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Samedi 21 juin 1890.

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Les consulats suisses à l'étranger reçoivent le journal.

Quatrième année. — N

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50 P r i x du n u m é r o 1 0 c e n t i m e s

Samedi 21 juin 1890.

B u r e a u x : R u e N e u v e , 1 9

ABONNEMENTS

Un au : Six mois : Suisse- . . . 6fr. 3 fr.

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Provenant de la Suisse . . 20 et. la ligne j de l'étranger. . 25 » » Minimum d'une annonce 50 centimes

Les annonces se paient d'avance .

O r g a n e d e l a S o c i é t é i n t e r c a n t o n a l e d e s i n d u s t r i e s d u J u r a , d e s C h a m b r é e d e c o m m e r c e , d e s B u r e a u x d e c o n t r ô l e e t d e a S y n d i c a t s i n d u s t r i e l s .

.

L e s P r u d ' h o m m e s .

Les tribunaux de prud'hommes, insli- tués*"dans un certain nombre de nos principaux centres industriels, n'en sonl plilià faire leurs preuves. Pour lout es-*

prit non prévenu, il est désormais acquis que pour les conflits que peuvent faire naître "les rapports multiples et souvent mal définis d'employés à employeurs, Mîelle juridiction expédilive, gratuite et exercée par des hommes auxquels leur situation donne une compétence indiscu- table, est infiniment préférable à celle des tribunaux ordinaires, plus lente, plus formaliste et parfois fort coûteuse.

Aussi les plus grands efforts sont-ils faits pour développer leur champ d'acti- vité partout où ils fonctionnent et pour les introduire, principalement dans les contrées industriell'es où le besoin s'en fait plus spécialement sentir.

Nous avons reçu de l'un de nos abon- nés, une correspondance que nous insé- rons avec plaisir, quoiqu'elle traite de la question au point de vue plus spécial du canton de Berne. Celle correspondance qu'on lira avec intérêt, vient bien à point appuyer le vœu qu'exprimait, dans noire dernier numéro, M. II. Etienne, inspec- teur fédéral des fabriques.

L'on a déjà tant parlé el tant écrit pour légitimer le rôle mile que celte juris- prudence est appelée à jouer, qu'il est' vrai- ment difficile de découvrir un argument nouveau; pourtant nous devons savoir gré à note correspondant d'avoir tout particulièrement indiqué le lien naturel qui existe entre hs syndicats profession- nels et les tribunaux de prud'hommes.

C'est qu'en effet, ces deux institutions se complètent l'une l'autre, et les liens qui unissent les membres syndiqués d'une industrie, ne peuvent qu'être fortifiés par l'intervention d'une juridiction appropriée

à leurs besoins, exercée par des hommes possédant leur confiance, n'ayanl aucun intérêl personnel ou de métier à grossir ou à éterniser les confiils, mais vouant au contraire toute leur sollicitude à main- tenir l'harmonie el la paix au sein des organisations corporatives.

Ceci dit, nous laissons la parole à notre correspondant, en exprimant le désir que la question qu'il pose aux aulorilés ber- noises reçoive promplemenl une réponse conforme à ses désirs, qui sonl ceux de l'immense majorité des intéressés.

Permellez-moi, Monsieur le rédacteur, d'emprunter les colonnes de votre hono- rable journal, pour une simple question.

Dans sa dernière législature, le Grand Conseil bernois s'est vu obligé de termi- ner ses travaux en laissant en arrière un projet de loi réclamé depuis longtemps par les populations industrielles du can- ton: La lui autorisant les centres qui voudront en faire l'application, d'établir des conseils de prui hommes.

Depuis quelques années, les industries ont vu se constituer dans leur sein des groupements appelés syndicats (syndicats ouvriers, ou patronaux); généralement ces groupements sonl formés par des personnes ayant le mémo métier ou des métiers similaires. Or, leur formation a donné lieu à une surveillance plus active qu'auparavant, sur les agissements des éléments qui les ont formés. Celte sur- veillance a mis au jour bien des abus el a, en quelque sorte, donné l'explication du travail livré à vil pi ix et de la baisse continuelle de la main-d'œuvre, dans l'in- dustrie horlogère principalement.

On a découvert les parasites, mais les moyens de les combattre el de les élimi- ner, nous ne les possédons pas encore.

L'institution des Prud'hommes que

nous voyons fonctionner autour de nous n'a certes pas le don de faire cesser tous les abus; mais combien de choses ne doit-on pas laisser passer, en évilation de frais qui dépasseraient, dans bien des cas, la valeur de litiges qui sont souvent d'un caraclère très grave, à cause du préju- , dice déjà causé ou de celui qu'il entraîne.

Il faut vivre dans une fourmilière de travailleurs, poursavoir ce qui se passejour- nellement, pour se faire une idée des plaint >s innombrables el souvent fondées qui se produisent.

Bien des gens onl des inlérèls lésés et n'osent se plaindre de crainte d'indisposer ceux qui les occupent; on passe sur les deux tiers des choses parce que l'on s'ef- fraie des frais qu'une plainte pourrait en'.raîner, dans le cas où le lilige serait tranché au désavantage du plaignant, etc., elc.

Pour des affaires professionnelles, nos tribunaux ne sonl d'ailleurs pas toujours compétents pour se rendre un compte bien exact de ce qui leur est sou mis. Jc rends toute justice à la loi existante qui donne, à nos présidents de tribunaux, le droit de faire intervenir des experts; et je ne vou- drais critiquer en rien ce qui se fait ac- tuellement; mais on peut faire mieux et, à mon avis, je crois fermement que les in- dividus d'un même métier, groupés en conseils de Prud'hommes, auront tou- jours une compétence indiscutable, pour trancher un d-fférend selon les règles de l'équité et de la justice. Partout on aura confiance dans leurs connaissances spé- ciales, au point de vue de l'étude des li- tiges, et la gratuité deleur mandat entrera aussi en ligne de compte, pour l'abné- gation et la promptitude dans les solu

:

lions.

Enfin je me résume en demandant à

noire honorable cons.'il d'Etal si ce pro-

I jet de loi viendra prochainement en dis-

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\ , ' . · • . · - -, . . ν · -

^538

LA FÉDÉRATION HORLOGERE SUISSE

cussion; car si jamais on a eu besoin des prud'hommes c'est bien maintenant, sur- tout depuis la formation de tous les corps de métiers en syndicats.

Cette nouvelle organisation des tra- vailleurs demande un complément; ce complément, c'est l'institution des tribu- naux de prud'hommes. Aussi est-ce avec impatience que tous nos concitoyens at- tendent l'ouverture des travaux de la prochaine législature, laquelle, nous en sommes assurés, nous apportera celte pratique et utile institution, dont les ser- vices seront appréciés chez nous, comme ils le sont partout où elle fonctionne.

L'essentiel est que le « Référendum » ne nous joue pas encore l'un de ses mau- vais tours; ce serait vraiment déplorable à tous égards. Un citoyen.

-*>*<»(-

La question des apprentissages.

Cette importante question, préoccupe de plus en plus les esprits éclairés dans les mi- lieux industriels. Après l'intéressante bro- chure de M. A. Comtesse, conseiller d'Etat neuchâtelois, dont nous avons publié le pre- mier chapitre dans l'un de nos derniers nu- méros, on signale un travail sur le même sujet, dû à M. Le Cointe, président du groupe XI des Prud'hommes, à Genève.

Voici comment une correspondance de Genève, adressée à l'Impartial apprécie ce travail :

Il y a quelques semaines s eulement, je vous "parlais d'un nouveau rouage introduit à ι Genève; le groupe n° 11 des prud'hommes

comprenant plus spécialement les professions libérales.

M. A. Le Cointe, ancien conseiller admi- nistratif, le président du nouveau groupe n ° l l , de la ville de Genève, vient de sou- mettre à ses collègues un travail très intéres- sant sur la question des apprentis. Il me paraît que les idées de M. Le Cointe sont bonnes à connaître dans tous les cercles industriels, et notamment à la Chaux-de- Fonds, ce grand centre qui présente, au point de vue professionel, plus d'une analogie avec Genève.

M. Le Cointe débute en disant qu'il y a analogie entre l'apprenti et l'étudiant. Tous deux, parvenus à l'âge de 14 ou 16 ans, et après avoir acquis certaines connaissances générales, sont arrivés au moment où leurs aptitudes, leurs goûts, leur vocation, leur milieu social, les engagent à quitter les sentiers communs pour se diriger vers un but plus ou moins rapproché, qui sera leur profession. L'étudiant aura devant lui, soit l'école industrielle, technique ou réale, soit l'Université. Quant à l'apprenti, ses études générales se seront bornées peut - être à l'école primaire. Les exigences de la vie lui feront un devoir de prendre plus vite une décision, mais il n'en aura pas moins à faire son choix entre les innombrables professions manuelles qui s'offrent à lui.

L'un et l'autre, apprenti ou étudiant, vont commencer leur apprentissage, mais les cir- constances dans lesquelles ils se trouveront sont bien différentes, et toutes au désavan- tage de l'apprenti. A l'étudiant, toutes faci- lités sont accordées : on le fait suivre des programmes savamment étudiés; son zèle est stimulé par de fréquents examens ; les concoure pour l'obtention du diplôme consa- crent ses travaux. Enfin, il sera, à la fin de ses études, mis au bénéfice d'un monopole

créé exclusivement à son intention par l'Etat:

places de pasteurs, professeurs, avocats, médecins, ou encore ingénieurs, architectes, forestiers, vétérinaires. Et l'apprenti? Rien de tout cela n'existe pour lui. Le plus sou- vent, placé seul dans un atelier, il débute par des travaux d'un ordre inférieur, oùîlest retenu plus longtemps qu'il ne le faut et qu'il ne le mérite. Au lieu d'être encouragé par des émules de son âge, l'influence de son en- tourage ne lui est pas toujours favorable. Les locaux sont souvent insalubres ; le patron ou le contre-maître n'ont pas toujours les habi- tudes pédagogiques pour enseigner. L'ap- prenti sort de l'école, où ses moindres actions étaient surveillées et brusquement se trouve plus ou moins livré à lui même. L'apprentis- sage terminé, il faut chercher une place d'ouvrier, et le certificat obtenu est souvent loin d'en faciliter l'accès. L'insuffi-ance des apprentissages est donc clairement démon- trée ; aussi, depuis quelque temps, s'efforce- t-on d'y remédier par la création d'écoles d'apprentissages, par des cours théoriques et pratiques, par une préparation au moyen des travaux manuels de l'école primaire.

M. Le Cointe estime que, si ces institu- tions sont excellentes, elles sont encore in- suffisantes. Les écoles d'apprentissages coû- tent cher ; à la sortie, il faut qua.id même apprendre un métier spécial. Chaque ville a son industrie propre au moyen d'une école spéciale. A Genève, à la Chaux-de-Fonds, à Bienne, il y a des écoles d'horlogerie, à St- GaII, des écoles de hroderies; à Lyon, des écoles de tissage. Tout cela n'en constitue pas moins un privilège en faveur de quelques rares industries.

La question des apprentissages, par son objectivité, présente de grandes difficultés;

au contraire, la question des apprentis est susceptible d'une solution rationnelle. L'idée vient, 'out naturellement, de charger les conseils de prud'hommes d'organiser quel- que chose de nouveau, de pratique. Qu'on s'occupe d'organiser un enseignement pro- fessionnel aussi complet que possible ; ce qui a été fait pour les professions libérales peut servir de modèle pour l'enseignement professionnel proprement dit.

Le projet de M. Le Cointe, dans ses grands traits, est le suivant :

L'enseignement professionnel pour les ap- prentis comprend un enseignement théorique et un enseignement pratique. Ce dernier est donné par les maîtres d'apprentissage ; il a une durée variable, suivant les professions.

L'enseignement théorique est tiré, soit des leçons générales s'appliquant à plusieurs in- dustries, soit des connaissances acquises au moyen des travaux pratiques.

Les autorités de cet enseignement profes- sionnel pour les apprentis seraient représen- tées par le « Sénat», ou collège des prud'- hommes, composé des présidents et des vice-présidents des divers groupes. Seront considérés comme apprentis tous ceux (de l'un ou de l'autre sexe) qui se sont inscrits dans un des groupes des prud'hommes, en indiquant la profession qu'ils veulent em- brasser, en vue de suivre l'enseignement professionnel se rapportant à leur vocation future. Les apprentis peuvent subir à la fin de leur apprentissage, et sur leur demande, des examens sur les connaissances acquises ; il leur sera délivré un certificat de maturité (brevet d'ouvrier). L'examen théorique, pour l'obtention de ce certificat, comprendra, ou- tre les connaissances spéciales du métier, celles générales se rapportant à la technolo- gie appropriée à la profession. Quant à l'exa- men pratique, il devra se faire dans un ate- lier autre que celui dans lequel l'apprentis- sage a eu lieu, et déterminera un certain travail à faire dans un temps donné.

En insistant sur l'importance du diplôme décerné à la fin des études a l'apprenti, M.

Le Cointe signale le fait qu'à Neuchâtel un certain nombre de boulangers et confiseurs se sont entendus pour délivrer, après exa- men, un certificat aux jeunes apprentis.

Comme je le disais au dé ut, le travail de M. Le Cointe n'intéresse pas seulement les Genevois. Il trouvera de l'écho partout où il y a des apprentis. ^Je forme des vœux pour la prochaine réalisation de ce projet, qui ne peut avoir que d'heureux résultats, d'excel- lents résultats.

Une machine qui calcule.

Le grand public, peu initié aux travaux des mathématiciens, est loin de se douter de la somme de travail dépensée depuis longtemps dans le but d'inventer une machine à comp- ter, une machine, ayant, pour ainsi dire, l'intelligence du calcul. — Parmi les cher- cheurs qui se sont occupés de cette question avec un succès plus ou moins grand, à partir du célèbre Pascal, passant parles Babbages, les Maurel et les Jayet, les Thomas, les Roth, les Billeter, les Bollée, etc., nous aurions à établir une longue liste ; et combien plus longue serait cette liste, si elle devait men- tionner tous ceux qui ont consacré sans ré- sultat, peines et temps à cette recherche !

Les dimensions de cette notice ne nous per- mettent pas de traiter l'historique de la ques- tion. Si les machines à calculer n'ont trouvé ac- cès, jusqu'à ce jour,quedanslesgrandesadmi- nistrjtions (chemins de fer, etc.), cela est dû à leur prix relativement élevé et à leur ma- niement souvent délicat. — Nous saluons ici une nouvelle machine à calculer, l'arithmo- graphe Troncet, qui est une excellente solu- tion apportée au problème. — Figurez-vous un joli portefeuille de poche. Ouvrons-le:

sur la gauche, des feuilles de carton ardoisé rendant les services d'un agenda. A droite, une plaque bronzée percée d'ouvertures pa- rallèles, au-dessus et au-dessous des lucarnes rondes. Pans ces ouvertures glissent à frot- tement doux des crémaillères portant les chiffres fondamentaux de la numération, les- quels sont aussi inscrits en regard des dents sur la plaque bronzée. Le déplacement des crémaillères s'effectue au moyen d'une pointe mousse. — L'instruction qui accompagne l'appareil met en peu de temps chacun à même d'opérer: addition, soustraction, mul- tiplication, division, les quatre opérations se font avec rapidité ; comme par enchantement, le résultat cherché apparaît dans les lucar- nes. — Ajoutons qu'on ne peut additionner que des nombres dont la somme ne dépasse pas 10 millions. Enfin l'arithmographe a par- fois plus de raison que l'opérateur ; deman- dons-lui de retrancher 3 i de 27 ; aussitôt un cercle noir apparaît sur la gauche, ce cercle nous dit : « Mon ami, lu demandes l'impos- sible ! »

Cet ingénieux appareil est uniquement basé sur un principe arithmétique : la compensa- tion en soustraction. Mais pour arriver à cette chose si simple, il a fallu de longs essais et tâtonnements; c'est toujours la vieille his- toire de l'œuf de Colomb !

Pour le comptable, l'aritmographe sera un moyen de contrôle facile et sans fatigue ; la maîtresse de maison y trouvera une agréable manière de faire ses petits comptes; enfin, comme toute médaille a son revers, nous verrons peut-être MM. les écoliers charger l'aritmographe de faire une partie de leur travail. X. professeur.

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LA FÉDÉRATION HORLOGÈRE SUISSE

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239 Cote d e l ' a r g e n t

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Syndicat des patrons monteurs de boîtes

dès le 15 juin 1K90.

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le 800 m 875 m 900 m 935 m à 17 cent. 18Va cent. 19 cent. 20 cent.

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D r o i t c o m m e r c i a l i n d u s t r i e l . — Le Vorott de l'Union suisse du commerce et de l'industrie a soumis à l'étude de ses sections;

et en particulier de la chambre de commerce de Genève, un projet de loi s u r la lettre de charge, élaboré par le Congrès international de droit commercial qui s'est réuni à Anvers en 1885 et à Bruxelles en 1888. D'importantes modifications à la forme de la lettre de change,

— modifications qui tendraient à en obtenir l'unification, mais qui s'écarteraient sensible- ment des principes qui s o n t à la base du code fédéral des obligations et de la loi sur la pour- suite pour dette et la fallite, — ont été pro- posées et adoptées, et, actuellement les s o - ciétés intéressées de la Suisse sont appelées à formuler leur avis à cet égard.

K t i - a n g e r . — Le Sénat américain a adopté par 42 voix contre 25 le bill sur le monnayage de l'argent avec divers a m e n d e - ments. Ce bill va maintenant être soumis Sx une commission mixte chargée de régler les divergences entre les deux Chambres.

Lo comité des finances du Sénat a intro- duit dans le projet de tarit douanier de nom- breuses réductions des droits proposés par la Chambre. Il a rejeté, par 105 contre 94, la

motion de discuter immédiatement le bill sur le monnayage de l'argent.

La Chambre des représentants des Etats- Unis vient de maintenir le droit actuel sur les montres or, soit 25 % . Il avait été proposé d'élever ce droit à 4 0 % .

Le conseil supérieur français du commerce vient de décider qu'il fallait dénoncer les traités et ne pas négocier d'arrangements nouveaux s u r le modèle des anciens traités à longs termes, mais, au contraire, établir des conventions de courte durée et ayant les m ê m e s échéances.

L i s t e d e s m a r c h a n d e h o r l o g e r s ac- tuellement à la Chaux-de-Fonds à l'hôtel de la Fleur-de-Lis : Liste dressée jeudi 19 juin 1890, à 5 heures du soir: MM.

Benrubi, Salonique. — Halber, Varsovie. — Bellak, Varsovie. — Reinin, Moscou. — GoId- schmidt, Francfort. — Schuchmann, Mos- cou. — Richter, Friedberg. —Schsefer, D iden- Baden.

COTE DE L'ARGENT

du 18 juin 1890

Facturé aux monteurs de boîtes.

L'argent 800 laminé et fil à. fr. 144.10 le kilo id. 805 id. id. „ 145. — id.

id. 875 id. id. „ 1 5 7 . 5 0 id.

id. 900 id. id. ,,161.90 id.

id. 935 id. id. „ 168. — id.

l i e s a n n o n c e s c o n c e r n a n t l e s o f i r e s e t d e m a n d e s d ' o u v r i e r s o u d ' e m - p l o y é s p o u r l ' h o r l o g e r i e , a i n s i q u e l e s c o n v o c a t i o n s d ' a s s e m b l é e s d ' a s - s o c i a t i o n s p a t r o n a l e s e t o u v r i è r e s j o u i r o n t d ' u n p r i x d e f a v e u r e t s e r o n t i n s é r é e s à r a i s o n d e I O c e n t i m e s l a l i g n e o u s o n e s p a c e .

P r i è r e d ' a d r e s s e r l e s c o m m u n i - c a t i o n s à l a R é d a c t i o n d e l a FIiUK- UATIOHT H O R I i O C i K K K S U I S S K , à

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