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Paraissant le Jeudi et le Dimanche a la Ctanx-de-Fonfls.

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Academic year: 2022

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ABONNEMENTS

x Un a n : Six mois:

Suisse . . . . Fr. 6»— Fr. 3»—

Union postale » 12»— » 6»—

On s'abonne a tous les bureaux fie posle.

Paraissant le Jeudi et le Dimanche a la Ctanx-de-Fonfls.

ANNON©ES / £ ï ^

Provenant de la Suisse 20 cl. la ligne

» de l'étranger 25 » » Minimum d'une annonce fiO cent.

Les annonces se paient d'avance.

OrjïniMi «le I» S«»clé<é i n t c r c m i t o i m l c «le» IntlusttrieH «lu J u r a , «les Clinmbre»* «le c o m m e r c e , «le» Itiiremix «le c o n t r ô l e e t «les* S y n d i c a t s i»rofes*iîomiels.

Ne vous laissez pas rouler

Nom' recevons, sous ce litre, l'article suivant, de l'un de nos abonnés de la Chaux-de-Fonds :

« O n ne saurait assez mettre en garde nos fabricants, contre les agissements de certains acheteurs étrangers, qui nous traitent en pays conquis, et, sans aucun scrupule, sans aucune crainte, ont l'au- dace inouïe d'offrir de grosses comman- des à des prix qui, finalement, laissent le fabricant; en perte.

Un superbe exemple du genre nous est fourni par la grande ville allemande.

Absolument déconsidéré dans son pays, où la Société des négociants hor- logers a refusé de le recevoir parmi ses m e m b r e s , ce gros faiseur vient de temps en temps en fabrique, visite tous ceux qui passent p o u r fabriquer à bas prix, l'ail miroiter de forts ordres, trouve (pie ce n'est jamais assez « b i l l i g » , établit lui-même le prix de revient, puis, lors- qu'il a hypnotisé le fabricant par la pers- pective d'affaires suivies et régulières, obtenu son consentement à des prix qui laissent à peine un bénéfice, lui déclare que l'habitude de sa maison est de payer sous déduction de 0 % d'escompte.

Arrivé à ce moment de son exposé commercial, il guette généralement la porte de s o r t i e : car, certains de ceux qu'il allait mettre dedans, se retournent cl le mettent dehors. Mais, combien trop nombreux sont ceux qui ne peuvent se résigner à annuler une commande inscrite et qui acceptent toutes les exi- gences de ce vampire, s'imaginanl qu'en cherchant bien, ils arriveront à réaliser, sur leurs prix de revient, — et sur le dos des ouvriers sans doute — ce ΰ % qui les met en perte.

Mais ce n'est là que le commencement de la triste aventure. Q u a n d vient le règlement, il est calculé en marks, quoi-

que la facture soil faite, comme convenu, en francs effectifs, et les frais de port, sont déduits.

Je pourrais citer trois fabricants Suisses dont la récente déconfiture est due, p o u r la plus large part, au fait que leur prin- cipal p r e n e u r était ce monsieur des b o r d s de la Sprée. 11 est r e v e n u dès lors chez nous, cherchant de nouveaux fournis- seurs ou, p o u r mieux dire; de nouvelles victimes. -· ·

Q u a n d , dans une faillite, on peut éta- blir que des marchandises ont été régu- lièrement vendues plus bas que les prix de revient, il y a délit, et les acheteurs de cette marchandise peuvent, comme de juste, être recherchés. Mais allez cou- rir après la maison L. ou la maison X.

de Berlin !

Voilà les faits (pie je voulais vous signaler aujourd'hui : j ' e s p è r e q u e les fabricants auxquels mon g a r d e - à - v o u s peut être utile, ne céderont plus devant la perspective de grosses c o m m a n d e s , (pii d o n n e n t beaucoup de mal à exécu- ter et laissant le fabricant en p e r l e . »

( Ίι petit établissear.

Notre correspondant a parfaitement raison et nos maisons de fabrication ne devraient s'ouvrir devant aucun des acheteurs du genre qu'il décrit.

Mais (pie dire des établisseurs qui, pour brasser de grosses affaires, acceptent ou se laissent imposer des prix ne laissant aucun bénéfice?

Si l'acheteur qui profile de la situation précaire du producteur, pour le tromper et le conduire à la ruine est une canaille, le fabricant qui se laisse l'aire est un imbécile.

Telle est la morale que nous tirons — et (pie nos lecteurs tireront avec nous — des faits signalés par notre correspon- dant.

Concours international de réglage

organisé à l'occasion de l'Exposition nationale

de Genève.

Répondant à une demande de rensei- nement faite par quelques fabricants d'horlogerie, aucun genre d'échappement n'est exclu du concours.

C'est ce qui résulte d'ailleurs du cin- quième alinéa de l'article rt du règlement du concours, qui dit que les renseigne- ments relatifs à la" pièce que lé bulletin de dépôt doit contenir sont : le dia- mèlre du m o u v e m e n t , la nature de l'échappement, le genre du balancier, la nature et la forme du spiral et les a u t r e s , délails de construction.

Les assurances ouvrières en Allemagne

D'après le l'apport de M. M. liloek.

Un économistes français, M. A. Yilnay, apprécie comme suit Io rapport de M. Maurice Block:

Chargé d'une mission en Allemagne pour y étudier les assurances ouvrières, M. Maurice Block a lu, ces temps derniers, à l'Académie des sciences morales et politiques, son rap- port qu'il vient de publier à In librairie Guil- laumin.

Nous ne cou naissions guère, jusqu'à présent, les diverses assurances ouvrières allemandes que par des documents spéciaux, particuliers à une sorte d'assurance déterminée,, ou en- core par des comptes rendus des séances de congrès où l'on a discuté la question. Dans le premier cas, nous ne possédions pas de vue d'ensemble: dans le second, nous nous trou- vions en l'ace de travaux qui. bien que pré- sentés par des hommes d'une grande valeur et d'une incontestable bonne foi, gardaient le ton et les inconvénients de toute polémique.

Il appartenait donc à un savant qui possède une connaissance profonde des écoles écono- miques étrangères et particulièrement des écoles allemandes, d'étudier, et dans leur en- semble, et avec une haute impartialité scien- tifique, les expériences d'assurances ouvrières qui se poursuivent depuis dix ans en Alle- magne.

On ne peut guère se contenter, on effet, d'ob-

(2)

40

LA FEDERATION HORLOGERE SUISSE

server simplement l'assurance en eus d'acci- dent qui a, en Franco, peut-être, plus que les autres formes d'assurances, attiré l'attention des économistes et des hommes politiques.

L'assurance contre les accidents si* trouve soudée en quelque sorte à l'assurance e n ' c a s de maladie et ne saurait être séparée de l'as- surance en cas de vieillesse ou d'infirmité. Ge sont ces trois formes d'assurances dont nous entretient M. Maurice Blôck. Il y a ajouté aussi une étude du plus grand intérêt s u r l'as- sistance publique et le système d'JElberfeld.

Nous avons donc, dans cette brochure de 120 pages environ, l'exposé clair, méthodique et complet du mécanisme des assurances alle- mandes et de leurs résultats scientifiquement acceptables. Car — et nous n'avons pas besoin de l'aire ressortir ici les qualités de ce Maître

— M. .Maurice Block est très rigoureux et très prudent en matière de résultats statis- tiques.

Dans une première partie intitulée «Revue d'ensemble», M. Block nous donne, comme on dit aujourd'hui «l'étal d'unie» allemand en ce qui regarde les mesures sociales appar-

tenant a la catégorie des assurances. Depuis longtemps, déjà, l'idée d'assurance et d'assu-

rance obligatoire existe en Allemagne. Mais cette idée repose, suivant la situation de ceux qui la représentent, sur des principes bien différents. P o u r les socialistes p u r s , l'assu- rance obligatoire imposée par les lois n'est qu'une réforme d'avant-garde qui annonce la venue des autres réformes socialistes, c'est-à- dire la mainmise de l'Etal sur toute la produc- tion. P o u r les hommes politiques qui craignent de paraître ouvrir la porte au socialisme, l'as- surance obligatoire n'est qu'une sorte de trans- formation avantageuse de l'assistance publi- que. L'Etat moderne, disent ces opportunistes, se trouve obligé de prendre, à sa charge, l'assistance publique, pourquoi ne s'efforce- rait-il pas d'employer plus utilement les res- sources affectées à "ces dépenses, en instituant des œuvres de prévoyance '.

M. Block répond, excellemment, à cet ar- g u m e n t spécieux. « N o u s ne discutons pas, écrit-il. l'opinion qui vient d'être émise sur la bienfaisance dans l'antiquité el au moyen-àge : bornons-nous à faire remarquer que le gou- vernement allemand, obéissant à des préoccu- pations politiques, est entré peut-être s a n s né- cessité clans ce qu'on appelle le «socialisme d'Etat». Pour franchir ce premier pas, le seul ([iii coûte, il lui a suffi d'attribuer au socia- lisme des affinités avec la bienfaisance. J e ne saurais admettre celle affinité, car le socialisme ne songe qu'à prendre et à recevoir, et la bien- faisance qu'à donner. Pour définir le socia- lisme, ce n'est pas à des idéalistes, c'est à des publications socialistes qu'il faut s'adresser et l'on ν trouvera de tout autres choses que l'éloge de la charité. »

La solution du problème posé on ce qui re- narde plus spécialement les accidents a con- sisté à transformer la nature de la responsa- bilité professionnelle. Suivanlcerlains auteurs,

(, | 10 ePriserait d'être une affaire de droit privé pour devenir une affaire de droit public. Mais c'est là une sorte de fiction qui apparaît comme dannereuse à M. Maurice Bloclc, en ce qu'elle pourrait faire naître l'idée d'une supériorité ou d'une infériorité dans les différents genres de droits. Néanmoins, de cette idée de droit public découlent, à notre avis, les deux autres principes de l'assurance a l l e m a n d e : celui qui fait supporter, aux patrons, toutes les charges, et celui qui étend le bénéfice de la loi à pres- que tous les ouvriers, aux domestiques et a beaucoup d'employés.

L'institution des assurances en cas de vieil- lesse et d'infirmité — d'infirmité provenant d'autres causes que d'un accident — est plus encore que les assurances contre les accidents, appuyée sur l'idée d'une transformation de

l'assistance publique en œuvre de prévoyance.

Et, en colle circonstance. Ie gouvernement allemand a été poussé par le désir d'alléger les finances de bien des communes obérées, car l'assistance est obligatoire chez nos voi- sins d'outre-Rhin, Aussi, estimait-on que la caisse des retraites créée en ISC)U arriverait, de ce côté, à de bons résultais. En réalité, elle avait surtout pour objet, dans l'esprit des hommes d'Etal allemands, d'être (ainsi que les autres assurances) une dérivation du so- cialisme. Si l'on en juge par les progrès des idées révolutionnaires en Allemagne, on peut s'assurer que c'était là une pure illusion.

Nous ne suivrons pas M. Maurice Block clans l'exposé très détaillé et très clair de la législation relative el à l'assurance contre les maladies, et à celle contre les accidents, c'est l'étude elle-même qu'il faut lire pour avoir la connaissance de l'organisation allemande (organisation assez compliquée d'ailleurs), mais nous tenons à mettre en relief quelques critiques 1res saillanles émises par l'éminenl auteur. Nous avons dit, plus haut, que les assurances centre les accidents avaient une conrïexité 1res réelle avec les assurances en cas de maladie. Les caisses d'assurances en cas de maladie prennent des former variées..

Au point de vue pratique, ou peut les classer:

en caisses libres où les ouvriers fournissent toutes les cotisations; el en caisses obli- gatoires, professionnelles ou non profession- nelles, dans lesquelles les patrons versent un tiers des cotisations totales. Or, comme en cas d'accident, ce sont les caisses de maladie qui ont, pendant un certain temps, pendant treize semaines, la charge des soins de la vic- time, el que ces caisses sont alimentées ou complètement, ou pour une bonne partie, par les ouvriers, il on résulte que les ouvriers supportent, aussi eux, par le fait de ces caisses, une charge, bien qu'ils n'en aient point dans les accidents proprement dits. Cependant, ces caisses comptent 7.030,(X)O assurés , tandis que l'assurance contre les accidents englobe plus de IS millions d'individus. Il y a donc 52°/» des bénéficiaires de l'assurance contre les accidents qui ne font point partie des caisses de maladie. M. Block explique ce fait en disant qu'il parait probable que les agri- culteurs, quicomplent pour plus "de 12 millions cans ce chiffre de 18 millions, sont générale- ment dispensés d'entrer dans les caisses de maladie.

En ci1 qui regarde les assurances contre les accidents, qui tiennent dans ce rapport une large place, on r e m a r q u e r a que la législation sur celte matière a varié beaucoup à la suite de la première foi datant de 1884. Depuis lors, on a t'ait de nouvelles lois qui étendent, de plus eu plus, le§ avantages de l'assurance.

Et, encore, en ce moment, de nouveaux pro- jets sonl à l'étude pour compléter la législa- tion existante. Leur objet est d'indiquer nette- ment (/ni es/ assuré, car, jusqu'aujourd'hui, il s'était formé « u n e casuistique 1res déve- loppée et, curieuse» au sujet de laquelle M.

Maurice Block nous donne dos exemples très intéressants. Dorénavant, ceux-là seront assu- jettis à l'assurance,"que la loi désigne comme courant un danger spécial, s a n s être en état d'en supporter les conséquences.

Un lira, avec grand profil, l'exposé du mé- canisme de l'assurance contre les accidents, et aussi les chiffres qui s'y rapportent. .Dans la grande industrie, la charge moyenne par établissement serait de 100 fr. environ seule- m o n t : dans l'agriculture de un franc et demi.

Mais M. Block constate que ces charges aug- menteront, car le nombre des accidents in- demnisés s'est multiplié depuis quelque temps d'une façon effrayante. C'est là qu'est le dan- ger, un danger que, pour notre part, nous ne croyons guère possible do conjurer, quelque

zèle administratif qu'y mette l'Office dos assu- rances de l'Empire.

En raison de l'application de lois récentes, M. Maurice Block ne se prononce pas catégo- riquement sur l'expérience allemande des assurances. Sa prudence scientifique le relient, bien qu'en do nombreux passages, il signale éiiergiquement les points défectueux du sys- tème. Mais en ce qui concerne l'assurance contre l'infirmité el la vieillesse créée par la loi du 22 juin 18Si) et qui a été modifiée par la loi du I1''-' janvier 1891, M. Maurice Block, parlant des charges du fait de celte assurance, pense que ces charges croîtront dans de gran- des proportions, car toulehnngo «elévoUie».

Or, écrit-il, pour l'assurance, contre la vieil- lesse el l'invalidité, où peut mener cette évo- lution? C'est la première, question qui se pré- senté! Selon toutes les probabilités, elle por- tera le législateur à élever le montant des pen- sions. «Ce sera, naturellement, u n e des plaies- formes de l'opposition radicale et socialiste.

On s'est plaint, dès la discussion de la loi, de l'exiguilé de la rente, et les nécessités de la réélection forceront les partis extrêmes à insister sur ce point avec leur violence accoutu mce. Ce qui affaiblira la résistance du Gouver- nement allemand c'estqu'il a êpouséla doctrine de ceux qui chargent l'Etat de remplacer non seulement la providence divine, mais encore la prudence et la prévoyance humaines. »

Ce rapport remarquable constitue, actuelle- ment, l'étude la plus complète et la plus forte qui puisse être mise a u x mains de tous ceux qu'intéresse sérieusement la grandeexpérienco allemande.

Postes.

La Colonie du Cap (Afrique) fuit partie de l'Union postale depuis le I0'' janvier 1805. En conséquence, les objets do la posteaux lettres originaires de- ce pays à destination de lu Suisse sont soumis, en tout point, aux taxes et conditions de la Convention postule uni- verselle.

La Colonie du Cap fait partie des pays qui n'udmetlent pus l'obligation d'indemnité en eus do perte d'un objet reeommundé.

— Le m a x i m u m du poids des colis postaux échnngés avec la G rande-Bretagne et Γ Irlande, par la voie de France, au moyen de dépêches directes, a été élevé à 5 kg.

Les indications actuelles de poids el de taxes de 1 et 3 k g . el de fr. 1.85 et 2.25 subsistent.

L'indication de poids de 5 k g . et celle de lu taxe Correspondante de fr. 2.85 sont nouvelles.

Cette modification entrera en vigueur le 1"

février prochain.

— La taxe au poids de colis postaux à des- tination de la Serbie a été réduite de fr. 1.75 à fr. L50.

— Dès maintenant, on peut expédier à des- tination de la France des colis postaux con- tenant des écrevisses et des abeilles vivantes, à la condition, toutefois, pour ces dernières, qu'elles soient placées dans des boites solides et disposées do telle façon que la vérification du contenu puisse être faite sans aucun dan- ger pour le personnel. Les envois d'abeilles doivent, en outre, se distinguer des antres colis par une large bande portant la mention en gros caractères: «Abeilles vivantes».

Cote d e l ' a r g e n t

du 23 Janvier i8gô

Argent fin en grenailles . . fr. 103.50 le kilo.

(3)

LA FEDERATION HORLOGERE SUISSE

y

Tableau comparatif

effectués et des essais faits par les bureaux de contrôle des ouvrages d'or et

p e n d a n t c h a c u n e d e s a n n é e s 1 8 Θ 3 e t 1 8 0 4 .

Bureaux

1. B i e n n e . . . . 2. C h n u x - d c - F d s . 3. F l e u r i e r . . . 4. G o n o v c . . . . 5. OniinrcsiSoinin).

O. L u c i e

7. N e u c h a t e l . . 8. N o i r t n o n l . . 9. P o r r e n l r u v · . 10. St-Imier . . . 11. S c h a l l ' h o u s e . 12. TnIiIi(1I(Hi . . T o t a l P l u s 1 8 9 4 M o i n s 1894 P(MMlC, le 10 .)

Boîtes 1893

12.215 3 3 1 . 0 0 0 7.417 18.959 995 7 0 . 0 5 3

13.548

0 . 5 1 4 1.418 JO.001 . 4 8 1 . 8 8 0

uivi(M' 189

d ' o r 1894

1 2 . 0 0 3 3 2 4 . 0 5 7 7.044 10.742 1.202 0 0 . 8 8 7

1 0 . 7 2 8

0 . 8 2 9 54 1.410 Ki. 7 4 5 171.027

1 0 . 8 5 3 5.

Bottes de montres poinçonnées Boites d

1893

3 0 2 . 2 2 2 13.502 9 3 . 2 4 2 5 1 . 0 0 2 2 1 8 . 0 2 0 1 0 . 9 8 1 1 1 . 8 3 8 111.785 2 9 2 . 4 5 1 1 0 7 . 1 9 3 5 8 . 0 2 0 4 2 7 . 7 1 4 -

' a r g e n t 1894

3 1 4 . 8 7 2 4 2 . 0 2 3 109.011 OC). ISO 2 8 1 . 2 3 0

4 1 . 8 2 2 1 0 . 0 7 2 118,930 2 8 8 . 0 1 2 1 0 1 . 1 1 5 5 4 . 9 2 3 1 4 9 . 4 9 4 1.882.188 1.908.920

SC). 732

Total d e s boites 1893

3 7 4 . 4 3 7 3 7 4 . 5 0 2 1 0 0 . 0 5 9 72.90)1 2 1 9 . 0 2 1 111.037 11.838 125.333 2 9 8 . 9 9 8 107.200 0 0 . 0 4 4 1 1 0 . 7 7 8 2 . 3 0 4 . 0 0 8

1894

1 5 , 8 3 5 7 . 5 3 5 1 5 , 9 3 0 0 . 0 8 0 4,2· -110.655 3.1 8 2 . 9 2 8 9 . 3 2 8 2 . 4 9 2 1.7 1 0 8 . 7 0 9 0.5, 10.072 5,3: 1 3 5 . 0 5 8 12.7 2 9 5 . 1 7 1

7 . 1 K i I . 1 0 9 2 . 5 5 0 . 3 3 9 18,9 100.239

100 2.139.917

— 7 5 . 8 7 9

— — 14,7 15,0 4 , 8 3.4 1 1 , 0 4 , 4 0 , 1 5 . 0 12,1 0 . 0 2 . 3 19.1 100 3.2

Boîtes payant double taxe, et boîtes refusées

au poin- çonnement 1893 1894

1010 1 1 8 1 1405 1 2 7 2 217 147 2 3 0 9 2 4 3 5 8 2 4 3 9 2 2 5 8

3 6 ' — 9 9 2 4 9 0 9 0 3 5 0 3 8 0 5 0 2 1 108 — 2 2 7 2 2 0 0 0 9.537 7.457

— —

— 2 . 0 8 0

Objets de bijouterie etd'orfèvrerie poinçonnés

189

0 . 9 4 8 0 3 8 0 0 . 3 5 7

0 3 153

3

1 9 . 5 1.9 17,9

0,2

1894

0 . 9 2 8 1.110 8 5 . 2 1 9 2 3 0 , 4 3

1 7 , 9 2 , 9

13,4

0 , 1

I

— ' — 3 1 — —

2 1 . 5 8 6 60,·1Ι25.478 65,7

I ι i 35.752' 100 3 S . 7 7 2 , 1 0 0

— — 3.02Oj 8.4

— — — — I>c ; Ϊ Ι Ι · Ι < Ί Ι Ι < Ί Ι < l'é<léi*:il «H?!* s»sic»5·<·-. é

Essais de I ingots d'or et d'arqent 1893

2 . 0 4 9 8 . 4 0 1 0 9 0 105 5 9 4 0 4 8 167 3 1 7 711 6 2 0 2 5 8 0 5 9 15.249

1 3 , 5 5 5 , 3 4 . 5 0,7 3 , 9 4 , 2 1,1 2 , 2 4 , 0 4 , 0 1,7 4 , 3 100

— —

— — li'siii^t'èroM Bureau fédéral des matières d'or et d'argent

1894

1.967 8 . 3 0 5

5 0 5 4 1 6 5 4 8 5 7 170 3 3 8 6 1 5 474 2 0 5 079 11.930

319

13,2 5 5 , 6 3 , 8 0 , 3 4 , 4 5,7 K l 2 , 3 4 , 1 3,2 1.8 4 , 5 100

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2. Bon & C

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, Routier.

3. Buëche & Boillat, Œ[econvillier.

4. Charles Emonot, §orvilier.

5. F a b r i q u e d'Ebauches, goneeboq.

6. F l u r y F r è r e s , tienne.

7. F r ê n e & G a r r a u x , Œfeconvitb'er.

8. J u i l l a r d frères, Gorleberl.

9. Kocher, Hânni & Kiinzli, Court.

10. K u h n & Tièche, Œ[econvillier.

11. Ed. K u m m c r , Œetilach.

d u C o m p t o i r g é n é r a l d e s E b a u c h e s

12. Manzoni fils & C

ie

, odrogno.

13. E. Manche & C

ie

, %overesse.

14. P . Obrecht & C

i0

, granges.

15. Parrenin & Marguet, Villers-le-Xac.

16. Société coopérative d'horlogerie, Tonlenet..

17. Société d'horlogerie, !Langendocf.

18. Société industrielle, ^loulier.

19. A. Schlafli, $e%àçh.

20. Jean Sclvwarzentrub, Cfranges.

21. L.-P. J a p y & C

ie

, Berne par geloncourl.

22. Simon Burger & Gressot, ŒOrrenlray.

Le comptoir fournira, aux acheteurs d'ébauches et finissages, les produits de leur choix, soit les produits des fabriques qu'ils entendent spécialement utiliser. Il ne sera introduit d'autre changement dans les relations telles q u e l l e s étaient antérieurement pratiquées, que celui résultant de la réception et de l'exécution de tous les ordres des clients par l'entremise du Comptoir central ou de ses dépôts et des règlements de compte qui seront effectués de même aux dits organes.

Le Comptoir est donc substitué aux fabriques dans tous les cas où il s'agit de leurs relations commerciales avec les tiers.

Ceux-ci trouvent dans la nouvelle organisation un avantage marqué, puisque le Comptoir pourra livrer tous les genres quelconques et dans les meilleures qua- lités, et qu'ils n'auront plus ainsi, qu'mi seul fournisseur et un seul correspondant.

Les ébauches et finissages sont toujours facturés aux prix et conditions du tarif en Yigueur.

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