.

Même si les CAFE sont des facteurs d’empowerment et de changement de la situation économique des femmes, ils restent confrontés à des problèmes à plusieurs niveaux. Il ressort que les activités menées actuellement par les femmes connaissent très peu d’études diagnostics pour plus de rentabilité et de durabilité. La domination masculine freine les femmes des CAFE et joue considérablement sur leur « pouvoir intérieur», cependant les résultats de cette recherche permettent de croire à l’empowerment des femmes rurales avec les changements qui s’observent au niveau des deux autres pouvoirs : le « pouvoir de » et le « pouvoir avec ». Le processus dépend largement des femmes elles-mêmes alors que leur vision de l’empowerment reste encore trop restreinte : elles ne voient que le côté économique et ignorent les aspects socioculturels et politiques. Le processus dépend aussi des partenaires qui ont le devoir de favoriser l’éveil des femmes et des hommes dans les communautés. Or, ces partenaires ont des approches qui sont loin de répondre aux exigences du processus. Ces approches sont principalement basées sur l’IFD qui reste à l’écart des inégalités entre les sexes. Cette insuffisance est accentuée par les agents et les agentes peu qualifiés-es dont disposent les partenaires et les services étatiques sur le terrain. De nombreux instruments juridiques et institutionnels existent dans le pays pour l’empowerment des femmes toutefois leur application connait de nombreux problèmes que nous n’avons pas étudiés avec cette recherche. L’approche genre et développement tant défendue par les autorités du pays reste du domaine discursif et ne connait pas d’application sur le terrain des deux CAFE concernés par cette recherche. Au prime abord nous pouvons dire que l’État malien constitue le premier responsable dans cette non-application des lois, textes, politiques et conventions en vigueur dans le pays puisque sur lui repose l’élaboration des mesures et la prise des dispositions pour l’application de ces instruments et pour la dépolitisation du genre.

Autant les femmes sont considérées comme une catégorie à part, autant les hommes préfèrent restés à l’écart des activités des CAFE et cette situation ne favorise pas le développement de relations égalitaires. Aussi, au lieu de s’intéresser aux écarts qui existent entre elles d’une part et entre elles et les hommes d’autre part les actions des CAFE contribuent à cliver davantage le groupe des femmes qui est déjà assez diversifié par plusieurs facteurs. Nous avons rencontré des femmes motivées et déterminées ; nous avons aussi échangé avec des femmes très déçues par le fait que leurs efforts restent sans effets positifs majeurs sur leur vie et nous trouvons qu’il est crucial de chercher de bonnes issues pour toutes ces femmes. Pour une réussite du processus d’empowerment, la fragilité de la situation des femmes permet de dire qu’il est important qu’elles se donnent la main pour partir ensemble avec des forces qui se complètent. Fondamentalement, les difficultés que les femmes elles-mêmes rencontrent semblent avant tout attribuables à leur analphabétisme et à leur manque de formation dans le domaine de l’affirmation de soi, ainsi qu’à la forte intégration de leur subordination. Nous pensons qu’un bon accompagnement peut favoriser la réduction de ces contraintes, la formation de bons leaderships féminins et de bonnes expertises féminines. Il convient de rappeler à tous les

partenaires et même à toutes les responsables des femmes que l’empowerment est un processus complexe et multidimensionnel qui demande la conjugaison de nombreux efforts et la participation de plusieurs spécialités.

Certes, les CAFE restent des initiatives à privilégier pour l’empowerment des femmes rurales, cependant ils demandent beaucoup de financement pour réussir leurs missions. Ainsi, il serait mieux pour un départ de concentrer les efforts sur les organisations de base pour mieux répondre aux besoins des femmes. Aussi, l’adoption systématique de l’approche GED par les partenaires s’impose afin de saisir la situation des femmes et des hommes et pouvoir déterminer l’implication de toutes les couches dans le processus de développement. Ils doivent également avoir recours à l’expertise des spécialistes à défaut de donner à leur personnel toute la formation nécessaire pour une meilleure intégration du genre dans toutes les activités et même dans leur budget. Ils doivent aussi joindre leurs efforts pour la création d’espaces d’échanges d’expériences et de connaissances pour un processus plus inclusif. Si Dioïla existe depuis 2005, Toubacoro n’a ouvert ses portes qu’en 2013 et les expériences du centre de Si yiriwa peuvent être capitalisées pour appuyer l’association Musow jigitugu-ton afin d’éviter plusieurs erreurs techniques, économiques et organisationnelles.

En revenant sur la question de recherche posée, il ressort des résultats que les activités des CAFE favorisent l’obtention de revenus et de matériels par les femmes et leurs organisations. Les compétences techniques et organisationnelles que les femmes acquièrent améliorent les deux pouvoirs de leur empowerment (« le pouvoir de » et le « pouvoir avec »). Seulement, il se passe que les femmes n’ont pas un contrôle total sur ces revenus et elles sont davantage tirées par leur statut imposé par la tradition et par les énormes dépenses familiales. Leur autonomisation économique y est puisque le revenu reste tout de même important surtout en contexte de pauvreté. Cependant, cette autonomisation économique n’est pas garantie puisque les femmes n’arrivent pas à investir dans leur propre formation et leur équipement. Donc, l’autonomisation économique des femmes favorise également leur empowerment avec les deux pouvoirs qui bougent mais au lieu de focaliser les efforts sur la création de revenus pensant que cela entrainerait le reste du processus, il sera intéressant de donner plus de poids et plus de considération au « pouvoir avec » pour plus de conscience critique de la part des femmes. Le « pouvoir intérieur » qui est le pouvoir le plus important puisqu’il constitue cette puissance qui va permettre aux femmes de faire les bons choix se trouve imbriqué dans un noyau fortement envahi par la tradition et la domination masculine bien intégrée par les femmes elles-mêmes. Rien qu’en prenant l’exemple de l’indicateur qui porte sur l’évolution du regard de la personne sur elle-même (amour de soi), généralement la tradition et la religion musulmane malienne recommandent aux personnes d’être toujours fière de ce que Dieu a donné et toutes les femmes se disent fières d’elles-mêmes, car « on est

toujours au milieu dans cette vie et quel que soit la situation il y’a des gens meilleurs que soi et ceux qui sont dans une situation plus précaire » nous a-t-on tout le temps dit. Alors que dans les débats des focus group par exemple quand une question est posée certaines femmes refusent de parler et quand nous leur demandons de donner leur avis avec un tour de table, elles donnaient des idées intéressantes. En cherchant à comprendre les raisons pour lesquelles elles refusaient de parler, elles déclaraient qu’elles n’avaient pas confiance en leurs idées et elles préfèrent se taire pour ne pas se faire ridiculiser. Pour nous, ceci est un élément de manque de confiance en soi bien que les intéressées déclarent qu’elles sont fières d’elles-mêmes et qu’elles ne se sous-estiment pas. La dynamisation des organisations sera donc un bon levier puisque ce sont des lieux où les femmes trouvent la force et la confiance nécessaire pour la construction d’une grande estime de soi.

Les limites de l’étude

Aux termes de cette conclusion, il est important de signaler les insuffisances observées dans cette recherche pour éviter leur reproduction dans les études ultérieures et similaires à celle-ci. D’abord dans les considérations théoriques présentent des insuffisances qui concernent la grille d’observation des pouvoirs de l’empowerment. Certes, nous avons considéré le « pouvoir sur » dans les débats concernant la domination masculine. Cependant, la formulation d’indicateurs plus subtils aurait permis de comprendre en profondeur certains aspects de cette domination masculine tels que sa formation au fil du temps, les effets que sa perte entrerait chez les hommes et dans les sociétés, les éléments des noyaux et des périphéries des représentations sociales la concernant, entre autres.

Pour les aspects méthodologiques, certes des discussions informelles ont été réalisées avec certains groupes d’hommes qui s’intéressaient au sujet de la recherche, cependant la réalisation d’un focus group avec des hommes aurait permis l’obtention d’informations plus complètes sur l’empowerment des femmes. Par ailleurs, les critères élaborés pour les choix des femmes pour les focus group (les responsables des organisations) ont favorisé la rencontre des femmes âgées seulement. Pour les recherches futures, il sera intéressant de faire les focus group avec des responsables et des membres ensemble et insérer le critère âge pour avoir la participation des jeunes femmes dans les débats. En outre, la réalisation de focus group avec les membres serait intéressante pour l’obtention de données croisées. Aussi la période choisie pour la collecte a coïncidé avec le pic des activités maraîchères et les activités des CAFE étaient au ralenti. Ainsi pour le futur nous recommandons les mois de mars-avril pour Toubacoro, et décembre-janvier pour Dioïla afin de rentrer dans les périodes actives des CAFE. Enfin pour ce qui concerne la méthodologie, la collecte de données économiques aurait permis de comprendre plusieurs aspects économiques comme les montants des dépenses dans les familles (frais scolaires, le montant des ordonnances des enfants, les frais journaliers ou

hebdomadaires des condiments, les montants pour l’habillement des enfants et pour le trousseau des filles entre autres) pour une certaine période versus les montants des revenus obtenus aux mêmes moments, les montants des tontines et leur utilisation avec la répartition par poste de dépenses, entre autres.

Les pistes de recherche

Cette recherche voulait apprécier les effets des activités des CAFE sur l’autonomisation économique et sur l’empowerment des femmes rurales à travers deux cas. Pour compléter cette compréhension, il serait intéressant de s’intéresser à d’autres cas puisque certains CAFE comme celui de Ouéléssébougou toujours dans la région de Koulikoro sont inactifs alors que d’autres sont sur le point de fermer. Pour l’approche GED, des études permettraient également de comprendre les motifs pour lesquels son utilisation par les partenaires est faible dans le domaine du développement rural au Mali. L’étude de la domination masculine est un point central dans l’empowerment des femmes rurales au Mali et des recherches seraient intéressantes pour favoriser l’obtention d’amples informations nécessaires au développement de stratégies réductrices des effets négatifs de cette domination. Par ailleurs, la gestion des activités des femmes est souvent influencée par les interférences des partenaires ou de leurs agents. Ainsi, il serait intéressant de mener des recherches sur ce qui est possible pour leur accompagnement afin qu’elles soient mieux alphabétisées et mieux formées pour bien gérer leurs activités avec toute l’autonomie que cela demande. D’autre part, l’obtention de marchés d’écoulement rapide des produits des femmes constitue un véritable goulot d’étranglement pour les CAFE et elle mérite d’être analysée pour plus d’autonomisation économique de la part de ces femmes. Enfin, il sera aussi intéressant de savoir les voies et moyens qui favoriseraient une mobilisation massive des organisations des femmes dans le processus de l’empowerment par l’implication des femmes leaders qui viennent d’intégrer les nouvelles équipes communales. En quelque sorte, il s’agit de déterminer les possibilités pour plus de pouvoir collectif des CAFE et de leurs organisations afin de favoriser l’empowerment économique à travers l’entrée politique.

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