• Aucun résultat trouvé

des sous-espaces vectoriels d'un K -espace vectoriel E . Montrer

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "des sous-espaces vectoriels d'un K -espace vectoriel E . Montrer"

Copied!
4
0
0

Texte intégral

(1)

Lycée Hoche MPSI B Feuille Espaces vectoriels (dimension nie)

1.

(Eef01)

Soit A , B , A

0

, B

0

des sous-espaces vectoriels d'un K -espace vectoriel E . Montrer

dim A + dim A

0

= dim E dim B + dim B

0

= dim E

A + B = E A

0

+ B

0

= E

 

 

 

 

( A ⊕ B = E A

0

⊕ B

0

= E

2.

(Eef02)

Soit A = (a

1

, a

2

, a

3

, a

4

) une base d'un K -espace vectoriel E et x ∈ E de coordonnées (x

1

, x

2

, x

3

, x

4

) dans A . Montrer que la famille B = (b

1

, b

2

, b

3

, b

4

) est une base et préciser les coordonnées de x dans B dans les cas suivants :

(1)

 

 

 

  b

1

= a

2

b

2

= a

3

b

3

= a

1

+ a

2

b

4

= a

1

+ a

2

+ a

3

+ a

4

(2)

 

 

 

 

b

1

= −a

1

+ a

3

b

2

= a

1

b

3

= a

2

b

4

= −a

2

− a

3

+ a

4

3.

(Eef03)

Polynômes d'interpolation de Lagrange.

Soit a

0

, a

1

, · · · , a

n

n + 1 nombres complexes distincts.

On note, pour i entre 0 et n , L

i

= Y

j∈J0,nK\{i}

X − a

j

a

i

− a

j

.

Montrer que (L

0

, L

1

, · · · , L

n

) est une base de C

n

[X ] . Préciser les coordonnées de P ∈ C

n

[X ] dans cette base.

4.

(Eef04)

Polynômes de Bernstein.

Soit n un entier, on pose P

k

= X

k

(1 − X)

n−k

pour tout entier k entre 0 et n . Montrer que (P

0

, P

1

, · · · , P

n

) est une base de C

n

[X ] . Quelles sont les coordonnées de 1 dans cette base ?

5.

(Eef05)

Soit P ∈ R

n−1

[X] et P

i

= P(X b + i) . Montrer que (P

0

, P

1

, · · · , P

n

) est liée.

6.

(Eef06)

Suites récurrentes linéaires d'ordre 2.

a. Calculer u

n

lorsque

u

0

= −1, u

1

= 1, u

n

= 3

2 u

n−1

− 1 2 u

n−2

b. Calculer u

n

lorsque

u

0

= 1, u

1

= 9, u

n

= u

n−1

− 1 4 u

n−2

c. Calculer u

n

lorsque

u

0

= 1, u

1

= 1, u

n

= −2u

n−1

− 4u

n−2

7.

(Eef07)

Soit K un corps ni et E un K espace vectoriel de dimension n . Montrer que E est ni et préciser son cardinal.

8.

(Eef08)

Soient A et B deux sous-espaces vectoriels de di- mension nie d'un K -espace vectoriel E . Montrer que (dim(A+B))

2

+(dim(A∩B))

2

≥ (dim(A))

2

+(dim(B))

2

9.

(Eef09)

On dénit f

1

, f

2

, f

3

, f

4

dans F( R , R ) par :

∀x ∈ R , f

1

(x) = sin

2

(x), f

2

(x) = cos

2

(x),

f

3

(x) = sin(2x), f

4

(x) = cos(2x) Calculer rg(f

1

, f

2

, f

3

, f

4

) .

10.

(Eef10)

Dans R

4

, on dénit

v

1

= (1, 2, 3, 4), v

2

= (1, 1, 1, 3), v

3

= (2, 1, 1, 1), v

4

= (−1, 0, −1, 2), v

5

= (2, 3, 0, 1),

A = Vect(v

1

, v

2

, v

3

), B = Vect(v

4

, v

5

)

Calculer les dimensions de A , B , A ∩ B , A + B . 11.

(Eef11)

Soit E l'ensemble des suites (u

n

)

n∈

N

à valeurs réelles vériant

∀n ∈ N , (n + 3)u

n+1

− (n + 2)u

n+2

− u

n

= 0 a. Montrer que E est un R-espace vectoriel et que

(a, b) en est une base avec a la suite constante de valeur 1 et

b =

n

X

i=0

1 i!

!

n∈N

b. Soit p ∈ N xé et

F

p

= {u ∈ E tq u

p

= 0}

Montrer que F

p

est un sous-espace vectoriel de E et en donner une base.

12.

(Eef12)

Supplementaire commun à deux sous-espaces.

Soit E un K -espace vectoriel.

a. Soit U et V deux sous-espaces vectoriels de E . Mon- trer que

U ∪ V = E ⇒ U = E ou V = E.

Dans la suite de l'exercice, E est de dimension nie, A et B sont deux sous-espaces de même dimension strictement plus petite que dim E .

b. Montrer qu'il existe des familles libres F de vec- teurs de E telles que

A ∩ Vect(F) = {0

E

} et B ∩ Vect(F) = {0

E

} . c. Montrer qu'il existe un sous-espace C de E tel que

A ⊕ C = B ⊕ C = E.

13.

(Eef13)

Dans R

3

, F = Vect(u, v, w) avec

u = (1, 1, 0), v = (1, 0, 1), w = (1, 2, −1).

Trouver une base de F .

14.

(Eef14)

On note D le C-espace vectoriel des fonctions dé- rivables de R dans C. Soit f ∈ D . Pour chaque x ∈ R, on note f

x

∈ D dénie par :

∀t ∈ R , f

x

(t) = f (t + x).

On note V = Vect(f

x

, x ∈ R ) et on suppose dim V = 2 . Montrer que f

0

et f

00

sont dans V . En déduire que f est solution d'une équation diérentielle linéaire d'ordre 2 à coecients constants.

15.

(Eef15)

Soit a = √ 2 + √

3 . En calculant les puissances successives de a , montrer que a est racine d'un polynôme à coecient dans Q de degré 4 .

Cette création est mise à disposition selon le Contrat

Paternité-Partage des Conditions Initiales à l'Identique 2.0 France disponible en ligne http://creativecommons.org/licenses/by-sa/2.0/fr/

1

Rémy Nicolai _fex_efpdf du 28 février 2020

(2)

Lycée Hoche MPSI B Feuille Espaces vectoriels (dimension nie) : corrigés

1. pas de correction pour Eef01.tex

2.

(Cef02)

Comme les familles ont un nombre d'éléments égal à la dimension, il sut de montrer qu'elles sont généra- trices pour montrer qu'elles sont libres. On le fait en exprimant les vecteurs de base ce qui est commode pour exprimer les coordonnées dans la nouvelle base.

Cas 1.

 

 

 

 

a

1

= −b

1

+ b

3

×x

1

a

2

= b

1

×x

2

a

3

= b

2

×x

3

a

4

= −b

2

− b

3

+ b

4

×x

4

⇒ coord dans B

= (−x

1

+ x

2

, x

3

− x

4

, x

1

− x

4

, x

4

).

Cas 2.

 

 

 

 

a

1

= b

2

×x

1

a

2

= b

3

×x

2

a

3

= b

1

+ b

2

×x

3

a

4

= b

1

+ b

2

+ b

3

+ b

4

×x

4

⇒ coord dans B

= (x

3

+ x

4

, x

1

+ x

3

+ x

4

, x

2

+ x

4

, x

4

).

3.

(Cef03)

Pour montrer que c'est une base, on peut raisonner de plusieurs manières en combinant deux des propriétés suivantes de la famille (L

0

, · · · , L

n

) .

Elle contient n + 1 = dim C

n

[X ] vecteurs.

Elle est libre. (prendre la valeur en a

i

de la combinaison nulle)

Elle est génératrice avec P = P

n

i=0

P e (a

i

)L

i

. (la dié- rence admet n + 1 racines alors que son degré est au plus n )

4. pas de correction pour Eef04.tex

5.

(Cef05)

Tous les polynômes sont de même degré ≤ n −1 . Il s'agit donc d'une famille de n + 1 vecteurs dans l'espace R

n−1

[X ] qui est de dimension n . Cette famille est liée d'après la condition susante de dépendance.

6.

(Cef06)

On cherche les coordonnées dans les bases indi- quées par le cours (les trois cas gurent).

cas a u

n

= 3 − 2

2−n

cas b u

n

= 2

−n

+ 17n2

−n

cas c u

n

= 2

n

cos 2nπ 3 + 2

√ 3 2

n

sin 2nπ 3

7.

(Cef07)

Soit q le nombre d'éléments du corps K et

n la dimension de l'espace. Par dénition, une base (a

1

, · · · , a

n

) fournit une bijection

K

n

→ E

1

, · · · , λ

n

) 7→ λ

1

a

1

+ · · · λ

n

a

n

On en déduit que le nombre d'éléments de E est q

n

. 8.

(Cef08)

On utilise la formule

dim(A + B) = dim(A) + dim(B) − dim(A ∩ B)

En remplaçant, il faut montrer la positivité de

2(dim(A ∩ B)

2

+ dim(A) dim(B) −dim(A) dim(A ∩ B)

− dim(B) dim(A ∩ B ))

qui se factorise en

(dim(A) − dim(A ∩ B))(dim(B) − dim(A ∩ B)) ≥ 0 9. pas de correction pour Eef09.tex

10.

(Cef10)

Pour savoir si (v

1

, v

2

, v

3

) est libre, on forme le sys- tème traduisant x

1

v

1

+ x

2

v

2

+ x

3

v

3

= 0

R4

.

 

 

 

 

x

1

+ x

2

+ 2x

3

= 0 2x

1

+ x

2

+ x

3

= 0 3x

1

+ x

2

+ x

3

= 0 4x

1

+ 3x

2

+ x

3

= 0

 

 

 

 

x

1

+ x

2

+ 2x

3

= 0 x

1

− x

3

= 0 2x

1

− x

3

= 0 x

1

+ 2x

2

= 0

⇒ x

1

= x

2

= x

3

= 0 ⇒ dim(A) = 3.

(v

4

, v

5

) est libre (position des 0 ) donc dim(B) = 2 . Pour savoir si (v

1

, v

2

, v

3

, v

4

) est libre, on forme le sys- tème traduisant x

1

v

1

+ x

2

v

2

+ x

3

v

3

+ x

4

v

4

= 0

R4

.

 

 

 

 

x

1

+ x

2

+ 2x

3

− x

4

= 0 2x

1

+ x

2

+ x

3

= 0 3x

1

+ x

2

+ x

3

− x

4

= 0 4x

1

+ 3x

2

+ x

3

+ 2x

4

= 0

 

 

 

 

x

1

+ x

2

+ 2x

3

− x

4

= 0 x

1

− x

3

+ x

4

= 0 2x

1

− x

3

= 0 x

1

+ 2x

2

+ 3x

4

= 0

 

 

 

 

5x

1

+ x

2

− x

4

= 0

−x

1

+ x

4

= 0 2x

1

− x

3

= 0 x

1

+ 2x

2

+ 3x

4

= 0

 

 

 

 

4x

1

+ x

2

= 0

−x

1

+ x

4

= 0 2x

1

− x

3

= 0 4x

1

+ 2x

2

= 0

⇒ x

1

= x

2

= x

3

= x

4

= 0 La famille de 4 vecteurs est libre dans R

4

, c'est donc une base. On en déduit

dim(A + b) = 4 et dim(A ∩ B) = 1 d'après la formule de Grassmann.

11.

Cef11

a. Soit (u

n

)

n∈N

et (v

n

)

n∈N

dans E et λ ∈ R. Les suites (u

n

)

n∈N

+ (v

n

)

n∈N

et λ(u

n

)

n∈N

vérient encore la relation de récurrence dénissant E . On en déduit la stabilité de E qui est donc un sous-espace de l'espace de toutes les suites.

La relation dénssant E est une relation de récur- rence linéaire d'ordre 2 à coecients non constants.

Chaque suite de E est complément dénie par ses deux premières valeurs. On peut donc considérer (z

n

)

n∈N

et (u

n

)

n∈N

dans E telles que

z

0

= 1, z

1

= 0, u

0

= 0, u

1

= 1.

Cette création est mise à disposition selon le Contrat

Paternité-Partage des Conditions Initiales à l'Identique 2.0 France disponible en ligne http://creativecommons.org/licenses/by-sa/2.0/fr/

2

Rémy Nicolai _fex_efpdf du 28 février 2020

(3)

Lycée Hoche MPSI B Feuille Espaces vectoriels (dimension nie) : corrigés

La famille ((z

n

)

n∈N

, (u

n

)

n∈N

) est une base de E qui est donc de dimension 2 .

∀n ∈ N , (n + 3) − (n + 2) − 1 = 0.

Donc a ∈ E (suite constante de valeur 1 ). De plus

b

n+1

= b

n

+ 1 (n + 1)!

b

n+2

= b

n

+ 1

(n + 1)! + 1 (n + 2)!

 

 

⇒ (n + 3)b

n+1

− (n + 2)b

n+2

− b

n

= n + 3

(n + 1)! − n + 2

(n + 1)! − n + 2 (n + 2)! = 1

n! − 1 n! = 0.

Donc b ∈ E . Montrons que (a, b) est libre. Soit λ et µ réels. Alors λa + µb = 0 entraine, considérant les deux premiers termes,

( λ + µ = 0

λ + 2µ = 0 ⇒ λ = µ = 0.

Comme (a, b) est une famille libre à 2 éléments dans E qui est de dimension 2 , c'est une base.

b. Soit p ∈ N. L'application π

p

de E dans R (x

n

)

n∈N

7→ x

p

est une forme linéaire. Elle est non nulle car π

p

(a) = 1 . Son noyau F

p

est un sous-espace de E qui n'est pas E . Il contient au moins la suite

c = b −

p

X

i=0

1 i!

! a

qui n'est pas nulle car (a, b) est libre. Donc dim F

p

6= 0 , dim F

p

6= 2 ce qui entraine dim F

p

= 1 . C'est une droite vectorielle de base (c) .

12.

(Cef12)

a. Supposons E = U ∪ V et U 6= E . Montrons que U ⊂ V .

Il existe un élement de E qui n'est pas dans U , il est donc forcément dans V , notons le v : v ∈ V et v / ∈ U .

Pour tout u ∈ U, considérons u + v . Il appartient à U ∪ V mais il ne peut pas appartenir à U sinon v appartiendrait à U . On conclut

u + v ∈ V ⇒ u ∈ V.

b. Comme A et B sont diérents de E (degré stric- tement plus petit), A ∪ B 6= E . Il existe donc un vecteur x qui n'est ni dans A ni dans B . Il est donc non nul. La famille (x) à un seul élément est libre et vérie la condition imposée.

c. Parmi les familles vériant les conditions de b, considérons en une maximale : (x

1

, · · · , x

q

) . Une telle famille existe car les familles libres ont moins de dim E éléments. Notons C = Vect(x

1

, · · · , x

q

) .

Pour tout x / ∈ C , la famille (x

1

, · · · , x

q

, x) est libre.

À cause de la maximalité,

Vect(x

1

, · · · , x

q

, x) ∩ A 6= {0

E

}

ou Vect(x

1

, · · · , x

q

, x) ∩ B 6= {0

E

} . Remarquons que

Vect(x

1

, · · · , x

q

, x) ∩ A 6= {0

E

} Vect(x

1

, · · · , x

q

) ∩ A = {0

E

}

)

⇒ x ∈ C + A.

En eet, si

λ

1

x

1

+ · · · + λ

q

x

q

+ λx = a 6= 0

E

alors λ 6= 0 d'où x ∈ A + C . On en déduit E = (C + A) ∪ (C + B).

car lorsque x / ∈ C l'une ou l'autre alternative se réalise (les deux si x ∈ C .

On en déduit d'après a. que l'un des deux espaces est E : par exemple E = C +A . La somme est alors directe car A ∩ C = {0

E

} . Utilisons la dimension :

E = C ⊕ A ⇒ dim E = dim C + dim A

= dim C + dim B car dim A = dim B

⇒ E = C ⊕ B car C ∩ B = {0

E

} . 13.

(Cef13)

Comme u et v comportent des 0 à des places dif-

férentes,

λu + µv = (λ + µ, λ, µ)

donc (u, v) est libre. De plus, 2u − v = w donc (u, v) engendre F . C'est une base : dim(F ) = 2 .

14.

(Cef14)

Il existe x

1

et x

2

tels que (f

x1

, f

x2

) base de V . Comme la famille est génératrice, il existe des fonctions à valeurs complexes λ

1

et λ

2

telles que

∀x ∈ R , f

x

= λ

1

(x)f

x1

+ λ

2

(x)f

x2

.

On va montrer que λ

1

et λ

2

sont dérivables. Pour cela on les exprime comme solutions d'un système de Cramer.

Pour tout (x, t) ∈ R

2

,

(∗) f(x + t) = λ

1

(x)f (x

1

+ t) + λ

2

(x)f (x

2

+ t).

En particulier, pour tout t ∈ R

( f (x

1

1

(x) + f (x

2

2

(x) = f (x) f (x

1

+ t)λ

1

(x) + f (x

2

+ t)λ

2

(x) = f (x + t)

Le déterminant de ce système est

t

= f (x

1

)f

x2

(t) − f (x

2

)f

x1

(t).

Comme (f

x1

, f

x2

) est libre, il existe t

0

tel que ∆

t0

6= 0 . Les expressions de λ

1

et λ

2

par les formules de Cramer montrent qu'elles sont dans V .

En dérivant (∗) une fois par rapport à x puis en prenant x = 0 , on montre que f

0

∈ V . On en déduit que f

0

Cette création est mise à disposition selon le Contrat

Paternité-Partage des Conditions Initiales à l'Identique 2.0 France disponible en ligne http://creativecommons.org/licenses/by-sa/2.0/fr/

3

Rémy Nicolai _fex_efpdf du 28 février 2020

(4)

Lycée Hoche MPSI B Feuille Espaces vectoriels (dimension nie) : corrigés

est dérivable. De plus, il existe des fonctions µ

1

et µ

2

vériant

(∗∗) f

0

(x + t) = µ

1

(x)f(x

1

+ t) + µ

2

(x)f (x

2

+ t).

On montre de la même manière que µ

1

, µ

2

∈ V donc f

00

∈ V .

La famille de trois vecteurs (f, f

0

, f

00

) d'un espace de dimension 2 est liée (condition susante de dépendance) donc f est solution d'une équation diérentielle linéaire d'ordre 2 à coecients constants.

15. pas de correction pour Eef15.tex

Cette création est mise à disposition selon le Contrat

Paternité-Partage des Conditions Initiales à l'Identique 2.0 France disponible en ligne http://creativecommons.org/licenses/by-sa/2.0/fr/

4

Rémy Nicolai _fex_efpdf du 28 février 2020

Références

Documents relatifs

ℱ est une famille génératrice de E si tout vecteur de E peut s’écrire sous forme d’une combinaison linéaire de vecteurs

Ainsi F n’est pas un sous- espace vectoriel

[r]

Indiquer pour chacun de ces sous-espaces une base et, dans le cas d’un plan vectoriel, donner son

L'image d'une base formée de polynômes de degrés éche- lonnés est une famille de polynômes de degré échelonnés donc libre dans le même espace.. C'est donc une base ce qui assure

Soit A une matrice carrée, montrer que A est inversible si et seulement s’il n’existe pas de vecteur colonne X non nul tel que AX =

Montrer qu’il s”agit d’un espace vectoriel dont on donnera la

Donc , il suffit de montrer que B est libre ou bien g´