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Samedi 20 Décembre 1890.

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fA:M. Jules Gfeller

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Les consulats suisses à l'étranger reçoivent le journal.

Quatrième année. — N° 102

P r i x d u n u m é r o 1 0 c e n t i m e s

Samedi 20 Décembre 1890.

B u r e a u x : R u e N e u v e , 1 9

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Un décret de hausse

Les fabricants d'horlogerie ont reçu la cir- culaire suivante du Syndicat des faiseurs d'échappements :

s Nous avons l'honneur de porter à votre connaissance que l'assemblée des délégués du syndicat des faiseurs d'échappements, qui a eu lieu dimanche 7 courant à Bienne, a décidé que les prix payés ju-qu'à mainte- nant pour tous les échappements ancre et cylindre devront être élevés, à ρ irtir du 1er janvier 1891, du 10 °/0 pour les places de

Bienne (y compris Lyss), Granges, Soleure, Saint-Imier, La Chaux-de-Fonds et le Locle, et du 15 °fa pour les places de Morat, Tra- melan, les Franches-Montagnes et les Mon­

tagnes neuchâteloises.

« La statistique des salaires, à laquelle nous venons de procéder, nous a démontré que les prix payés dans les dernières locali- tés ne sont en aucun rapport avec ceux payés sur les autres places, et c'est ce qui nous a fait juger opportun d'établir l'augmen- tation dans la proportion ci-dessus mention- née.

c Nous espérons que la mise à exécution de cette décision ne rencontrera point d'obs- tacles auprès de vous, d'autant moins que dans la décadence de notre industrie la par- tie des plantages d'échappements a été une des plus éprouvées, et qu'il n'est que juste et équitable que cette modeste augmentation soit accordée sans difficultés.

« Avec parfaite considération.

t Bienne, le 10 décembre 1890.

Pour le comité central du Syndicat des faiseurs d'échappements : Le secrétaire, Le président.

O . KfIIiIItIiIi. Ci. Z u r e l i e r . »

Celle circulaire, qui revêl une forme assez comminatoire, puisqu'elle dit que les prix devront èlre élevés à partir du 1er janvier 1891, a causé une assez grande surprise chez les fabricants d'hor- logerie, surtout dans les régions de Bienne, Granges et Soleure,' où une hausse du prix des échappements a déjà été décré- tée il y a quelque temps. Les fabricants qui avaient souscrit à la première hausse,

ne pouvaient que prolester contre un système qui les englobait dans une nou- velle hausse générale, sans qu'il soit tenu compte du bon vouloir dont ils avaient fait preuve en souscrivant à la récente revendication des ouvriers planteurs d'é- chappements ; c'est du moins ce qui pa- raissait résulter du texte même de la cir- culaire.

Informations prises, il n'en sera pas ainsi, et la hausse ne sera appliquée qu'aux fabricants qui n'ont pas été d'ac- cord avec l'élévation du 10 °lo décrétée au mois d'octobre.

Celte circulaire nous inspire la même réflexion que celles du même genre pu- bliées par d'autres syndicats ouvriers, con- cernant le relèvement des prix. C'est que les moliis invoqués pour juslifierles haus- ses, soient tirés du résultat d'enquêles aux- quelles l'un des deux intéressés, — le fa- bricant d'horlogerie qui paie et qui sup- porte la hausse — n'est pas appelé à par- ticiper, même à titre consultatif.

Que les ouvriers lassent les plus grands efforts pour améliorer leur situa- lion économique, c'est fort bien et le contraire prouverait même une absence complète de tout sentiment de leur res- ponsabilité, vis-à-vis d'eux mêmes et de leurs familles. Mais dans un moment où l'on revendique avec instance l'organisa- tion de syndicats professionnels obliga- toires, dans le but de solidariser les inté- rêts des patrons et des ouvriers, et de don- ner force de loi aux vœux exprimés par la majorité des intéressés patrons et ou- vriers, à une industrie ou à une branche d'industrie, on ne peut que regretter celle tendance à procéder sans aucune tentative d'entente préalable, qui ne peut avoir d'autre résultat que d'élargir le fossé qui sépare la classe la plus nombreuse

de ceux qui détiennent l'industrie, alors qu'il serait si utile aux intérêts de tous de consacrer quelques efforts à le com- bler.

Si jamais l'organisation professionnelle rêvée par les partisans des syndicats obli- gatoires est appliquée à notre industrie horlogère, il faudra bien qu'on en arrive aux discussions en commun et aux con- cessions réciproques reconnues nécessai- res aux intérêts généraux de l'industrie.

Des syndicats obligatoires, qui consacre- raient le droit accordé à chaque groupe- ment, patronal ou ouvrier, de n'avoir d'au- tre but que celui de commander à l'autre et d'autre limite à son action que la li- mite de sa force, nous plongeraient bien vile dans l'anarchie industrielle. Au lieu d'avoir l'organisation rationnelle des for- ces industrielles mises au service des intérêts de. tous, nous aurions l'organisa- tion légale de la lutte des classes et de l'antagonisme entre employés et em- ployeurs. Ce serait l'anarchie et le désor- dre organisés.

Nous savons bien que tel n'est pas l'ob- jectif des hommes mis à la tête des syn- syndicats ouvriers par la confiance de leurs camarades, et, qu'en dehors de quel- ques exhaltés et de quelques doctrinaires, la grande majorité des ouvriers recherche l'entente loyale avec les patrons ; comme nous croyons aussi, qu'à part un certain nombre de patrons qui ne connaissent d'autre loi applicable aux salaires que celle de l'offre et de la demande, la grande majorité des patrons est disposée aux concessions possibles. Mais nous pensons que si l'on prend l'habitude d'agir sans accord préalable, ou sans tentative d'ac- cord, il sera bien difficile de se plier aux exigences d'une organisation syndicale générale, au sein de laquelle il sera tenu compte de la situation, des droits, et des intérêts respectifs des parties en pré-

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sence, chaque fois que la question des salaires s^era posée.

A notre avis, les syndicats obligatoires ne seront introduits dans notre ménage industriel, qu'autant que nous aurons prouvé, par le fonctionnement de syndi- cats libres organisés sur la même donnée, que leur fonctionnement est possible. Or cette donnée repose tout entière sur l'ac- tion commune et solidaire des patrons et des ouvriers dans chaque branche in- dustrielle, venant se concentrer en un con- seil supérieur des syndicats, qui envisage- rait les questions au double point de vue des intérêts particuliers mis en présence, et de ceux de l'industrie considérée dans son ensemble.

Nous pensons qu'il serait bon que les syndicats ouvriers prissent l'habitude d'essayer d'une entente, avant de lancer des décrets que les circonstances ne per- mettent pas toujours d'appliquer et qui ne mettent pas précisément de l'huile dans les rouages de notre machine in- dustrielle.

Les choses ne se passeraient pas de la sorte au sein d'une organisation profes- sionnelle obligatoire, basée sur un prin- cipe de justice et d'équité.

CHAMBRES FÉDÉRALES

C o n s u l a t s s u i s s e s à l ' é t r a n g e r Cette question importante vient d'être trai- tée au Conseil national ; nous pensons inté- resser nos lecteurs, en leur donnant un ré- sumé de la discussion qui a eu lieu, sur l'élévation de 100,000 fr. du crédit pour les consulats, afin de faire des essais de consu- lats de carrière à Londres, à Buénos-Ayres et à Yokohama.

M. Hochstrasser combat cette élévation, ainsi qu'il l'avait annconcé auparavant II n'ad- met pas cette manière de créer des postes nouveaux par simple voie budgétaire. Il n'est pas d'ailleurs contre la création de consulats de carrière, création qui est devenue néces- saire par l'extension des relations internatio- nales. Mais on ne fait pas un essai de 100,0CO francs ; cela mérite bien un arrêté ou une loi. En ce qui concerne Yokohama, où se trouvent environ une cinquantaine de Suis- ses, M. Hochstrasser se demande si ces inté- ressés ne pourraient pas crier entre eux une sorte de tribunal arbitral. Il ne voit pas avec plaisir cette juridiction exercée par un seul.

M. ïe conseiller fédéral Droz rappelle que la pratique constante, en matière de consu- lats, est bien celle que le Conseil fédéral suit aujourd'hui. Il ne se passe pas d'années sans qu'on crée de nouveaux postes de con- suls ; le Conseil fédéral en supprime de mê- me sans autre forme de procès. Il faut cette flexibilité, il faut un système qui puisse s'a- dapter facilement à toutes les fluctuations internationales. Les représentants de la Suisse ne sont jamais qu'en mission temporaire. Il ne faut pas, par une pratique nouvelle, nous lier les mains. M. Hochstrasser nous dira :

« Mais les consuls dont vous parlez ne sont pas payés. » Il y en a beaucoup'qui le sont déjà comme de véritables consuls de carrière.

M. Droz, cette question de principe réglée, expose les raisons en faveur des propositions du Conseil fédéral. Les consuls de Londres et de Yokohama refusent absolument de con-

tinuer leurs fonctions ; quant à celui de Bué- nos-Ayres, l'orateur préfère no pas en parler.

L'idée de M. Hochstrasser pour l'administra- tion de la justice au Japon est irréalisable aux termes de notre traité, parce qu'il ne s'agit pas seulement de contestations de Suisses entre eux, mais aussi de contestations entre Suisses et Japonais. Cet état de choses n'est pas notre œuvre : nous avons dû suivre les autres E'ats civilisés, qui ont solidarisé leur cause par un traité qui est, comme celui de Francfort, perpétuel. La Suisse a cepen- dant réussi jusqu'ici à nommer des consuls marchands; mais cela n'a pas été sans résis- tances et surtout sans inconvénients. Nos consuls n'ont, par exemple, pas été admis aux dernières négociations internationales.

Ils sont obligés de régler des procès, non seulement pénaux, mais même civils et com- merciaux : cela est souvent fort délicat, parce que nos consuls peuvent avoir à se pronon- cer contre ou en faveur de concurrents. Con- formément au traité, ils doivent appliquer le droit suisse, c'est-à-dire connaître nos vingt- cinq législations. On pourrait s'adresser à un autre Etat, nous dit M. Hochstrasser ; le traité nous oblige à appliquer le droit suisse, et les autres Etats se refusent à le faire appliquer par leurs fonctionnaires à nos nationaux. Si nous ne sortons pas nos compatriotes de l'impasse où ils se trouvent aujourd'hui, nous commettons, dit en terminant M. Droz, un véritable déni de justice.

M. Kurz accepte le crédit pour Londres et Buénos-Ayres, mais il n'admet pas la solu- tion que l'on veut donner aux difficultés de la situation du Japon. La patrie n'est pas seule à avoir des devoirs ; les ressortissants à l'étranger en ont aussi à l'égard de la mère patrie. Ce qui peut être juste à Buénos-Ayres ne l'est pas nécessairement à Yokohama; ici il y a beaucoup de Suisses, là un petit nom- bre. Aucun juriste d'expérience, c'est-à-dire d'un certain âge, n'acceptera de se rendre à Yokohama ; un jeune juriste n'en saura ja-

mais assez pour être à la hauteur de sa lâche.

M. Kurz proposera une élévation de 80,000 francs seulement.

M. Comtesse se félicite au contraire des propositions du Conseil fédéral. De plus en plus la Suisse sera obligée de faire comme ses concurrents, c'est-à-dire de mettre ses con- suls au service de son exportation.

M. Hochstrasser se rallie à la proposition de M. Kurz, qui est rejetée par 41 voix con- tre 54 données à l'adhésion au Conseil des Etals.

Il est inséré au procès-verbal une recom- mandation de la commission de transformer le plus tôt possible le provisoire en définitif.

l i e n o u v e a u t a r i f d e s p é a g e s Le nouveau tarif des péages n'a été accepté au Conseil des Etats que par 22 voix, c'est-à- dire par la moitié, exactement, des membres de la plus protectionniste des deux Cham- bres. La coalition agraro-industrielle espérait mieux. Les rejetants, sans être nombreux, le sont plus que ce qu'on attendait générale- ment : aux députés de Genève, de Neuchâtel et du Tessin sont venus se joindre un député des Grisons et les représentants d'Appenzell (Rh.-Int.) et de Nidwald. Cela montre déjà que les idées antiprotectionnistes sont en progrès. Mais ce qui accroît les chances de succès de la cause que nous défendons, c'est l'abstention des députés du Valais, de Lu- cerne, d'Uri, de Schwitz, d'Obwald et d'un représentant des Grisons et de Zoug.

Les députés qui se sont abstenus l'ont fait non par conviction économique, mais pour des raisons politiques. Ils appartiennent à la droite et leur abstention est un des premiers résultats de l'élection de M. Frey au Conseil fédéral. En s'abstenant, ces députés restent conséquents avec eux-mêmes ; ils l'auraient

été même davantage en votant contre la loi.

En effet, ce n'est pas au moment où ils pro- clament dans leurs conversations et dans leurs journaux que leur confiance dans les autorités fédérales s'est amoindrie qu'ils pou- vaient appuyer de leurs votes une loi dont la conséquence directe sera de faire débor- der de toute paît la caissefédérale. Ce que M.

Hochstrasser disait en séance du Conseil na- tional à propos de l'accroissement d'influence que de nouveaux monopoles entraîneraient avec eux est vrai, à plus forte raison, pour le tarif en discussion, qui, si par malheur il ve- nait à être appliqué, doublerait les revenus de la Confédération. L'opposition citholique est dans son rôle logique en combattant les dépenses exagérées; mais elle ne l'est plus lorsqu'elle rend au centuple d'une main ce qu'elle retire de l'autre.

Ce n'est pas là le côte le moins effrayant du protectionnisme dont la Suisse est actuel- lement affligée, L'adage : « abondance de bien ne nuit pas » est une contre-vérité ap- pliquée à un Etat. Un Etat trop riche, surtout une Confédération dont les contons sont, au contraire, trop pauvres, est un Etat qui mar- che à grar ds pas, vers la démoralisation et la décadence. Les nouveaux millions qui af- flent sans transition vers la caisse fédéral ap- pelleront et créeront de nouveaux besoins.

Il ne pourra plus alors être question d'abais- ser nos tarifs, parce que ces besoins seront nés et qu'ils faudra à tout prix trouver l'ar- gent pour les satisfaire. Et la Suisse sera condamnée à demeurer vêtue de cette soi- disant armure qui sera, en réalité, une étouf- fante camisole de force.

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C r i s e o u v r i è r e . — Le nombre des ou- vriers sans travail augmente depuis plusieurs jours à Milan, d'une façon inquiétante. Il ne s'agissait d'abord que des mécaniciens, puis sont venus les maçons, et maintenant ce sont des ouvriers de tous les métiers qui se trou- vent sans ouvrage et sans ressources. La ri- gueur de la température rend leur situation très pénible. Dans des réunions tenues sa- medi et dimanche, ils ont nommé un comité chargé de recueillir des secours chez les particuliers, et ils ont adressé à la municipa- lité une pétition par laquelle ils demandent qu'on distribue aux frais de la ville 200,000 francs aux ouvriers les plus nécessiteux.

Le Messagero constate que la grave ques- tion des ouvriers sans travail n'est plus seulement limitée à Milan, mais s'étend à l'Italie entière. C'est un grave péril auquel le ministère devra parer.

A Turin, les ouvriers métallurgistes ont voté une résolution demandant du travail ou du pain. La misère est épouvantable, car ac- tuellement le nombre des ouvriers sans tra- vail dépasse 7000. Des informations de Gènes et de Milan présente la situation ouvrière comme désastreuse.

P r o t e c t i o n n i s m e e t v i a n d e «le b o u - c h e r i e . — Au Conseil des Etals, les parti- sans des taxes modérées sur l'entrée du bétail ont soutenu avec raison l'intérêt du consom- mateur, opposé à celui des producteurs indi- gènes, qui sont impuissants à fournirla quan- tité de bestiaux nécessaires à l'alimentation.

Ils ont été battus. Or les faits justifient abso- lument leur manière de voir.

A Genève, depuis quatre semaines, des marchands de la Suisse allemande achètent sur place des quantités de bœufs qu'ils ex- pédient sur Zurich par wagons complets. Dès lors, ces bestiaux ont subi, à Genève une augmentation de 4 fr. par 100 kilos. Qui paie la différence'.' Le consommateur. Voilà le

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LA FÉDËRATIONXHORLOGÈRE SUISSE 489

premier fruit du protectionnisme à outrance dont certains économistes de l'assemblée fé- dérale se sont fait les champions.

U n e g r a v e a i i a i r e . — La Li' ertë de Fribourg dit que la direction des postes et des télégraphes de Genève s'est occupée mardi soir d'une grave affaire.

Un négociant israélite a eu l'idée d'envoyer à ses clients des circulaires imitant des for- mules télégraphiques, dans des enveloppes en tout semblables de forme, de texte et de couleur, à celles dont se sert l'administration des télégraphes.

Plusieurs centaines de ces circulaires ont été saisies à la poste.

Le Département fédéral des postes et des télégraphes aurait été nanti de cette affaire.

P o s t e s . — Afin d'acélérer le transport des correspondances de la Suisse pour les Etats-Unis d'Amérique, les nouvelles rela- tions directes ci-après détaillées seront pro- chainement introduites :

1° Les bureaux de Bâle (ville) (départ 9 h.

15), Zurich (départ 6 h. 25), Saint-Gall (dé- part 4 h.) et les bureaux ambulants Bâle-Bel- fort, train 108, et Genève-Culoz, train 258, expédieront, chaque mardi, des dépêches en lettres pour New-York, par l'intermédiaire des paquebots-poste de la ligne « White Star », partant de Queenstown tous les jeudis après midi. La première expédition de ces nouveaux envois aura lieu le 2J courant.

2° Les bureaux ambulants Biile-Belfort, train 104, et Genève-Culoz, train 288, adres- seront, chaque samedi, des dépêches en let- tres au bureau de New-York ; pour la pre- mière fois le 20 courant, par l'intermédiaire des paquebots-poste du « Lloyd allemand du Nord », quittant Southampton le dimanche.

— L'administration des postes néerlandai- ses annonce qu'il arrive rouvent que Ia va-

leur du contenu de l'envoi n'est pas indiquée dans les déclarations en douane accompa- gnant des articles de messagerie ou des colis postaux à destination des Pays-Bas. Celte omission entraîne chaque fois des difficultés, et, par suite, des retards dans la transmission des envois.

E c h a n g e d e s m a n d a t s - p o s t e a v e c l a I V o u v e l l e - O u i n é e . — A partir du 1er jan- vier 1891, il pourra être échangé des man- dats-poste entre la Suisse et le protectorat allemand de la Nouvelle-Guinée (Australie).

Toutefois, pour le moment, l'échange est li- mité à l'agence postale de Finschhafen. En outre, jusqu'à nouvel avis, un seul et même expéditeur ne pourra dans l'espace de 6 se- maines envoyer au même destinataire un montant supérieur à 600 marks (750 fr.).

Quant au reste (taxes, montant maximum, monnaie, mise en compte, etc.) les mandats de et pour la Nouvelle-Guinée sont soumis aux dispositions valables dans l'échange avec l'Allemagne.

C a r t e s p o s t a l e s , e t c . , a v e c c o n t e n u i n j u r i e u x . — Pendant l'époque du Nouvel- An, il s'expédie fréquemment par la poste, comme cartes postales ou comme imprimés, des cartes (dites d'attrape) avec images et partiellement aussi avec texte imprimé, dont le but est d'offenser le destinataire.

Les envois de cette nature tombent sous le coup des dispositions de l'article 5 du rè- glement de transport et doivent, en temps que l'inadmissibilité de leur contenu est constatée par les agents postaux, être exclus du transport, soit traités comme rabuls.

Colis p o s t a u x p o u r l e M a r o c . — Le service direct de paquebots entre Hambourg et les ports du Maroc est suspendu provisoi- rement. En conséquence, les colis postaux à destination du Maroc ne peuvent, jusqu'à

nouvel ordre, plus être expédiés par Ham- bourg, mais doivent, comme précédemment, être acheminés par l'Angleterre. Le trafic par cette dernière voie est limité aux colis jus- qu'à 3 kil. à destination de la ville de Tanger.

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