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Prix du numéro 10 centimes Bureaux : Rue Neuve 38

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Deuxième année. — N° 88 Mercredi 7 novembre 1888.

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Les

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se paient d

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avance

Prix du numéro 10 centimes Bureaux : Rue Neuve 38

a

Syndicat des fabricants d'horlogerie.

Les trois assemblées convoquées sous les auspices de la Commission d'initiative pour la fondation d'un syndicat des fabri- cants d'horlogerie, à Renan, à la Ferrière et à Corgémont, ont eu lieu dimanche 4 courant, selon le programme convenu.

La Commission d'initiative était repré- sentée par son président et par son cais- sier, MM. H. Thalmann et F. Girardin- Bourgeois et tout s'est fort .bien, passé comme on s'y'aftendait d'ailleurs.

Dans les trois localités, les délégués ont reçu le plus sympathique accueil et ont trouvé les fabricants bien disposés en faveur du but que l'on se propose en cherchant à grouper les fabricants d'hor- logerie. Tous étaient présents ou repré- sentés et tous ont donné leur adhésion au syndicat. M. Albert Voisin, à Corgé- mont et M. Etienne Guyot, à Renan, ont été tout particulièrement applaudis, lorsqu'ils ont exprimé, au nom de leurs collègues, leur ferme volonté de travailler à l'organisation et au groupement de nos forces industrielles.

Les fabricants de Corgémont ont bien voulu se charger de visiter leurs collègues de Cortébert, Courtelary et Cormoret, ce qui terminera le groupement général des fabricants du Vallon. Ensuite viendra le tour des Franches-Montagnes et de Por- rentruy et la Commission d'initiative ayant terminé la tâche qu'elle s'était donnée, pourra remettre entre les mains de M.

R. Comtesse, président de la Fédération horlogère, la mission d'organiser le grou- pement des fabricants du canton de Neu- chàtel.

Les paiements en marchandises.

Malgré toutes les mesures prises par les sociétés ouvrières pour empêcher les paiements en marchandises, certains in- dustriels arrivent encore, les uns directe-

ment, lés autres par des moyens détour- nés à réaliser double bénéfice, en donnant, en échange du travail des ouvriers, des marchandises de qualité inférieure factu- rées à des prix exorbitants.

On nous signale un nommé N. S., marchand d'étoffes et fabricant d'horlo- gerie ! ! ! dans une localité du Vallon, qui est arrivé, par un truc ingénieux, à pou- voir vendre ses montres 10 et 15 % plus bas que ses concurrents et cela en pou- vant prouver qu'il paie vses ouvriers en espèces sonnantes et au même tarif que ses confrères.

Ce digne exploiteur a fort souci de sa dignité et de sa bonne réputation ; aussi ne veut-il pas que l'on puisse dire qu'il troque des marchandises contre du travail et il a soin de sauver les apparences ce qui satisfait pleinement sa conscience de marchand.

Lorsqu'un ouvrier va s'offrir, il lui tient le discours suivant : Mon ami — car tous les ouvriers sont ses amis —, si vous voulez entrer chez moi, il faut vous engager à travailler régulièrement vos onze heures par jour ; car mes ouvriers ne chôment jamais et j'entends que l'on gagne de l'argent à mon service. Je paie en espèces, chaque samedi et au même tarif que les autres fabricants ; et puis, je vous offrirai toutes sortes de petits avan- tages, vous verrez bien.

Sur ce discours, débité d'un ton pater- nel, l'ouvrier part du pied gauche, tout heureux d'avoir découvert un patron aussi philanthrope.

Huit jours après, les petits avantages sont mis sur le tapis

Vous savez, mon ami — toujours mon ami — j'ai en bas un petit magasin bien assorti de tout ce qui est nécessaire dans nn ménage. Des lacets, des gants, des spencers, des bretelles si vous en portez et puis de la toile pur fil et des étoffes de robes pure laine pour madame, sans compter des draps Elbœuf premier choix pour vous faire un habillement complet

à 90 francs, ce que vous paieriez 120 francs chez un tailleur; et un magnifique rayon de cravattes haute nouveauté, etc.

Je ne vous oblige pas à faire vos achats chez-moi, parole d'honneur, car je suis pour la liberté du commerce ; seulement, comme je suis satisfait de vous, je dois vous dire pour votre bien, que je fais des prix de faveur à mes ouvriers. Et l'ouvrier qui comprend bien qu'il faut qu'il y passe s'il veut conserver sa place, achète pour 90 francs un eomplet qui vaut 60 francs et c'est pourquoi N. S. peut vendre ses montres 10 ou 15 °/o meilleur marché que ses concurrents.

C'est ainsi que notre belle industrie est vilipendée par des gens dépourvus de scrupules, qui exploitent l'ouvrier, avi- lissent les prix, et font de l'argent aux dépens des fabricants honnêtes.

Tant que nous ne serons pas organisés, ces abus et tant d'autres du même genre contre lesquels nous sommes impuissants, continueront à s'étaler en plein soleil, et sans qu'il soit possible de rien tenter pour les faire disparaître.

Une forte organisation .syndicale des diverses branches de notre industrie, aura seule la force de supprimer ces pratiques nuisibles, en isolant ceux qui les com- mettent et en les jetant hors l'industrie.

PROTECTION DES INVENTIONS Le règlement d'exécution de la loi fédérale du 29 juin 1888 sur les brevets d'invention avait laissé à des dispositions ultérieures du Conseil fédéral, le règlement des conditions dans lesquelles devra se faire la preuve de l'existence des modèles à fournir pour l'ob- tention de brevets d'invention. Un arrêté du Conseil fédéral du 26 octobre vient de pres- crire les formalités à observer dans ce but.

Tout d'abord, il est établi deux catégories

d'invention, celle dont le dépôt des modèles

est obligatoire et celle dont le dépôt des mo-

dèles n'est pas obligatoire. Dans le premier

cas se trouvent les inventions concernant des

mouvements et des boîtes de montre, ainsi

que les inventions rentrant dans le domaine

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402

LA FEDERATION HORLCGÈRE SUISSE

c:i msvoxi iS'io'isK υ ·ί (I

des armes à feu portatives. Les intérêts de la défense nationale et ceux de l'industrie hor- logèré ont ainsi été pris en particulière con- sidération. La question du lieu où les dits modèles seront déposés n'a pas encore été tranchée. Qu'il nous soit ici permis d'expri- mer le vœu qu'une entente puisse s'établir à ce sujet entre les intéressés, de façon à ga- rantir dans la plus large mesure les intérêts de l'industrie en cause et à servir à son développement progressif.

Pour les modèles dont le dépôt permanent n'est pas obligatoire, la confrontation offi- cielle du modèle avec la description et les dessins accompagnant la demande de brevet se fera au bureau fédéral de la propriété intellectuelle. Toutefois, si l'envoi de mo- dèle présentait des difficultés, il poura, aux frais du demandeur, être procédé à la con- frontation dans une tierce localité, par les soins d'un expert du bureau fédéral. Afin de faciliter plus encore, on à admis la' possibilité de la présentation d'une reproduction d'après nature comme moyen de prouver l'existence du modèle. Dans ces conditions, laformalité de la preuve de l'existence du modèle ne saurait entraver le petit industriel désireux de. s'assurer des bénéfices qui découlent de la protection des inventions.

En cas de refus de la part du bureau fédé- ral d'admettre le modèle présenté comme répondant aux exigences légales et réglemen- taires, un recours auprès du département duquel relève le bureau est ouvert au deman- deur.

La taxe d'examen par le bureau est de 10 fr., lorsque l'opération a lieu dans les locaux de celui-ci ; des frais de déplacement et une indemnité journalière sont dûs lorsqu'il est procédé dans une tierce localité aux forma- lités de la confrontation.

La date de priorité de l'invention est celle du jour où il a été fait droit à toutes les réquisitions touchant la demande de brevet, et c'est du jour de l'accomplissement des conditions requises pour le dépôt du modèle que date la protection effective de l'invention.

L'examen du modèle se fera donc, dans la règle, au bureau fédéral ; c'est également là que le dépôt de la demande devra être effec- tué. Par ce moyen, les inventeurs seront assurés d'un traitement uniforme qu'un autre système n'aurait pu garantir au même degré.

Dans quelques pays, en effet, en France, en Autriche, en Italie, en Angleterre, par exem- ple, le dépôt de la demande peut se faire auprès d'une autorité territoriale. Trois rai- sons expliquent cette organisation, ce sont : 1° la centralisation administrative des pays en question, 2° l'étendue de leur territoire, enfin 3° la circonstance que les lois sur la matière datent dans ces pays d'une époque antérieure au développement complet du réseau des voies ferrées. Aussi les Etats-Unis et l'Allemagne, dont la législation est plus récente, ont-ils institué un office central de dépôt pour les demandes, bien que, dans le premier de ces pays, certains points du terri- toire soient, même pour des stations ferrées, distants de plusieurs journées du bureau central.

D'ailleurs le fait d'inventions simultanées pour un même objet est des plus rares. Or, dans ces cas, il n'y a pas de motifs pour sup- poser que l'un ou l'autre des inventeurs con- currents, habitant des lieux différents, sera informé de la circonstance et pourra profiter d'une différence de distance entre le bureau central et lui. Cela est d'autant moins pro- bable que l'institution du brevet provisoire donne les facilités les plus grandes à l'inven- teur pour assurer ses droits de priorité, avant que des essais plus ou moins publics n'aient compromis le secret de son invention.

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CORRBSPONDAiMCES PARTICULIERES

Chaux-de-Fonds, le 5 novembre 1888.

Monsieur le rédacteur,

Dans une précédente correspondance, que vous avez bien voulu publier dans votre esti- mable feuille, j'avais exprimé quelques idées personnelles — mais partagées je le crois, par un grand nombre de mes confrères — sur la marche générale de la Fédération hor- logère ; permettez-moi devenir, aujourd'hui, vous parler d'un ou deux des points du pro- gramme d'activité adopté.par le Comité cen- tral dans sa dernière séance. ^ j ^

Et tout d'abord, prenons la grosse ques- tion du travail exclusif et réciproque entre membres patrons et ouvriers de laFédération horlogèré.

Il semble, au premier abord, que rien n'est plus simple, plus logique et plus juste que cette idée du travail réciproque. En effet, dès l'instant que l'on est parti de la notion d'une union des éléments patronaux et ouvriers de l'industrie, il en découle tout naturellement que de cette alliance doivent sortir des .con- séquences avantageuses pour les deux parties.

Cour les patrons, la façon la plus facile de témoigner / l e u r sympathie et leur bien- veillance aux ouvriers qui travaillent avec eux dans un but commun, est de les favori- ser en les occupant de préférence à ceux qui restent en dehors de la Fédération. <

Pour les ouvriers, le moyen le plus efficace d'aider les patrons à soutenir la lutte contre la baisse, consiste à isoler les fabricants gâcheurs — et ceux-là n'entrent pas dans la Fédération — et à ne donner leur concours qu'aux fabricants syndiqués.

Voilà le principe tel qu'il doit être posé ; mais dans quelles conditions sommes-nous pour l'appliquer1? "

Toutes les organisations humaines sont soumises à une loi fatale : c'est celle des majorités. Partout où les hommes ont le droit de se grouper, de s'organiser et d'agir en vue d'un but quelconque à atteindre, c'est le nombre qui fait la force et c'est cette force collective du plus grand nombre qui impose ses lois à la minorité. Chez nous, en Suisse, nous sommes particulièrement privilégiés sous le rapport du libre exercice du droit de réunion et d'association, puisqn'aucune en- trave n'est apportée à l'exercice de ce droit et, qu'au contraire, la loi protège ceux que l'on voudrait empêcher de manifester leur opinion individuelle et collective.

Si nous ramenons ces principes généraux au domaine spécial de la Fédération horlo- gèré que voyons-nous?

D'un côté, 35,000 ouvriers ; de l'autre, 3 ou 4,000 patrons de toutes catégories, usi- niers, fabricants, chefs d'ateliers. Sur le ter- rain de laFédération, tout dissentiment cesse, toute lutte est arrêtée, toute mesure de vio- lence est remplacée par des mesures de con- ciliation.

Rien n'était donc plus propice à l'organi- sation des forces horlogères que ce terrain neutre de la Fédération, sur lequel pouvaient se rencontrer, dans une pensée de paix et d'union, des éléments que jusqu'alors, on avait considérés comme pouvant être opposés les uns aux autres. Aussi comprenons-nous les espérances que l'on avait fondées au dé- but sur une organisation qui semblait répon- dre à un besoin généralement éprouvé et dans laquelle, par conséquent, le plus grand nombre sinon la totalité des intéressés de- vaient trouver leur place.

Les sections ouvrières sont parties en guerre vigoureusement, mais sans plan bien précis et avec cet objectif immédiat d'élabo- rer des tarifs de relèvement uniformes,,

ι ΓΤΠ^ΤΓΓ'ΤΤ jnanjDinrnm •.;] .JTÎTTI .· ,<>, . .

Les patrons, au lieu de se mettre à la tête du mouvement et de lui donner, dès le pre- mier jour, une direction conforme aux be- soins et aux intérêts de tous, ont attendu de voir, ne comprenant pas que la Fédération horlogèré ne pouvait, sans leur concours, déployer d'heureux effets, et qu'il y avait au contraire un certain danger à laisser les ou- vriers dans l'attente d'un concours qui ne venait pas.

Où en sommes-nous actuellement ?

Les sections ouvrières ont vu diminuer leurs effectifs et, par un phénomène inverse et assez singulier, les groupements patronaux se font et se développent.

Mais combien sommes-nous ? non"i^pas seulement sur le papier ; mais combien som- mes-nous de patrons et d'ouvriers, désirant sincèrement travailler ensemble à la recher- che de conditions meilleures pour l'industrie et pour ceux qui en vivent ?

On entend parler' de forts syndicats ou- vriers, comprenant des mille et des mille membres. Mais combien sont-ils sur lesquels "

une action réelle puisse être exercée, dont on puisse garantir la fidélité à un tarif par - exemple? Chez les patrons, on parle des syndicats formés et de ceux que l'on forme,·p, mais le plus grand nombre des fabricants sont encore à grouper ; or les groupenient^

sont encore de trop fraîche date pour que l'on puisse faire fonds sur le concours éffeétiP·'^

qu'ils peuvent donner. ,(!0'| (1[ 'iuoq Voilà ce qu'il faudrait connaître avant tout, , et le résultat de la consultation n'est pas douteux ; on constatera que les fédérés sont encore l'infime minorité et que, s'ils otiMà) , n

force morale que donne la conscience dé travailler à un but utile, ils n'ont pas cette, ;,.

force brutale si l'on veut mais nécessaire^,; , que donne le nombre. ' '

Donc, après deux années et plus qui for- ment la période d'organisation de la Fédé- >

ration horlogèré, on en est encore à la période des tâtonnements. Est-il possible, dans ces conditions, de pouvoir appliquer le principe juste en lui-même du travail réciproque entre membres patrons et ouvriers de la Fédération ' horlogèré?

Je pose la question sans me charger de la ,1 résoudre. Je comprends que, d'un côté, les ouvriers soient impatients de voir appliquer un principe qui leur parait être le couronné- | ! , ;

ment de l'édifice qu'ils aident à construire etoin je comprends que, d'un autre côté, les pa- trons éprouvent une certaine hésitation à se lier à des conditions qui risqueraient de les priver momentanément d'une partie plus ou " ' moins grande du personnel ouvrier dont ils ';

ont besoin. . ;|

Quoiqu'il en soit, la question est intéres- sante et, comme elle a une importance conr sidérable au point de vue du maintien de la bonne harmonie et de la bonne entente, ' ·>

comme d'un autre côté, un essai infructueux .-, pourrait avoir des conséquences désastreuses en provoquant une disloiation des sections, . ouvrières, il convient peut-être, tout en pour- suivant sans relâche l'application de ce prin- cipe, de ne tenter une expérience que le jour 1 où le nombre des patrons et ouvriers groupés . ι formant une majorité importante, les dissi- <i dents pourront être considérés comme unç , quantité négligeable.

Agréez, etc. A. Z. !

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V A R I É T É S

C o n d i t i o n * d e l a d i m i n u t i o n e t d e Γ a c c r o i s s e m e n t d e e familles e n F r a n * ee. — Tel est le titre d'une étude de statis- tique que M. G. Lagneau communique à l'A- cadémie. On a déjà constaté que la plupart des familles nobles ou bourgeoises disparais--1, ! ι

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LA FÉDÉRATION HORLOGÈRE SUISSE

sent dans l'intervalle de quelques siècles.

En 1846, Laîné n'avait trouvé que 12 descen- dants de 514 familles ayant existé au dou- zième siècle. Benoiston de Chateauneuf trou- vait de son côté que 380 familles nobles, dont il avait suivi l'histoire, avaient eu une durée moyenne de 300 ans.

Dans une petite commune d'environ 800 âmes, rapprochant les noms portés sur un terrier de 1555 des noms inscrits sur la liste électorale actuelle, M. Lagneau constate que des 127 noms de famille inscrits au terrier, il y a 333 ans, il n'en reste plus que 14, soit 1 1 % . ,Les familles d'ouvriers et de paysans suivent donc la loi commune et décroissent comme les familles nobles et bourgeoises.

Au commencement de ce siècle, on comp- tait 4 enfants par ménage; aujourd'hui, on n'en, cîompte pas tout à fait 3 (2 97). M.

Lagneau cherche à évaluer l'accroissement ouli'diminution des familles, suivant qu'elles ont une moyenne de 4 ou de 3 enfants. Te- nant compte de la durée d'une génération, évifêiéé à 31 ans, du nombre des mariages stérile^, qui est d'environ 13 % , de la pro- portion des sexes(105 garçons pour 100 filles),, de la piortalitê chez lés garçons parvenus à l'iige de 28 ans (40 % ) , l'auteur du mémoire montre que 100 familles ayant 400 enfants, aux huitième, douzième et quinzième géné- rations^ après 217, 341, 434 ans, ont deux fois* trois fois et quatre fois plus de garçons contractant mariage que lors de la première génération.

Au contraire, pour les familles n'ayant que trois enfants, il prouve combien est rapide la 'décroissance masculine. Sur 100 familles ayant 300 enfants, à la cinquième génération, après 124 ans, plus de la moitié n'ont plus de descendance masculine ; 49 garçons seule- ment contractent mariage. A la septième

génération, après 186 ans, près des deux tiers de ces 100 familles n'ont plus de descendance masculine, 34 garçons seulement contractent mariage. A îa neuvième génération, après 248 ans, les descendants mâles transmettant le nom paternel ne représentent plus que le quart, 25 sur 100 des familles primitives.

Enfin, à la quinzième génération, après 434 ans, les neuf dixièmes de ces cent familles n'ont plus de descendance masculine.

Telle est la rapide diminution des familles ayant une moyenne de trois enfants par mé- nage, proportion actuelle de la natalité légi- time en France. Donc, si notre population s'accroît annuellement encore quelque peu, d'environ 3 pour 1000 habitants, ce minime accroissement tient, d'une part, à la natalité illégitima de 7 à 8 enfants naturels pour 100 enfants en général; d'autre part à l'immigra- tion de près de 3 étrangers pour4Q0;habitants.

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NOUVELLRS DIVERSES

*" T r a i t é e ' d e c o m m e r c e . — Les négocia- tions relatives aux traités de commerce suisses, qui ont lieu à Vienne et à Berlin, sont bien avancées, et elles arriveront à leur terme dans p£U de jours sL l'on parvient à régler encore quelques points sur lesquels une entente n'a pu jusqu'ici intervenir. Les traités seront publiés dès qu'ils auront été signés. Jusqu'à ce moment-là, leur texte détaillé ne peut, cela va sans dire, être livré à la publicité ; toutefois, nous faisons remar- quer que la récente nouvelle des journaux disant qu'il s'agit entre autres d'une réduc- tion du droit suisse sur les céréales, est in- exacte. Ce droit doit simplement être lié, et

il reste ainsi fixé à 30 et. par 100'Kg- τ- '">

En ce qui concerne spécialement - les'>

négociations avec l'Allemagne, elles n'ont pas pour objet, comme on le sait d'ail- leurs, la conclusion d'un nouveau traité, mais seulement l'extension de la clause de la ..

nation la plus favorisée, du 23 mai 1881, par un tarif conventionnel pour l'importation en Allemagne et en Suisse. Le traité ainsi · étendu entrerait en vigueur le 1e r janvier 1889, comme le traité avec l'Autriche-Hon- grie, et serait, ainsi que ce dernier, exécu- toire jusqu'au 1er février 1892, jour jusqu'au- >

quel dure aussi le traité de cpmmerce franco-, , suisse. Quant au traité actuel avec l'Autriche- f Hongrie, la légation suisse à Vienne a été autorisée à échanger avec le ministère austro- - hongrois des affaires étrangères une déclara- L tion d'après laquelle, vu la prévision que les négociations pour la conclusion dlun nouveau "' traité de commerce arriveront prochainement >

à leur terme, il est dans l'intérêt commun de convenir que la dénonciation du traité de commerce du 14 juillet 1868 ne déploiera ses * effets qu'à la fin de Tanné courante. De cette ' · manière, le traité actuel n'expire pas Ie ;7, v. novembre déjà, mais reste encore en vigueur jusqu'au 31 décembre. Gomme date de l'entrée en vigueur du nouveau traité, on a h

en vue le 1e r janvier 1889. ν

l i e s a n n o n c é e c o n c e r n a n t l e s o f f r e s '' e t d e m a n d e s d ' o u v r i e r s o u d ' e m - p l o y é e p o u r l ' h o r l o g e r i e , a i n s i q u e l e s c o n v o c a t i o n s d ' a s s e m b l é e s d ' a s - s o c i a t i o n s p a t r o n a l e s e t o u v r i è r e s >

j o u i r o n t d ' u n p r i x d e f a v e u r e t s e r o n t s i n s é r é e s à r a i s o n d e I O c e n t i m e s l a l i g n e o u s o n e s p a c e .

— _ • Λ

Le rédacteur responsable : Fritz HUGUENIN.

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S E R V I C E H Y D R O G R A P H I Q U E D E L A M A R I N E F R A N Ç A I S E Concours des chronomètres du 2 janvier au 31 mai 1888 (!)

A Ecart maximum des marches à la température ambiante. Limite 2S5.

B Id. successives. Limite ls.

C Id. au chaud (30° environ). Limite 2S5.

F Id. · au froid (0° environ). Id. 3S5.

/ Id. aux petites amplitudes. Id. 3S0.

E Id. aux positions sur XII et Vl, ou sur III et IX. Limite 6S0.

N Nombre dp "îlassement [égal à A, plus B, plus '/2 / , plus le plus grand de C ou de '/2 F] (2)·

425

Construc- teurs Classés Delépiné Delépine Leroy Leroy Leroy Leroy Delépine Leroy Leroy Leroy & fils Leroy Leroy Leroy Leroy Thomas Leroy Leroy Non classés

Leroy Leroy Lerov Rousseau-

Lecocq Callier

N05 des Chrono-

mètres 1505 1468 695 669 684 654 1508 663 681 146 664 706 680 64'j 2 688 658 692 659 682 5 575

A

0,42 0,67 0,66 0,97 1,00 0,95 0,68 1,01 1,07 1,06 0,99 1,13 0,96 1,51 1,87 1,30 1,92 2.63 1,72 2,65 2,86 2,38

B

0,30 0,40 0,46 0,78 0,45 0,47 0.29 0,40 0,46 0,38 0,47 0,33 0,42 0,34 0,67 0,47 0,42 0,46 1,10 1,66 0,64 0,78

C ou V2 F

0,33 0,97 1,21 0,80 0,82 Ί,43 1,47 1,58 1,47 1,12 1,26 1,57 1,57 2,00 2,02 1,95 2,10 0,90 1,11 0,82 1,46 2,29

VaI

0,94 0.49 - 0,23 0,88 0,78 0,72 0,65 0,20 0,24 0,93 1,04 1,06 1,20 0,86 0,54- 1,18 1,13 0,71 1,40 1,10 0,87 1,49

E

2,40 5,10 4,03 5,97 1,43 2,07 5,37 2,27 4,37 1,90 1,33 1,96 1,63 4,90 4,73 2,05 1,67 3,74 4,03 5,53 2,65 2,23

N

1,99 2,53 2,56 2,93(3) 3,05 3,07(3) 3,09 3,19 3,24 3,49 3,76 4,09 4,15 4,71 4,85(4) 4,90 5,57 4,70 4,83(3) 5,7313) 5,83 6,94

Détails de construction

Bal. cire.

Id.

Id.

Id.

Id.

Id.

Id.

Id.

Id.

Id.

Id.

Id.

Id.

Id.

Id.

Id.

Id.

Bal. cire.

Id.

Id.

Id.

Id.

ipiral palladium id. id.

id. id.

id. id.

id. id.

id. id.

id. id.

id. id.

id. id.

id. id.

id. id.

id. id.

id. id.

id. id.

id. acier id. palladium id. id.

spiral palladium id. id.

id. id.

id. id.

id. acier (1) Nombre des chronomètres présentés : 43. Classés, 17; non classés, 9, dont 4 retirés ou avec

résultats incomplets ; renvoyés avant la fin du concours, 17. Le service hydrographique a de- mandé au Ministère l'acquisition des six premiers chronomètres.

(2) Voir le règlement des concours dans le Journal suisse d'Horlogerie, XIme année, page 143.

(3) Déduction faite d'une bonification de 0,50 résultant du précédent concours (art. 17 du règlement).

(4) Id. Id. 0,25 Id. ( Id. ).

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