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Bulletin des médecins suisses

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Academic year: 2022

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(1)

Bulletin des

médecins suisses

BMS – SÄZ Schweizerische Ärztezeitung – Bollettino dei medici svizzeri

Offizielles Organ der FMH und der FMH Services www.saez.ch

3 14 . 1. 15

49 Editorial

Une votation peut en cacher une autre

50 Plateforme «Avenir de la formation médicale»

Interprofessionnalité et soins intégrés: quel enseignement?

79 Horizons Patient simulé

75 Tribune

Big Data: Horrorszenario

oder grosse Chance?

(2)

FMH

ÉDITORIAL: Remo Osterwalder

49 Une votation peut en cacher une autre

Autres groupements et institutions

PLATEFORME «AVENIR DE LA FORMATION MÉDICALE»: Olivier-Jean Glardon, Nadine Facchinetti

50 Interprofessionnalité et soins intégrés: quel enseignement? En 2013, le groupe de travail «Interprofessionnalité» a présenté son rapport à la plateforme

«Avenir de la formation médicale». Depuis, l’importance de la question a été reconnue et des concepts en vue de l’implémentation d’une formation et d’un enseignement interprofessionnels sont en cours de développement. Résumé de la situation et perspectives.

Courrier / Communications

53 Courrier au BMS 54 Communications

FMH Services

55 Seminare / Séminaires / Seminari 2015

59 FMH Consulting Services – dal 1.12.2014 anche in Ticino 60 Neutrale Praxisvermittlung & Praxispartnersuche 61 Tiefere Prämien für Sie und Ihre Mitarbeitenden 62 Zahlungseingang pünktlich

63 Emplois et cabinets médicaux

Tribune

POINT DE VUE: Drahomir Aujesky

71 Allgemeine Innere Medizin am Universitätsspital Alors que l’indemnisa-

tion de la prise en charge des patients polymorbides ne permet pas de couvrir les frais et que certains cantons ont fortement revu à la baisse le financement de la formation postgraduée, les hôpitaux universitaires ont tendance à sous-estimer l’importance de la médecine interne générale. Or eux aussi ont besoin d’une combinaison équilibrée entre médecine spécialisée et médecine générale.

SOMMAIRE 47

Rédaction

Dr et lic. phil. Bruno Kesseli, Bâle (Rédacteur en chef);

Annette Eichholtz, M.A. (Managing Editor);

Isabel Zwyssig, M.A. (Rédactrice coordinatrice);

Dr Werner Bauer; Prof. Dr Samia Hurst;

Dr Jean Martin; lic. oec. publ. Anna Sax, MHA;

Dr Jürg Schlup (FMH); Prof. Dr Hans Stalder;

Dr Erhard Taverna; lic. phil. Jacqueline Wettstein (FMH)

Rédaction Ethique

Dr theol. Christina Aus der Au, p.-d.; Prof. Dr Lazare Benaroyo;

Dr phil., dipl. biol. Rouven Porz, p.-d.

Rédaction Histoire médicale

Prof. Dr et lic. phil. Iris Ritzmann; Dr ès. sc. soc. Eberhard Wolff, p.-d.

Rédaction Economie lic. oec. publ. Anna Sax, MHA Rédaction Droit

Me Hanspeter Kuhn (FMH)

(3)

Tribune

COMPTE RENDU DE CONFÉRENCE: Felicitas Witte

75 Big Data: Horrorszenario oder grosse Chance? Lors du 11e Congrès Suisse

pour l’économie de la santé et les sciences de la santé, les experts se sont penchés sur les avantages et les inconvénients des quantités phénoménales de données que nous collectons tous. Selon eux, la révolution numérique est déjà en marche.

Mais cette dépendance au monde numérique peut tout à fait être évitée.

78 Spectrum

Horizons

SOUS UN AUTRE ANGLE: André Cortessis 79 Patient simulé

MEDICAL EDUCATION: Raphaël Bonvin 81 Le nouvel examen fédéral, pour «de faux»?

SOUS UN AUTRE ANGLE: Erhard Taverna 83 Kalendertage

Et encore…

Bruno Kissling 84 Flemme de lire?

BADOUX

SOMMAIRE 48

Impressum

Bulletin des médecins suisses Organe officiel de la FMH et de FMH Services

Adresse de la rédaction: Elisa Jaun, Assistante de rédaction BMS, EMH Editions médicales suisses SA, Farnsburgerstrasse 8, 4132 Muttenz, tél. +41 (0)61 467 85 72,

fax +41 (0)61 467 85 56,

redaktion.saez@emh.ch, www.saez.ch Editeur: EMH Editions médicales suisses SA, Farnsburgerstrasse 8, 4132 Muttenz, tél. +41 (0)61 467 85 55, fax +41 (0)61 467 85 56, www.emh.ch Marketing EMH / Annonces:

Dr Karin Würz, responsable marketing et communication, tél. +41 (0)61 467 85 49, fax +41 (0)61 467 85 56, kwuerz@emh.ch

personne de contact, tél. +41 (0)61 467 86 08, fax +41 (0)61 467 85 56, stellenmarkt@emh.ch

«Office de placement»: FMH Consul- ting Services, Office de placement, Case postale 246, 6208 Oberkirch, tél. +41 (0)41 925 00 77,

fax +41 (0)41 921 05 86, mail@fmhjob.ch, www.fmhjob.ch Abonnements membres de la FMH:

FMH Fédération des médecins suisses, Elfenstrasse 18, 3000 Berne 15, tél. +41 (0)31 359 11 11,

fax +41 (0)31 359 11 12, dlm@fmh.ch Autres abonnements: EMH Editions médicales suisses SA, Abonnements, Farnsburgerstrasse 8, 4132 Muttenz, tél. +41 (0)61 467 85 75, fax +41

Prix de l’abonnement: abonnement annuel CHF 320.–, port en sus.

ISSN: version imprimée: 0036-7486 / version en ligne: 1424-4004 Paraît le mercredi

© EMH Editions médicales suisses SA (EMH), 2015. Le Bulletin des médecins suisses est une publication «open- access» de EMH. Sur la base de la licence Creative Commons «Attribu- tion – Pas d’Utilisation Commerciale – Pas de Modification 4.0 International», EMH accorde à tous les utilisateurs le droit, illimité dans le temps, de repro- duire, distribuer et communiquer cette création au public, selon les conditions suivantes: (1) citer le nom de l’auteur;

(2) ne pas utiliser cette création à des fins commerciales; (3) ne pas modifier,

obtention explicite de l’autorisation de EMH et sur la base d’un accord écrit.

Note: Toutes les données publiées dans ce journal ont été vérifiées avec le plus grand soin. Les publications signées du nom des auteurs reflètent avant tout l’opinion de ces derniers, pas forcément celle de la rédaction du [BMS]. Les doses, indications et formes d’application mentionnées doivent en tous les cas être comparées aux notices des médicaments utilisés, en particulier pour les médicaments récemment autorisés.

Production: Schwabe SA, Muttenz, www.schwabe.ch

(4)

Une votation peut en cacher une autre

Remo Osterwalder

Dr, membre du Comité central de la FMH, responsable du département Médecins en libre-pratique

Ceux qui se croient à l’abri après la votation sur l’ini­

tiative populaire «Pour une caisse publique d’as­

surance­maladie» interprètent mal la réponse des cito yennes et des citoyens.

Si en 2007, les citoyens ont été 71,2% à rejeter l’initia­

tive sur la caisse unique, ils n’étaient plus «que» 61,9%

le 28 septembre 2014, pour une participation iden­

tique. Ce recul de près de 10% est significatif et pour­

rait progresser encore davantage, voire déboucher sur l’acceptation de la caisse unique si une nouvelle initia­

tive avec des arguments convaincants était lancée. Les assureurs ont certes encore une fois gagné du temps, mais leur avenir n’est pas assuré pour autant. La der­

nière initiative n’a pas été en mesure de garantir des thèmes chers aux yeux des assurés, comme le libre choix du médecin ou encore le maintien du catalogue de prestations, et c’est pourquoi ses chances de succès étaient plutôt faibles. Dans ce contexte, les propos de Mme Nold, directrice de santésuisse, selon les­

quels les citoyens ont exprimé un soutien clair au système de santé actuel, suscitent plutôt l’ironie: évi­

demment, les assurés se réjouissent de la prochaine augmentation de primes; évidemment, il est tout à fait conseillé de placer des millions de réserves en bourse et d’attendre le prochain crash avant de venir frapper à la porte de l’OFSP et des citoyens pour une augmentation de primes; évidemment, nous atten­

dons chaque fin d’année avec impatience les appels téléphoniques sympathiques mais ô combien aga­

çants des caisses­maladie cherchant à recruter de nou­

veaux assurés. Il serait temps que Mme Nold revoie sa copie. Si pour l’instant la peur du changement l’em­

porte encore, le mécontentement de la population est néanmoins important. Un signal clair est venu des régions qui font traditionnellement appel à l’Etat lorsque les négociations piétinent. Et, fait intéressant, ce sont précisément les cantons qui ont récolté une part élevée de oui qui affichent également une aug­

mentation importante des prestations ambulatoires hospitalières, de même que les régions qui comptent une densité médicale élevée.

Mais derrière les interventions de l’Etat se cache sou­

vent un conflit d’intérêts: l’Etat aurait été à la fois régu­

lateur, fournisseur de prestations de santé et assureur

dans le cadre de la caisse publique cantonale, ce qui était peut­être un peu trop pour les citoyens. De plus, comme l’ont montré plusieurs sondages menés à large échelle, la confiance actuelle de la population envers ses politiciens est particulièrement faible.

Il est grand temps que les assureurs lancent un signal clair et entament les réformes tant attendues. Car les frais administratifs enregistrent eux aussi une forte augmentation. Un exemple: dans le canton de Bâle­

Campagne, la prime annuelle moyenne est passée de 3276 CHF en 2005 à 5160 CHF en 2013 [1]. Dans la même période, les frais administratifs, soi­disant stables à 5%, ont passé de 163,80 CHF à 258 CHF, soit une aug­

mentation de 58%. Alors que dans le même temps, les coûts du secteur ambulatoire du canton n’ont aug­

menté «que» de 38% [2], et de 30% si l’on considère les coûts par tête. La part des traitements ambulatoires

dans les coûts globaux a même diminué de 28,4% en 2005 à 24,9% en 2013. Cet exemple illustre parfaite­

ment avec quelle facilité il est possible de faire parler les chiffres à son avantage et ainsi d’éviter d’aborder les vrais problèmes.

Nos voisins sont toujours très surpris d’apprendre que notre système autorise la rémunération des poli­

ticiens membres de conseils d’administration avec l’argent des primes. De tels conflits d’intérêts de la part de représentants du peuple seraient impensables dans d’autres démocraties européennes.

Quelles seraient les conditions en faveur d’un chan­

gement de système? Si l’on parvient à développer un modèle d’assurance équitable et transparent, fondé sur des chiffres réels avec un taux de couverture de 100%, qui tienne compte d’une part du mode de consomma­

tion des patients et de leur profil de risque, et de l’autre de l’évolution effective des coûts sans manipulations statistiques – alors je suis convaincu que les citoyens seraient prêts à changer de système.

Notre système a besoin de réformes en profondeur et ce le plus rapidement possible sans attendre les six mois qui précèdent la prochaine votation, car pro­

chaine votation il y aura, soyons­en certains.

38,1% des citoyens actifs s’opposent au système d’assurance actuel.

Références 1 Office fédéral

de la statistique, évolution des primes BL.

2 Données santésuisse.

FMH Editorial 49

(5)

Rapport du groupe de travail «Interprofessionnalité» de la Plateforme «Avenir de la formation médicale»

Interprofessionnalité et soins intégrés: quel enseignement?

Olivier-Jean Glardona, Nadine Facchinettib

a Dr méd. vet., Office fédéral de la Santé publique, Section Développement Professions de la santé; b MLaw, LL.M

Le groupe de travail «Interprofessionnalité» de la Plateforme «Avenir de la forma- tion médicale» a publié son rapport en été 2013. Suite à de nombreuses discus- sions, l’importance du sujet a été reconnue et les responsables de l’enseignement développent des concepts pour l’implémentation d’un apprentissage de l’inter- professionnalité et des enseignements interprofessionnels. Cet article fait le point de la situation présente et future sur le plan national.

Définitions

Le terme Interprofessionnalité comprend deux as- pects complémentaires [1], d’une part une formation interprofessionnelle (Interprofessional Education, IPE) qui mène, d’autre part, à une pratique collabora- tive ou interprofessionnelle (Interprofessional Colla- boration, IPC) centrée sur le patient.

Selon la définition proposée par le Centre for the Advancement of Interprofessional Education du Royaume-Uni (CAIPE) [2], il y a formation interprofes- sionnelle lorsque deux professions ou davantage sont engagées dans un processus d’apprentissage conjoint, réciproque et qui leur permet de mieux se connaître pour mieux collaborer et améliorer la qualité des soins.

Il s’agit d’une étape nécessaire à la préparation des professionnels de la santé à une pratique collaborative, mieux à même de répondre aux besoins sanitaires locaux (collaborative prac- tice-ready health workforces).

Mandat de la Plateforme

Les expériences faites dans notre pays aussi bien dans le domaine de l’enseignement que celui de l’exercice interprofessionnel ont toutefois montré que cette vision ne suffit pas à favoriser le développe- ment d’une collaboration interprofessionnelle effi- cace dans notre système de santé actuel. C’est pour aborder ce problème sur une large échelle que l’OFSP a présenté en septembre 2011 à la Plateforme «Avenir de la formation médicale» un projet de mandat, préa-

lablement discuté avec la Conférence des Directeurs Sanitaires (CDS), prévoyant le lancement d’un groupe thématique «Interprofessionnalité».

La question de la priorisation de deux thèmes princi- paux – questions relatives à la formation ou à la ré- partition future des tâches et des compétences entre les professions de la santé – a été longuement débat- tue. La majorité de la Plateforme a décidé d’aborder le sujet sous l’angle de la formation et a formulé le man- dat dans le cadre suivant:

– axer les travaux sur les questions relatives à la for- mation, plutôt que celles relevant de la politique sanitaire,

– développer des solutions concrètes et susceptibles d’être mises en œuvre à court terme, en priorité pour la formation médicale universitaire,

– associer ponctuellement à ses travaux des groupes d’accompagnement et un groupe de pilotage, dont la Plateforme a défini la composition.

Concept du groupe thématique

Les membres du groupe thématique* ont décidé de développer un concept d’apprentissage de l’interpro- fessionnalité (IPE) fondé sur des exemples concrets de collaboration interprofessionnelle (IPC), tirés des modèles de soins et de la chaîne de prise en charge des patients actuels ou prévisibles à moyen terme [3].

Ceux-ci sont principalement issus de l’exercice de la médecine de premier recours ambulatoire (tout en tenant compte des interfaces entre ambulatoire et stationnaire), centrés sur le patient. En termes d’en-

* Bauer W. (ISFM/FMH), Brodmann-Mäder M.

(Inselspital), Carruzzo P.

(SWIMSA), Facchinetti N.

(OFSP, présidente), Feusi E.

(ZHAW), ), Frey P. (Uni BE), Glardon O.J. (OFSP, co-président), Marbet P.

(Berner Bildungszentrum Pflege), Mesnil M.

(pharmaSuisse), Schibli D.

(CDS), Schwendimann R.

(Basler Institut für Pflegewissenschaft), van Gessel E. (Uni GE).

AUTRES GROUPEMENTS ET INSTITUTIONS Plateforme «Avenir de la formation médicale» 50

(6)

seignement, le concept est basé sur les compétences à acquérir et orienté selon les résultats (outcomes).

Après avoir précisé les compétences dont il convenait de tenir compte en priorité en matière de collabora- tion interprofessionnelle (sur la base du modèle CanMEDS, commun aux professions médicales et aux métiers de la santé), et qui doivent par consé- quent faire partie du catalogue des objectifs de l’IPE, les membres du groupe thématique ont développé six modèles de soins, concrétisés sous forme de mo- dules d’apprentissages, correspondant chacun à un problème de santé et au trajet du patient dans le sys- tème de soins.

1. IPC au sein d’une structure de premier recours, 2. IPC en équipe de soins aigus, respectivement en

situation d’urgence,

3. IPC «séquentielle» ou suivi ambulatoire d’un-e patient-e sorti-e d’un établissement hospitalier, 4. IPC en médecine de premier recours pour patients

polymorbides, sous considération particulière des aspects «bio-psycho-sociaux»,

5. IPC en réseau régional pour patients en soins pal- liatifs,

6. IPC à but préventif au sein d’une structure de pre- mier recours ou un établissement médico-social.

En formulant de nombreuses propositions didac- tiques et pratiques pour chaque module, les membres du groupe thématique ont mis au point un instru- ment «clé en mains» pour un enseignement inter- professionnel, incluant des recommandations concer- nant les compétences et les objectifs de formation communs à toutes les professions engagées dans des pratiques collaboratives. Celui-ci propose également des recommandations méthodologiques en matière de transmission des contenus de formation (modules interprofessionnels, apprentissage en équipes) qui tiennent compte des supports existant au niveau universitaire, mais également de la systématique et des supports valables pour le niveau secondaire et tertiaire, ainsi que des différentes compétences, res- ponsabilités et prescriptions légales en vigueur (LP- Méd, LHES, LFPr, etc).

Ces recommandations peuvent être intégrées dans le cadre des programmes et des objectifs de formation universitaire actuels des médecins. Elles tiennent toutefois compte des mêmes critères en matière de

formation de base des professions de la santé ame- nées à travailler avec eux de manière interprofes- sionnelle.

Collaboration interprofessionnelle

En dehors de la formation IPE, qui représente un prérequis à toute IPC, il est important de réunir les instruments indispensables à la réussite d’une colla- boration entre partenaires professionnels de la santé dans la réalité de l’exercice des professions médicales et de la santé. On trouve de nombreuses informa- tions sur de tels outils dans des publications interna- tionales et nationales. Les éléments essentiels ont été groupés sous forme d’une «tool-box» pour un ensei- gnement interprofessionnel global de la 1re à la 6e année de médecine, permettant de développer des modules IPE progressifs (early-to-late approach) qui tienne compte du niveau de compétences croissant des étudiant-e-s et apprenant-e-s.

Cet instrument didactique devrait donner assez de liberté aux établissements de formation dans la réa- lisation des modules IPC pour pouvoir être adaptés selon les besoins et les possibilités de chaque faculté de médecine, et surtout être mis en place en com- mun avec des hautes écoles spécialisées ou des écoles professionnelles supérieures des professions de la santé de la même région.

Le présent concept représente une première étape d’introduction structurée et coordonnée de l’IPE dans les études médicales universitaires et la for- mation aux professions de la santé. Les experts du groupe thématique ont recommandé à la Plateforme de poursuivre l’opérationnalisation de ce concept sur le plan national dans le cadre d’un second mandat.

Celui-ci devrait en outre élargir la notion de collabo- ration interprofessionnelle au milieu hospitalier, dans lequel elle est déjà une réalité à plus d’un titre, et aborder la question de la formation interprofes- sionnelle dans le cadre de la formation postgrade des professions médicales.

Pratique de l’interprofessionnalité

Ceci dit, il convient de se pencher sur l’essence même du terme d’interprofessionnalité, si on veut se don- ner les moyens d’en assurer la diffusion, tout en pro- fitant de toutes les possibilités que cette pratique permet. Il s’agit en effet d’un néologisme utilisé par D’Amour et al. [4] pour décrire un concept et un cadre de référence permettant de développer «a cohesive and integrated health care practice among professio- nals in response to client’s needs». Ce concept se dis-

Une telle capacité collaborative ne peut être acquise sans une formation de base et une formation postgrade ciblée et coordonnée entre les professions médicales et les professions de la santé.

AUTRES GROUPEMENTS ET INSTITUTIONS Plateforme «Avenir de la formation médicale» 51

(7)

tingue de celui d’interdisciplinarité, qui concerne le développement «of integrated knowledge in res- ponse to fragmented disciplinary knowledge». Il ne correspond pas non plus au concept d’interprofes- sionnalisme ou de mutualisation des compétences professionnelles, avec lesquels l’interprofessionna- lité est souvent confondue. Dans le premier cas, l’in- teraction entre les professionnels (qui implique une définition des rôles et une reconnaissance/accepta- tion des compétences mutuelles au sein de l’équipe en réponse au besoin d’un patient) est primordiale et elle seule permet d’obtenir le résultat fixé. Dans le se- cond cas, chaque professionnel met ses compétences à disposition du groupe, mais l’interaction n’est pas l’élément central de la collaboration.

Selon le concept original, l’interprofessionnalité fait le lien entre les déterminants (= facteurs détermi- nables) et les processus de collaboration à différents niveaux, aussi en matière d’exercice que d’enseigne- ment interprofessionnels. Par définition, l’interpro- fessionnalité ne peut donc correspondre à une simple juxtaposition des compétences de praticiennes et praticiens de différentes professions, fut-ce pour le bien d’un patient. C’est la nature des interactions et la manière dont elles sont structurées, qui fait la valeur du concept et permet le succès de l’exercice dans le cadre de soins intégrés.

Concrètement, l’élément essentiel de la démarche ré- side dans la délégation par chacun des professionnels de certaines compétences (à définir de manière inter- professionnelle et selon les besoins) à l’équipe inter- professionnelle et, en retour, dans la prise en charge d’activités professionnelles et de compétences selon des critères prédéfinis. Un des éléments centraux de cette pratique est la définition d’une vision com- mune et interprofessionnelle du patient et de ses besoins, et l’organisation des soins en conséquence.

Pour ce faire, il est souvent nécessaire de préciser la nature du mandat attribué aux différents profession- nels, à savoir le mandat de prestations (Versorgungs- auftrag), mandat de prise en charge médicale (Be- treuungsauftrag) et le mandat de soins (Pflege - auftrag), auquel est liée la notion de responsabilité professionnelle. Celle-ci ne devrait cependant pas être atténuée ou fragmentée par une prise en charge interprofessionnelle du patient.

La formation à l’interprofessionnalité

Au vu de ce qui précède, il devient évident qu’une telle capacité collaborative ne peut être acquise sans

une formation de base et une formation postgrade ciblée et coordonnée entre les professions médicales et les professions de la santé. Ce degré d’intégration des compétences et des déterminants favorisant l’interprofessionnalité n’est toutefois pas non plus réalisable sans un soutien et une coordination entre les milieux politiques, professionnels et socio-écono- miques. En d’autres termes, l’interprofessionnalité, pour autant qu’on veuille la développer de manière cohérente et pertinente, est l’affaire de tous les res- ponsables et de tous les professionnels actifs dans le domaine de la santé. De même, son développement ne peut se faire de manière harmonieuse et efficace, sans vision commune du système de soins et de santé national, et par conséquent des objectifs d’enseigne- ment qui y correspondent. Les directives du Conseil fédéral exposées dans la stratégie Santé 2020 donnent un cadre solide à une telle réflexion, en particulier en matière de soins intégrés.

Et maintenant…

C’est pour cette raison que le groupe thématique de la Plateforme a proposé dans son rapport l’organisa- tion d’une conférence nationale, conçue de manière à servir de coup d’envoi d’une réflexion commune et interprofessionnelle dès le début. Cette manifes- tation a eu lieu le 4 décembre 2014. Parallèlement, l’ASSM a également organisé des rencontres d’ex- pert-e-s et publié des documents sur la collaboration interprofessionnelle [5]. L’année 2014 peut donc être considérée comme le point de départ d’une réflexion à large échelle sur le sujet. Les membres du groupe thématique s’en réjouissent et espèrent qu’elle aura des effets tangibles et directement profitables aussi bien aux professionnels du système de santé qu’aux patients et à leurs proches.

Références

1 WHO. Framework for Action on Interprofessional Education and Collaborative Practice. 2010. http://whqlibdoc.who.int/

hq/2010/WHO_HRH_HPN_10.3_eng.pdf?ua=1 2 CAIPE: www.caipe.org.uk/resources/defining-ipe/

3 CDS. Rapport du groupe de travail «Nouveaux modèles de soins pour la médecine de premier recours». 2012.

www.gdk-cds.ch/fileadmin/docs/public/gdk/Aktuelles/

MMtlg/BT_Versmod_pub_20120402_f.pdf

4 D’Amour D, Oandasan I. Interprofessionality as the field of interprofessional practice and interprofessional education:

An emerging concept. J Interprof Care. 2005;19.Suppl 1:8–20.

5 ASSM. Charte «Collaboration entre les professions de la santé». Novembre 2014.

Correspondance:

Olivier-Jean Glardon Office fédéral de la Santé publique

Section Développement Professions de la santé Schwarzenburgstrasse 161 CH-3003 Berne Tél. 031 324 02 89 olivier-jean.glardon[at]bag.

admin.ch

AUTRES GROUPEMENTS ET INSTITUTIONS Plateforme «Avenir de la formation médicale» 52

(8)

In der Spitex trägt die Pflege schon heute viel Eigenverantwortung Mit Interesse hat die Akademische Fachge- sellschaft Spitex-Pflege des Schweizerischen Vereins für Pflegewissenschaft die beiden Artikel zur parlamentarischen Initiative «Ge- setzliche Anerkennung der Verantwortung der Pflege» [1, 2] gelesen. Als Pflegefachperso- nen mit langjähriger Erfahrung in der spital- externen Pflege ist es uns ein Anliegen, den Befürchtungen der Initiativgegner vor Kon- sequenzen dieser Initiative entgegenzutre- ten.

Wie die Autoren feststellen, tragen in der Spitex die Pflegefachpersonen schon heute die volle Verantwortung für die von ihnen er- brachten Pflegeleistungen. Und es wird auch bei Annahme der Initiative weiterhin einen diagnostisch-therapeutischen Bereich geben, welcher nur in ärztlicher Delegation ausge- führt wird.

Dies möchten wir anhand eines gängigen Bei- spiels aus der Praxis verdeutlichen:

Die Tochter von Frau Huber (84 J.) meldet sich bei der Spitex, weil ihre Mutter Unter- stützung braucht. Bis anhin reichte, dass die Tochter wöchentlich mit Frau Huber ein- kaufte. Wie bei jeder Anfrage (via Hausarzt, Spital, Patient oder Angehörige) führt die Spi- tex eine Bedarfsabklärung zur Erfassung der bestehenden Probleme und Ressourcen, Ziel- setzungen und gesundheitlichen Risiken durch. Anschliessend werden die pflegeri- schen Interventionen geplant und die Spitex- Verordnung im Sinne einer Offerte erstellt. In unserem Beispiel schlägt die Pflegefach- person vor, Frau Huber zweimal wöchentlich zu duschen und ein Ulcus am Unterschenkel zu behandeln. Die beiden wöchentlichen Kontakte der Patientin mit Pflegefachperso- nen ermög lichen zudem ein schnelles Erken- nen von gesundheitsgefährdenden Verände- rungen wie zum Beispiel einer zunehmenden Gangunsicherheit der betagten Frau. Darauf könnten präventive Massnahmen zur Verhin- derung eines Sturzes besprochen und umge- setzt werden.

Die zu erbringenden Leistungen fallen gemäss KLV Art. 7 unter die Kategorien a (Abklärung und Beratung) und c (Grundpflege) und sind schon heute ein eigenständiger Bereich der Pflege – auch wenn bis anhin der Arzt sein Einverständnis für die Beratung zur Sturz- prophylaxe und der Unterstützung beim zwei- mal wöchentlichen Duschen geben musste.

Einzig im Bereich b (Behandlungspflege) ver- ordnet der Arzt bis heute die Massnahmen.

Die Pflegefachperson plant und führt die

Massnahmen anschliessend arztdelegiert aus.

Würde die Initiative angenommen, müssten die Ärzte bloss noch den Bereich b, und somit den ärztlich delegierten Bereich, verordnen und visieren. Im oben genannten Beispiel ist dies die Behandlung des Ulcus. In den Berei- chen a und c wäre die Pflege eigenständig und eigenverantwortlich – so wie dies seit Jahren gelebt wird.

Gegenüber den Versicherungen sind die Pfle- ge fachpersonen bereits heute verantwortlich.

Denn nicht alle vom Arzt visierten Interven- tionen werden zu 100% von den Versicherern bezahlt. Sind die Interventionen für die Kran- kenversicherung nicht nachvollziehbar, so ist es an der Pflegefachperson (und nicht am Arzt!), die geplanten Leistungen im Rahmen der Zielerreichung zu begründen. Sie trägt hier sowohl in fachlicher wie auch finanziel- ler Hinsicht die volle Verantwortung.

Die Initiative eröffnet also im Vergleich zur gängigen Praxis keine Kompetenzerweite- rung der Pflege, sondern nur eines: die unnö- tige Tätigkeit, bei welcher der Arzt die von der Pflege vorformulierte Spitex-Verordnung un- terzeichnet und welche mit einem beträcht- lichen administrativen und in der Folge finan- ziellen Aufwand einhergeht, zu beenden.

Monique Sailer Schramm, RN, MNS Corinne Steinbrüchel-Boesch, RN, MNS Akademische Fachgesellschaft Spitex-Pflege

des Schweizerischen Vereins für Pflegewissenschaft

1 Wagner PA. Es geht um Finanzierung, nicht um Kompetenzen. Schweiz. Ärztezeitung.

2014;95(29/30):1095–6.

2 Kuhn H. Die zentrale Koordinationsfunktion und -verantwortung des Arztes.

Schweiz Ärztezeitung. 2014;95(29/30):1097–8.

Kinder mit Verhaltensproblemen als neuer Markt

Zum Artikel von M. Fry [1]

Monika Fry hat zu Recht auf eine Entwicklung hingewiesen, die sowohl Fachleute wie Laien schon lange ergriffen hat und sich leider nicht abschwächt: die Medikalisierung und Bio- logisierung psychischen Leidens und von Ver- haltensauffälligkeiten oder -störungen (vor allem auch bei Kindern). Psychiatrische Dia- gnosen werden nicht nur von (Kinder-)Psych- iatern, sondern auch von Kinder- und Haus- ärzten gestellt. Ich bezweifle, dass uns allen dabei klar ist, wie sich das jeweils «auf das

Selbstbild des Kindes, auf die Haltung der Fa- milie gegenüber dem Kind und somit dessen weiterer Entwicklung» [1] auswirkt. Die zuneh- mende Pathologisierung im medizinisch-bio- logischen Sinn von Kontaktproblemen und kind lichen Verhaltensauffälligkeiten wird da bei von grossen Pharmakonzernen geför- dert. Der «Prozess der Diagnoseausweitung»

[1] durch das DSM-V widerspiegelt dabei das

« disease mongering» (Ausweitung von Krank- heitsdefinitionen, Krankheitserfindung) durch gewisse Pharmakonzerne, das bereits 2002 beschrieben worden ist [2]. Marcia Angell, bis 2000 Herausgeberin des NEJM, publizierte 2004 ein Buch über die Einflussnahme der Pharmafirmen [3], 2009 [4] und 2011 [5, 6] be- richtete sie anhand von Buch besprechungen erneut über deren Praktiken. In diesen Publi- kationen wird deutlich, dass die von Fry be- schriebene Entwicklung nicht zufällig ist und es auch nicht um die bessere Behandlung von Menschen mit psychischen Beschwerden geht, sondern der Gewinn maximierung der Pharmakonzerne dient. Dies unterstreicht die Bedeutung von Frys Ausführungen.

Dr. med. Oliver Dätwyler, Kinderarzt, Dietikon

1 Fry M. Diagnostik wohin? Überlegungen aus der Kinderpsychiatrie. Schweiz Ärztezeitung.

2014;95(48):1823–5.

2 Moynihan R et al. Selling sickness: the pharmaceu- tical industry and disease mongering. BMJ 2002;324:886–91.

3 Angell M. The Truth About the Drug Companies – How They Deceive Us and What to Do About It.

2004. Random House. (Deutsche Übersetzung: An- gell M. Der Pharma-Bluff. Wie innovativ die Phar- maindustrie wirklich ist. 2005. KomPart Verlags- gesellschaft.)

4 Angell M. Drug Companies & Doctors: A Story of Corruption. The New York Review of Books, Volume 56, Nr.1, January 15, 2009 (8–12).

5 Angell M. The Epidemic of Mental Illness: Why? The New York Review of Books, Volume 58, Nr.11, June 23, 2011 (20–22).

6 Angell M. The Illusions of Psychiatry. The New York Review of Books, Volume 58, Nr.12, July 14, 2011 (20–

22).

Lettres de lecteurs

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COURRIER redaction.bms@emh.ch 53

Courrier au BMS

(9)

Wann kommt die Aküfi-Deficiency?

Kleines Echo auf die Satire von Hans Stalder in der SÄZ Nr. 50/2014 [1]

Keine Erwähnung fand das AKÜFI-Syndrom, das aber hintergründig im Text präsent war.

Entstanden vor gut 50 Jahren, als es aus Kanz- lei- und Wissenschaftlerstil in Verwaltung, Geschäftswelt, Politik eindrang, wurde es von den Medien zuerst als Abkürzungsfimmel gegeisselt, dann aber sogar voll mitgespielt … Eine der ersten Dreibuchstabigen, an die ich mich noch aus der Primarschule erinnere, war kGV (= kleinstes gemeinsames Vielfaches zweier Zahlen), in der Medizin dann eben AZ (Allgemeinzustand) und BD oder RR (Riva- rocci). Später gab es bereits die ersten Ansätze zur Disziplinierung der zunehmenden Ten- denz, auch wegen Verwechslungen – je nach Spezialität des Bericht-Schreibers war HWI ein Hinterwandinfarkt oder Harnwegs- infekt – oder wegen Konfusion bei fremd- sprachlichen Zitaten: NSAR = AINS, CRP = PCR, und heute ist PCR von einer neueren anderen Untersuchung besetzt worden … In unserer Ärztezeitung wurde dann zur Regel gemacht, dass beim ersten Verwenden einer Abkürzung die Bedeutung in Klammer anzu- fügen sei – das hat Ihr Artikel ja auch streng befolgt, auch Anna Sax (CdaP) auf der Seite vorher …

PS: Gerade letzte Woche stiess ich im Rheu- matologen-Rapport über eine Patientin auf das Resultat auch des Prostataspezifischen Antigens: Offensichtlich hat die Sekretärin das falsche PSA aus dem Abkürzungsver- zeichnis erwischt.

Nun ja, lachen wir, und hoffen, dass es all- mählich zur Aküfi-Deficiency komme!

Dr. med. Hans R. Schwarz, Porto Ronco

1 Stalder H. Deficiency syndromes.

Schweiz Ärztezeitung. 2014;95(50):1930.

Änderungen der Analysenliste per 1. Januar 2015

Über Weihnachten habe ich die Änderungen der Analysenliste [1] studiert, die Kollege Gähler als «Überfällige Aufwertung erfolgt zaghaft und auf nicht haltbaren Grundlagen»

[2] bezeichnet hat. Bei näherer Betrachtung erweist sich dieses «Danaer-Weihnachtsge- schenk» als weiterer Schritt in die Krämer- Mentalität, welche uns bereits durch den TARMED vorgezeichnet worden ist. Grund- sätzlich beginnt sich das neue System ab drei Analysen auszuzahlen, während bei weniger Analysen ein Verlust entsteht. Für einen emi- nent wichtigen Anteil unserer Kontrollen werden wir also Verluste machen. Hier einige

Beispiele:

– Beim CRP neu: Fr. 14.20, alt: Fr. 17.90 (–Fr. 3.70)

– Bei BZ + Hb-A1-C neu: Fr. 27.10, alt: Fr. 32.10 (–Fr. 5.00)

– Bei Urinanalyse + Sediment (Mikroskopie) und Uricult neu: Fr. 34.30 alt: 39.60 (–Fr. 5.30)

– Bei 2 Analysen neu: à Fr. 7.90 = Fr. 15.80 alt: Fr. 16.80 (–Fr. 1.00)

– Bei 3 Analysen beginnt es sich auszuzah- len: neu: 3 × Fr. 7.90 = Fr. 23.70, alt: 23.20 (+Fr. 0.50)

– Bei 4 Analysen neu: 4 × Fr. 7.90 = Fr. 31.60, alt: Fr. 29.60 (+Fr. 2.00)

– Bei der Einzelanalyse gibt es eine Aus- nahme:

Quick: neu: Fr. 13.10, alt: Fr. 12.90 (+Fr. 0.20) Durch solche Anreize werden wir immer mehr gezwungen, als Krämer anstatt als Ärzte zu denken!

Dr. med. Felix Tapernoux, Rüti

1 Christen S. Änderungen in der Analysenliste per 1. Januar 2015. Schweiz Ärztezeitung. 2014;95(51/52):

1954–5.

2 Gähler E. Überfällige Aufwertung erfolgt zaghaft und auf nicht haltbaren Grundlagen.

Schweiz Ärztezeitung. 2014;95(46):1719.

Communications

Schweizerische Gesellschaft für Herz- und thorakale Gefässchirurgie (SGHC) Medtronic Young Surgeons Award

Die Schweizerische Gesellschaft für Herz- und thorakale Gefässchirurgie verleiht eine von Medtronic gesponserte, mit 20 000 Fran- ken dotierte Auszeichnung für eine hervor- ragende wissenschaftliche Arbeit aus dem Gebiet der Herz- und thorakalen Gefässchir- urgie. Die vorgelegte Arbeit darf nicht für einen anderen Preis eingereicht worden sein.

Sie kann als Manuskript oder als Sonder- druck vorgelegt werden. Im Falle einer be- reits erfolgten Veröffentlichung darf diese nicht länger als sechs Monate zurückliegen.

Bewerber dürfen noch keinen Facharzttitel für Herz- und thorakale Gefässchirurgie ha- ben und müssen in der Schweiz angestellt sein. Der Preis muss für die Ausbildung ver- wendet werden und wird erst nach Vorlegen des Verwendungszweckes ausbezahlt.

Bewerber reichen ihre Arbeit in vierfacher Ausführung bis 15. März 2015 dem Sekretär der Schweizerischen Gesellschaft für Herz- und thorakale Gefässchirurgie ein:

PD Dr. M. Stalder, Sekretär der SGHC, Münstergasse 72, 3011 Bern

Sujets actuels de forum

Joignez la discussion en ligne sur www.saez.ch

Dr Beat Sottas, consultant indépendant, chercheur et auteur, directeur de la société formative works

Pourrait-on envisager des études de médecine moins longues et moins chères?

Deux recommandations qui nous viennent des Etats-Unis pourraient bien renforcer la médecine de famille

Prof. Dr méd. Sevgi Tercanli,

professeure titulaire de gynécologie et obstétrique à l’université de Bâle

Dépistage prénatal non invasif (DPNI)

Le DPNI remplace-t-il les procédés de dépistage utilisés jusqu’à présent?

COURRIER / COMMUNICATIONS redaction.bms@emh.ch 54

(10)

Seminare / Séminaires / Seminari

René Häller, Geschäftsführer/Directeur FMH Consulting Services

Praxiseröffnung/-übernahme

Das Seminar richtet sich an Ärztinnen und Ärzte, welche vor einer Praxiseröffnung (Ein- zel-/Gruppenpraxis), dem Einstieg in eine Gruppenpraxis oder vor einer Praxisüber- nahme stehen.

Themen

– Juristische Aspekte (Praxisbewilligung, Zulassung zur Sozialversicherung, Vertrags- wesen)

– Gesellschaftsformen / Ehe- und Erbrecht (Privat-/Geschäftsvermögen, Güterstand, Erbschaftsplanung)

– Praxiseinrichtung (Inneneinrichtung, Kostenberechnung)

– Praxisadministration (Leistungserfas- sungs- und Abrechnungssysteme)

– Bewertung einer Arztpraxis (Berechnung Inventarwert und Goodwill als Verhand- lungsbasis)

– Finanzierung der Arztpraxis (Businessplan, Kredite, Absicherungsmöglichkeiten) – Versicherungen/Vorsorge/Vermögen

(Per sonen- und Sachversicherungen, Vor- sorgeplanung).

Sponsoren

Die Kosten werden durch diverse Sponsoren (siehe www.fmhservices.ch) gedeckt.

Daten

K01 Donnerstag, Zürich 5. März 2015 Volkshaus 09.00–16.30 Uhr

K02 Donnerstag, St. Gallen 30. April 2015 Hotel Einstein 16.00–20.30 Uhr

K03 Donnerstag, Bern

11. Juni 2015 Schmiedstube 09.00–16.30 Uhr

K04 Donnerstag, Zürich 3. September 2015 Volkshaus 09.00–16.30 Uhr

K05 Donnerstag, Basel 5. November 2015 Hotel Victoria 09.00–16.30 Uhr

Praxisübergabe

Das Seminar richtet sich an Ärztinnen und Ärzte, die ihre Praxis übergeben wollen. Idealtermin:

5−10 Jahre vor geplanter Übergabe (aus steuer- technischen und vorsorgeplanerischen Gründen).

Themen

Juristische Aspekte (Praxisübergabever- trag, allg. Vertragswesen, Übergabe der Krankengeschichten)

Nachfolgeplanung und Bewertung einer Arztpraxis (projektorientiertes Vorgehen in der Nachfolgeplanung, Berechnung Inventar- wert und Goodwill als Verhandlungsbasis) – Versicherungen/Vorsorge/Vermögen (Über-

gabe/Auflösung von Versicherungsverträgen, Pensions- und Finanzplanung)

Steuern (Steueraspekte bei der Praxisüber- gabe: Optimierung der steuerlichen Auswir- kungen, Liquidations- und Grundstück- gewinnsteuer, Bestimmung des optimalen Übergabezeitpunktes).

Sponsoren

Die Kosten werden durch diverse Sponsoren (siehe www.fmhservices.ch) gedeckt.

Daten

K06 Donnerstag, Zürich 12. März 2015 Volkshaus 13.30–18.00 Uhr

K07 Donnerstag, St. Gallen 7. Mai 2015 Hotel Einstein 16.00–20.30 Uhr

K08 Donnerstag, Bern

18. Juni 2015 Schmiedstube 13.30–18.00 Uhr

K09 Donnerstag, Zürich 10. September 2015 Volkshaus 13.30–18.00 Uhr

K10 Donnerstag, Basel 12. November 2015 Hotel Victoria 13.30–18.00 Uhr

Finanz- und Steuerplanung

Das Seminar richtet sich an Ärztinnen und Ärzte, die vor einer Praxiseröffnung oder Pra- xisübernahme stehen oder bereits praxistätig sind.

Themen

– Finanzplanung (Businessplan, buchhal- terische Massnahmen vor Praxiseröffnung/

-übernahme, Standardkontenplan, dop- pelte Buchhaltung, EDV-unterstützte Buch- führungslösung)

– Steuern (Steueraspekte bei Eintritt in die Selbständigkeit, Steuerfallen und Steuer- risiken, optimierte Steuerplanung).

Kosten

Für FMH Services-Mitglieder kostenlos.

Daten

K11 Donnerstag, Zürich 19. März 2015 Volkshaus 13.30–18.00 Uhr

K12 Donnerstag, Bern

17. September 2015 Schmiedstube 13.30–18.00 Uhr

Praxiscomputer-Workshop

Der Workshop richtet sich an Ärztinnen und Ärzte, die vor einer Praxiseröffnung oder Pra- xisübernahme stehen oder bereits praxistätig sind.

Seminare / Séminaires / Seminari

Obwohl rund 40% aller Ärztinnen und Ärzte früher oder später eine eigene Arzt-/Gruppenpraxis füh- ren und nebst dem medizinischen Know-how auch jenes eines Unternehmers benötigen, wird im Verlauf des Medizinstudiums die Thematik der Unternehmensführung kaum behandelt. Die FMH Ser- vices schliesst diese Lücke und kümmert sich um die betriebswirtschaftlichen Anliegen ihrer Genos- senschafter unter anderem mit speziell konzipierten Seminaren, an denen jährlich rund 750 Ärztinnen und Ärzte teilnehmen. Die grösstenteils kostenlosen Seminare vermitteln wichtiges Grundwissen für den Einstieg in die eigene Arzt-/Gruppenpraxis, deren Führung und Betrieb. Die Teilnehmer werden auf den Umgang und die Zusammenarbeit mit Behörden und Fachspezialisten wie Treuhänder, Ver- sicherungs- und Finanzberater, Kreditberater, Juristen, Architekten usw. vorbereitet. Zu den einzel- nen Themen rund um die Praxiseröffnung und -führung referieren ausgewiesene Experten der FMH Services.

Bien qu’environ 40% de tous les médecins ouvrent tôt ou tard leur propre cabinet médical individuel ou de groupe et qu’en plus de leur savoir-faire médical, ils aient besoin de connaissances en gestion d’entreprise, cette thé matique est peu abordée lors des études. FMH Services, qui s’occupe de la gestion d’entreprise de ses membres, comble cette lacune en proposant, entre autres, des sémi- naires spécifiques qui réunissent chaque année quelque 750 médecins. Dans ces séminaires, gratuits pour la plupart, les participants peuvent acquérir les bases nécessaires pour ouvrir leur propre cabi- net médical individuel ou de groupe. Ils obtiennent également des conseils sur la manière de collabo- rer avec les autorités ou avec des spécialistes tels que des experts-comptables, des conseillers finan- ciers, en assurance ou en crédits bancaires, ainsi que des juristes, des architectes et autres. Ces différents thèmes sont abordés par des experts qualifiés de FMH Services.

FMH SERVICES La plus grande organisation de services du corps médical 55 Responsabilité rédactionnelle: FMH SERVICES

(11)

Themen

– Anforderungen an ein Praxisinformations- system (Einführung)

– Evaluationsprozess (projektorientiertes Vorgehen in der Evaluation eines Praxis- informationssystems)

Präsentation von sechs führenden Praxis- informationssystemen (Leistungserfas- sung, elektronisches Abrechnen unter Ein- bezug der TrustCenter, Agendaführung, Statistiken, Laborgeräteeinbindung, elek- tronische Krankengeschichte, Finanzbuch- haltungslösungen usw.).

Kosten

Für FMH Services-Mitglieder kostenlos.

Daten

K13 Donnerstag, Zürich 26. März 2015 Technopark 13.30–18.00 Uhr

K14 Donnerstag, Bern 25. Juni 2015 BERNEXPO 13.30–18.00 Uhr

K15 Donnerstag, Olten 26. November 2015 Stadttheater 13.30–18.00 Uhr

Gruppenpraxis

Das Seminar richtet sich an in Ausbildung ste- hende Ärztinnen und Ärzte, die sich einer Gruppenpraxis anschliessen wollen, sowie an praxistätige Ärztinnen und Ärzte, die ihre Ein- zelpraxis an eine Gruppenpraxis anschliessen wollen.

Themen

– Strategie (Ziele der Gruppenpraxis; Gestal- tung des Angebots)

– Unternehmer (Zusammensetzung des Teams; Verhaltensregeln, finanzielle Betei- ligung und Entschädigungsmodelle) – Finanzen und Recht (Versicherung, Vor-

sorge und Vermögen; Rechtsform, Finan- zen, Steuern)

– Standort, Praxisobjekt (Anforderungen an Standort; Konkurrenzanalyse, Praxisein- richtung, Kosten)

– Personal (Qualifikationen; Gesetze, Regle- mente, Verträge)

– Führung und Organisation (Struktur und Abläufe; Aufgaben, Verantwortungen, Kom- petenzen)

– EDV und Administration (Anforderungen an Praxisinformatik; Evaluation)

– Praxisbericht (Erfahrungsbericht eines Arztes – Mitgründer einer Gruppenpraxis – aus der Region).

Sponsoren

Die Kosten werden durch diverse Sponsoren (siehe www.fmhservices.ch) gedeckt.

Daten

K80 Donnerstag, Luzern 28. Mai 2015 Hotel 13.30–18.00 Uhr Continental K81 Donnerstag, Aarau

19. November 2015 Gasthof zum 13.30–18.00 Uhr Schützen

Erfolgreicher Vermögensaufbau und Steueroptimierung

Das Seminar richtet sich an Ärztinnen und Ärzte, die ihre Vorsorge- und Steuerplanung nicht dem Zufall überlassen wollen.

Themen

Vermögensaufbau und Vorsorge

– Wie hoch ist der Kapitalbedarf in der Zu- kunft?

– Ist meine Vorsorgelösung ausreichend oder bestehen Lücken?

– Wie ist meine Familie abgesichert?

– Wie decke ich Risiken (im Pflege- oder To- desfall) ab?

– Ist eine Frühpensionierung für mich mög- lich?

Steuerplanung und Steueroptimierung – Wie optimiere ich nachhaltig meine Steu-

ern?

– Macht eine Umwandlung der Gesellschafts- form Sinn?

– Wie kann ich meine Nachfolgeregelung lang- fristig planen?

Kosten

100 CHF (inkl. Kursunterlagen und Verpfle- gung).

Daten

K30 Donnerstag, Aarau 23. April 2015 Gasthof zum 18.00–20.30 Uhr Schützen K31 Donnerstag, Luzern

24. September 2015 Hotel 18.00–20.30 Uhr Continental

Röntgen in der Arztpraxis

Das Seminar richtet sich an Ärztinnen und Ärzte, die vor einer Praxiseröffnung oder Pra- xisübernahme stehen oder bereits praxistätig sind.

Themen

– Rentabilität Röntgen in der Arztpraxis – Evaluation und Beschaffung neuer oder ge-

brauchter Anlagen

Möglichkeiten der Umrüstung von analo- gen zu digitalen Anlagen

Vor- und Nachteile analoger und digitaler Systeme

Komplette Marktübersicht mit Preisen und Leistungskomponenten.

Kosten

Für FMH Services-Mitglieder kostenlos.

Datum

K16 Donnerstag, Niederscherli 27. August 2015 WIROMA AG 09.30–16.00 Uhr

Tarifwerk TARMED – Einführungskurs Das Seminar richtet sich an Ärztinnen und Ärzte mit bestehender Praxis und an solche, die kurz vor einer Praxiseröffnung oder Praxis- übernahme stehen. Der Einführungskurs ver- mittelt den Kursteilnehmern die Grundlagen des Tarifwerkes TARMED.

Themen

– Fakten (gesetzliche und vertragliche Grundlagen)

– Struktur (Tarifbrowser, Grundstruktur, Re- gelhierarchie, Leistungsblöcke, Leistungs- gruppen)

– Generelle Interpretationen («Allgemeine Grundleistungen», «Hauptleistungen, Zu- schlagsleistungen», «Nichtärztliche Leis- tungserbringung» usw.)

– Parameter einer Tarifposition («Quantita- tive und Qualitative Dignität», «Ärztliche Leistung AL», «Assistenz», «Raumbelegung»

usw.)

Tarifpositionen aus dem Kapitel 00 Grund- leistungen

– Praxislabor und Präsenzdiagnostik – Organisationen und Informationsquellen.

Kosten

200 CHF (inkl. Kursunterlagen).

Daten

K60 Dienstag, Olten

10. März 2015 Hotel Arte 14.00–17.15 Uhr

K61 Dienstag, Olten

12. Mai 2015 Hotel Arte 14.00–17.15 Uhr

K62 Dienstag, Olten

15. September 2015 Hotel Arte 14.00–17.15 Uhr

Praxismarketing für Ärzte

Das Seminar richtet sich an Ärztinnen und Ärzte, welche vor einer Praxiseröffnung stehen oder bereits eine Praxis führen.

Themen

– Service und Kundenorientierung: Aus einer Arztpraxis wird DIE Praxis.

Kommunikation mit Patienten und Mitar- beiterinnen

Telefon, Empfang, Teamentwicklung – Marketing- und Werbemöglichkeiten

(Praxis als Marke, Praxis im Internet).

FMH SERVICES La plus grande organisation de services du corps médical 56

(12)

Kosten

Für FMH Services-Mitglieder kostenlos.

Daten

K63 Donnerstag, Lachen Prama 12. März 2015 Marketing &

13.30–18.00 Uhr Vertriebs GmbH K64 Mittwoch, Lachen Prama

11. November 2015 Marketing &

13.30–18.00 Uhr Vertriebs GmbH

Telefonseminar für MPAs (bzw. Praxisteam)

Das Seminar richtet sich an MPAs mit telefoni- schem Kundenkontakt sowie Auszubildende, die zum professionellen Telefonieren angelei- tet werden sollen.

Themen

Die Medizinische Praxisassistentin als Visi- tenkarte der Praxis

– Image der Arztpraxis. MPAs repräsentieren die Unternehmenskultur, organisieren die Praxis und sind somit ein wesentlicher Be- standteil für den Unternehmenserfolg.

Bedeutung des ersten Telefonkontakts – Richtig telefonieren – eine Anleitung.

Kosten

300 CHF (inkl. Kursunterlagen und Verpflegun- gen).

Praxisteams erhalten einen Rabatt von 20%

pro Teilnehmer/in.

Daten

K65 Mittwoch, Zürich 18. März 2015 Volkshaus 09.00–16.30 Uhr

K66 Mittwoch, Bern

4. November 2015 Schmiedstube 09.00–16.30 Uhr

Kommunikation mit Patienten für MPAs (bzw. Praxisteam)

Das Seminar richtet sich an MPAs sowie Auszu- bildende, die zu einer professionelleren Kom- munikation mit Patienten (auch schwierigen) angeleitet werden sollen und sich in der Kom- munikation im Team verbessern möchten.

Themen

Kommunikative Techniken (aktives Zuhö- ren, 4-Ohren-Prinzip)

Kundenorientierte Kommunikation Eigenes Konfliktverhalten

Positiver Umgang mit Reklamationen und schwierigen Gesprächssituationen.

Kosten

300 CHF (inkl. Kursunterlagen und Verpflegun- gen).

Praxisteams erhalten einen Rabatt von 20%

pro Teilnehmer/in.

Daten

K67 Mittwoch, Zürich

11. März 2015 Volkshaus 09.00–16.30 Uhr

K68 Mittwoch, Bern

9. September 2015 Schmiedstube 09.00–16.30 Uhr

Anmeldung und Auskunft

www.fmhservices.ch oder FMH Consulting Ser- vices, Cornelia Fuchs, Burghöhe 1, 6208 Oberkirch, Tel. 041 925 00 77, Fax 041 921 05 86.

Hinweis

Bei sämtlichen Seminaren, bei denen die Kos- ten teilweise oder gänzlich von Seminarspon- soren gedeckt werden, werden die Teilnehmer- adressen den jeweiligen Sponsoren zur Verfügung gestellt.

Annullierungsbedingungen

Bei Abmeldungen oder Fernbleiben werden fol- gende Unkostenbeiträge erhoben:

– 50 CHF pro Person ab 14 Tage vor Seminar- beginn;

– 100 CHF pro Person ab 7 Tage vor Seminar- beginn oder Fernbleiben.

Ouverture et reprise d’un cabinet médical

Le séminaire est destiné aux médecins sur le point d’ouvrir un cabinet médical (individuel ou de groupe), de joindre un cabinet de groupe ou de reprendre un cabinet existant.

Contenu

– Business plan (préparation du plan de fi- nancement et crédit d’exploitation, finance- ment par la banque)

– Aménagement (implantation, projet et concept d’aménagement, choix du mobilier, budget)

– Estimation d’un cabinet (inventaire et goodwill)

– Administration d’un cabinet médical – Assurances

– Passage du statut de salarié à celui d’indé- pendant

– Fiscalité.

Sponsors

Les coûts sont pris en charge par divers spon- sors (voir www.fmhservices.ch).

Dates

K20 Jeudi Lausanne

5 mars 2015 Mövenpick

13h30–18h00

K21 Jeudi Genève

7 mai 2015 Crowne Plaza 13h30–18h00

K22 Jeudi Lausanne

3 septembre 2015 World Trade 17h00–21h30 Center

K23 Jeudi Genève

19 novembre 2015 Crowne Plaza 13h30–18h00

Remise d’un cabinet médical

Le séminaire s’adresse aux médecins désirant remettre un cabinet médical. Idéalement 5–10 ans avant la remise prévue (pour des ques- tions de taxation et prévoyance).

Contenu

– Aspects juridiques (autour du contrat de remise/reprise)

– Estimation d’un cabinet (inventaire et goodwill)

– Assurances (prévoyance, assurances à l’in- térieur et autour du cabinet)

– Conséquences fiscales d’une remise.

Sponsors

Les coûts sont pris en charge par divers spon- sors (voir www.fmhservices.ch).

Dates

K24 Jeudi Lausanne

28 mai 2015 World Trade

13h30–18h00 Center

K25 Jeudi Genève

12 novembre 2015 Crowne Plaza 13h30–18h00

Cabinet de groupe

Le séminaire s’adresse aux médecins en forma- tion voulant exercer leur future activité en cabinet de groupe et aux libres praticiens qui souhaitent affilier leur cabinet individuel à un cabinet de groupe.

Contenu

– Stratégie (objectifs du cabinet de groupe;

structure de l’offre de prestations)

– Entrepreneurs (composition de l’équipe;

règles de conduite; participation financière et modèles de rémunération)

– Finances & droit (assurances, prévoyance et FMH SERVICES La plus grande organisation de services du corps médical 57

(13)

patrimoine; forme juridique, finances et impôts)

– Lieu d’implantation & immobilier (exi- gences locales; analyse de la situation concur- rentielle; aménagement du cabinet et coûts) – Ressources humaines (qualifications; lois,

règlements et contrats)

– Direction & organisation (structure et pro- cessus; tâches, responsabilités et compé- tences)

– Informatique & administration (attentes en matière de système informatique pour le cabinet; évaluation)

– Rapport d’expérience (rapport de l’expé- rience d’un médecin, cofondateur d’un cabinet de groupe de la région).

Sponsors

Les coûts sont pris en charge par divers spon- sors (voir www.fmhservices.ch).

Date

K85 Jeudi Genève

23 avril 2015 Crowne Plaza 13h30–18h00

K86 Jeudi Lausanne

24 septembre 2015 World Trade

13h30–18h00 Center

Constitution de patrimoine et optimisation fiscale

Le séminaire s’adresse aux médecins qui ne veulent pas laisser au hasard la planification de leur prévoyance et l’optimisation fiscale.

Contenu

Constitution de patrimoine et prévoyance – Quel est le besoin éventuel de capital ? – Ma solution de prévoyance professionnelle

est-elle suffisante ou y a-t-il des lacunes ? – Ma famille est-elle protégée ?

– Les risques (en cas de soins ou de décès) sont-ils couverts ?

– Une retraite anticipée est-elle possible pour moi ?

Planification et optimisation fiscales – Comment optimiser ma taxation de ma-

nière durable ?

– La transformation de la forme juridique du cabinet est-elle judicieuse?

– Comment régler ma succession à long terme ? Coûts

100 CHF (y compris documents de cours et col- lations)

Date

K40 Jeudi Genève

30 avril 2015 Crowne Plaza 17h00–20h00

Inscription et information

www.fmhservices.ch ou FMH Consulting Ser- vices, Cornelia Fuchs, Burghöhe 1, 6208 Ober- kirch, tél. 041 925 00 77, fax 041 921 05 86.

Remarque

Les adresses des participants aux séminaires dont les coûts sont couverts en partie ou totale- ment par des sponsors sont communiquées aux sponsors concernés.

Conditions d’annulation

Un montant est perçu pour une absence ou une annulation. Il est de:

– 50 CHF par personne dans les 15 jours avant le début du séminaire;

– 100 CHF par personne dans les 7 jours avant le début du séminaire.

Apertura e rilevamento di uno studio medico

Il seminario è destinato ai medici in procinto di aprire o di rilevare uno studio medico.

Contenuto

– Business Plan (preparazione del piano di finanziamento e del credito d’esercizio, pre- stito bancario)

– Pianificazione (insediamento, progetto e pianificazione, scelta del mobilio, budget) – Valutazione di uno studio medico (inven-

tario e goodwill)

– Amministrazione di uno studio medico (interna allo studio, rapporti con la banca) – Assicurazioni (tutte le assicurazioni neces-

sarie interne ed esterne allo studio) – Passaggio dallo stato di dipendente

a quello di indipendente – Fiscalità.

Sponsor

Diversi sponsor si fanno carico delle spese (si rimanda al sito www.fmhservices.ch).

Date

K50 Giovedì Chiasso

16 aprile 2015 FMH Consulting dalle 14.00 alle 17.30 Services

K51 Giovedì Chiasso

22 ottobre 2015 FMH Consulting dalle 14.00 alle 17.30 Services

Studio medico associato

Il seminario è destinato ai medici in formazione che desiderano esercitare la loro futura attività in uno studio medico associato. Liberi praticanti che auspicano affiliare o che hanno già affiliato il loro studio medico individuale ad uno associato.

Contenuto

Strategia (obiettivi dello studio medico asso- ciato, struttura dell’offerta delle prestazioni) – Imprenditori (composizione del gruppo di la-

voro e regole di condotta, partecipazione finanziaria e metodi di remunerazione) – Finanze e diritto (assicurazioni, previdenza e

patrimonio, forma giuridica, finanze e fisca- lità)

Ubicazione e allestimento dello studio (esi- genze dei locali e analisi della situazione con- correnziale, allestimento dello studio e costi) – Risorse umane (qualifiche, regolamenti

e contratti)

Direzione e organizzazione (struttura e pro- cedimenti, compiti, responsabilità e compe- tenze)

Informatica e amministrazione (aspettative dal sistema informatico per lo studio, valuta- zione dei sistemi d’informazione.

Sponsor

Diversi sponsor si fanno carico delle spese (si rimanda al sito www.fmhservices.ch).

Date

K88 Giovedì Chiasso

7 maggio 2015 FMH Consulting dalle 14.00 alle 18.00 Services

Iscrizioni e informazioni

www.fmhservices.ch o FMH Consulting Servi- ces, Cornelia Fuchs, Burghöhe 1, 6208 Ober- kirch, tel. 041 925 00 77, fax 041 921 05 86.

Osservazioni

Gli indirizzi dei partecipanti ai seminari, i cui costi sono coperti in parte o completamente da degli sponsor, vengono comunicati agli spon- sor interessati.

Condizioni d’annullamento

Un importo verrà rimborsato in caso di as- senza o annullamento. Esso sarà di:

– 50 CHF per persona entro i 15 giorni prima dell’inizio del seminario;

– 100 CHF per persona entro i 7 giorni prima dell’inizio del seminario.

FMH SERVICES La plus grande organisation de services du corps médical 58

Références

Documents relatifs

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