Rectificatif à la note sur le « spectre raman de la magnésie »

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Submitted on 1 Jan 1967

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Rectificatif à la note sur le “ spectre raman de la magnésie ”

J.-P. Mon

To cite this version:

J.-P. Mon. Rectificatif à la note sur le “ spectre raman de la magnésie ”. Journal de Physique, 1967,

28 (11-12), pp.886-886. �10.1051/jphys:019670028011-12088601�. �jpa-00206599�

886

Ajoutons

^enfin

qu’il

^est

possible [6]

de determiner

expérimentalement

la fonction

w(s)

^en partant ^{de :}

d’où :

la constante 6tant nulle comme on peut ^{le voir en} faisant tendre so ^vers l’infini. La fonction

H(s)

^s’obtient

a

partir

de la courbe

exp6rimentale B(H) puisque

B ⁼

(Dols.

Un travail de ^ce

type

^a ete effectu6 sur

le niobium

[6].

Ce travail a pu etre

entrepris grace

^{a la D.G.R.S.T.}

(Comite

de Conversion des

Energies).

BIBLIOGRAPHIE

[1]

^FOURNET

(G.),

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^{de GENNES}

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et MATRICON

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Phys. Letters, 1963, 2, 119.

[6]

^FOURNET

(G.)

^{et BAIXERAS}

(J.),

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RECTIFICATIF A LA NOTE SUR LE « SPECTRE RAMAN DE LA

MAGNÉSIE » (Journal de Physique,

^novembre

1965, 26, 611)

Par

J.-P. MON,

Laboratoire des Recherches Physiques, Faculté des Sciences de Paris.

LE JOURNAL ^DE PHYSIQUE TOME 28, NOVEMBRE-DÉCEMBRE 1967,

Des

experiences

^{r6centes nous ont} montre que le

spectre

que 1’on

croyait

^{etre le}

spectre

^{Raman du} second ordre de la

magnesie

^{est en realite un}

spectre

de fluorescence du a la

presence

d’atomes de chrome dans le cristal. Ces nouvelles ^mesures effectuées à 1’aide d’un

spectrographe

^tres

dispersif

^ont révélé que le

spectre

^se

prolongeait

^{en fait} bien au-dela de la limite

th6orique

^du

^spectre

^{Raman du second}

^ordre,

^et

qu’il

^ne

pouvait s’agir

de processus a trois

phonons.

^En

effet,

les variations d’intensité du

spectre, lorsque

^1’on

abaisse la

temperature

^-

disparition

^du

spectre

^entre 0 ^et Av ⁼ 1 500

cm-1 ’

accroissement considerable de l’intensit6 entre 1 500 et 2 300 cm-l - ainsi que Ie d6-

placement

^et l’affinement de la raie Av ⁼ 1 500

cm-1, qui

^{n’est autre} que la raie ^sans

phonon

^du

spectre

de

fluorescence,

^montrent

qu’il s’agissait probablement

d’une fluorescence anti-Stokes.

Nos nouvelles mesures sont en accord avec celles faites sur la fluorescence du chrome dans

MgO,

par G. F.

Imbusch,

^{W. M.}

Yen,

^{A. L.}

Schawlow,

D. E. McCumber ^{et M.} D.

Sturge [1].

Notons

cependant

que

1’interpretation

^du

spectre

de fluorescence obtenu

peut toujours

^{se faire a l’aide}

des

fréquences

^des

points critiques

des courbes de

dispersion

^de

phonons,

a condition d’utiliser des

r6gles

de selection

appropri6es [2].

BIBLIOGRAPHIE

[1]

^IMBUSCH

(G. F.),

^YEN

(W. M.),

^SCHAWLOW

(A. L.),

MCCUMBER

(D. E.),

^STURGE

(M. D.), Phys.

^Rev., 1964, ^133-4 A, ^A 1029.

[2]

^LOUDON

(R.),

^Proc.

Phys.

Soc., 1964, 84, 379.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphys:019670028011-12088601