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A. KONIG ET C. DIETERICI. — Ueber die Empfindlichkeit des normalen Auges für Wellenlängenunterschiede des Lichtes (Sur la sensibilité de l'œil normal pour les différences de longueurs d'onde de la lumière); Wied. Annalen, t. XXII, p. 579; 1884

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HAL Id: jpa-00238413

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00238413

Submitted on 1 Jan 1885

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A. KONIG ET C. DIETERICI. - Ueber die Empfindlichkeit des normalen Auges für

Wellenlängenunterschiede des Lichtes (Sur la sensibilité de l’œil normal pour les différences de longueurs d’onde

de la lumière); Wied. Annalen, t. XXII, p. 579; 1884

J. Macé de Lépinay

To cite this version:

J. Macé de Lépinay. A. KONIG ET C. DIETERICI. - Ueber die Empfindlichkeit des normalen Auges

für Wellenlängenunterschiede des Lichtes (Sur la sensibilité de l’œil normal pour les différences de

longueurs d’onde de la lumière); Wied. Annalen, t. XXII, p. 579; 1884. J. Phys. Theor. Appl., 1885,

4 (1), pp.323-324. �10.1051/jphystap:018850040032301�. �jpa-00238413�

(2)

323 2" Cette

longueur d’onde,

pour divers daltoniens et pour un même

degré d’éclairage,

a varié de lie =

491, 7

à ), =

504, 75

sans

du’il

y ait aucune différence entre les

aveugles

pour le rouge et les

aveugles

pour le vert ;

Lorsque

l’intensité

augmente,

la

ligne

neutre se

déplace

vers

la

région

la

plus réfrangible

du

spectre.

J. MACÉ DE LÉPINAY.

A. KONIG ET C. DIETERICI. 2014 Ueber die Empfindlichkeit des normalen Auges

für Wellenlängenunterschiede des Lichtes (Sur la sensibilité de l’0153il normal pour les différences de longueurs d’onde de la lumière); Wied. Annalen, t. XXII, p. 579; 1884.

L’appareil employé

est un

spectroscope

double : le

prisme

est

équilatéral

et orien té de telle sorte que l’axe

optique

bissecte F un

des

angles

dièdres du

prisme.

Deux collimateurs envoient leur lu-

n1ière,

l’un sur la moitié

gauche,

l’autre sur la moitié droite du

prisme.

Si l’on

regarde

au travers d’une fente

oculaire,

on voit les

deux faces du

prisme

tournées vers la lunette illuminées de la même teinte

homogène

si les deux collimateurs sont

symétrique-

ment orientés. Pour effectuer une mesure, l’un des collimateurs

restant

fixe,

on

déplace

lentement

l’autre j usclu’au

moment la

différence de coloration des deux moitiés du

champ

devient ap-

préciable. Chaque

mesure est

répétée cinquante fois,

et l’on calcule 1’erreur Bloyenne

Si l’on

prend

pour abscisses les

longueurs d’onde,

pour ordon- nées les erreurs moyennes, on obtient des courbes en tout sem-

blables à celles obtenues par M. Peirce

(1).

Les auteurs toutefois

pensent

que le maximum de

sensibili té, indiqué

par ce dernier dans le rouge,

proviendrait uniquement

de la

prompte

variation d’in- tensité dans cette

région

suffisante pour difl’érentier les

champs

éclairés que l’on compare.

Ce travail conduit en outre à

plusieurs

résultats nouveaux :

(1) Journal de Physique [2], t. III, p. 186; 1884.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018850040032301

(3)

324

Pour les deux

observateurs,

et dans les mêmes conditions

d’éclairage,

les deux courbes sont notablement

différentes, quoique

leur allure

générale

reste la

même ;

Pour chacun des

observateurs,

la courbe est

indépendante

de

l’intensité lumineuse entre le rouge extrêrme et la radiation 03BB =

5, 10 x

10-5 environ.

A partir

de ce

point,

les courbes varient

avec

l’intensité,

leurs maxima et minima se

déplaçant

même

d’une manière notable.

Il est

intéressant, je crois,

de

rappeler

que cette radiation 03BB =

5,io x

10-5 est

précisément

celle à

partir

de

laquelle

le

phé-

nomène de

Purkinje

commence à se

produire (’ ).

J. MACÉ DE LÉPINAY.

A. WULLNER. 2014 Ausdehnung der Dispersionstheorie auf die ultrarothen Strahlen ( Extension de la théorie de la dispersion aux radiations infra-rouges); Wied.

Ann., t. XXIII, p. 306; 1884.

Dans un travail

précédemment analysé (2),

l’auteur avait montré que l’indice n d’une substance

transparente pouvait

être très exac-

tement

représenté

par la formule

Pour la

plupart

des

substances,

les constantes P et

Q

sont d’ail-

leurs sensiblement

égales

entre elles.

Grâce aux mesures

effectuées,

pour le

quartz,

dans l’ultra-violet par M. Mascart

(3)

et par M. Esselbach

(1),

dans

l’infra-rouge

par M. Mouton

(5) ;

pour le flint par NI.

Langley (6),

M. ivüllner a pu

montrer que la formule

proposée

par lui se vérifiait très exacte- ment dans tous les cas. Dans le cas du

quartz,

la discordance n’at- teint la troisième décimale de l’indice que pour l’extrême rouge

(1) Jourraal de Physique [2], t. II, p. 64 ; 1883.

(2) Journal de Physique [2], t. II, p. 23 r ; 1883.

(3) Annales de l’École Normale [1], t. 1, p. 232.

(4) Pogg. Ann., t. XCVIII, p. 554; 1856.

(5) Comptes rendus, t. LXXXVIII, p. 1087 et 1889 ; 1879.

( 6 ) Journal de Physique [2], t. III, p. 214 ; 1884

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