• Aucun résultat trouvé

ÉTUDE, PAR DIFFUSION QUASI-ÉLASTIQUE DE LA LUMIÈRE, DE L'AMORTISSEMENT DES FLUCTUATIONS THERMIQUES D'ORIENTATION MOLÉCULAIRE DANS UN CRISTAL NÉMATIQUE

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2021

Partager "ÉTUDE, PAR DIFFUSION QUASI-ÉLASTIQUE DE LA LUMIÈRE, DE L'AMORTISSEMENT DES FLUCTUATIONS THERMIQUES D'ORIENTATION MOLÉCULAIRE DANS UN CRISTAL NÉMATIQUE"

Copied!
2
0
0

Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00213718

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00213718

Submitted on 1 Jan 1969

HAL is a multi-disciplinary open access archive for the deposit and dissemination of sci- entific research documents, whether they are pub- lished or not. The documents may come from teaching and research institutions in France or abroad, or from public or private research centers.

L’archive ouverte pluridisciplinaire HAL, est destinée au dépôt et à la diffusion de documents scientifiques de niveau recherche, publiés ou non, émanant des établissements d’enseignement et de recherche français ou étrangers, des laboratoires publics ou privés.

ÉTUDE, PAR DIFFUSION QUASI-ÉLASTIQUE DE LA LUMIÈRE, DE L’AMORTISSEMENT DES FLUCTUATIONS THERMIQUES D’ORIENTATION MOLÉCULAIRE DANS UN CRISTAL NÉMATIQUE

Grp. Exp. Des Cristaux Liquides

To cite this version:

Grp. Exp. Des Cristaux Liquides. ÉTUDE, PAR DIFFUSION QUASI-ÉLASTIQUE DE LA LUMIÈRE, DE L’AMORTISSEMENT DES FLUCTUATIONS THERMIQUES D’ORIENTATION MOLÉCULAIRE DANS UN CRISTAL NÉMATIQUE. Journal de Physique Colloques, 1969, 30 (C4), pp.C4-71-C4-71. �10.1051/jphyscol:1969416�. �jpa-00213718�

(2)

CONJECTURES SUR L'ÉTAT SMECTIQUE C 4 - 7 1

E =

-

V V est le champ électrique. Pour une intensives : voir la revue par V. LUZZATI à cette composanteIde Fourier, ceci donne :

Dans la forme non perturbée (éq. 1.6) on avait

En ordre de grandeur, AF, est plus petit que ce terme par u n facteur q 2 d2

<

1. Donc les effets piézoélec- triques sont négligeables [12].

Bibliographie

[l] CHISTYAKOV (G.), Soviet Physics Uspekhi, 1967,9,551.

Le cas des phases srnectiques de lipides doit être disjoint, ces matériaux ayant fait l'objet d'études

conférence.

[2] OSEEN (C. W.), Tram. Faraday Soc., 1933, 29, 883.

[31 FRANK (F. C.), Disc. Faraday Soc., 1958, 25, 1.

[4] LANDAU (L. D.), LIFSHITZ (1. M.), Statistical Physics, (Pergamon Press, Londres, 1958), p. 41 1.

[51 De GENNES (P. G.). Proceedings of the 2nd Kent Conference on liquid Crystals paraître dans Molecular Crystals).

[6] DE GENNES (P. G.), J. Chem. Phys., 1968,48,2257.

[7] GROUPE D'ORSAY, J. Chem. Phys., 1969, 51, 816.

[8] DE GENNES (P. G.), C. R. Acad. Sci. Paris, 1968,266,15.

191 CHATELAM (P.), Acta crystallographica, 1948, 1, 31 5.

[IO] Pour le mode péristaltique )) des films de savon, qui.

est un peu comparable à l'ondulation décrite ici, le régime est probablement isotherme : voir : DE

GENNES (P. G.), C.R. Acad. Sci. Paris, 1969,268B, 1207.

1111 MEYER (R. B.), Phys. Rev. Lett., 1969, 22, 918.

[12] La situation est tout à fait différente dans un néma- tique, où l'intensité de la lumière diffusée peut être fortement affectée par les effets piézoélec- triques. GROUPE D'ORSAY, à paraître.

ÉTUDE, PAR DIFFUSION QUASI-ÉLASTIQUE DE LA LUMIÈRE, DE L'AMORTISSEMENT DES FLUCTUATIONS THERMIQUES D'ORIENTATION MOLECULAIRE DANS UN CRISTAL NEMATIQUE

Groupe d'étude des cristaux liquides d'Orsay

Résumé. - Nous reprenons les expériences de Chatelain [l] de diffusion Rayleigh par un monocristal nématique, en observant non plus l'intensité, mais le spectre de la lumiére diffusée, à l'aide d'un spectromètre laser à battements optiques. Nous isolons les deux modes de relaxation pure, basse fréquence, récemment prévus par le groupe d'étude des cristaux liquides d'Orsay [2], superposition de (( flexion », torsion B et divergence » de l'axe optique. Nos premiers résultats [3] sur la dépendance angulaire des spectres obtenus nous permettent de déterminer trois des six coefficients introduits par Leslie [4] pour décrire la viscosité d'un nématique.

Abstract. - The Rayleigh scattering in nematic liquid crystals wasfirst studied by Chatelain [l]

who investigated the angular dependence of the scattered light intensity. Resuming this experiment, we have now observed, not the intensity, but the power spectrum of the scattered light, usingan opti- cal beat laser spsctromrter. Intensity fluctuations are caused by thermal distortionsof the nematic monocrystal, superposition of (( bending », ((twist, 1) and cc splay )) of the optical axis. We identify the two low frequency purely dissipative modes recently predicted [2]. A preliminary ~ t u d y [3]

of the angular dependence of the width of these modes allows a determination of three among the six viscosity coefficients introduced by Leslie [4].

Références

[l] CHATELAIN (P.), Acta Cryst., 1948, 1, 31 5.

[2] GROUPE D'ÉTUDE DES CRISTAUX LIQUIDES D'ORSAY, J.

Chem. Phys., 1969, 51, 816.

[3] ORSAY LIQUID CRYSTAL GROUP, Phys. Rev. Letters, 1969. 22. 227.

[4] LESLIE (F.' M.), Quant. Journ. Mech. & AppIied Math., 1966, 19, 337.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphyscol:1969416

Références

Documents relatifs

-Pour mes mesures du facteur de dépolarisation dans le domaine de l’opalescence j’ai choisi des mélanges binaires dont la température critique ne diffère pas.. trop de

théoriquement le problème de la diffusion de la lumière par un cristal de chlorure de sodium, dans le domaine du visible, en partant de l’étude classique dans le

Diffusion de la lumière par la surface libre d’un cristal liquide au voisinage d’une transition nématique-smectique A du second ordre... DIFFUSION DE LA LUMIÈRE PAR LA

tension superficielle que nous supposons isotrope. Nous indiquons explicitement la répartition spectrale, quelles que soient les conditions d’amortissement et pour

2014 L’analyse spectrale à haute résolution de la lumière diffusée par la surface libre d’un cristal liquide nématique permet la mesure de la tension superficielle et de

- Pour une espèce ionique, le coefficient de diffusion à dilution infinie (c'est-à-dire sans interaction ion-ion) peut être obtenu en étudiant les variations de la

On montre que la diffusion par les phonons permet d’expliquer en partie les intensités et contrastes observés expérimen-.. talement dans le rayonnement diffusé quasi

Le noyau de recul peut alors ne pas être caractérisé dans un état intermédiaire.. Si on compare ce spectre à celui obtenu à 150 MeV