• Aucun résultat trouvé

L ES SYSTÈMES D ’ INFORMATION WEB (WIS)

Dans le document Les sites web. (Page 36-0)

CHAPITRE 2 CRITÈRES DE DESCRIPTION DU SITE WEB

2.5 L ES SYSTÈMES D ’ INFORMATION WEB (WIS)

Le recours à ces différents modèles permet, en effet, de procéder d’une manière systématique à l’explicitation des caractéristiques principales d’un site Web ou, dans le cas d’un projet de développement d’un site, à la spécification de celles-ci. Ce que la perspective sémiotique ajoute à une telle approche technologique spécifiée par le recours aux types de modèles cités ci-dessus, c’est notamment le fait de pouvoir expliciter comment on peut utiliser concrètement tel ou tel modèle, comment et à l’aide de quels critères on décrit tel ou tel plan d’un site Web – questions qui sont, habituellement, laissées aux soins de l’analyste.

Dans une optique de l’ingénierie d’information ou des connaissances, on parle en terme de systèmes d’information web ou W.I.S. (abréviation de son expression anglaise – « web information system ») pour désigner un module d’information quelconque d’un site Web qui possède une certaine autonomie, une certaine organisation interne et qui occupe une certaine fonction sur un site Web.

Prenons l’exemple de l’espace cognitif ou topique global du site d’une entreprise quelconque. Celui-ci est typiquement composé de plusieurs espaces ou justement modules d’information fonctionnellement plus spécialisés tels que :

– le module informations corporate ;

– le module informations sur les produits & services ; – le module informations pour actionnaires ;

– le module emploi et carrières ;

– ou encore le module achat/vente en ligne.

Chacun de ces modules constituent un système d’information web ou WIS ([KAG 99], [HOI 2002]) qui :

– est relativement autonome des autres WIS composant un site Web ; – peut être internement plus ou moins élaboré, structuré ;

– est cependant toujours caractérisé par une structure conceptuelle (un

« schéma d’organisation ») plus ou moins typique et récurrente ;

– peut se manifester (à travers une interface) et se réaliser (à l’aide de technologies données) de manière fort diverse.

Prenons comme deuxième exemple les WIS composant l’espace cognitif ou topique du site d’un séminaire de recherche (intégré, par exemple, dans le site d’un centre de recherche ou d’un institut de formation). Comme nous l’avons développé ailleurs [STO 03b], un tel espace d’information ou de connaissances peut s’élaborer à travers – ou sur la base – de plusieurs modules typiques tels que :

a) informations générales (sur le séminaire), b) calendrier (du déroulement du séminaire), c) participants (au séminaire),

d) contenu des cours (composant le séminaire), e) ressources en ligne (pour le séminaire),

18 WIS : « web information language »

f) références bibliographiques (pour le séminaire), g) projets de recherche (réalisés au cours du séminaire), h) espaces de travail (réservés aux participants du séminaire).

Tel ou tel module de la liste ci-dessus peut être plus ou moins élémentaire (« primitif ») ou s’articuler à son tour en modules plus spécialisés. Un des intérêts principaux de l’identification et de la description de tels modules consiste dans la production (« génération ») de sites adaptés à un certain type de contextes et d’usages (comme c’est le cas, par exemple, des sites de séminaires de recherche) et dans la mise en place de bibliothèques de modules « préfabriqués » et utilisables tels quels ou moyennant certaines modifications possibles dans une variété de sites bien plus grande que celle des sites destinés à la diffusion des connaissances produites dans un séminaire de recherche. C’est le cas, par exemple :

– du module participants qui est un WIS de type annuaire qui peut se retrouver dans toute une variété de sites Web, voire intégré dans d’autres WIS ;

– du module calendrier qui est un WIS de type agenda qui, lui aussi, peut se trouver sur des sites très variés, voire intégré dans d’autres WIS ;

– du module ressources en ligne qui est un WIS de type bibliothèque numérique qui peut être utile à des sites aussi bien personnels, institutionnels, commerciaux, ou éducatifs ;

– du module projets de recherche qui est un WIS de type « travail collaboratif en ligne » et fait partie de tous types de sites intégrant comme prestation celle – centrale – de permettre en général à des groupes d’acteurs bien identifiés à travailler ensemble dans un « bureau virtuel ».

La description ou encore la spécification d’un WIS se fait d’une part par le recours aux différents modèles que nous avons introduits ci-dessus et d’autre part à l’aide de techniques de modélisation tel que l’UML (abréviation pour unified modelling language) dont la tâche principale est de permettre une spécification précise et exploitable en terme de développement informatique de l’organisation, de la présentation et de l’exploitation d’un WIS par l’utilisateur (cf. aussi [BON 00], [CER 00] [KOK 02].

Certains auteurs ([KAG 99], [HOI 2002]) donnent une interprétation large d’un WIS en considérant en fait chaque partie d’un site Web comme un module d’information à condition qu’elle forme une prestation spécifique du site et possède une autonomie relative par rapport aux autres prestations. D’autres auteurs restreignent un WIS à une classe de technologies et applications précise.

Peu importe la vision adoptée pour interpréter un WIS, ce que nous retenons, c’est le fait que explicitation et description des différents plans constitutifs d’un WIS constituent, de toute façon et avant tout, une problématique sémiotique. Autrement dit, en amont de toute spécification technique, il faut déjà disposer du scénario d’un WIS définissant son contenu, sa présentation et son appropriation par un utilisateur.

Deuxième partie

La mise à disposition d’une prestation Web

Chapitre 3

La description du contenu d’un site Web

3.1 Introduction

Dans ce chapitre, nous allons nous occuper principalement de la description structurale du contenu des prestations proposées sur un site à un public donné. Cette description structurale ou scénarisation vise, comme nous le verrons, avant tout à expliciter les différentes scènes composant un scénario du contenu et à les positionner les unes par rapport aux autres.

Dans la section 3.2, nous allons introduire quatre critères principaux qui doivent être pris en considération lors de la description et spécification scénarielles du contenu d’une prestation Web. Parmi ces quatre critères, ce sont ceux de l’univers sémantique et du discours qui nous paraissent être les plus importants à être explicités et décrits expressément : quel est l’univers sémantique qui caractérise une prestation et comment peut-il être caractérisé, quel est ou quels sont les discours développés pour communiquer, transférer une prestation à un public donné ? Voilà les deux questions à poser pour pouvoir procéder à une description structurale du contenu d’un site Web.

Dans la section 3.3, nous présenterons un exemple concret d’analyse du contenu d’une prestation. Il s’agit d’une région particulière sur la page d’accueil de notre site de référence qui est celui du site de la préhistoire des Gorges du Verdon.

Dans la section 3.4 enfin, nous introduirons un petit outil technique – le script – permettant de standardiser la description structurale du contenu d’un site Web ou d’une de ses parties.

3.2 Les principaux critères d’analyse du contenu

Commençons à considérer la classe de critères qui nous aideront à analyser le contenu d’un site Web, d’une de ses parties ou encore d’une partie commune à un corpus de sites Web. Il s’agit, rappelons-le, de la première des trois classes de critères (figure 2.3) utilisée par la description sémiotique des sites Web.

Parmi les critères les plus centraux qui doivent nous aider à mieux comprendre, expliciter, comparer et évaluer le contenu ou le sens des prestations d’un site Web, d’une de ses parties ou d’une partie commune à différents sites Web, nous comptons les quatre suivants :

1. Univers sémantique

Question: de quoi « parle » la partie du site Web soumise à une analyse, une description ?

2. Différenciation sémantique

Question: la partie du site Web soumise à une analyse, se différencie-t-elle (doit-elle être différenciée) en des univers sémantiques plus spécialisés et si oui, lesquels ?

3. Intégration sémantique

Question: la partie du site Web soumise à une analyse, fait-elle, elle-même, partie d’un univers sémantique plus général et si oui, duquel ?

4. Discours

Question : quel est le langage utilisé pour communiquer, « faire passer » les prestations offertes sur la partie du site Web soumise à une analyse et peut-il être rapproché à un certain genre discursif lato sensu (cf. [STO 01], i.e. à un certain type de produits ou service d’information et de communication) ?

Figure 3.1 : Les principaux critères utilisés pour l’analyse du contenu d’une prestation Web

Dans la figure 3.1 de la « partie » du site Web soumise à l’analyse – partie telle que sa page d’accueil ou ses rubriques. Mais comme nous l’avons déjà dit, cela n’exclut naturellement pas qu’un site Web en entier ou encore qu’une prestation commune à un corpus de site Web peuvent constituer l’objet d’une analyse structural du contenu.

Un objectif principal de l’analyse du contenu d’un site ou d’une de ses parties est d’y identifier les principales scènes et les rapports entre les scènes. Souvenons nous, nous avons défini une scène d’une manière analogue à la scène théâtrale, c’est-à-dire notamment comme une unité de sens qui s’expriment à travers un ensemble de registres comme une région (une partie d’une page, une page, …) perceptible et communicable. Une des tâches les plus importantes est d’expliciter positivement quelle est l’unité de sens ou quelles sont les unités de sens qu’englobe et communique un site Web ou encore la partie d’un web soumise à une analyse. En termes plus techniques, on parle ici d’univers sémantique et on se pose la question quel est l’univers sémantique d’un site ou d’une de ses prestations soumises à analyse.

L’univers sémantique d’un site Web ou d’une de ses prestations est caractérisé – grosso modo et sans entrer trop dans les détails techniques –par son ou ses domaines de référence (d’expertise, …) et, par la façon dont il en tient compte (par le

« modèle » qu’il en fournit). Dans ce sens, nous parlerons, par la suite :

1. du référent ou encore du domaine de référence d’un site ou d’une prestation 2. et de l’espace thématique du référent sur le site.

La description du contenu d’un site Web 41

Cette distinction, nous l’avons déjà rencontrée dans le premier chapitre de ce livre où nous avons discuté la distinction entre le territoire préexistant à un site (sous forme, par exemple, d’une organisation ou d’une pratique sociale qu’il représente) et territoire façonné par le site qui parle de et/ou au nom de l’organisation ou de la pratique sociale qu’il représente.

Pour prendre l’exemple d’un site possible d’une entreprise, celui-ci est composé d’une manière typique et récurrente par un ensemble de « modules » (ou systèmes d’information web au sens où nous l’avons introduit dans le chapitre précédent) tels que « présentation de l’entreprise », « produits et services » ou encore « vente en ligne des produits et services ». Or, selon la conception d’un tel site, ces trois modules renvoient à trois domaines de référence, possèdent trois référents particuliers :

– l’histoire et la spécificité économique de l’entreprise (premier module) ; – les produits et services issus de l’entreprise et constituant ses biens marchands ;

– la transaction sous forme d’achat et de vente d’un bien marchand.

Chacun de ces trois référents ou domaines de référence est « façonné » – interprétés et adaptés aux objectifs du site et au contextes de ses usages – ce qui veut dire que s’il y a d’autres sites intégrant les mêmes domaines de référence, alors ces derniers pourraient être façonnés différemment et, cela, avant tout pour répondre aux objectifs et aux usages particuliers auxquels un site doit répondre (ou, du moins, est supposé de répondre). Ainsi, et de nouveau d’une manière très générale, on parle des visions différentes du domaine corporate, du domaine « produits et service » ou encore du domaine « transaction commerciale » - visions différentes qui s’articulent sur les sites sous forme d’espaces thématiques pouvant varier d’une manière plus ou moins fortement ou, au contraire, d’une manière presque imperceptible.

Ceci toujours étant, nous supposons que chacun des trois modules en question de notre site hypothétique d’une entreprise possède une certaine unité de sens, circonscrit un univers sémantique qui lui est plus ou moins propre. Séparément, ils caractérisent l’identité, la spécificité de « leurs » modules, ensemble ils caractérisent la spécificité du site.

Autrement dit, le scénario structural, c'est-à-dire, le scénario du contenu de notre site hypothétique est composé des trois scènes (principales) différentes :

– Scène 1 : « lieu de présentation corporate de l’entreprise » ; – Scène 2 : « lieu de présentation des produits et services » ; – Scène 3 : « lieu de transaction commerciale ».

Nous reviendrons encore sur la qualification d’une scène sous forme d’un lieu mais retenons déjà l’idée directrice exposée dans le premier chapitre de ce livre, un site Web est un lieu social au sens propre, une « institution » qui se compose d’autres lieux plus spécialisés – chaque lieu se différenciant des autres d’un point de vue sémantique et d’un point de vue fonctionnel, c’est-à-dire d’un point de vue de la fonction, de la tâche qu’il accomplit dans ce jeu institutionnel que caractérise le site Web.

Ceci dit, le scénario du contenu de notre site est composé des trois scènes identifiées ci-dessus ; par contre le scénario, le modèle du contenu qui caractérise

l’une ou l’autre des trois scènes attend encore une description plus élaborée. Si nous prenons la deuxième scène « lieu de présentation des produits et services », nous la connaissons seulement sous sa globalité sémantique mais nous devons nous poser la question comment cette globalité est elle-même localement organisée sous forme, par exemple, de sous scènes dont chacune se distinguerait des autres de par son univers sémantique caractéristique. Dans la section 3.3 ci-après nous verrons d’une manière très détaillée un exemple concret

La seule chose que nous pouvons dire à propos de notre deuxième scène, c’est qu’elle intègre un univers sémantique englobant qui est celui caractérisant le contenu du site lui-même. Or, en comparant notre site hypothétique avec d’autres sites du même genre, nous pourrions nous rendre compte que cette intégration n’est pas fortuite mais plutôt très typique et récurrente. Autrement dit, l’intégration d’un univers sémantique dans un univers sémantique englobant n’est pas un processus aveugle et mécanique mais conditionnée par des traditions culturelles spécifiques au territoire de référence qui est le monde de l’entreprise. De même, et d’une manière complémentaire, la différenciation d’un univers sémantique en des univers plus spécialisés (s’exprimant, dans notre cas, en la différenciation du scénario du site en trois scènes) n’est naturellement pas non plus un processus aveugle et mécanique mais obéissant bien à nos traditions, habitudes et expériences.

Ceci étant, les deux critères méthodologiques « différenciation sémantique » et

« intégration sémantique » sont là pour nous rappeler que l’unité de sens d’une partie d’un site Web ou d’un site dans son ensemble doit être appréciée également en terme de leur place, de leur positionnement dans une configuration plus globale (c’est la fonction du critère intégration sémantique) et également en terme d’une configuration qui sélectionne et positionne des univers sémantiques plus spécifiques (c’est la fonction du critère différenciation sémantique).

Enfin, le quatrième critère qui doit nous aider à comprendre et expliciter le contenu d’une partie d’un site Web, d’un site Web en entier ou encore d’une partie commune à plusieurs sites Web, est celui du discours au sens très large du terme et pas restreint à ses usages (socio-)linguistiques que l’on tient dans la partie du site Web soumise à analyse pour développer, communiquer le domaine de référence. En d’autres termes, pour communiquer, pour faire passer une prestation (d’information, de transaction, …), il faut obligatoirement un système de communication – un langage qui s’exprime sous forme de discours. Une des fonctions de l’analyse du contenu d’un site Web est d’en déterminer et d’expliciter les formes discursives caractéristiques. Comme nous l’avons déjà dit – et nous en verrons beaucoup d’exemples concrets par la suite – le discours ne doit pas être considéré, ici, dans un optique linguistique restreinte en terme d’« action » ou d’« interaction verbale » mais comme une action ou interaction de communication qui s’appuie sur toutes sortes de signes sémiotiques (seulement verbaux) pour faire passer une information, un message à propos de son domaine de référence.

3.3 Exemple de description du contenu d’une scène de la page d’accueil d’un site de musée

Pour exemplifier les critères d’analyse que nous venons d’introduire, nous allons prendre une petite zone sur la page d’accueil du site du Musée de la préhistoire des

La description du contenu d’un site Web 43

Gorges du Verdon19 (figure 3.2) – zone dont nous faisons l’hypothèse qu’elle constitue une scène spécifique du scénario du lieu d’accueil sur notre site de référence. Dans le chapitre 4, nous allons appliquer les quatre critères d’analyse du contenu à l’explicitation du scénario structural sous-tendant un site en entier et une de ses rubriques.

Figure 3.2 : Région représentant la scène de l’annonce de l’exceptionnalité du site et de son objet

La zone que nous avons choisie comme exemple réalise la scène 3 du scénario sous-tendant l’organisation structurale du contenu de la page d’accueil de notre site de référence (figure 3.3). Ce scénario spécifie le fait que le lieu d’accueil des visiteurs sur notre site de référence est composé de 5 lieux plus spécialisés chacun accomplissant une fonction particulière dans la « gestion » des visiteurs, de leurs intérêts et désirs :

– Scène 1 : lieu d’accès aux prestations d’information générale

– Scène 2 : lieu d’accès aux prestations d’information relative au patrimoine archéologique et du musée lui-même

– Scène 3 : lieu d’identification du site ;

– Scène 4 : lieu d’annonce de la spécificité, de la « valeur ajoutée » du site ; – Scène 5 : lieu d’accueil sur le lieu du site

Ces cinq scènes décrivent des lieux tout à fait typiques et récurrents pour organiser l’accueil des visiteurs sur un site :

– lieu d’identification du site (sous forme de son nom, de son logo, de son adresse, etc.)

– lieu d’auto-publicité (sous forme d’un slogan, par exemple, mettant en exergue la particularité, l’incomparabilité du site)

– lieux de passages pour accéder aux prestations,

– ou encore, lieu d’accueil (la « halle », par parler ainsi) du visiteur à proprement parler.

19 Site Web : http://www.museeprehistoire.com/

La zone choisie pour notre analyse correspond donc au type de lieux d’auto-publicité et nous souhaiterions mieux connaître l’organisation structurale de son contenu.

Figure 3.3 : Scénario du lieu d’accueil général sur le site du Musée de la préhistoire des Gorges de Verdon

L’univers sémantique de la dite zone (cf. critère 1 : univers sémantique) est circonscrit par l’annonce et le développement de la marque distinctive, c’est-à-dire de la spécificité, de la singularité du lieu du Musée et, par ricochet, du site représentant le Musée. Cet univers fait partie d’un univers sémantique plus global qui est celui de l’accueil sur le site (cf. critère 3 : intégration sémantique). Mais, elle fait partie, avec la scène 3, d’un autre univers sémantique qui peut être paraphrasé comme suit : « qualification du Musée et du site » (cf. critère 3 : intégration sémantique). La figure 3.3 montre le scénario de cet univers sémantique et la figure 3.4 montre l’expression concrète de ce scénario sous forme d’une partie d’une page web.

Figure 3.4 : Région mettant en scène le scénario de la qualification du site du Musée de la préhistoire

Insistons qu’il s’agit ici d’un scénario très typique et très récurrent non seulement pour tous sites de musée mais pour la plupart des sites qu’on peut rencontrer sur le web dans la mesure où il propose la mise en scène de deux informations essentielles : l’identité référentielle du site et la valeur spécifique, ajoutée du site et/ou de l’entité que le site représente. D’ailleurs, en règle générale, ce scénario se présente sous forme d’une région visuelle se trouvant très souvent dans la

Scène (scénario) :

La description du contenu d’un site Web 45

partie supérieure des différentes pages composant un site comme c’est d’ailleurs le cas dans notre site de référence.

partie supérieure des différentes pages composant un site comme c’est d’ailleurs le cas dans notre site de référence.

Dans le document Les sites web. (Page 36-0)

Outline

Documents relatifs