• Aucun résultat trouvé

Stimulation cérébrale profonde et déplacement d’électrode : évaluation à moyen terme

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2021

Partager "Stimulation cérébrale profonde et déplacement d’électrode : évaluation à moyen terme"

Copied!
2
0
0

Texte intégral

(1)

HAL Id: hal-01875183

https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01875183

Submitted on 20 Nov 2018

HAL is a multi-disciplinary open access archive for the deposit and dissemination of sci-entific research documents, whether they are pub-lished or not. The documents may come from teaching and research institutions in France or abroad, or from public or private research centers.

L’archive ouverte pluridisciplinaire HAL, est destinée au dépôt et à la diffusion de documents scientifiques de niveau recherche, publiés ou non, émanant des établissements d’enseignement et de recherche français ou étrangers, des laboratoires publics ou privés.

Stimulation cérébrale profonde et déplacement

d’électrode : évaluation à moyen terme

François Caire, Jerome Coste, Jean Gabrillargues, Emmnuel Chabert,

Béatrice Claise, Philippe Derost, Franck Durif, Jean Jacques Lemaire

To cite this version:

François Caire, Jerome Coste, Jean Gabrillargues, Emmnuel Chabert, Béatrice Claise, et al.. Stimula-tion cérébrale profonde et déplacement d’électrode : évaluaStimula-tion à moyen terme. Réunion de la Société de Neurochirurgie de Langue Française, Société de Neurochirurgie de Langue Française (SNCLF), Nov 2005, Paris, France. pp.546, �10.1016/S0028-3770(05)83597-0�. �hal-01875183�

(2)

Caire F. et al. Société de Neurochirurgie de Langue Française - Novembre 2005

Stimulation cérébrale profonde et déplacement d’électrode:

évaluation à moyen terme

Caire F., Coste J., Gabrillargues J., Chabert E., Claise B., Derost P., Durif F., Lemaire J.-J.

Adresse : Hôpital Gabriel-Montpied, Clermont-Ferrand, France

Introduction. Un éventuel déplacement des électrodes de stimulation cérébrale profonde (DBS), à distance de l’implantation, est évoqué pour expliquer certaines discordances entre effets bénéfiques per-opératoires et en stimulation chronique. Nous avons évalué ce déplacement en nous appuyant sur des données d’IRM postopératoires tardives.

Matériel-Méthode. Neuf patients ayant bénéficié de la mise en place bilatérale d’électrodes DBS pour maladie de Parkinson idiopathique sévère avec de bons résultats cliniques (amélioration motrice > 60 %) ont été inclus. Nous nous sommes intéressés aux contacts utilisés en stimulation chronique (contacts effectifs, stimulation monopolaire). Les positions initiales de ces contacts (n = 18) ainsi que des électrodes (n = 18) ont été déterminées à partir de clichés téléradiographiques de fin de procédure (électrodes fixées, cadre en place) et projetées (correspondance stéréotaxique) sur l’IRM pré-opératoire stéréotaxique (pondération T2, cadre en place). Une IRM réalisée à distance (pondération T1, délai de 6 à 12 mois) a été mise en correspondance avec l’IRM pré-opératoire (algorithme d’optimisation de voxel à voxel). Pour chacun des contacts effectifs, nous avons mesuré la distance entre le centre du contact identifié en radiographie et projeté sur l’IRM pré-opératoire et celui déterminé à partir de l’artefact sur l’IRM à distance (dc).

Résultats ou Cas rapporté. Dans tous les cas, la position de l’électrode, relevée sur les clichés téléradiographiques, était située dans les limites de l’artéfact de l’électrode sur l’IRM tardive. La distance moyenne entre les positions initiales et tardives des centres des contacts (dc) était de 1,3 mm (±0,5 mm).

Conclusion. En prenant en compte les différentes incertitudes liées aux modes de recueil des coordonnées (téléradiographie et IRM), nos résultats ne semblent pas montrer de différence significative entre la position initiale des contacts effectifs et celle mesurée tardivement. Ces résultats sont discutés en fonction des données de la littérature.

Références

Documents relatifs

si la lame est plongée dans une solution diluée de N03Ag, énergiquement lavée à 1 eau distillée, puis mise au contact d’une solution diluée de KCI et de nouveau

La polarisation est au contraire rapide pour des électrodes capillaires ; mais, en mettant dans le circuit de grandes -résistances, on peut encore conserver

du mélange, on retrouve toujours deux phases inso- lubles l’une dans l’autre et il existe même une lacune de miscibilité à l’état liquide entre 38 et 74 pour

photopotentiel positif, celui-ci est plus élevé dans les solutions réductrices, il est diminué dans les oxydantes et même dans certains cas peut être inversé.. De

négligeable, tout au moins dans le domaine du courant résiduel, on peut, par différence, connaître à chaque instant le potentiel de la deuxième électrode et

(2) Sulfate de cuivre seul ou avec eau acidulée, sulfate de zinc, sulfate de soude (entre des électrodes de cuivre); nitrate de cuivre seul ou avec nitrate de

les mêmes propriétés que dans le cas du plomb ; ils se forment plus facilement dans les solutions concentrées, et ne disparaissent pendant la décharge que si la

tibilité du fil métallique servant d’électrode étant très grande, com- parée à celle du liquide, le fil peut être considéré, dans la partie immergée, comme