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12«* annéo Promlor Journal Illustré Frlbourgaois La numéro 60 cts Août 1957 FRIBOUHG ILLUSTRE ORGANE INDÉPENDANT PARAISSANT UNE FOIS PAR MOIS (2)FRIBOURG-ILLUSTRÉ Août 1957 M

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M* 130 J. A. 12«* annéo Promlor Journal Illustré Frlbourgaois La numéro 60 cts Août 1957

FRIBOUHG ILLUSTRE

ORGANE INDÉPENDANT PARAISSANT UNE FOIS PAR MOIS

(2)

FRIBOURG-ILLUSTRÉ Août 1957 M. Isidore Nordmann

C'était un de ces hommes dont on ne voit, de leur vivant, que la gentillesse et la serviabilité. Et tout à coup, parce qu'ils ne sont plus, on mesure la place réelle qu'ils occupaient dans la cité." Entreprenants, ils fondent et dirigent des entreprises dont vivent des centaines de personnes et qui rendent service à toute une ville. Dynamiques et généreux, ils concourent puissamment au développement des sociétés les plus importantes. M. Isidore Nordmann avait toutes les qualités d'un homme, et surtout, il était bon. H a donné beaucoup à la ville de Fribourg. Et c'est pourquoi toute la ville a été frappée quand il nous a quittés.

(Photo Rast)

M. Joseph Domont

Le nom de M. Domont restera lié à la pose de la double voie entre Romont et Fribourg, tra¬

vail qu'il a mené à chef en sa qualité de chef de district CFF à Romont. C'est à l'âge de 60 ans, au Tessin où il passait ses vacances, qu'il a été enlevé à l'affection des* siens.

M. l'abbé André Barras

38 ans. Une intelligence bril¬

lante. Une vue précise des réa¬

lités de la vie. Une bonté im¬

mense. Et après quelques an¬

nées de sacerdoce, une mala¬

die cruelle qui l'immobilise pendant des années sur un lit de douleur avant de lui faire retrouver son Dieu qu'il a tant aimé et si admirablement servi.

M. Etienne Dousse

Décédé à 77 ans après une lon¬

gue et cruelle maladie, M.

Etienne Dousse, à Villars-sur- Glâne, était un de ces citoyens, trop rares aujourd'hui, dont la droiture est la qualité essen¬

tielle. Il avait élevé une belle famille qui a été plongée dans l'affliction la plus totale par sa disparition.

M. Paul Savoy

Victime d'une crise cardiaque alors qu'il conduisait sa voi¬

ture, M. Paul Savoy est mort à 74 ans. H s'était beaucoup dévoué à la chose publique dans son district de la Veveyse et il avait été tour à tour dé¬

puté, syndic, juge et officier d'état civil. Il était le frère de feu l'abbé André Savoy, le réputé sociologue.

M. Albert Pavenl

Citoyen connu et aimé, com¬

merçant avisé qui voyait enfin fructifier les efforts immenses qu'il avait faits pour dévelop¬

per l'entreprise dont il était l'associé, violoniste de talent, M. Albert Pavoni a été brus¬

quement ravi à l'affection des siens, alors qu'il venait tout juste d'atteindre sa 50e année.

M. André Dorthe Mme Laura Marie Rose Zwimpfer

Fondé de pouvoir de la banque de l'Etat de Fribourg, chef de l'agence de St-Pierre de cet établissement, M. Dorthe ve- ■ nait de prendre sa retraite après toute une vie passée au service de la communauté. Sa disparition a vivement ému tout ceux qui le connaissaient, particulièrement les membres du TCS qui étaient tous ses amis.

Elle était née Schmid, puis avait uni sa destinée à celle de M. Joseph Dagobert Zwimpfer.

Elle est morte à 72 ans, après une courte maladie. On ne sau¬

ra jamais tout le bien que la défunte, sa vie durant, a répan¬

du autour d'elle, car elle était l'incarnation même de la bon¬

té, de la gentillesse et du dé¬

vouement. (Photo Macherel)

Mme Germaine Anthamatten

Epouse de M. Oscar Antha¬

matten, directeur du buffet de la gare de Fribourg, la dé¬

funte était l'image même de la féminité par son charme et par le goût sûr dont elle fai¬

sait montre en chaque occa¬

sion ; elle était aussi pour son mari la collaboratrice la plus parfaite et la plus précieuse.

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ra réalité prochalMl Estavayer ■ Cheyres, port de mer

En retard ? certainement ! Trop tard ? espérons que non ! Je regarde une carte de la Suisse portant en titre «Canal transhelvéti¬

que », insérée dans un ouvi^ge massif, intitulé « Léman-Rhin ». C'est une vaste étude faite par des ingénieurs et des économistes. Publiée en français et en allemand. Subventionnée par la Confé¬

dération et la propriété d'icelle. Etude qui a coûté plus d'un million de francs.

C'est donc plutôt sérieux.

Je regarde. Tout au long du «Trans¬

helvétique », qui, de Bâle, doit rejoindre les lacs jurassiens, en suivant le cours de l'Aar, et descendre sur le Léman, sont indiqués en majuscules les porte prévus. Il y a Bâle — évidemment —, puis Brougg, Olten, Soleure, Bienne...

Yverdon, Echandens-Lausanne, Peney- Genève. Je regarde, je cherche : pour Fribourg, rien ! Pourtant on nous di¬

sait : Sugiez, Estavayer ? Sont-ils ou¬

bliés ? écartés ? Le canton de Fribourg, une fois de plus, dans la perspective des développements du pays suisse, n'a pas de personnalité. Ou si on lui en recon¬

naît une, c'est à titre d'assujetti ? On sait ce que cela signifie.

Est-ce que cette étude — trois gros bouquins — n'est là que pour nous con¬

firmer que nous sommes économique¬

ment faibles ? Que l'on peut disposer de tout, même de l'avenir, sans se sou¬

cier de nous.

Les deux lacs de Neuchfttel et de Morat ne sauraient pourtant se résumer à un seul nom : Yverdon, qui, il y a quelques années, n'étaient pas même touché par les services réguliers du lac. La fai¬

ble navigation actuelle, sans por¬

tée commerciale, entraîne des dé¬

ficits chroniques. Fribourg en sup¬

porte sa lourde part. Mais quand il s'agit de prévoir un développe¬

ment économique formidablement

important, cela devient l'affaire...

des autres. Cela cesse d'être la nôtre. Par notre faute, bien sûr.

Parce qu'enfin nous sommes vic¬

times de nous-mêmes, du peu de zèle et de fermeté que nous met¬

tons à définir nos positions et à défendre nos intérêts actuels et futurs. En matière économique, nous prenons la queue du train.

Le port dTEstavayer-le-Lac.

Nous portons allègrement la lan¬

terne rouge. Honneur que nous partageons avec Appenzell Rhodes- Intérieur. Comme à l'école, il faut bien un dernier. Alors, c'est nous qui le fournissons. On ne saurait être plus conciliant. Et dire qu'avec ça, on ne nous accorde pas même la cote d'amour.

En vérité, tant que l'on est vi¬

vant, et sain de corps et d'esprit, il est toujours temps d'intervenir et de déterminer l'événement.

De quoi s'agit-il ? De savoir si Fribourg a besoin d'un port ? Si c'est important pour son écono¬

mie ? Et où l'on pourrait le situer et l'aménager?

Nous avons la chance insigne d'être situé sur la rive sud de la

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4 FRIBOtRG-ILLÜSTB« Août 1957 principale voie navigable du pays. D'ici 10

ou 15 ans, elle nous reliera directement à la mer du Nord, à Rotterdam et aux autres ports hanséatiques. Elle sera accessible sur toute sa longueur aux chalands automo¬

teurs de l'OOO tonnes. Chaque chaland por¬

tant de la marchandise d'un train intermi¬

nable de 100 wagoi'is.

Les canaux élargis de la Thièle et de la Broyé, 2me correction des eaux du Jura, permettront l'accès aux deux lacs fribour- geois :

— au port de Sugiez-Morat. Il sera limité toutefois dans son développement {Sar la nature marécageuse des terrains du voisinage, à moins de travaux d'infra¬

structure toujours possibles, mais gre¬

vant d'autant l'exploitation.

— au port d'Estavayer-Cheyres.

Le lac de Neuchâtel, on le connaît bien.

Un examen fait et refait- depuis des années, oblige à tenir compte de la direction des vents dominants aux sautes d'humeur vio¬

lentes. Tous : la Bise, le Vent, le Joran chassent en direction de la rive fribour- geoise. Pour cette raison et d'autres encore plus déterminantes, le port idéal se situe dans la vaste région qui s'étend entre Esta- vayer et Cheyres. C'est une zone portuaire à fond rocheux solide, à distance faible (400 m.) des eaux profondes. Qui permet¬

tra tous les développements commerciaux et industriels imaginables, liés à la notion même de port moderne. Des refuges contre les coups de vent doivent s'aménager de place en place tout au long de la rive, de Cudrefin à Yvonand.

Le tonnage initial d'un tel port a été estimé, voici 10 ans déjà, &

200'000 tonnes. Ce chiffre n'a ces¬

sé d'être confirmé depuis, par des méthodes de calculation diverses.

Il s'agit essentiellement de mar¬

chandises « pondéreuses >, comme à Bâle. L'économie résultant d'une comparaison des coûts de trans¬

port par fer ou par eau, fait res¬

sortir l'extrême importance et supériorité de la voie d'eau pour ce genre de trafic. Elle est telle que, tout en abaissant sensible¬

ment les prix des marchandises, elle peut assurer une rentabilité intégrale des installations por¬

tuaires.

Mais arrêtons-nous encore à cette zone d'Estavayer-Cheyres, voire son large terre-plein, son arrière-plan de falaises se prêtant à l'aménagement de cavernes pro¬

fondes et à l'entreposage sous roche. Sur plusieurs kilomètres, le chemin de fer et l'autoroute No 1 projetée se situent au niveau même du lac, réunissant les trois système? de voies : l'eau, le fer, la route. Cet ensemble de condi-

Voici, à l'entrée sud d'Estavayer, un de ces « S » dangereux, dont notre réseau routier est encore truffé !

tions naturelles et d'équipement est tout à fait exceptionnelle. Elle est unique non seulement sur le pourtour du lac de Neuchâtel, mais en Suisse même.

On sait combien énorme est le volume de carburants liquides im¬

portés annuellement en Suisse. Or l'on présume que d'ici 15 ans, il va doubler, représentant en éner¬

gie à peu près deux fois ce que la production hydroélectrique, dou¬

blée elle-même et portée à 32 mil¬

liards de kWh, représentera. Tout ce qui sera fait pour réduire les frais de transports de masses aussi énormes et pour garantir un entreposage sûr en toutes circons¬

tances, agit directement et forte¬

ment sur l'économie générale et sur l'indépendance du pays.

Quant au pétrole brut, on as¬

sure qu'il abonde sous l'énorme chape de mollasse qui constitue le Plateau Suisse, et très particuliè¬

rement dans la région fribour- geoise. A tel point que des firmes pétrolifères parmi les plus impor¬

tantes de la planète ne dédaignent

pas de s'y intéresser. Elles se dé¬

clarent prêtes à pousser la pros¬

pection et à commencer les fora¬

ges dans les délais les plus courts.

Pour réussir, il suffit de percer à 3'000 m. de profondeur, ce qui n'est pas donné à chacun. Si le premier accroc au billard coûte 100 fr., un accroc à la croûte ter¬

restre revient à dix millions de francs environ.

Quand jaillira le pétrole et qu'il s'écoulera par pipe-line, il faudra bien qu'il aboutisse quelque part où le charger et le transformer.

Sera-ce à Sugiez ou à Estavayer ? La localisation des puits en déci¬

dera.

Anticipations à la Jules Verne

— d'ailleurs toutes réalisées — ? A peine ! En Suisse orientale déjà les premiers forages sérieux ont commencé, avec des participa¬

tions financières extrêmement puissantes. Ainsi ligne de chemin de fer à voie normale, autoroute No 1 à quadruple piste, voie d'eau navigable nous reliant & la mer du Nord, vastes terrains solides et bon

marché — même si on les paye cher —, possibilités d'abris sous roche illimitées, telles sont les don¬

nées... données du problème. Au- rons-nous l'esprit d'Initiative et l'énergie de réaliser 1 de provo¬

quer les collaborations techniques et financières indispensables. Au fond, si l'on se disait une bonne fois que les formes de l'avenir dépendent en premier lieu de nous... et non pas seulement des autres.

Car déjà le canton de Vaud a voté un crédit de 500'000 francs pour acquérir les terrains du futur canal entre lac de Neuchâtel et Léman. Et un autre crédit Ue 50*000 fr. pour établir l'avant- projet des futurs ports fluviaux d*Yverdon et d'Echandens.

Et il y a, chez nous, la Section fribourgeoise de l'Association suis¬

se pour la navigation du Rhône au Rhin. Présidée par l'Ingénieur cantonal, M. Desbiolles, elle a, en la personne du Dr Jean Comte, connu par ses travaux et publi¬

cations dans ce domaine, un pro¬

tagoniste infatigable.

Le poète et la violoniste

C'est le 8 juillet dernier, que par un matin lumineux, le journaliste et poète fribourgeois, Eric E. Thilo, a épousé la violoniste Claudine de Vevey, en la Collégiale St-Laurent, à Estavayer-le-Lac. Cette musicienne de talent, est la fille de Monsieur le docteur de Vevey, syndic d'Estavayer. De nombreuses per¬

sonnalités artistiques assistaient à cette cérémonie.

ML le Chanoine Brod&rd donne sa bénédiction aux Jeunes époux.

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Août 1957 FRIBOURG-ILLTJSTR* 5 Echangez votre vieil appareil contre un appareil moderne,

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« FBIBOÛBG-ILLtrSTBÊ Août 1957

MAX CUENNET, outillage mécanique, GUIN

Ingénieur : Pierre Brasey, Ing. EPF, Av. de la Gare 5. Frlbourg Architecte: Jos. Diener, arch. F.S.A.L, Guio En 1943, Monsieur Max Cuennet fondait à Fribourg une entre¬

prise de construction de machines et d'outillage mécanique.

Par suite du développement réjouissant que prenait son affaire, M. Max Cuennet se trouva bientôt à l'étroit dans ses locaux de Fribourg. Il fallait envisager une construction nouvelle. C'est à Guin dans un magnifique cadre de verdure que sa nouvelle usine a été édifiée. Là, servie par un outillage des plus modernes, l'esprit inventif de M. Cuennet peut se donner libre cours et imprimer à cette belle entreprise un caractère de sérieux et de haute valeur professionnelle.

Son programme de fabrication s'étend des machines à travailler les métaux aux machines pour la fabrication d'emballages en carton et d'emballages transparents en passant par toute la gamme des outillages spéciaux qui lui sont confiés.

En peu d'années M. Cuennet s'est fait une solide renommée, non seulement en Suisse mais encore dans l'industrie étrangère. Les quelques photos qui illustrent ce reportage vous présentent dif¬

férents types de machines, création des établissements Cuennet. Soit dit en passant, plusieurs de ces machines ont été vendues à l'étranger. De nombreuses fabriques fribourgeoises ont également bénéficié du travail de l'usine Cuennet. Il est souhaitable que tant de travail et tant de conscience professionnelle trouvent leur récom¬

pense dans un développement toujours plus réjouissant.

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8 FRIBOURG-ILLUSTBÉ Août 1957

Joyeuses fusillades à Estavayer - le - Lac à l'occasion du lir Cantonal Fribourgeois

La fusillade est nourrie, les stands sont pris d'assaut et les cantines aussi.

A droite : Toujours aimables, les armuriers graissent, nettoyent et réparent sans Interruption, les armes de concurrents.

Si tout le monde savait faire la guerre comme on la fait depuis quelques jours, à Estavayer-le-Lac, il n'y aurait certainement plus de civils nulle part. En fait, depuis que Monsieur le Conseiller fédéral Chaudet a donné solennellement le départ aux feux du 1er août et aux tireurs fribourgeois, on mousquetone à fusil que veux-tu, dans la coquette cité des roses.

Les cibarres ne savent plus où donner de la palette, et les nom¬

breux adeptes du sport-national que l'on voit journellement reve¬

nir des stands, ont tous des visa¬

ges épanouis de vainqueurs ; et pourtant ?

La raison de cette euphorie, c'est que les organisateurs sta- viacois, les commandos pacifiques du général Bullet, ont fait les cho¬

ses avec un tel art, qu'à peine est-on dans la ville, que l'on se sent déjà membre actif de la fête aux mille aspects. Les cortèges succèdent aux concerts, eux-mê- mes précédés par des ballets, le tout à un rythme étourdissant. Une

semaine déjà, avant le début offi¬

ciel de ces manifestations, une journée de la presse réunissait les journalistes du canton, et certains se montrèrent fort habiles tireurs.

Après la visite de Monsieur Chau¬

det, ce fut, lors de la journée of¬

ficielle du 4 août, le tout grand cortège, en présence et avec la participation des autorités canto¬

nales au complet.

Arrivée de Morat, où elle repo¬

sait depuis le dernier tir canto¬

nal, la bannière des tireurs fri¬

bourgeois a été remise aux orga¬

nisateurs d'Estavayer, au cours d'une brève cérémonie, sur la place de Moudon. Comme l'a re¬

levé Monsieur le Dr de Vevey, syndic, le temps lui aussi doit aimer le tir, car il faut reconnaî¬

tre que ces fêtes se sont dérou¬

lées jusqu'ici, sous un ciel parfai¬

tement bleu. Nous souhaitons que le succès poursuive sa carrière staviacoise jusqu'au terme de ce tir cantonal, afin que chacun puisse en parler comme d'une par¬

faite réussite.

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Août 1957 FBIBOCBG-ILLUSTRt

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« l<es feux sont faits » !... auraient pu répondre les radio¬

reporters, lorsque M. le Conseiller fédéral Chaudet lança son ordre du 1er août, d'Estavayer.

En sa qualité de vice-président du Conseil d'Etat, M. Ducot- terd représentait le gouvernement fribourgeois lors de la Journée officielle du 4 août. Au second plan, on volt M. Lau¬

rent Butty, nouveau préfet de la Sarine.

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Président du Comité d'organisation, M. Bullet marche allègrement vers le succès de « «a » fête.

Au cours du banquet offert aux journalistes, M. Plancherel, chef de la presse, souhaite la bienvenue à ses hôtes. Au pre¬

mier plan, M. Léonce Duruz, préfet de la Broyé, a le sourire.

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10 FBIBOPBG-ILLPSTRfi Août 1957

Bien campés sur leur bateau, à roues, ces pécheurs broyards ont été très applaudis tout au long du cortège.

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Août 1957 FBIBOCRO-ILLCSTBIl 11

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Les sociétés locales se produisirent pendant le banquet de la presse, le 28 Juillet.

Au premier plan, à gauche, M. Nicolas Baeriswyl, qui-rem¬

porta le premier prix du tir de la presse.

XV m

M. F. Rtdoux, président des tireurs fribourgeois, prononce son allocution, & la cantine des fêtes.

M. Anton Ayer, président du Grand Conseil frlbour geois, s'adresse lui aussi, aux tireurs.

A l'issue du cortège officiel le Conseil d'Etat assiste à la remise solennelle de la bannière cantonale par la délégation venue de

Morat, par bateau spécial.

La cérémonie toujours émouvante de la remise du drapeau se termine. Les tireurs staviacois en auront la garde Jusqu'à la prochaine fête cantonale.

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Août 1957 FBIBOCRG-ILLUSTBfi IS

Voulez-vous voler avec nous ?

A l'atterrissage, l'appareil de grand tourisme « Navion », utilise des volet» de freinage, visible sur notre photo.

La section fribourgeoise de l'Aéro-club de Suisse organisait le 14 juillet dernier, à Ecu- villens, une fête de l'air. La veille déjà, plu¬

sieurs appareils venus pour la circonstance, sillonnaient le ciel fribourgeois, distribuant généreusement du chocolat, tout comme un père Noël qui se tromperait de saison. Très affairé, le toujours dynamique M. Béda Hefti, grand animateur du club ne pouvait rester en place, tandis que s'avançait sur le terrain, un bel appareil monoplan à cabine de plexiglas.

C'est la dernière acquisition du club et il s'appelle le Navion. Cette machine de grand tourisme nous a emporté faire un tour en dou¬

ceur, et nous a reposé tout aussi confortable¬

ment. Le programme du dimanche fut chargé et même surchargé par le nombre impression¬

nant de passagers qui voulaient voler. M. Ber¬

nard Progin, le pilote instructeur du club nous a gentiment donné quelques renseigne¬

ments relatifs aux leçons de pilotage, théorie comprise. Au cours de la manifestation du dimanche, deux parachutistes, MM. Gerber et Gaillard firent une brillante démonstration de leurs capacités.

M. Dubey, champion suisse d'acrobatie catégorie A, exécuta diverses figures, tandis que ses collègues s'efforçaient de transporter les nombreux passagers inscrits.

Réellement, toute cette petite équipe d'Ecuvillens a fait des prouesses, comme elle en fait en de nombreux week-end, et en remerciant le club de son aimable accueil, nous lui souhaitons beaucoùp de succès.

L'Inévitable théorie, prélude à toute formation technique.

M. Progin, pilote instructeur (au centre), inter¬

roge les élèves, sur les caractéristiques de ce Piper.

^

Voici l'examen des Instruments de bord.

Ici, le capot a été retiré, afin que M. Progin puisse mieux expliquer le fonctionnement de chaque partie du moteur.

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FRIBOTJRG-IL |j2£S£2

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' .V - • <,•*' Cumulant les fonctions de chef de terrain et de speaker, M. Monod, également pilote ne semble pas af¬

fecté par toutes ses responsabilités.

A la table, Mme Wlttker, qui fut une secrétaire très attentive.

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A bord du « Navion », M. Bouge, restaurateur & Fribourg, s'apprête

& lancer un beau regard sur son quartier.

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M. Cosandey, constructeur du « Scooter » volant, vient de lancer l'hélice de son « miniplane ».

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Et hop t Le lilliputien du ciel s'élève docilement et obéit parfaite¬

ment à son pilote et maître.

y ,

Le modeste terrain d'Ecuvillens n'a-t-11 par un air de grand aéroport, en ce dimanche radieux, de la ffite de l'air ?

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Août 1957 FBIBOÜBO-ILLUSTBfi 15

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M. Dubey, champion suisse

d'acrobatie, catégorie A. M. Habib, à bord de son Super-Piper.

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A gauch«: M. Gerber, de Lucerne, se pose à l'aide d'un nouveau parachute triangulaire, de fabrica¬

tion allemande. Sa vitesse de chute n'est que 3 m. à la seconde. (

Ci-dessous : M. Gerber est reçu au sol, par son camarade, M. Gail¬

lard, également parachutiste che¬

vronné.

Rédaction-Administration Fribourg-Illustré S.A.

Place de la Gare 85 FRIBOURG

Téléphone 2 40 55 Chèq. post. lia 2851 Direction : Marc Waeber Photos : L.-J. Gross

R4gl* «xcluslva d* la publicité Annonces Suisses S. A. « ASSA » Avenue Tivoli 5

FRIBOURG Tél. 2 51 35

Chèq. post. lia 4617

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Voici le grand animateur de la section fribourgeoise de l'Aéro-Club de Suisse, M. Béda Hefti, en compagnie de son

fidèle collaborateur, M. Hiringher (à droite).

Au terme de ce meeting parfaitement réussi, chacun se désaltère au bar de l'aérodrome.

(16)

16 FRIBOURG-ILLTJSTRÊ Août 1957

moto¬

cross

de

ffribourg

nouveau circuit - dimanche 1er septembre 1957 patronage : « huiles veedol »

essais : 9 heures - courses : 14 heures circuit : bois de la Giâne - route Fribourg-Bülle par Posieux championnat suisse 250 et 500 cc. nationale - 500 internationale

service d'autobus - cantines

Internationaux : belges - français ■ suisses

VOUS DEVEZ VOIR (A ! Sur un parcours inédit, à l'extré¬

mité du Bois de la Glâne, le cin¬

quième motocross international de Fribourg a fait peau neuve. Jugez plutôt : le circuit, long de 1570 m.

comprend une foule de difficultés dont une carrière, des marécages, une descente en forêt, que vous ne souhaiteriez pas à votre pire ennemi, et un tremplin provo¬

quant des sauts d'une vingtaine de mètres.

Trois catégories prendront le départ sur ce terrain unique, parce que tout à la fois très accidenté et extrêmement rapide. Tous nos as nationaux, tant en 250 cc. qu'en 500 cc. lutteront avec ardeur pour s'assurer les bonnes places dès le début de la course.

En catégorie 500 cc. internatio¬

nale, nos représentants ne seront pas spécialement à la fête, car le Français Combe, qui fait actuel¬

lement une remontée sensation¬

nelle à la cote européenne est très accrocheur. Quant au Belge Van- derbeken, il a fait beaucoup par¬

ler de lui depuis le début de la saison.

Deux manches seront effectuées par les concurrents de chaque catégorie, et elles seront de 8 tours pour les 250 cc., 10 tours pour les 500 cc. nationaux et 16 tours pour les cracks internationaux.

Comment, vous ne savez même pas la date de ce motocross sen¬

sationnel, mais c'est le premier septembre prochain.

Le 1er août à Fribourg

Sur les hauteurs dominant la ville, la chapelle et la porte de Lorette sont illuminées par un grand feu qui pétille dans la nuit tiède du plein été.

Ray Maisonneuve, canadien, nouvel entraîneur du H.-C.

Gottéron, Fribourg.

Un nouvel entraîneur au H.C. Gottéron

Pour la saison prochaine le H.-C.

Gottéron s'est assuré les services de l'excellent canadien Ray Maisonneuve évoluant la saison dernière dans l'équipe dHarringay Racers où il se classa en deuxième position soit comme marqueur, soit comme assis¬

tant.

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