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Cadre social au souper

Dans le document Usage de la cigarette (Page 109-116)

Comportements alimentaires

13.2.3 Cadre social au souper

Il apparaît que plus de la moitié des jeunes de 9, 13 et 16 ans n’ont pas soupé seuls au cours des sept jours de référence (tableau 13.8). Cette proportion diminue, toutefois, en fonction de l’âge (78 %, 64 %, 50 %). À l’opposé, une proportion non négligeable d’enfants et d’adolescents (8 %) déclarent avoir soupé seuls six ou sept fois au cours de la semaine. La majorité des jeunes de 9 ans (70 %) et 13 ans (67 %) ont soupé régulièrement avec la famille. À 16 ans, la moitié des adolescents ont soupé en famille six ou sept fois et environ le tiers (36 %), de trois à cinq fois. Par ailleurs, environ 25 % des enfants de 9 ans ont soupé au moins une fois avec la gardienne, et 9 % d’entre eux l’ont fait de trois à sept fois. Enfin, un bon nombre de jeunes de chaque âge (32 %, 38 % et 45 % respectivement) ont soupé à l’occasion avec des amis.

La fréquence à laquelle les enfants et les adolescents ont soupé seuls est associée au soutien affectif parental. Ainsi, parmi les enfants ayant un soutien affectif maternel élevé, la proportion de ceux qui n’ont pas soupé seuls au cours de la semaine est supérieure à celle retrouvée en présence d’un faible soutien affectif (83 % c. 70 %) (figure 13.1). Il en est de même parmi les adolescents de 13 ans (69 % c. 52 %) et de 16 ans (58 % c. 43 %). L’association avec le soutien affectif paternel est également significative, et ce, pour tous les groupes d’âge (figure 13.2).

Tableau 13.8

Fréquence à laquelle les enfants et adolescents ont soupé seuls, avec la famille, la gardienne ou les amis au cours d’une période de 7 jours, Québec, 1999

9 ans 13 ans 16 ans

% Seuls

Aucune fois 78,21 63,61 50,41 Une ou deux fois 11,12 23,22 30,82 Trois à cinq fois 3,0 *3 4,8 *3 11,33

Six ou sept fois 7,7 8,5 7,6

Avec la famille

Aucune fois 5,64,5 1,8 **4 3,0 *5 Une ou deux fois 13,46 8,26 10,6 Trois à cinq fois 11,47 23,07 35,97 Six ou sept fois 69,68 67,09 50,58,9 Avec la gardienne

Aucune fois 75,1 … …

Une ou deux fois 15,9 … …

Trois à cinq fois 4,7 * … …

Six ou sept fois 4,3 * … …

Avec les amis

Aucune fois 55,710 52,611 46,010,11 Une ou deux fois 32,312 38,312 45,412

Trois à cinq fois 7,4 6,9 6,6

Six ou sept fois 4,6 *13,14 2,3 *13 2,1 *14

1-14 Les pourcentages dotés du même exposant sont significativement différents au seuil de 0,05.

* Coefficient de variation entre 15 % et 25 %; interpréter avec prudence.

** Coefficient de variation supérieur à 25 %; estimation imprécise fournie à titre indicatif seulement.

Source : Enquête sociale et de santé auprès des enfants et des adolescents québécois 1999, Institut de la statistique du Québec.

Figure 13.1

Fréquence à laquelle les enfants et adolescents ont soupé seuls selon le soutien affectif maternel, Québec, 1999

1-7 Les pourcentages dotés du même exposant sont significativement différents au seuil de 0,05.

L’association entre la fréquence du souper seuls et le soutien affectif maternel est significatif au seuil de 0,05 à chaque âge.

* Coefficient de variation entre 15 % et 25 %; interpréter avec prudence.

Source : Enquête sociale et de santé auprès des enfants et des adolescents québécois, 1999. Institut de la statistique du Québec.

Figure 13.2

Fréquence à laquelle les enfants et adolescents ont soupé seuls selon le soutien affectif paternel, Québec, 1999

1-4 Les pourcentages dotés du même exposant sont significativement différents au seuil de 0,05.

Le test d’association entre la fréquence du souper seuls et le soutien affectif paternel est significatif au seuil de 0,05 à chaque âge.

* Coefficient de variation entre 15 % et 25 %; interpréter avec prudence.

** Coefficient de variation supérieur à 25 %; estimation imprécise fournie à titre indicatif seulement.

Source : Enquête sociale et de santé auprès des enfants et des adolescents québécois, 1999. Institut de la statistique du Québec.

Près de 60 % des adolescents de 13 ans n’ont pas préparé le souper eux-mêmes au cours d’une semaine et cette proportion diminue lorsqu’il s’agit du groupe de 16 ans (36 %) (tableau 13.9). La proportion de jeunes qui ont préparé le repas du soir est plus élevée chez les jeunes de 16 ans, que ce soit « 1 ou 2 fois » (46 % c.

35 %) ou « 3 à 7 fois » (18 % c. 7 %). Par ailleurs, la proportion de garçons n’ayant pas préparé le souper est plus élevée que celle des filles, et ce, pour les deux catégories d’âge (64 % c. 51 % à 13 ans et 41 % c.

31 % à 16 ans).

Tableau 13.9

Fréquence à laquelle les adolescents de 13 ans et 16 ans ont préparé leur souper eux-mêmes au cours d’une période de 7 jours selon le sexe, Québec, 1999

1-8 Les pourcentages dotés du même exposant sont significativement différents au seuil de 0,05.

Le test d’association entre la fréquence de préparation de leur souper et le sexe est significatif au seuil de 0,05 chez les 13 ans et 16 ans.

* Coefficient de variation entre 15 % et 25 %; interpréter avec prudence.

Source : Enquête sociale et de santé auprès des enfants et des adolescents québécois 1999, Institut de la statistique du Québec.

Le tableau 13.10 présente les choix alimentaires privilégiés lors de la préparation de ce repas. La grande majorité des jeunes (environ 70 %) disent combiner les produits maison et commerciaux. Toutefois, l’usage exclusif de produits maison est plus fréquent que celui des produits commerciaux, à 13 ans (17 % c. 4,2 %) et à 16 ans (31 % c. 3,6 %). La proportion de jeunes faisant appel à des produits maison est plus élevée

chez les adolescents de 16 ans que de 13 ans (31 % c.

17 %). À 16 ans, ce choix est particulièrement marqué chez les filles comparées aux garçons (39 % c. 24 %).

Tableau 13.10

Choix alimentaires lors de la préparation du souper selon le sexe, adolescents de 13 ans et 16 ans ayant préparé leur souper eux-mêmes au cours d’une période de 7 jours, Québec, 1999

Produits

1-5 Les pourcentages dotés du même exposant sont significativement différents au seuil de 0,05.

Le test d’association entre les choix alimentaires et le sexe est significatif au seuil de 0,05 chez les 16 ans.

* Coefficient de variation entre 15 % et 25 %; interpréter avec prudence.

** Coefficient de variation supérieur à 25 %; estimation imprécise fournie à titre indicatif seulement.

Source : Enquête sociale et de santé auprès des enfants et des adolescents québécois 1999, Institut de la statistique du Québec.

Le tableau 13.11 montre que près de la moitié des jeunes de 13 et 16 ans (46 %) écoutent fréquemment la télévision durant le souper. Dans le cadre de la présente enquête, la catégorie de poids des adolescents n’est pas associé à ce comportement.

Tableau 13.11

Fréquence d'écoute de la télévision pendant le souper selon le sexe, adolescents de 13 ans et 16 ans, Québec, 1999

Toujours ou

Sexes réunis 45,7 54,3

16 ans

Garçons 48,4 51,6

Filles 43,4 56,6

Sexes réunis 45,9 54,1

Source : Enquête sociale et de santé auprès des enfants et des adolescents québécois 1999, Institut de la statistique du Québec.

Conclusion

Plusieurs études, pour la plupart nord-américaines, ont porté sur la prévalence de l’omission du déjeuner chez les enfants et les adolescents (Shaw, 1998). De manière globale, elles révèlent des taux variant de 4 % à 38 % au sein de cette population de différents âges et statuts sociodémographiques. Il est probable que ces variations soient partiellement dues aux différentes définitions du terme « déjeuner » ou aux périodes de référence utilisées. Une étude québécoise effectuée en 1985, auprès de jeunes du secondaire et du cégep, a analysé l’apport alimentaire lors du déjeuner sur une période de trois jours et estimé que la proportion de ceux qui ne déjeunent pas se situait alors entre 8 % et 14 % (MAPAQ et Cercle des fermières du Québec, 1985). Les résultats obtenus dans le cadre de la présente enquête estiment à environ 35 % la proportion des adolescents de 13 et 16 ans et à 20 % celle des enfants de 9 ans n’ayant pas pris de manière quotidienne un aliment ou une boisson le matin, avant le début des activités de la journée. Parmi les facteurs influençant l’omission du déjeuner identifiés lors d’études antérieures, on peut citer l’âge, le sexe, la situation économique et l’éducation des parents (Ruxton et Kirk, 1997). Il a été démontré que l’omission du déjeuner augmente avec l’âge et ce phénomène a

été constaté dans notre population également. De plus, les filles ont tendance à omettre le déjeuner plus souvent que les garçons. Les filles de 9 ans de notre étude déjeunent plus souvent que les garçons mais à 13 ans, ce rapport est inversé et à 16 ans, la différence n’est plus significative du point de vue statistique. La situation financière est étroitement reliée à la consommation du déjeuner, la pauvreté ayant souvent été la cible d’interventions visant à augmenter la prise de ce repas (Shaw, 1998). Dans notre étude, un faible revenu et la présence d’insécurité alimentaire sont également reliés à une diminution de la fréquence du déjeuner chez les plus jeunes.

Il est maintenant bien établi que les fumeurs ont tendance à omettre ce premier repas de la journée plus fréquemment que les non-fumeurs (Revicki et autres, 1991), et le même phénomène a été constaté au sein de notre population. Comme l’association de ces deux facteurs est en mesure d’augmenter le risque d’apports nutritionnels inadéquats, il est primordial d’intervenir auprès des jeunes pour diminuer le tabagisme et les inciter à déjeuner sur une base régulière. De plus, la fréquence à laquelle les jeunes prennent le déjeuner est reliée au sexe, à l’âge et à des facteurs socioéconomiques, ce qu'il faudrait prendre en considération lors de la conception de programmes visant à promouvoir les bienfaits de ce repas.

En ce qui a trait à la consommation de repas du restaurant, cette étude a permis d’estimer qu’environ 50 % des enfants de 9 ans et un peu plus de 60 % des adolescents de 13 et 16 ans consomment, à l’occasion ou fréquemment, des repas au restaurant ou livrés à domicile, très peu le faisant sur une base très fréquente. Les jeunes se procurent plus de repas que de collations à l’extérieur du foyer. À ce sujet, les seules données disponibles pour fin de comparaison sont celles publiées par le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec (MAPAQ et Cercle des fermières du Québec, 1985), selon lesquelles environ 50 % des jeunes québécois fréquentent des restaurants, casse-croûte ou cafétérias

scolaires de une à quatre fois par semaine et environ 22 % y vont cinq fois ou plus. Dans la présente étude, la consommation de ce type d’aliment semble varier en fonction de l’âge des jeunes. Ainsi, les jeunes de 9 ans consomment davantage de repas ou collations provenant de restaurants que les adolescents de 13 et 16 ans. Ces résultats sont difficilement explicables. On connaît peu la validité des réponses des enfants de 9 ans à un questionnaire autoadministré. De Leeuw et Otter (1995), dans une étude de fiabilité des réponses à un questionnaire chez des jeunes de 9 ans et 14 ans, démontrent que la qualité des données est influencée par l’âge du répondant et par la complexité des questions, et que cette dernière influence est plus marquée chez les plus jeunes. La présente étude permet tout de même d’affirmer que le nombre de jeunes québécois qui prennent des repas ou des collations à l’extérieur n’est pas négligeable. Par conséquent, leurs intérêts, préférences alimentaires et préoccupations en matière de santé devraient être pris en compte lors de l’élaboration de menus offerts dans les différents établissements.

En outre, les résultats montrent que la majorité des jeunes de 9 ans et 13 ans bénéficient régulièrement du cadre familial lors du souper : environ 70 % d’entre eux ont soupé avec la famille six ou sept fois au cours de la semaine. À 16 ans, le souper en famille demeure régulier pour la moitié des jeunes, et fréquent (de trois à cinq fois) pour 36 % d’entre eux. Les jeunes qui reçoivent un soutien affectif élevé de la part de leur mère ou de leur père soupent moins souvent seuls. Par ailleurs, il s’avère que la plupart des jeunes de 13 ans n'ont pas préparé le souper eux-mêmes au cours d’une semaine, mais l’inverse est observé à 16 ans. On a déjà estimé à 24 % la proportion d’adolescents qui préparent les repas les jours de semaine et à 33 % ceux qui le font la fin de semaine (Lamirande, 1998).

Nos données révèlent qu’environ 40 % des jeunes de 13 ans préparent un souper au cours de la semaine, et 7 % affirment l’avoir fait de trois à sept fois. À 16 ans, ces proportions s’élèvent à 60 % (au moins un souper) et à 18 % (de 3 à 7 fois).

De manière générale, le temps passé devant la télévision ayant été relié à une augmentation de la prévalence de l’obésité chez l’enfant, à des taux élevés de cholestérol et à de piètres habitudes alimentaires (Kennedy, 1998), il est important de prendre les mesures nécessaires pour réduire cette habitude.

D’ailleurs, la diminution de l’écoute de la télévision pendant le repas a été citée à titre de stratégie visant une diminution de la masse adipeuse chez des enfants obèses (Robinson, 1999). Cependant, dans le cadre de la présente enquête, l’écoute de la télévision pendant le souper n’est pas reliée à la catégorie de poids des adolescents. L’association du poids avec le nombre total d’heures passées devant la télévision sera analysée au chapitre suivant.

En conclusion, toute intervention de promotion de la santé auprès des jeunes doit provenir non seulement d’une analyse de la qualité nutritionnelle de leur alimentation, mais aussi d’une considération de certains comportements susceptibles de modifier leur régime alimentaire. De plus, étant donné le nombre et la complexité des facteurs influençant les habitudes alimentaires des jeunes, il est essentiel de concevoir et d’élaborer des stratégies adaptées à leurs préférences, priorités et préoccupations. Afin d’assurer la réussite d’une intervention, une approche impliquant directement la famille ou des groupes d’adolescents est à recommander, puisque « les jeunes sont souvent, pour les jeunes, de meilleurs informateurs que les adultes » (Chauliac et De Baco, 1996).

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