Les consulats suisses à l'étrang^i reçoivent le journal.
Cinquième année. — N
047 P r i x d u n u m é r o 1 0 c e n t i m e s
Mercredi 10 Juin 1891.
B u r e a u x : R u e N e u v e , 1 9
ABONNEMENTS
un au : Six mois : Suisse . . . 6 fr. 3 fr.
Union postale . 12 » 6 »
On s'abonne à tous les bureaux de poste
ANNONCES
Provenant de Ia Suisse . . 20 et. Ia ligne
» de l'étranger. . 25 » » ' • Minimum d'une annonce 50 centimes
Paraissant le mercredi et le samedi, à Bienne
Les annonceii se paient d.
avanceOrgane «le In Société i n t e r c a n t o n a l e des i n d u s t r i e s du J n r r , des C h a m b r e s de c o m m e r c e , des B u r e a u x de contrôle et des Syndicat» i n d u s t r i e l s .
C o m m i s s i o n s m i x t e s Dans l'assemblée plénière des délégués des fabriques d'ébauches syndiquées el des fabricants d'horlogerie adhérents, qui a eu lieu à Bienne, le 25 février dernier, on a prévu la formation de commissions mixtes, locales ou régionales, pour faire la police du marché des ébauches et prévenir les infractions au tarif et à la convention.
Il est rappelé qu'une réunion de dé- légués des associations intéressés, a lieu mercredi iO courant à iO heures du maffia, à Vhôtel de la Couronne à Sonceboz, pour s'occuper de la question des com- missions mixtes.
C o n v o c a t i o n
La Chambre syndicale du syndicat des patrons monteurs de boi[es argent
à
Messieurs les membres actifs et passifs dudit syndicat,
Messieurs,
A la veille de l'expiration de notre année sociale 1890/1891 et en exécution de l'ar- ticle 12 de nos statuts, nous vous convo- quons par ces lignes en assemblée générale ordinaire pour
Jeudi, 18 juin courant, dès les 2 heures précises de l'après-midi, à l'hôtel du Bieler- hof, à Bienne avec l'ordre du jour sui- vant :
1. Rapport sur l'exercice courant 189 V1891 qui expire le 30 juin.
2. Rapport des vérificateurs des compt s dudit exercice, éventuellement ratifica- tion d'iceux (ces comptes sont à la dis- position dos intéressés qui peuvent les vérifier chez notre secrétaire-caissie··, M. Rollier.
3. Discussion de la demande de dissolution présentée par un certain nombre de membres du syndicat.
4. Si la dissolution est prononcée, nomina- tion d'une commission de liquidation;
mandat précis à lui donner.
5. Reconstitution du syndicatsurde nouvel- les bases et fixation du budget et des cotisations pour un nouvel exercice
1891/1892 et nomination éventuelle des membres et du président de la chambre syndicale pour ledit exercice.
6. Examen d'un projet de statuts, dis- cussion et éventuellement acceptation dudit projet.
7. Divers.
En vous donnant rendez-vous à l'assem- blée de jeudi 18 courant, et dans l'espoir que vous en comprendrez toute l'impor- tance, nous vous présentons, Messieurs, nos salutations distinguées.
Au nom de la chambre syndicale, Le secrétaire : Le président:
A. R o l l i e r . F . S e l i l a t t e r .
Syndicat
des fabricants d'horlogerie
Les membres du syndicat, qui n'ont pas encore répondu au questionnaire qui leur a été adressé le lor juin courant, sur le fonc- tionnement d'une caisse de prêts sur mar- chandises, sont instamment priés de bien vouloir le faire dans le plus bref délai possible.
Le bureau de la chambre syndicale.
d'accroître sa prospérité et d'améliorer les conditions du travail.
Art. 2. — Les dépenses que nécessitera le fonctionnement de cette chambre de l'indus- trie et du travail, seront fixées chaque année par le budget.
ΑΊ. 3. — Le Conseil d'Etat est chargé de déterminer plus exactement dans un règle- ment d'administration les attributions de cette Chambre, son mode d'organisation et de re- crutement ainsi que les détails de son fonc- tionnement.
Art. 4. — Le présent décret sera mis à exé- cution après avoir été soumis au délai du ré- férendum.
Une chambre cantonale de l'industrie et du travail àJaJîhaux-de-Fonds
Le département de l'industrie du canton de Neuchâtel vient de publier un rapport cir- co istancié sur les motifs qui militent en fa- veur de la création d'une chambre cantonale
de l'industrie et du travail. Ce rapport con- clut à l'adoption, par le Grand Conseil, du décret suivant :
Le Grand Conseil, etc. ;
Sur le rapport du Conseil d'Etat, Décrète :
Art lor. — Il est institué à la Chaux-de- Fonds une chambre cantonale de l'industrie et du travail ayant pour mission de repré- senter et de défendre les intérêts de l'indus- trie horlogère et de ses diverses branches dans notre canton, et d'étudier les moyens
Extension de la loi sur les fabriques Le conseil fédéral, sur le rapport du Département fédéral de l'industrie et de l'agriculture, a décidé de proposer aux chambres l'extension de la loi sur les fa- briques en soumettant aux prescriptions de celle-ci.
1° Les exploitations ayant plus de cinq ou- vriers ou faisant usage de moteurs ou occu- pant des personnes âgées de moins de 18 ans, ou encore présentant certains dangers pour la santé ou la vie des ouvriers.
2° Les exploitations occupant plus de dix ouvriers où aucune des circonstances men- tionnées plus haut ne se produisent.
3° Les exploitations ayant moins de 6 ou- vriers, mais présentant un danger extraordi- naire pour la santé ou la vie, ou affectant le caractère incontestable d'une fabrique.
Le personnel employé au chauffage des chaudières à vapeur ou des calorifères instal- lés dans les ateliers, au nettoyage des che- minées, des chaudières, des moteurs, des transmissions, au séchage des formes, etc., est mis au bénéfice de la loi sur les fabriques, tout comme les ouvriers proprement dits.
En ce qui concerne l'industrie horlo-
gère les conditions sous chiffre 2 parais-
sent applicables et, si les propositions du
conseil fédéral sont admises par les
chambres, les établisseurs et chefs d'ate-
lier occupant plus de 10 ouvriers seront
soumis aux prescriptions de la loi. On
228 LA FÉDÉRATION HORLOGÈRE SUISSE peut admettre que le nombre des établis-
sements à inspecter sera augmenté de plusieurs centaines.
Nous aurons l'occasion de revenir sur cette importante question.
Extrait du rapport du consulat suisse à Melbourne, pour l'année 1890
La production de l'or a été "aussi bien in- férieure à l'année précédente, la différence est de 30,000 onces.
Les industries locales continuent à pros- pérer, mais il ne s'est rien produit dans cette sphère d'activité qui mérite d'être signalé.
En 1888
l'importation totale a été de st. 23,402,760, l'exportation » » » » » 13,853,763.
En 1889
l'importation totale a été de st. 24,402,760, l'exportation » » » j> » 12,734,734.
Pour 1890, les données officielles ne sont pas encore publiées.
La dette publique de la colonie était au 31 décembre 1889 de st. 37,367,027.
Au 31 décembre 1889 il y avait 16 banques
Capital versé . st. 13,389,662 Actif . . . . » 57,625,653 Passif . . . » 40,810,770
330 caisses d'épargne Déposants . . st. 261,067 Dépôts . . . » 5,021,522 Le taux de l'intérêt a été en moyenne 2 % pour dépôts à 3 mois, 3°/o pour dépôts à 6 mois, 4 % pour dépôts à 9 mois. L'intérêt sur les découverts 8 à 9 % ; escompte 6 '/a % pour 3 mois, 7 et 8 % pour échéances au de- là. Le change moyen a été
à Londres vue IVa0 ο prime, 30 jours de vue 1 % » 60 » » » V20A) » 90 » » » V4 % » à Paris vue fr. 24. 75,
30 jours de vue » 24. 85.
Imigration. Il est fort difficile de se rendre compte du nombre des Suisses qui arrivent, les autorités ne demandant à l'entrée dans la colonie ni papiers, ni passeports, ni aucune pièce concernant la nationalité des émigrants, et les Suisses eux-mêmes ne voulant pas ve- nir s'enregistrer au consulat, il devient im- possible d'avoir un contrôle. J'ai reçu d'une agence autorisée par le bureau fédéral de l'é- migration un avis de l'arrivée de plusieurs Suisses par nn steamer allemand, mais je ne les ai pas vus ; ils sont partis de suite pour l'intérieur, et il me semble qu'il serait dans leur intérêt de se faire connaître et il faudrait le leur faire comprendre avant leur départ.
Quant aux conseils et avis à donner pour l'émigration dans ce pays, je ne puis que ré- péter ce qui a été dit dons plusieurs rapports précédents, les circonstances où se trouve la colonie étant plutôt moins favorables qu'au- paravant. Il y a un surcroît d'ouvriers, sauf de bons ouvriers de campagne et encore ceux-ci ne trouvent-ils à travailler que pen- dant une partie de l'année. Quant aux em- ployés de commerce, commis, etc., ils m peuvent pas commettre de plus grande im- prudence que de venir ici sans avoir une place d'avance. Je pourrais citerplusieurs exemples d'arrivées dans cette colonie, même avec de bonnes lettres de recommandations, de per- sonnes qui ont dû ou bien retourner si elles en avaient les moyens, ou mener une vie mi- sérable. La population s'accroît tous les jours et le travail, la production et l'industrie ne s'accroissent pas dans la même proportion ; en conséquence il y a un trop-plein pour le moment.
La société suisse de Victoria est en voie de prospérité et continue à rendre de patrioti- ques services à ceux de nos compatriotes qui en ont besoin et qui les méritent. Le nombre de ses membres va toujours en augmentant, surtout à la campagne où est la grande ma- jorité des Suisses résidant dans cette colonie.
NOUVKLLRS DIVERSES
S o u d u r e d u v e r r e e t d e Ia p o r c e - l a i n e a v e c l e s m é t a u x . — M. Cailletet a fait connaître à la Société de physique un procédé de soudure du verre et de la porce- laine avec les métaux, qui permet d'adapter aux appareils de recherches un ajutage mé- tallique quelconque (robinet, tube de com- munication, fil conducteur, etc.) de fiÇ.on à éviter toute fuite, même sous des pressions élevées.
Les procédé de soudure est des plus sim- ples : on recouvre d'abord la portion du tube, qui doit être soudé, d'une très mince couche de platine. Il suffit, pour obtenir ce dépôt, d'enduire au moyen d'un pinceau le verre légèrement chauffé, de chlorure de plaline bien neutre, mélangé à de l'huile essentielle de camomille. On fait évaporer lentement l'essence et, lorsque les vapeurs blanches et odorantes ont cessé de se produire, on élève Ia température jusqu'au rouge sombre, le platine se réduit alo.s en recouvrant le tube de verre d'un enduit métallique et brillant.
En fixant au pôle négatif d'une pile d'une énergie convenable le tube ainsi métallisé et placé dans nn bain de sulfate de enivre, qui doit être malléable et bien adhérent si l'opé- ration a été convenablement conduite.
Dans cet état, le tube de verre, recouvert du cuivre, peut être traité comme un véri- table tube métallique et soudé, au moyen de l'étain, au fer, au cuivre, au bronze, au platine et à tous les métaux qui s'allient à la soudure d'étain.
V A R I É T É
l i a p a r t i c i p a t i o n a u x b é n é f i c e s et l e s c o n d i t i o n s d ' e x i s t e n c e d e s e m p l o y - ée d e s g r a n d s m a g a s i n s d e P a r i s . — Dans l'une des séances d'un congrès d'écono- mie sociale, réuni à Paris dans ce moment, il a été donné lecture d'une corn nunication sur l'organisatio'i des gran Is magasins du Louvre. Cette maison repose sur le principe que les commis y sont intéressés, non pas à vendre cher, puisque les prix sont fixes, mais à vendre beaucoup ; en dehors de leur traitement régulier et de la nourriture qui leur est fournie gratuitement, ils ont un tant pour cent sur le montant de leurs opérations et gagnent ainsi en moyenne de 10 à i l fr. par jour. Une caisse de re- traites permet aux employés comptant plus de dix ans de services et moins de 5000 fr.
de gains annuels de se constituer un ca- pital qui augmente de 200 fr. pir an. Les services médicaux sont gratuits ; des sociélés de tir, d'escrime, etc., sont subventionnées par la direction.
L'auteur de la communication, l'un des directeurs de l'établissement, afirme que cette organisation est fivorablc aux con- sommateurs, m lins cependant, avoue-t-il, que les sociétés coopératives anglaises :
celles-ci, d'après lui, réduisent à 11 % des ventes la proportion des frais géné- raux, les grands magi ins a 18,50 "/<,, tandis que le petit commerce prélève 30 Vo- Le bénéfice n'est pas douteux; mais, pour être complet sur ce sujet et rester
dans l'esprit de la société d'économie so- ciale, il faudrait dresser le bilan matériel et moral de l'existence des commis; je n'hésite pas à dire qu'il est lamentable.
Je connais, pour ma part, un jeune cou- ple employé dans la maison rivale, au Bon Marché. Au point de vue matériel, ils sont parmi les heureux du monde et compteront, après vingt ou trente ans de services, dans la classe des «capitalis- tes » ; ils gagnent annuellement de 10 à 12 mille francs, en dehors de la nourriture, qui, là aussi, leur est donnée gratuite- ment; ils ont, ainsi que tous leurs collè- gues, hérité de Mme Boucicaut, veuve du fondateur de l'établissement, une somme assez rondelette; ils ont été admis à pla- cer leurs économies en actions de la mai- son, qui valent fort cher et ne cessent de monter; brei, ils auront aux environs de cinquante ans cinq ou six mille francs de rente. Mais veut-on savoir à quel prix1? Tous les jours, sauf le dimanche, ils sont tenus de huit heures du matin à dix heu- res du soir, l'une essayant des robes, l'au- tre vendant de la lingerie, tous deux n'ayant pas le droit de pr ndre un siège, sauf aux heures des repas. Ils ont un en- fant dont ils ont dû se débarrasser en le mettant <ï la campagne, faute de pouvoir le surveiller ; ils n'en désirent plus, n'ayant du premier aucune joie, aucune connaissance même. Ils seront dans l'ai- sance plus tard, soit. Mais où est l'union de ces deux êtres, où est leur famille, que devient leur santé? Autant vaudrait être galérien ; le moindre paysan est plus heu- reux, môme avec les risques que lui font courir les gelées ou la grêle, et l'on peut se demander si la société profite d'uu tel système.
BREVETS D'INVENTION
LISTE DES BREVETS ENREGISTRÉS
l i o r l t g e r i e e t b i j o u t e r i e Cl. <ii, n* 3079, 16 mars 1891, \P/t h. a. —
Boîte de montre sans soudure, en alumi- nium (Système Ferdinand Quartier). — Quartier Ferdinand, Fleurier (Suisse).
Cl.-64, n°31l4, 4 février 1891, 9 h. a. — Chaton interchangeable a une vis pour hor- logerie. — Many-Gnâgi, Charles, 20, Bue de la fantaisie, Bienne (Suisse).
Cl. 66, n° 3106. 30 décembre 1890, U'/s h. a.
— Système perfectionné de compas d'é- paisseur. — Riglander, Jacob, W. Maiden- Lane 35, New-York, (Etats-Unis, A.
du N.). Mandataire: Gerster, Charles, Berne.
Cl. 53, Nr. 3103. 17 février 1891, 3'/2 h. p. — Nouveau parachute pour pièces à musique etc. — Billoa Ilallcr, J., Creux Je St.
Jean, Genève (Suisse). Mandataire: Imer- Schneider, E., Genève.
N" 190. 17 avril 1891, 3 h p. — Cacheté. — 12 modèles. — Aiguilles de montres. — Doillol, Frères, Ghaux-de-fonds (Suisse).
N" 197. 16 avril 1891, 8 h. p. — Cacheté.
— 1 modèle. — Calibre de montre à clef.
— Société' Iforlogi'.re Jolidon, Villemin Sc de., Vdlars s/Fontenais; et Barré, Emile, Bressancourt (Suisse). Mandataire: Bitler, A., Bâle.
Cl. 6i, N-3196. 21 février 1891, 5 ' / , h. p.
— Montre de poche. — Pincoffs, M., Kaufmann, Annsbergerslr. 19, Vienne VI[(Autriche-llongrie. Mandataire : Bourry- Séquin, Zurich.
Cl. 64, N-3-2-20. 14 février 1891, 4 h. p . — Perfectionnements a montres de poche.
— Holzberg, Albert, Freden a/Leine (Allemagne). Mandataire: llanslin & Cie., Berne.
Cl. 04, n° 3218. 15 janvier 1891, 5</a h . p . — Encliquetage monté s u r lige pivotée et s'appliquant s u r mouvements de m o n t r e s à ponts en tous g e n r e s . — Lc Coultre &
Cie., manufacture d'horlogerie, Sentier, vallée du Lac de Joux (Suisse). Mandataire : Cherbulicz, Λ. M., Genève.
N" 209. 14 mai 1891, 6'/, h. p. — Cachelé.
— 20 modèles. — Anneaux et pendants de montres. — Balland & Cie., Genève Suisse. Mandataire: Imer-Schneider, E., Genève.
N0 212. 21 mai 1891, 6'/4 h . p . - Cacheté.
— 2 modèles. — Calibres de montres. — Monard, Jules, Genève (Suisse). Manda- taire : I m e r - S c h n e i d e r , E . , Genève.
M» 1 3 . 15 juin 1889, 6 h. p . — ( I I - IV pé- riodes). — 1 modèle. — Mouvements d e montres de dimensions variables et en tous métaux. — Courvoisier, frères, Chaux-
de Fonds (Suisse). Mandataire : Imer- Schneider, E., Genève; enregistré le 17 juin 1889.
N° 73. 9 décembre 1889, 9'/2 h. a. — (II—IV périodes). — 1 modèle. — Mouvement de montre à l'état de finissage. — Fabrique d'ébauches deSonceboz, Sonceboz (Suisse) ; enregistré le 9 décembre 1889.
N° 97. 9 avril 1890, 6 h. p . — ( H - I V p é - riodes). — 1 modèle. — Calibre de mon- tre. — Petignat, file, Jacques, P o r r e n - truy (Suisse). Mandataire : I m e r - S c h n e i - der, E., Genève, enregistré le 12 avril 1890.
N" 124. 7 juillet 1890, 8 h . a. — (II p é - riode). — 3 modèles. — Mouvements d e montres. — Simon, Burger Sc Gressol, Porrentruy (Suisse), enregistré le 7 juillet 1890.
N01 8 3 . 23 février 1891, 6V2 h. p . — (II—IV I M P O K T A T I C W E T E X P O R T A T I O N D ' I I O R I i O f w E R I E
fendant le mois d'avril 1891.
H o r l o g e s e t m o n t r e s Horloges fines
Carillons et boîlos à musique . Montres de poche à boîte de
nickel, elc
Montres de poche à boîte d'argent
Montres de poche à boîte d'or Métaux, orfèvrerie et bijouterie Or monnayé
Or non ouvré, môme allié . . Argent monnayé
Argent non ouvré, même allié.
Or, argent, plaline, lani nés elc.
Orfèvrerie d'or et d'argent;
bijouterie vraie . . . liijoiiterie fausse
Importation Pièces ' Valeur
2,060 130 10,772 1890 1,421 35 156 22,843 4,0; 5 68!
1,431 3,;;o8
Quantité importée dans
la munie période 1890
2,158 101 9 874 1,005 562 243 543 17,871 4,783 127 637 2,612
Exportation Pièces
7 15,425 120,908 203.855 48,458 112 88 17,000 687 HO 203 187
Valeur
Uuan.ué exportée dans
la même période \ 800
19 15915 100,618 212," 87 49,245 141 2-2.) 12,424 793 152 310 62
périodes). — Nouveau calibre de montre à répétition et chronographe. — Mar- chand & Sandoz, Chaux-de-Fonds (Suisse).
Mandataire : Imer-Schneider, E., Genève ; enregistré le 26 février 1890.
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Le rédacteur responsable : Kntz HUGHENIN
AVIS IMPORTANT
J'informe Messieurs les acheteurs de m o n t r e s c a l e n d r i e r que, possédant des brevets dans tous les pays ou la propriété industrielle est garantie, je ferai opérer la saisie des montres portant l'inscription
Patent ISlO 9
comme étant une contrefaçon de ma montre calendrier. Cette montre est vendue par Monsieur C é s a r T U R L E R de B i e n n e .
1437 J a c o t - B u r m a n n .
i
*
FABRIQUE DE JOYAUX
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p o u r m o u v e m e n t s d ' h o r l o g e r i e
en un mot, tout ce qui se fait en pierres pour le mouvement de la montre, pour hou>soles, télégraphes, distributeurs d'eau, etc.
L.-E. JUNOD
à. 1 - . " C J C E l J N r S ( S u i s s e )
Marque de fal'iiqtie
Hiisrn fondie en 1850 occupant ^ \ ® Y Rccompensie à Londres en 1862 et plus de 800 ouvriers T p l l v t à 'a Chaui-de-Fonds en 1881 VENTEEXCLUSIVEMENTENGROS U AUX MARCHANDS DE FOURNITURES
Envoi de prix-courants sur demande 1201 Achat et vente de diamants, rubis, saphirs, chrysolithesetgrenatsbruls
P i e r r e s d e c o u l e u r t a i l l é e s p o u r B i j o u t e r i e
«V /_2ΞΛ T H i H e d e t " «juuliu- s^ESs: s-^ |
AVIS IMPORTANT
En réponse à la publication d e Monsieur J a c o t B i i i - m a n n , fabricant d'horlogerie à Bienne, parue dans le Nr. 45 du 3 juin 1891 de la « Fédération horlogère », j'avise ma clientèle et chacun que j e suis parfaitement en droit de fabriquer et vendre d e s m o n t r é e d i t e s c a l e n d r i e r , et j e saisis cette occasion de me r e c o m m a n d e r aux ordres qu'ils voudront bien m-j confier.
BIENNE, le 5 juin 1891.
1439 C é s a r T u r l e r .
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G e n è v e ta WrHi 11
1116
230
LA FÉDÉRATION HORLOGÈRE SUISSE
' ^ I q r d C ^ i q p J t q F ^ p J ^ r d l ^ p J t f i r U t q r t i ^ ^ | ^ Ι η ρ ] 1 ^ ρ ] ί η Γ ΐ ] Ι η [ ΐ ΐ Ε ^ ί η Γ ϋ Ι η [ Ώ ΐ η ρ ] Ι η ρ ] [ ^ Ι η | ΐ 1 [ ϊ ) ρ 1 JJp]
PI 51 Hl 51 HJ 51 HJ 51 151 Hl 151 HJ HJ 51 Hl 51 HJ 51 Hl 51 Hl
Calibre V e r d a n & F e n f e r établi en 1885 et fabriqué en
•13, 14, 18, 19 et "20 lig. verre et savonnette.
Réservé en monopole pour plusieurs pays.
151 H ι
Hl 51 Hl 51 Hl 51
ϋ Hi
1
151
Calibre établi en 1883 et fabriqué en qualité extra soignée en 19, 20 et 21 lig. verre et savonnette.
Se mélier des contrefaçons de qualité inférieure.
MARQUE DE FABRIQUE DÉPOSÉE
et FINISSAGES à
Qualité soignée - lirerc'.i; nye.ibil.ié
SPÉCIALITÉ I)E CILIBIlES PARTICULIERS
YERDiH â H I F I B
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Ce calibre est imité depuis quelque temps par plusieurs fabriques et fourni par elles sous la dénomination «Calibre Glashiilte». Il est copié point pour point, sauf un petit changement au mécanisme dessous et la qualité est inférieure.
14 lig. et convient tout particulièrement aux fabricants qui4ésirent établir une
bonne montre de dame.
¥
Calibre 8/4 pi·, genre anglais avec mécanisme de remontoir dessous, échappe;) ent anglais, fabriqué en 15 à 20 lig. à verre, 17 à 20 lig.
savonnette.
JÊÎjflîgjfjgjjg^
151 H 5 H 5 H 5 5 H H S H 5 15 H H 5 H 5 H 5 15 H H 5 H 5 H 5 H 5 H
£Π Hl 5 H 5 15 H H 5 IHSs et
t o u s genres, g r a n d e u r s et p r i x
s. It §i liiniiiiâii s i
P O N T S - M A R T E L (Suisse)
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