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Où les équinoxes sont distingués par l!apparence des cerfs :

Dans le document Le cerf, le temps et l'espace mythiques (Page 144-154)

La parade sexuelle des cerfs est une cause finale, et leur mue une cause nécessaire :

La différence entre la connaissance objective du cerf et la représentation imaginaire porte sur une relation causale : la finalité de la mue printanière est de permettre le rut automnal :

« Les bois des Cervidae repoussent chaque année avant le rut et tombent après celui-ci. Pendant leur croissance, ils sont recouverts d'une peau richement vascularisée (le velours) qui les protège et nourrit l'os. Le velours sèche et tombe quand les bois ont acquis leurs dimensions définitives pour l'année. »432

Le rut en automne et la moindre ressource alimentaire en hiver déterminent la santé des mâles, qui passent le printemps et l!été à recouvrer leur embonpoint :

« Pendant le rut, la masse corporelle subit une perte de l'ordre de 13% à laquelle s'ajoute une autre perte de 13% durant l'hiver mais, jusqu'à l'âge de 16 ans, les animaux retrouvent leur poids normal avant la période du rut suivante. De même jusqu'à l'âge de 16 ans, on n'observe pas de modification de la masse des bois liée à d'éventuels effets néfastes du rut. A partir de l'âge

Chapitre 4.

Opposer le

printemps (les

jours longs) à

l!automne (les

jours courts).

de 17-18 ans, des signes d'épuisement se manifestent, qui mènent souvent à une issue fatale. L'âge le plus élevé observé chez les cerfs mâles est ainsi de 4 ans inférieur à celui observé chez les biches. »433

Pour aboutir à la symétrie calendaire entre deux interphases, il fallait associer le rut automnal avec la repousse de février à juillet, et la phase de quiescence d!août à janvier. Pour que la cohérence soit maintenue, il faut encore que l!apparence du bois dans la seconde partie de l!année du cerf, soit mise en relation avec la finalité du cycle (se reproduire) et ses moyens (le bois comme arme). C!est le sens implicite de l!explication fournie par Lalevée :

« Un peu comme les dents, grâce à leur pulpe, le c#ur des bois demeure vivant plusieurs mois après la chute des velours. Cela leur confère une résistance mécanique aux chocs bien supérieure à celle que l'on constate sur les bois des trophées ou des mues, qui se brisent plus facilement après déshydratation. »434

Le signifié de puissance du bois de cerf n!est pas constitué selon l!antinomie vie/mort, où les bois sous leur velours seraient à la vie durant un semestre, ce que les bois nus seraient à la mort durant l!autre. Il est analogue à celui des arbres marcescents, c'est-à-dire l!antinomie croissance végétale/dormance végétale sous le climat tempéré. Les refaits sont au cerf ce qu!est la pousse des rameaux aux arbres, tandis que les bois nus sont au cerf, ce qu!est la dormance aux végétaux. La mue des cerfs équivaut au renouveau printanier des arbres marcescents :

« Les cerfs &jettent& puis &refont& leurs bois d'autant plus tôt qu'ils sont plus âgés et en bonne condition physique. En moyenne et environ, la chute s'étale de fin février à fin avril, les refaits s'initient presque immédiatement et se terminent au plus tard fin août pour les plus jeunes. Les refaits des plus âgés sont donc terminés en premier, ce qui leur procure un avantage hiérarchique précoce [durant le rut]. »435

« Les grands cerfs entrent en rut avant les jeunes qui se tiennent à distance, alors que c'est l'inverse pour les biches. Pour la chute des bois et leur repousse, il en est de même : les mâles les plus âgés sont toujours en avance. »436

Comment interpréter la singularité du cerf dans les récits, sinon par la concomitance saisonnière et par la forme censée être commune à l!arbre et au bois de cerf ? Aucune « fonction biologique » commune aux animaux et végétaux ne peut être retenue, bien qu'on puisse proposer que la forme arborescente soit une adaptation identique dans les deux ordres aux contraintes climatiques des climats contrastés. Les variations photopériodiques détermineraient la croissance discontinue, car après chaque phase de « dormance » la croissance repartirait en bifurquant à partir de l!apex. L!invariance de structure quel que soit le niveau de l!échelle de grandeur fournit l!argument en faveur de la réplication périodique des formes. En se prévalant de l!idée que des lois mathématiques existent dans la nature, que le savant les identifie et qu!il les confronte aux formes naturelles, on assigne une fonction commune aux bois animaux et végétaux, malgré la différence des motifs morphologiques. Cette « fonction » n!est que narrative. En effet, comparer la circulation du sang et celle de la sève n!a pas de sens du point de vue des sciences naturelles. En revanche, des termes communs facilitent l!analogie : ainsi « l!aoûtement » désigne l!interruption de la croissance des rameaux et correspond à la sainte Madeleine, la fin des refaits des cerfs. Ce point de vue perdure jusqu!à Buffon en Occident mais on le retrouve encore dans la médecine traditionnelle asiatique. Le bois de cerf n!est efficace qu!en raison des principes actifs véhiculés par les vaisseaux sanguins du velours. Le bois coupé après les calendes d!août n!est d!aucun secours.

On juge un cerf, en été, au bois porté, et au printemps, au bois jeté :

L!expression est ambiguë car le bois désigne ici les branches « portées » les unes sur les autres lors du passage du cerf dans les buissons. Le cerf « porte les bois » de la sainte Madeleine jusqu!en février. Le reste du temps, il est en refait de son propre bois :

« [Quand] tu auras le bos trouvé Qu'il aura brisié et porté

L'un sur l'autre. »437

« Par le pié et au bois porter Te dois tu touz tans raviser. »438

« Le quint signe [pour apprendre à cognoistre le grant cerf, est] au bois porter. »439

« Aussi li veuill apprendre connoistre grand cerf par le boys porter. Adonc emporte il le bois et mesle une branche sus l'autre; quar les porte et met là où elles ne souloyent mie estre de leur nature. Et quand les portées du bois sont larges et hautes ["] »440

Le cerf brame en automne et se tait au printemps :

Le motif se trouve énoncé par antithèse dans le mythe d!Actéon, car Artémis le met au défi d!aller colporter la honte qu!elle a subi en étant surprise nue :

« La couleur des nuages teintés par le soleil qui les frappe directement ou celle d'une aurore empourprée ressemblait au teint du visage de Diane, surprise sans vêtement. Celle-ci, bien qu'entourée du groupe de ses compagnes, se dressa cependant de côté, tourna la tête en arrière et, comme si elle avait voulu avoir ses flèches prêtes, elle prit l'eau à sa portée et la jeta à la figure de l'homme, répandant sur ses cheveux des ondes vengeresses. Puis elle ajouta ces paroles qui annonçaient sa ruine future : « Maintenant raconte que tu m'as vue, sans un voile, si tu peux raconter, libre à toi » $ Et sans menacer davantage, elle donne à la tête inondée les cornes d'un cerf vif, allonge son cou, termine en pointes ses oreilles, transforme ses mains en pieds, ses bras en pattes effilées, et couvre son corps d'une peau tachetée. Elle lui ajoute aussi la crainte : le héros, fils d'Autonoé, s'enfuit et s'étonne d'être si rapide dans sa course même. »441

Dans le roman de Merlin, le motif est construit autour d!une longue antithèse, opposant les cris furieux du devin à la douceur de la harpe :

« Merlin pleura trois jours entiers. Il refusait toute nourriture tant la douleur qui le consumait était immense. Soudain, alors qu'il faisait retentir ses plaintes nombreuses et répétées, un nouvel accès de fureur le saisit : il se retira en secret et s'enfuit vers la forêt, ne voulant pas être aperçu dans sa fuite. »442

Gwendoline envoie un joueur de harpe en forêt, qui parvient à amadouer Merlin :

« Il vit la source et Merlin, assis à côté sur l'herbe ; il se lamentait en ces termes : &Ô toi qui gouvernes l'univers, comment se fait-il que les saisons ne soient pas toutes semblables mais qu'il en existe quatre bien distinctes ? Le printemps obéit à ses propres lois en prodiguant les fleurs et les feuillages, l'été donne les moissons et l'automne les fruits mûrs. L'hiver glacial prend sa suite ; il dévore et dévaste tout ce qui reste en amenant la pluie et la neige. Il emprisonne toute chose et cause des dommages par ses tempêtes, n'autorisant ni la terre à produire ses fleurs aux multiples couleurs, ni le chêne à produire ses glands, ni les pommiers leurs pommes rouges. [...] »443

« Le messager a écouté le devin ; il interrompt ses plaintes avec les accords d!une cithare, qu!il avait emportée à dessein dans l!espoir d!amadouer ainsi le dément et de l!attendrir grâce au charme de sa musique ["] Il parvient à charmer le devin qui s!est adouci et se complait dans la compagnie du chanteur ["] il oblige notre homme, séduit par la douceur de l!instrument à renoncer peu à peu à sa folie. Il arrive donc que la mémoire revient à Merlin, qu!il se rappelle qui il est et ce qu!il a coutume d!être ; il s!étonne de son accès de folie et maudit son égarement. Son bon sens lui revient. »444

La ruse permet le retour progressif de Merlin à la vie civile :

« Insensiblement le devin se défit de sa fureur, tout captif qu'il était du doux charme de la harpe. Merlin alors retrouva la mémoire de lui-même. Il revit en esprit ce qu'il avait été ; il s'étonna et détesta sa fureur. Son bon sens d'autrefois lui revint, de même que sa capacité à s'émouvoir, et, ayant retrouvé la raison, il gémit aux deux noms de sa s#ur et de sa femme, ému par leur dévouement. Il demanda à être conduit à la cour du roi Rodarch. [...] Mais Merlin n'eut pas la force de supporter une telle foule de gens rassemblés. Et, en effet, il fût saisi d'égarement ; de nouveau plein de fureur, il désira retourner dans la forêt, cherchant le moyen de s'éloigner furtivement. Alors Rodarch donna des ordres afin qu'il fût maintenu sous la surveillance des gardes et que la harpe adoucît sa fureur [...] »445

Apollon citharède ou Orphée charmant les animaux sauvages sont comparables au harpiste guérissant Merlin de sa folie. Faute d!une indication calendaire précise, nous faisons appel à la légende d!Apollon et Daphné, telle qu!elle est représentée sur la mosaïque de Lillebonne : les indications y sont clairement équinoxiales, le cerf bramant est placé en opposition symétrique du sacrifice à Diane. En termes anthropomorphiques, la folie qui s!empare des cerfs en rut, s!oppose à leur discrétion printanière. Chez Geoffroy de Monmouth, les motifs équinoxiaux se retrouvent dans les péripéties sur l!apparence et le mode de vie de Merlin, alternativement fou et sage. Son épouse Gwendoline l!ayant perdu, la tristesse altère son teint blanc. Dans une autre version, le conte de Taliesin, la transformation du devin en homme sauvage à longs poils alterne avec son retour à l'aspect humain, la peau plus blanche que jamais. La capture du Merlin sylvestre passe par le son des lyres ou des harpes, censé inhiber les instincts belliqueux de l!homme sauvage. Il semble que la peau nue de Taliesin et la santé mentale de Merlin, soient les valeurs opposées à la folie et à l!hirsutisme. Selon cette analogie, l!automne est au Merlin sylvestre, ce que le printemps est au devin. Ainsi Merlin ne reste que durant la bonne saison auprès de Gwendoline et la quitte l!automne revenu :

« La reine ordonna à Gwendoline de venir le plus rapidement possible assister au départ de Merlin. Cette dernière vint et supplia à genoux son époux de rester. Mais il rejeta ses prières [...] [La reine propose alors que Gwendoline accompagne Merlin, ou qu'elle reste veuve, ou qu'elle se remarie]. [...] A ces mots le devin répondit : &Ma s#ur, je ne veux point d'une bête qui répand les eaux de la fontaine& [...] »446

Le motif de la bête pleurant aux fontaines correspond à l!indication printanière. L!homme noir, hirsute ou pris d!un accès de folie est à l!automne, ce que la peau blanche, la femme pleurant ou le cerf du psaume pascal, sont au printemps.

Le cerf est en rut en automne et perd ses génitoires au printemps : Nous retrouvons Artémis au moment où apparaît Actéon :

« Quoique ses compagnes se soient rangées en cercle autour d'elle, elle détourne son auguste visage. Que n'a-t-elle à la main et son arc et ses traits

rapides $ À leur défaut elle s'arme de l'onde qui coule sous ses yeux; et jetant au front d'Actéon cette onde vengeresse, elle prononce ces mots, présages d'un malheur prochain : &Va maintenant, et oublie que tu as vu Diane dans le bain. Si tu le peux, j'y consens&["] »447

Actéon meurt dévoré mais on ne dit rien de sa virilité, alors que la virginité d!Artémis est le thème implicite du récit. Artémis jette de l!eau du bain au front d!Actéon, le change en cerf que ses chiens dévorent. Nous retrouverons une partie des motifs dans le lai d!Ignauré, dans la légende de la fée de Carrouge et dans celle de Mélusine, où les signifiés de puissance associés à la fille au bain sont mieux énoncés que dans le mythe gréco-romain. Dans le lai d!Ignauré, les dames s!unissent pour se venger ensemble de leur amant volage. Elles vont le poignarder mais le héros s!en tire. On informe les maris cocus, qui châtrent Ignauré. Ils donnent son c#ur à manger à leurs épouses énamourées $ A Carrouge, le chasseur de cerf fait de la fille au bain son amie, mais l!épouse légitime ne l!entend pas ainsi. Elle vient poignarder la fée et tue son mari du même coup. Ses descendants portent au front la même marque rouge que le chef de la lignée. A Lusignan, Raymondin fonde son domaine à partir d!une peau de cerf découpée en un unique lacet. L!indication sexuelle est inversée car c!est l!infirmité de Mélusine qu!on signifie et non celle du mari. Celui-ci ayant bravé l!interdit, sa femme disparaît.

Les signifiés de puissance du bain de l!ondine sont la distinction des genres taxonomiques selon l!antinomie humain/animal, la distinction des genres sexués selon l!antinomie masculin/féminin, et les éléments physiques selon l!antinomie eau/air, et enfin, la verticalité selon l!antinomie haut/bas. Ajoutons-y le renouvellement des générations, selon l!antinomie mort du héros/progéniture du héros. L!eau printanière du psaume 42 ou l!eau du bain d!une entité gynémorphe dans le mythe d!Actéon, peuvent signifier la castration du héros masculin, voire sa mort. A l!opposé du calendrier, la flèche du chasseur est une métaphore de la fécondation des biches par les cerfs en rut : le berchaire est au cerf, ce que le cerf est à la biche pendant quelques semaines. La scène apparait à Lillebonne et s!explique par la mention suivante :

« Un cerf estelaire est un cerf apprivoisé que l'on envoie dans les bois pour aider à prendre les autres. »448

Le mot « estélaire », disparu du lexique de la vénerie contemporaine, existe encore dans la taxonomie zoologique sous les formes « éterle » et « éterlou » désignant respectivement les individus encore stériles des ongulés de montagne. Par glissement de sens, ces animaux sont encore trop jeunes pour s!être reproduit : ils ne sont pas chassables, a priori. Dans le langage des veneurs d!autrefois, le « cerf estélaire » est vraisemblablement le cerf châtré dont on se servait pour provoquer le raire des cerfs sauvages sans risquer d!être dagué par l!appelant. En désignant le cerf participant au brame alors qu!il ne peut participer à la procréation, on dissocie des valeurs jusque là associées. « Estélaire » est une corruption du mot latin « stérilis », dont l!effet est loin d!être anodin en mythologie celtique puisqu!il est fréquent de lire l!interprétation de « Stirona » comme une paronomase de « stella », l!étoile, quand il s!agit du mot gaulois équivalent à « stérilis », « la vierge ». « Sirona » ou « Stirona », comme Artémis au bain face à Actéon, sont la dame du lai de Guiguemar, quand le chevalier reçoit cette blessure par le truchement d!une biche cornue. Du fait de la dissociation des valeurs saisonnières, les flèches reçues en retour par le chasseur ou par le saint homme protégeant un cerf, peuvent signifier l!inverse de l!automne. Le motif congruent, la flèche qui n!atteint pas sa cible mais frappe le héros à la cuisse, devient la métaphore d!une blessure génitale, de l!impuissance sexuelle ou de

l!homosexualité : ainsi Lanval est traité d!inverti pour s!être refusé à la reine. Dans la coutume contemporaine, les valeurs opposées de l!automne et du printemps sont rejouées chaque année, par les danseurs du Horn Dance, en costumes aux couleurs opposées. Leurs ramures sont bigarrées, soit à dominante noire et détails blancs, soit à dominante blanche et détails noirs. La chorégraphie oppose trois cerfs blancs à trois cerfs noirs.

Le cerf noir est mauvais :

Le thème narratif du cerf noir est rare ; nous ne connaissons que dans deux récits où l!aventure tourne au désastre pour le chasseur d!un cerf noir. Nous en inférons que signifié de puissance qui y est associé est strictement régional. Seul Buffon en parle incidemment comme d!un fait de nature. Encore ne connait-il que des cerfs partiellement noirs :

« Il en est de même encore de la grandeur et de la taille de ces animaux, elle est fort différente selon les lieux qu!ils habitent ; les cerfs de plaines, de vallées ou de collines abondantes en grains, ont le corps beaucoup plus grand et les jambes plus hautes que les cerfs des montagnes sèches, arides et pierreuses ; ceux-ci ont le corps bas, court et trapu ; ils ne peuvent courir aussi vîte, mais ils vont plus longtemps que les premiers ; ils sont plus méchants, ils ont le poil plus long sur le massacre ; leur tête est ordinairement basse et noire, à peu près comme un arbre rabougri, dont l!écorce est rembrunie, au lieu que la tête des cerfs de plaines est haute et d!une couleur claire et rougeâtre comme le bois et l!écorce des arbres qui croissent en bon terrein. Ces petits cerfs trapus n!habitent guère les fûtaies, et se tiennent presque toujours dans les taillis, où ils peuvent se soustraire plus aisément à la poursuite des chiens ; leur venaison est plus fine, et leur chair est de meilleur goût que celle des cerfs de plaine. »449

Pour ce qui concerne le cerf blanc, les signifiés de puissance qui lui sont associés sont le renouveau printanier, selon l!antinomie végétal/animal, et la distinction des genres sexués, selon l!antinomie mâle/femelle. Associer les valeurs de la fertilité végétale et de la fécondité animale avec l!arrivée du printemps, est un lieu commun de la pensée occidentale. Nous n!avons pas trouvé les deux motifs associés dans un seul récit, à savoir les changements chromatiques (l!antinomie noir/blanc) et la saisonnalité (l!antinomie printemps/automne).

Le cerf est blanc au printemps :

L!apparition printanière du cerf blanc est un motif récurrent. Le roman de

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