• Aucun résultat trouvé

Mercredi 4 Février 1891

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "Mercredi 4 Février 1891 "

Copied!
4
0
0

Texte intégral

(1)

p a

Bibliothèque do Uouege, « * » •

Les consulats suisses à l'étranger reçoivent le* journal.

. ' . • < •

Cinquième année. — N° 11 P r i x d u n u m é r o I O c e n t i m e s

Mercredi 4 Février 1891

rl^^il^ùxr'Ru^'^reii.ve, 19 ,

i ,'fftrfiiV. -;h '·ΐ-;;.(·!β eiJon &L

1.WSv.'!di -UÎ)ÎJ κί 9-iJo-';;^

fcy;t;> e n u fa silao i'.'!*' ofi Ί0ίΐνϋ"; ris Siicii

Suisse . . Union postale

Un au : . 6fr.

12 ι

Six mois : 3 fr.

6 »

On s'abonne à tous les bureaux de poste

Paraissant le mercredi et le samedi, à Bienne

Provenant de la Suisse . . 20 et. la ligne ι de l'étranger. . 25 » ι Minimum d'une annonce 50 centimes

Les annonces se paient d'avance

Organe de la Société i n t e r c a n t o n a l e de» i n d u s t r i e s d u J u r a , des C h a m b r e s de c o m m e r c e , des B u r e a u x de contrôle

et des Syndicats i n d u s t r i e l s .

Syndicat des fabricants d'horlogerie.

Extrait des protocoles des assemblées de la chambre syndicale et de l'assemblée géné- rale, du 1e r février 1891, au Bielerhof à Bienne.

Assemblée de la chambre syndicale.

Sont présents : MM. H. Thalmann, L. Girar- din-Bourgeois, B. Blum-Goschler et F.

Huguenin, de Bienne ; Ls. Richard, de Trame- lan; Obrecht-Hugi, de Granges ; N. Willig, de Soleure. MM. H. Turler, malade, et Albert Voisin, de Gorgémont, se font excuser.

L'ordre du jour de l'assemblée de l'après midi est discuté et des rapporteurs nommés pour tous les points à l'ordre du jour.

Assemblée générale.

Présidence de M. Thalmann. Secrétaire:

M. F. Huguenin. Scrutateurs : MM. Bourquart de Soleure et J. Aegler de Bienne. Les loca- lités de Bienne, St. Imier, Tramelan, Soleure, Granges, sont représentées.

Le rapport sur l'activité du syndicat pen- dant Vanné 1890 et sur les comptes et la situation financière, rédigé par le secrétaire- caissier, est lu et adopté, décharge est donnée au secrétaire-caissier pour sa gestion. Il est décidé que le rapport sera imprimé et ex- pédié a tous les fabricants des cantons de Berne et de Soleure; un bulletin d'adhésion au syndicat y sera joint, pour les fabricants qui n'en font pas partie.

Nominations.

Le président du syndicat est désigné dans la personne de M. H. Thalmann, président sortant de charge.

Tous les membres de la chambre syndicale sont confirmés dans leurs fonctions, à l'excep- tion de M. Ferd. Bourquin, de St. Imier, qui n'accepte pas une réélection et qui est rem- placé par M. Edouard Fallet.

La chambre syndicale, pour l'exercice 1891, se trouve composée comme suit :

Président: M. II. Thalmann.

Membres : MM. L.Girardin-Bourgeois, Bienne H. Turler, Bienne

R. Blum-Goschler, Bienne F. Huguenin, réd., Bienne N. Willig, Soleure

Obrecht Hugi, Granges Ls. Richard, Tramelan Edouard Fallet, St. Imier Albert Voisin, Corgémont.

Conformément aux statuts, la chambre syndicale aura à compléter son bureau, par le nomination d'un vice-président, d'un secré- taire-caissier et d'un assesseur.

Cotisations. Le taux actuel des cotisations est maintenu soit frs. 30 par année pour la 1er catégorie et frs.·20 pour le seconde caté- gorie. L'abonnement à la Fédération horlo- gère, organe officiel et obligatoire du syndi- cat est compris dans la cotisation et sera payé par la caisse du syndicat.

Commission des vérification des comptes.

Elle est désignée dans la personne de MM.

Albert Bertholet, H. Levy et Hoffmann- Denger.

Adhésion au syndicat des fabriques d'é- bauches. La chambre syndicale reçoit pleins pouvoirs, pour organiser si besoia est, de concert avec la société des fabricants de la Chaux-de-Fonds, une campagne de propa- gande dans les Franches Montagnes et dans le région de Porrentruy.

Formation d'une caisse de prêts stir mar- chandises, en faveur des membres du syndi- cat. M. R. Blum-Coschler, rapporteur sur cette importante question, donne lecture d'un rapport qui a été déjà discuté et approu- vé par la chambre syndicale. Il expose à grands traits les bienfaits qui pourraient ré- sulter du fonctionnement d'une pareille ins- titution, tant pour les membres du syndicat que pour nos intérêts généraux et, sans entrer dans tous les détails d'organisation, conclut à la nomination d'une commission chargée de préparer, dans la plus bref délai possible, un projet de statuts et un rapport circons- tancié.

Après une longue et intéressante dis- cussion, on vote à l'unanimité la prise en con- sidération du projet et les conclusions du rapporteur, en précisant quelques points devant servir de base au travail de la com- mission. Sont nommés pour faire partie delà commission :

MM. R. Blum-Goschler, Bienne Girardin-Bourgeois » Albert Bertholet » F. Huguenin » J. B. Bourquart, Soleure Chs. Robert. Villeret.

Création d'un pouvoir central groupant tous les syndicats patronaux. Cette questions qui vient d'être soulevée au sein du syndicat des fabriques de montres, est envisagée

comme devant être résolue dans un sens affirmatif; il surgit à chaque instant des questions d'intérêt général, qui demandent à être examinées par tous les groupes inté- ressés. En l'absence d'un organe central, étant en rapports constants avec les syndicats organisés, il est difficile d'arrêter des mesures d'ensemble dont l'efficacité est pourtant re- connue.

Le syndicat décide de se faire représenter à l'assemblée qui sera prochainement con- voquée, pour jeter les bases d'une entente dans le sens indiqué.

Intervention dans les différends, entre membres du syndicat et leur clientèle inté- rieure ou étrangère. Le rapport général sur l'activité de la société, a déjà signalé les avantages que peuvent retirer les membres du syndicat, de l'intervention du secrétariat dans le cas de conflits avec leurs clients. Mon- sieur Girardin-Bourgeois, rapporteur sur cette question, pense qu'il y a là un champ d'activité qu'il appartient à nos membres de développer pour le plus grand bien de leurs intérêts et recommande l'utilisation des bons offices du secrétariat.

Propagande pour augmenter l'effectif du syndicat. On s'arrête au moyen olïert par l'envoi du rapport annuel et d'un bulletin d'adhésion aux fabricants qui ne font pas encore partie du syndicat.

Relations avecles autres syndicats. On pour- suivra l'étude de conventions à passer avec d'autres syndicats sur le terrain des relations réciproques, ainsi que la création d'un pouvoir central des syndicats patronaux.

Programme d'activité pour l'année i89i.

Il comprendra les différentes questions dis- cutées dans la séance de ce jour et celles mentionnées dans le rapport général.

L'ordre du jour était épuisé, la séance est levée à six heures du soir.

Bienne. \r, K2 février 1891.

Secrétariat :

V. H u g u e n i n , rédacteur.

NB. MM. les membres du syndicat sont in- vile-: à réserver bon accueil au rem- boursement des cotisations, qui va être pris par la poste, aux premiers jours.

Dans son numéro de dimanche 1er février le National suisse, consacre son article de tète, à la réunion du syndicat des fabricants d'horlogerie, dont on vient de lire un extrait

(2)

48 LA FÉDÉRATION HORLOGÊRE SUISSE

du protocole ; parlant ,de la création d'une caisse de prêts sur marchandises, dans le sens même de notre article de samedi, le National s'exprime comme suit :

« La question peut-être la plus intéressante de cette soirée sera celle d'une caisse de prêts sur marchandises en faveur des mem- bres du syndicat.

« Cette institution existe déjà dans diverses industries, bien qu'elle ne soit pas connue dans nos contrées. Cependant elle a été po- sée, il n'y a que peu de temps, au sein du syndicat des fabriques de montres ; il s'agi- rait de la formation d'un capital considérable permettant à la Chambre de faire l'acquisi- tion de l'horlogerie terminée ou non, vendue au-dessous du prix de revient, soit par voie d'enchères publiques, soit autrement.

« Le but serait le même chez les fabricants d'horlogerie et il n'a rien que de très recom- mandable. Chacun sait qu'une des causes es- sentielles de l'avilissement des prix des montres, et par suite des bénéfices des éta- blisseurs et des salaires des ouvriers, con- siste dans les ventes fréquentes à des prix inférieurs à la valeur réelle; tantôt c'est le résutat de liquidations juridiques, tantôt c'est celui de circonstances spéciales jetant les fa- bricants dans un embarras momentané, mais toujours c'est un nombre de montres lancées dans le marché à des conditions très préju- diciables aux frbricants consciencieux. On a déjà cherché à réagir contre cet état de cho- ses et la loi neuchâteloise punit même les.

ventes de cette nature lorsqu'elles ont pour conséquence un préjudice causé aux créan- ciers des maisons en déconfiture. Le remède est insuffisant et les fabricants ont raison, selon nous, de porter leurs vues dans une autre direction ; ils seront plus sûrs du suc- cès en procédant par voie d'achats ; ils feront acte de bonne solidarité en venant en aide à des collègues en détresse et acte de prudence en ne permettant pas au commerce de s'em- parer à vil prix d'une marchandise qui pren- dra la place de leurs produits. La caisse de prêts n'est pas quelque chose de facile à créer et à organiser ; elle peut aussi provoquer des abus, mais elle est réalisable, elle sera émi- nemment utile et nous sommes cartains que les fabricants sauront l'établir sur des bases sages et solides.

« Nous ne savons pas si la réunion de cette après midi pourra épuiser son ordre du jour, mais on voit par ce qui précède que le syn- dicat s'est tracé un beau et grand programme.

Puisse-t-il la remplir bientôt pour le plus grand avantage de tous, patrons et ouvriers.»

Syndicat des fabriqes d'ébauches Nous trouvons, dans le Petit Comtois, le compte rendu suivant d'une réunion des fabricants d'horlogerie de Besançon provoquée par le syndicat des fabriques d'ébauches, qui y avait délégué son con- trôleur.

Cette réunion, dans laquelle devait avoir lieu un débat contradictoire sur la question de la suspension du tarif des ébauches et des conséquences qu'elle en- traînerait pour l'industrie horlogère des deux pays, ne paraît pas avoir eu le ré- sultat décisif qu'on pouvait en espérer, et l'attitude des fabricants de Besançon de- meure enveloppée d'un certain mystère, aucun d'eux n'ayant jugé à propos de prendre part au débat provoqué. Il est vrai que si aucune approbation du pro- jet d'entente entre fabriques d'ébauches

et fabricants d'horlogerie n'a été exprimée, aucune objection n'a été formulée, ce qui permet de croire que les fabricants de Be- sançon n'y sont pas systématiquement opposés.

Espérons que les explications données par M. J. Perrenoud, au cours de son exposé de la question, auront contribué à dissiper les préventions que l'on pou- vait nourrir contre le but et |les consé- quence d'une entente pourtant si natu- relle entre fabriques d'ébauches et fabri- cants d'horlogerie, et que les excellents rapports que nous entretenons avec nos bons voisins de France, seront bientôt fortifiés par la conclusion d'une entente commune, sur le terrain des intérêts gé- néraux de l'industrie horlogère.

B e e a n ç o i a

c Hier, a eu lieu dans la grande salle de l'hôtel de ville, la réunion des fabricants d'horlogerie que nous avions annoncée dans notre dernier numéro. L'assistance était fort nombreuse, M. Claudius Gondy, président de la chambre syndicale, occupait le fauteuil.

« Comme on s'en souvient, il s'agissait d'entendre M. J. Perrenoud, contrôleur du syndicat des fabriques d'ébauches suisses et françaises et délégué par ce syndicat, sur une question intéressant la fabrication d'horloge- rie en général.

« M. Perrenoud parle bien et avec une grande facilité. On voit que le sujet lui est familier. Après avoir remercié la chambre syndicalede Besançon,son président M.Gondy et les nombreuses personnes qui étaient ve- nues pour l'écouter. M. Perrenoud dit qu'il ne s'agit pas d'une conférence, mais plutôt d'une réunion contradictoire, d'une réunion d'affaires. Il rappelle les commencements du syndicat des fabricants d'ébauches, de l'accueil peu enthousiaste qui accueillit ses débuts. Ce syndicat cependant sut si bien s'imposer que ce fut un cri d'alarme quand il annonça qu'il suspendait ses ta- rifs. »

« Il nous est impossible, à notre grand regret, de suivre l'orateur dans tous ses dé- veloppements ; le résumé de ce discours est que la fabrication d'horlogerie en général est intéressée à ce que le syndicat des ébau- ches subsiste, car il est le régulateur des prix ; mais, pour qu'il subsiste, il faut que les fabricants s'engagent à se servirau syndi-

cat pour tous les produits qu'il fabrique ; mais, en revanche, et ici nous appelons l'attention de nos lecteurs sur cette idée qui nous parait éminemment pratique, le syndicat appellera les fabricants, ses commettants, à collaborer avec lui à l'élaboration des tarifs : c'est une espèce d'association, d'engagement mutuel.

« Cette idée, parait-il, a fait son chemin en Suisse, et les adhésions sont nombreuses.

Besançon seul n'a pas encore répondu ; c'est le but du voyage de M. Perrenoud de re- cueillir les adhésions des établisseurs bison- tins.

« Aujourd'hui et jours suivants, MM. Per- renoud et Painin passeront à domicile et re- cevront les observations qui leur seront pré- sentées.

« Personne ne prenant la parole, M. Gondy, après avoir remercié M. Perrenond, déclare la séance levée, s

Secrétariat ouvrier

Le département fédéral de l'industrie et de l'agriculture, répondant à une demande qui lui avait été adressée par le comité de VAr-

beiterbund, que l'élévation de 10,000 à 20,000 francs de crédit pour le secrétariat ouvrier, n'impliquait pas la création d'un poste spé- cial de secrétaire pour la Suisse romande, mais que le secrétaire serait aidé dans son travail par un adjoint de la Suisse romande, possédant parfaitement la langue française et au courant des idées régnantes chez les ouvriers « velches ». Une partie du crédit supplémentaire est destiné à cet adjoint ; le reste doit servir à étendre le cercle d'action du secrétariat. *

Voilà qui va couper court aux polémiques engagées dans les journaux ouvriers, mais qui ne donnera guère satisfaction aux inté- ressés de la Suisse romande, qui auraient pré- féré un secrétariat spécial, ayant son siège dans l'un de nos principaux centres indus- triels horlogers, et fonctionnant indépendam- ment du bureau dont le siège est à Zurich.

M. R. Comtesse conseiller d'Etat neuchâ- telois se*prononce énergiquement, dans le National suisse, pour que le siège du secré- tariat nouveau soit dans la Suisse romande;

d'autre part le Genevois dit carrément qu'il vaut mieux nerien faire que d'envoyerà Zurich

le secrétaire romand.

Cette question réglée, restera le choix du titulaire, plusieurs candidatures sont en pré- sence Jusqu'ici, c'est celle de M. A. Schwitz- guebel qui parait réunir le plus de chances, malgré les attaques furibondes dont il est l'objet de la part d'un groupe d'anarchistes, dit-on, qui mènerait campagne contre lui.

NOUVKLLES DlVKRSES

F a u s s e i n f o r m a t i o n . — Le journal Edel métall Industrie à Vienne et Berlin — annonce, dans son dernier numéro, que le Syndicat des fabriques d'ébauches suisses et françaises a suspendu définitivement ses ta- rifs vu le peu d'adhésions qu'il a recueillies de la part des fabricants d'horlogerie. Nous croyons devoir signaler à notre confrère, que, donnée sous celte forme, son information est inexacte, puisque c'est seulement le 15 cou- rant qu'expire le dernier délai pour recueillir les adhésions et que tout fait prévoir que le nambre de signatures exigé sera atteint.

Φ Tj

m g

u s

S <~

0 -c

ai «

H =1 Φ Tj

O) U

ί

0

ϋ

B

I

é O

H α

ο, ο

! I I I I I I I I I

ai ο" -*

O O S l S^ T - — ο ο ι ο ι η σ ϊ

©q CO M * « * PM ο ο m ο ο m CO ·*- CO TJl i i 3 <J.|

ο ο · # · < ί ι ί (M T - T * T " fflOïOOîl O I O O O C O CD H ^ l ffl i l

G-J T - T - T -

- * * ο t — ο ι ira SM I - _ G-I | T -

iricô o o -τ xô G-I ο ο ο «3

τ - r-l(M

S

I CO τι. I

X

ο §

••=3°

π s s

Ά

«

9 Φ O *> 3

W ο

.-? S

° 5— is ε °·«τ

•α 2 se

J- = α S. ΞΓ E «

CU O -CJ £3

Ό _

<oa<

CD.

C ι

sc&a-^z

τ3 ι» œ a .2*

s

e

χ

O 3 .

(3)

1

LA FÉDÉRATION HOKLOGÉKK bUlSSti 49

Tableau comparatif

des poinçonnements effectués et des essais faits par les bureaux de contrôle des ouvrages d'or et d'argent pendant les années 1889 et 1890.

Bureaux

!Sienne . . . Madretsch . . Noirmont . . Porrenlruy . . St-lmier . . Tramelan . . Granges (Sol eure)1)

SchatThouse . Chaux-de-Fonds Fleurier. . . Locle . . . Neuchâtel . . Genève . . . Total Plus 1890 Moins 1890

*) Ouvert le 10

Boîtes d'or 1 8 8 9

Pièces

1,692 12,107 22,041 90 4,049 9,465

— 1,794 353,396 8,425 89,823

— 31,716 534,508

mai 1890.

1 8 9 0

Pièces

857 12,513 20,557

— 4,726 17,100 507 1,896 384,968 7,676 97,570 6 28,497 576,873

42,365

Boîtes poinçonne Boîtes d'argent 1 8 8 9

Pièces

353,003 250,907 121,420 322,850 291,392 319,229

— 71,916 46,293 67,429 63,203 23,858 36,611 1,968,111

1 8 9 0

Pièces

342,fi87 166,197 .116,470 337,511 300,141 335,435 21,947 . 165,873

47,161 72,769 62,191 25,477 46,677 2,040,541 72,430

tes

Total des boîtes 1 8 8 9

Pièces

354,695 262,92»

143,461 322,940 295,441 328,694

— 73,71o 399,689 75,854 153,026 23,858 68,327 2,502,619

14,2 % 10,5 5,7 12,9 11,8 13,2

— 2,9 16,0 3,0 6,1 1,0 2,7 100

1 8 9 0

Pièces

343,544 178,710 137,027 337,511 304,857 352,535 122,451 67,769 432,129 80'445 159,766 25,483 75,174 2,617,414 114,795

13,1

°/n

6,8 5,2 12,9 11,6 13,5 4,7 2,6 16,5 3,1 6,1 1,0 2,9 IuO 4,4

Boiles payant double taxe, et boîtes rcl usées au poinçonnement

1889

Pièces

569 510 980 1,171 1,555 1,123

— 24 1,832 609 1,449

— 237 10,051

1890

Pièces

621 1,211 759 1,043 1,765 428 636 54 1978

347 998

— 62 9,902 157

Essais de lingots d'or et d'argent

1 8 8 9

Nombre

1Ό49 487 666 430 524

— 583 8,523 477

749 901 185 28 14,605

"Yn 7,2 4,5 3,3 2,9 3,6

— 4,0 58,4 3,3 5,1 6,2 0,2 1,3 100

1 8 9 0

Nombre

1,219 685 471 442 530 557 275 8,500 515 836 772 243 97 15,142 5:)7

<Vn 8,0 4,5 3,1 2,9 3,5 3,7 1,8 56,3 3,4 5,5 5,1 1,6 0,6 100 3,6

Objets de bijouterie et d'orfèvrerie poinçonnés

1 8 8 9

Pièces

5,749 192

— 28,021

264 24 30 192 7,445 41,917

13,6

°/n

0,5

— 66,9

0,6 0,06 0,07 0,5 17,8 100

1 8 9 0

Pièces

6,544 51

— _

— 22,927

360 10 76 91 7,666 37,725 4,192

17,4

°/o

0,1

— _ 61,0

1,0 0,0 0,2 0,2 20,1 100 111

Département fédéral des affaires étangères,

B u r e a u f é d é r a l d e s m a t i è r e s d ' o r e t d ' a r g e n t

Fabrique de „La Maisonnette"

1 IiI f % l

au L O C L E (Suisse)

Marque de fabrique S p é c i a l i t é <1θ ϋΙΟηΐΧθβ à ΜίΜβ double plateau

B B M O H T O I B S fabriquées par procédés mécaniques perfection-

nés, en 17, 18,19 et 20 lignes

^ V e r r e e t S a v o n e t t e .

or, argent, acier et métal

Toutes les montres de La Maisonnette portent la mar-

déposée. que de fabrique frappée dans les fonds des • oïles

Se méfier attentivement des imitations du nom de

X^A. M A I S O X I V E i T T B U I t

FABRICATION DE BIJOUTERIE

*Tt? * i b s -;TV; *4

BIENNE

S p é c i a l i t é d e b r a c e l e t s . or, argent et acier oxydé

FABRIQUE DE BOITES

ACIER ET MÉTAL EN TOUS GENRES

E S S A Y I i I i I l - J U H E IMPIiOIfIK F É D É R A I ·

ACHAT Tm^ VENTE

Rne de Nidau — B I E N N E — Rue Neuve Pulvérisation de cendres et fontes à prix réduits Creusets de tous pays — Charbons — Coke de St-Etienne

« K O * E T D É T A I L 930

FARIQUE DE BOITES

a r g e n t et galonné

Variétés pour tous pays. — Boîtes Dueber, Box oases, etc.

USINE HYDRAULIQUE

BIENNE

Hl P l u s i e u r s r é c o m p e n s e s a u x e x p o s i t i o n s * y Médaille d'argent Paris 1889

BASSEGOURTi—8JURABBERN0IS

USINE HYDRAULIQUE

1290

FABRIQUE DE BALANCIERS COMPENSES

e t f a ç o n c o m p e n s é s e n t o u s g » n w

2 V i A I S O N F O N D É E E N 1 8 5 1 HM

GEORGES ROULET

PONTS-MARTEL (Suisse)

, O u v r a g e f i d è l e e t g a r a n t i

S O I G X E B O V OMJBANTT

Tous mes balanciers soignés et ordinaires sont garanti· pour couper

(4)

m

LA F E D E R A T I O N , HORLOGERE SUISSE

MM. P I ( | l I É B E Ï a f r è r e » à K n s s e c o i i r t (Jura bernois)

RECOMMANDENT LEURS M A G E ï l i r É S ' A T Ô t T B N E B L E S B O I T E S

OR1 ARGENT, ACIER, NICKEL, SYSTÈME REVOLVER , Brevets d a n s l e s . p r i n c i p a u x . p a y s

ïnou'i^'j '*

1291 Plus de 80 machines fonctionnent dans les fabriques importantes à Beauco'urt, Bienne, Noiraigue, Fleurier, St-Imier, Tramelan, Porrentruy,

.^..^-,.^•W.aldenbourg,. etc. etc. — Des machines sont toujours disponibles et peuvent être vues fonctionna)iLMhej^lesiJxoastructeurs.

Pour horlogers

A remettre un magasin d'horlogerie dans la Suisse allemande. Excellente clientèle, avenir assuré pour un homme de métier, habile, disposant d'un capital de fr. 40,000 au moins.

Offres sous chiffres H. S. 329 à Rodolphe Mosse à Bâle.

(M a. 2' 93 Z) 1302 U n j e u n e h o m m e

connaissant la comptabilité e t l a correspondance,

cherche place

de commis dans une maison de commerce où il aurait l'occasion de se perfectioner dans la langue alle- mande. S'adresser à l'agence Haasenstein e t Vogler, Saint Imier, sous H. 517 J. 1304

ON DEMANDE

à a c h e t e r d e s r e m o n t o i r s 1 3 l i g . c j 1. 8 t . a r g e n t , e u v . a r g e n t , q u a l i t é s o i -

g n é e . 1298 A d r e s s e r l e s o i f r e s a u I m -

r e a u d u j o u r n a l .

On achèterait

q u e l q u e s l o t s «le m o n - t r e s b o n m a r c h é . 12%

E n v o y e r é c h a n t i l - l o n s à M . L·. M a r i n i e r -

P e n y . l e r , à j V e i i v < - v i l l e . V o u l e z - v o u s l i r e

à peu de frais, tous les

?

Demandez le prospectus de la

LIBRAIRIE ΙΜΙΙΜΪΤΕ

CH. GROS, FILS

S \ ? A - f i i i e r . 1069

OFFRE D'OUVRAGE

Des p o l i s s e u s e s d e g o u g e s et c o l i m a ç o n s pourraient avoir du travail ré- gulier à faire à domicile.

Adresser les offres avec échantil- lons de rochets et couronnes 13"' uniquement, au bureau du journal sous initiales -A.. T \ 12i'5

ON CHERCHE

un chef d e f a b r i c a t i o n capa- ble de diriger seul un atelier établissant la pièce or 12 à 20 lig.

Bons appointements.

Inutile de se présenter sans preuves de moralité et de capa- cité. — Adresser les offres case 611, Chaux-de-Fonds. 1299

A v e n d r e d ' o c c a s i o n u n e p e t i t e

machine à raboter.

S ' a d r e s s e r a u b u r e a u d u

j o u r n a l . 1297

met t\

m

FABRlOuE OE BOITES OE MONTRES

Argent, galonné et acier e n t o u s g e n r e s

n&ew&Jau

Longeau, près Bienne 1268 U S I N E H Y D R A U L 1 Q E

FEDERATION HORLOGËRË SClSSE

Téléphone

BUREAU TECHNIQUE D'HORLOGERIE ·

Charles lOÏÏHIf „ Cowat SC

E T U D E D E C A L I B R E S

montres simples et compliquées, moyen mathématique exact d'amplification ou réduction.

Installation complète de fabriques d'ébauches et de montres.

Méthode de fabrication spéciale pour parfaite interchangeabilité.

Confection des pointeurs, modèles, filières, jauges,

étampage, anglage des ponts, etc. 1218 MACHINES-OUTILS SIMPLES ET AUTOMATIQUES

Devis. Renseignements. Conseils. ..*

ΓΑΤΑΤ±ΎΑΎΑΤΑΤΑ.ΎλΎΑΤΑΤΑΥλΤ1Τ1Υ1ΤΑΎΑΥ±ΥΑΧΑ.ΥλΤΑ.ΤΑ3

U

n homme de quarante ans, dirigeant depuis nombreuses années comme intéressé la fabrication d'un comptoir d'horlogerie de 36 ouvriers désirerait, pour une époque à déterminer, s'associer avec un jeune h o r l o g e r , apte dans

sa partie el disposant d'un petit capital. 1294 Adresser les offres par écrit sous initiales A . R I . Ά&

au bureau du journal.

LTXTATÀTi.Ti.Ti.TiTi.TiTi.Ti.TXTi.TirrirTTriTiTi.Ti.Ti.-ri^3i

FABRIQUE D'ÉBAUCHES ET FINISSAGES

P. OBRECIIT & C IK , GRANGES

(SOLEURE)

FINISSAGES REMONTOIRS de 13 à 3 6 l "

e n - t o u s g e n r e s e t c a l i b r e s .

FINISSAGES à CLEF de 13 à 2 4 ' "

c a l i b r e s P a r i s et V a o h e r o n , '/4, ' ^ e t ^ p l a t i n e c y l i n d r e et a n c r e .

L A I T O N E T N I C K E L 1301 S P É C I A L I T É D E G R A N D E S P I È C E S

MAISON FONDÉE EN 1830

FABRIQUE D'HORLOGERIE

NICOLET FILS & C ,E

GHAUX-DE-FONDS (Suisse)

Premier prix décerné par le Conseil d'État de Neuchàtel pour Chronomètres de poche observés durant 6 semaines en 5 positions, pour l'année 1890, à l'observatoire cantonal de Neuchàtel. — La maison fabrique tous les genres de montres, depuis la montre bon marché à la plus soignée, pièces simples et compliquées.

Montres de précision avec ou sans bulelins des observatoires de Neuchàtel, Genève, Paris, Hambourg, Ken, Angleterre, YaIe, Collège, au gré des clients.

Toutes les montres livrées par la maison sont garanties, repassées en second, c. à d. terminées et réglées pour la poche. — Spécialité 3/4 platines, genres anglais, avec ou sans chronographe. (H. 334 CH.)

Nombreux certificats de lr* classe de l'observatoire de Ken. 1303·

Seules médailles d'argent. Exposition universelle. Pa is 187b Paris 1889.—Médaille Chaux-de-Fonds 18*1. — Diplôme Zurich 1883.

FABRIQUE D'AIGUILLES DE M O N T R E S KNTOUS 1,EMIES HT OLtLITES

bftewmii WAGlTOlT F H E H E S i S î E i i

M a i s o n f o n d é e e n X S X S 11)6 DÉPÔT AU LOCLE

Spécialité d'aiguilles Louis XV, ciselées or, acier, en composition dorée.

Petites et grandes secondes, Chronographes, quantièmes, compteurs, etc.

FABRIQUE D'HÛRLOGERIE ERNEST JUYET, St-Imier (Suisse)

Exportation pour tous pays de montres simples et compliquée». Spéci»- lité de l'article a c i e r , oxidage soigné en tous genres et toutes grandeur»,

!épines et savonnettes à guichet. H t »

Dépôt de finissages

de la fabrique Dubail, Monnin , Frossard & GIe, P Imprimerie de la Fédération horlogère suisse.

Références

Documents relatifs

(on applique les règles de composition) Comment peut-on étudier le signe d’une fonction?. On la factorise et on utilise les règles de signe des fonctions affines (ax + b) ou

Les techniques d’imagerie ont aussi révolutionné la recherche sur le cerveau et par la même, permis la compréhension des différentes structures, impliquées dans plusieurs

La création de la C.S.G. part en effet d'une constatation de base, à savoir qu'en France sur 30 millions de ménages théoriquement imposables, seulement la

Avec cinq graduations intermédiaires au minimum, celui-ci donne 40 configurations possibles qui incluent les deux qui viennent d’être mentionnées.. Pour L variant de 24

J'ai raconté un épisode, mais ce qui a été le plus important pour moi c'est d'avoir connu le monde de la coopération, le travail de groupe, qui m'a aidé dans mes rapports avec

Le bureau est en outre invité à faire les démarches nécessaires pour renouveler la convention qui existait entre les patrons monteurs de boîtes d'argent de Besançon et l'ancien -

2° En cas d'affirmative, nous venons vous demander, en notre qualité de délé- gué du rayon N 0 5 (voir le protocole de l'assemblée plénière du 26 fé- vrier 1891) quelles sont

Cette procédure ne semble pourtant pas être du goût des députés ; plusieurs journaux la combattent très vivement, déclarant que la question est assez importante pour qu'elle