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L e s C o n s u l a t s s u i s s e s à l ' é t r a n g e r r e ç o i v e n t l e j o u r n a l . pa Quinzième Année. — N° 37.

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L e s C o n s u l a t s s u i s s e s à l ' é t r a n g e r r e ç o i v e n t l e j o u r n a l . pa Quinzième Année. — N° 37.

P r i x d u n u m é r o 1 0 c e n t i m e s

Jeudi 10 Mai 1900.

B u r e a u x : R u e d e la S e r r e , 5 8 .

ABONNEMENTS

Un an: Six mois:

Suisse . . . . Fr. 6»— Fr. 3»—

Union postale » 12»— » 6»—

On s'abonne a tous les bureaux de poste.

Paraissant le Jeudi et le Dimanche à la Chanx-de-Fontls

ANNON6ES

Provenant de la Suisse 20 et. la ligne

» de l'étranger 25 » » Minimum d'une annonce 50 cent.

Les annonces se paient d'avance.

O r g r a n e d e l a S o c i é t é i n t e r c a n t o n a l e d e * I n d u s t r i e * d u J u r a , d e * C h a m b r e » d e c o m m e r c e , d e s B u r e a u x d e c o n t r ô l e e t dem S y n d i c a t * p r o f e s s i o n n e l * .

Bureau des Annonces: HAASENSTEIN & VOGLER, 3 2 , rue Leopold Robert, CHAUX-DE-FONDS et succursales en Suisse et à l'étranger.

Pour les assurances

M. le conseiller fédéral Comtesse a prononcé dimanche à Corcelles, à une réunion de délé- gués de l'association patriotique radicale, un discours dont voici un résumé :

J e sais bien que la solution que nous avons donnée au problème posé par l'article 34 de la Constitution fédérale ne rencontre pas l'ad- hésion u n a n i m e , et qu'il existe, môme au sein du parti radical, des divergences qui subsis- teront. Mais nous pouvons cependant nous expliquer en toute franchise, en toute bonne foi et en toute bonne humeur, en conservant les uns pour les autres cette vieille amitié qui a toujours régné au sein de la famille radi- cale.

Le problème des assurances ayant été posé par le peuple et les cantons, nous avons sin- cèrement cherché à le résoudre, et nous croyons bonne la solution que nous avons trouvée. Si aujourd'hui le peuple ne nous donne pas raison, l'idée n'en fera pas moins son chemin, tout comme celle du rachat, et peut-être, dans 10 ou 15 a n s d'ici, acclame- rons-nous à l'unanimité une solution sembla- ble à celle qui soulève à l'heure actuelle tant d'opposition.

L'article 34 de la Constitution fédérale dit que la Confédération doit d'instituer l'assu- rance contre la maladie et les accidents en tenant compte des caisses libres et avec la fa- culté de rendre l'assurance obligatoire.

Les autorités fédérales ont reconnu qu'il fallait décréter l'obligation. Ceux qui récla- ment une assurance facultative n'ont qu'une connaissance incomplète du problème. La loi nouvelle ne crée pas l'obligation, puisque celle-ci existe, depuis 1881, pour 350,000 ou- vriers en vertu de la loi sur la responsabilité civile. Cette assurance restreinte aux accidents professionnels, la loi ne fait que l'étendre et la développer. En décidant que l'assurance était facultative, nous aurions fait un pas en arriére, et personne ne nous eût approuvés.

El quels résultats aurions-nous obtenus?

Assurément pas tous ceux que nous désirons.

Numa Droz l'a dit avec raison : « L'obligation se Justine quand un intérêt supérieur l'exige.»

Dans le domaine des assurances, comme dans le domaine scolaire, l'initiative privée est im- puissante. Nous le voyons bien par nos socié- tés de secours mutuels qui, malgré de loua- bles efforts, n'ont réussi à grouper que 150,000

mutualistes. Qu'est-ce que ce chiffre comparé à la grande armée des travailleurs qui de- vraient bénéficier de l'assurance ? P u i s les so- ciétés de secours mutuels sont obligées de sé- lectionner les risques, de repousser les citoyens qui ne sont pas en bonne santé, c'est-à-dire ceux-là mêmes qui auraient le plus grand be- soin de l'assurance.

Où doit commencer, où doit finir l'obliga- tion ? la question a été longuement examinée.

On nous a dit : « Commencez par assurer les ouvriers soumis à la loi sur la responsabilité civile. » C'était mon idée. Mais nous nous sommes trouvés en présence des agriculteurs et des petits industriels, qui ont réclamé d'être à leur tour mis au bénéfice de dispositions légales.

Les petits patrons nous ont fait remarquer combien était injuste la situation crée par la loi sur la responsabilité civile. Tandis qu'un patron occupant plus de cinq ouvriers n'est responsable, en cas d'accident, que jusqu'à concurrence de 0000 fr., un agriculteur ou un petit patron est soumis au droit commun, c'est-à-dire que les tribunaux apprécient le dommage sans être limités par une loi. On a vu de la sorte un fermier condamné à payer 9200 fr. à un ouvrier de campagne auquel il avait fallu, à la suite d'un accident, amputer une jambe. Dans un cas beaucoup plus grave, le chef d'une industrie occupant plus de cinq ouvriers n'aurait eu à payer que 6000 fr. Les agriculteurs et les petits patrons sont donc fondés lorsqu'ils crient à l'injustice et à l'iné- galité-

Si les uns nous reprochent d'avoir trop étendu l'obligation, d'autres font l'objection contraire, et nous disent : « Pourquoi ne pas avoir englobé dans l'assurance l'ensemble des citoyens ; c'eût été conforme à nos idées d'égalité. » Nous pouvons leur répondre que le devoir social et l'égalité ne consistent pas à protéger ceux qui n'ent ont nul besoin. No- tre premier devoir est de venir en aide à ceux qui luttent contre les dificultés dé l'existence, à ceux qui gagnent leur vie au jour le jour, à ceux que la maladie ou l'accident risquent de plonger dans la misère.

L'opposition à la loi, dans le canton d e Neuchàtel du moins, provient surtout des so- ciétés de secours mutuels. L'orateur voit avec un véritable chagrin les mutualistes mécon- naître tous les avantages qui leur sont accor-

dés. Il doit y avoir à ce sujet un formidable malentendu.

M. Comtesse rappelle qu'au sein de la com- mission du Conseil national il n'a cessé, pen- dant deux années, de demander qu'il soit donné satisfaction a u x mutualistes. Ces der- niers ont été entendus par l'organe de leurs délégués. Us ont demandé que la loi recon- naisse l'existence des caisses libres et que cette existence ne dépende en aucun cas du plus ou moins de prospérité des caisses offi- cielles ; on le leur a accordé. Ils ont demandé que les caisses libres puissent choisir leurs assurés, tandis que les caisses officielles d'ar- rondissement doivent accepter tous les ris- q u e s ; il leur a été donné satisfaction. En outre, les caisses libres ont obtenu le subside fédéral et la franchise de port tout comme le^;

caisses officielles. P o u r répondre à un vœu des mutualistes, on a créé deux sortes de caisses l i b r e s : les caisses A , qui doivent se conformer à la loi et qui peuvent exiger le versement de la quote-part des patrons, et les caisses B, qui ne sont tenues qu'à subvenir a u x soins médicaux et à verser une indemnité de 1 fr. par jour. On a donc fait aux mutua- listes toutes les concessions possibles: dans celte direction, on est allé jusqu'à l'extrême limite. Il est impossible d'imaginer une loi qui offre à nos sociétés des avantages plus-impor- tants. Les mutualistes Vaudois ont su le re- connaître.

On fait à la loi d'autres reproches.

Elle est compliquée. C'est vrai, mais il est impossible qu'une loi d'assurance ne le soit pas. L'assurance est aujourd'hui une science qui a ses techniciens ; on ne saurait traiter la matière en quelques articles. Ceux qui criti- quent la loi seraient bien embarrassés de dire comment elle pourrait être simplifiée.

Elle est trop longue : l'électeur recule, ef- frayé, devant ses 400 articles ! Si elle était plus courte, on lui reprocherait sa brièveté.

On craindrait non sans raison de l a v o i r com- pléter par des règlements administratifs, où souvent l'on va beaucoup trop loin.

C'est, dit-on, une loi centralisatrice, quijure avec nos institutions föderatives. J a m a i s , au contraire, on n'a fait une loi plus fédéraliste que celle-là. La première condition posée par les fédéralistes au sein de la commission du Conseil national fut de remanier complète- ment l'administration, qui se trouvait, il est vrai, passablement centralisée dans le premier

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LA FEDERATION HORLOGERE SUISSE

projet. Les fédéralistes l'ont emporté. Ce sont les cantons qui auront la haute main dans l'administration ; ils fixeront les arrondisse- ments, les tribunaux d'arbitres : les assurés eux-mêmes auront des compétences très éten- dues. \

La loi est bureaucratique. Sans doute, elle exigera des fonctionnaires, car un organisme qui englobe des centaines de mille assurés ne saurait fonctionnner tout seul : mais le nom- bre des employés a été réduit au strict néces- saire : grâce à l'organisation décentralisée qui est prévue, une partie des attributions nouvel- les pourront être confiées à des fonctionnaires c a n t o n a u x existant déjà.

La loi est tyrannique, elle prévoit à chaque instant des amendes et des pénalités. Mais toutes les lois renferment des dipositions ana- logues.' Les lois scolaires, les lois sur les res- ponsabilités civiles ne prévoient-elles pas des amendes? El nos sociétés de secours mutuels, n ' o n t - e l l e s pas dans leurs règlements des amendes pour les sociétaires qui ne remplis- sent pas leurs obligations^ Ce sont là des sanctions nécessaires, inévitables.

Toutes les objections ci-dessus ont leur im- portance, et sont habilement mises en valeur par les adversaires de la loi.

Mais il en est une qui les domine toutes : c'est la question des frais et de la façon dont on les répartit entre les intéressés. Le patron estime qu'on le charge outre mesure, et que la Confédération devrait payer davantage : l'ouvrier demande que le patron prenne tout à sa c h a r g e : la maîtresse de maison n'accepte pas facilement de payer une partie de la prime de sa domestique et ainsi de suite...

Ah ! combien l'idée de mutualité et de soli- darité, qu'on fait sonner si haut dans nos fê- tes, est encore peu comprise ! On veut bien faire de temps à autre un sacrifice. Mais quand il s'agit d'un effort continu, c'est autre chose.

Ici encore, nous ferons notre éducation, com- me nous l'avons faite dans d'autres domaines, et la grande idée de solidarité finira par triom- pher des obstacles que dresse devant elle un égoïsme souvent inconscient.

Il est vrai que la question des frais est dé- licate. Elle a dû être sérieusement étudiée.

P a r t a n t de cette idée que l'assurance doit être une mutualité, on fait coopérer au paie-

ment de la prime l'ouvrier, le patron et la collectivité, c'est-à-dire la Confédération.

L'ouvrier doit intervenir. Il y a une question de dignité. Il ne faut pas que le travailleur malade ou victime de l'accident reçoive une aumône. L'indemnité qui lui est versée doit l'être en vertu d'un droit acquis. Et il pourra, après comme avant, m a r c h e r la tète haute, sans que personne ait rien à lui reprocher, sans être exposé à entendre des paroles bles- santes. Tel est le principe moral, juste et fé- cond que nous avons voulu sauvegarder en exigeant de l'ouvrier le paiement d'une part équitable de la prime.

Le patron est aujourd'hui déjà responsable pour une part ; sa situation reste à peu prés la môme. Personne ne ccnteste qu'il a le devoir de venir en aide à ceux qui, par leur travail, contribuent à sa prospérité.

Enfin la Confédération, prêtant son appui aux uns et aux autres, accomplit ainsi le de- voir social qui incombe à la collectivité.

La conception qui consiste à associer l'em- ployé, l'employeur et l'Etat est plus juste, plus vraie, que celle de la France ou de l'Allemagne, où le patron paie la totalité de la prime pour l'assurance contre l'accident.

Elle présente de plus le grand avantage de ne pas faire de distinction entre l'accident professionnel et celui qui ne l'est pas, distinc- tion très difficile à établir, source de conflits incessants entre le patron et l'ouvrier.

En échange de ses versements, l'ouvrier reçoit : a) en cas de maladie, les secours mé- dicaux complets, plus une indemnité de chô- mage qui est dans la régie du 00 °/», mais qui peut s'élever au 1 0 0 % du salaire quotidien, et cela pendant une a n n é e : b) en cas d'acci- dent, les soins médicaux complets, une in- demnité de chômage, et une rente viagère s'il y a invalidité totale ou partielle. Ce sont là, en échange d'une cotisation en somme peu élevée, des avantages considérables.

Quant au patron, il est déchargé de respon- sabilités qui peuvent devenir très lourdes, même ruineuses.

A ceux qui prétendent que l'assurance sera une mauvaise affaire pour notre industrie, nous pouvons opposer l'exemple de l'Alle- magne, qui est en passe de conquérir le mar- ché du monde. Et la force expansive de l'in-

dustrie allemande date précisément de l'épo- que où nos voisins du Nord ont introduit chez eux les assurances ouvrières, qui ont été là- bas, dans le monde industriel, un élément de cohésion et de vitalité.

Dans les calculs qu'ils ont établis, bon nombre de nos industriels ont forcé les chif- fres. M. Comtesse cite des exemples qui re- mettent toutes choses au point.

Il ne faut du reste pas trop comparer les charges actuelles avec celles de la loi. Si la loi est rejetée, nous devons revoir ce qui con- cerne la responsabilité civile. La limite ac- tuelle de 0000 fr. est manifestement insuffi- sante en cas d'accident grave. En France, elle a été portée à 20,000 fr. S'il en est de même chez nous, les patrons verront leurs charges augmenter, sans retrouver pour au- tant les avantages de l'assurance.

Ceux d'entre eux qui jugeront les primes trop élevées et qui craindront de payer pour d'autres pourront instituer une caisse libre B.

payant un fr. par jour à côté des soins médi- caux, et deviendront ainsi leurs propres assu- reurs.

Pour peu que nos chefs d'industrie veuillent bien réfléchir et examiner la situation sous toutes ses faces, ils ne tarderont pas à se r a s - surer. Malheureusement le temps fait défaut pour réfléchir suffisamment. Il a fallu deux a n s et demi au sein de la commission pour se mettre d'accord : il faudrait disposer de trois ou quatre années pour s'expliquer utilement devant le peuple. Et la votalion a lieu dans quinze j o u r s !

Tout ce que nous pouvons dire, c'est que ceux qui rejetteront la loi le 20 mai risquent de le regretter plus tard.

Comme toute œuvre humaine, cette loi a ses imperfections, qui pourront être corrigées dans la suite. Mais c'est une œ u v r e de bonne foi, de bonne volonté, de progrès et de ré- formes sociales. Il faut la juger avec le c œ u r , et non seulement avec la raison.

L'assemblée a voté, à l'unanimité, une ré-

| solution d'après laquelle le parti radical ne prendra pas position dans la votation du i 20 mai.

Examens professionnels d'apprentis.

Le programme général des examens d'apprentis, qui est en préparation, indique comme suit les dates s u r lesquelles sont fixés ces examens selon les métiers. Vu les modifications possibles, les intéressés devront toutefois s'en tenir au texte définitif du p r o g r a m m e : celui-ci leur sera expédié assez à l'avance.

Professions 1.

2.

3.

4.

5.

0.

7.

8.

9.

10.

11.

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13.

•14.

15.

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Démontage-remontage Echappements . . . . Emboîtages

Finissage et polissage . Mécanique dentaire . . Mécanique (2 groupes à 2 jours chacun) Montage de boites . . Pendants

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17. Charronnage . . . . 18. Ebénislerie

19. Ferblanterie . . . 20. J a r d i n s - horticulture . 21. Maréchalerie . . . . 22. Menuiserie (2 groupes il 2 joins chacun) 23. Peinture-gypserie . . . 24. Poêlerie

•K •). Sellerie (2 groupes à I jour chacun)

L'examen aura lien ;

samedi 9 juin lundi 4 juin

vendr. 29 et sain. 30 juin ))

samedi 20 mai samedi 9 juin vendredi <S juin jeudi 21 juin et jours sui\.

vendr. et sain. 8 et 0 juin

» samedi 20 mai samedi 23 juin samedi 20 mai

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» samedi 20 mai

»

vendr. et sain. Sel 9 juin samedi 20 mai (terminé) samedi 26 mai merer. 13 juin et jours suivi vendr. 25 et sain. 20 mai samedi 20 mai vendredi 8. samedi 9 juin Tous les apprentis recevront, à temps utile, les renseignements qui les concernent

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Confiserie . . . . Cuisine . #. . Lingerie . . . . Modes

Repassage du linge 37. Tailleuses en robes . . .

(2 groupes à 2 jours chacun) 39. Tailleuses p1' jeunes gens 39. Tailleurs . . . . ' . . . 40. Commerce .

41. Imprimerie 42. Reliure . .

43. Dessin (ensemble des trataui) . . 44. Travaux écrits (ensemble)

L'examen aura lien à Date

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mercredi 30 mai en septembre mardi 5 juin en septembre (terminé) jeudi 19 juillet

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app. deChx-dfi-Fds: mardi el merer. 17 et 18 juillet app. du reste du canton :

jeudi, vendr., 19. äOjuil.

jeudi 19. vendr. 20 juillet mercredi :!(). jeudi :tl mai lundi 4 juin

sain.9.dim. lujiiiii.N'euch.

dim. 10 juin, Cli-de-Konds dim. 17 juin. Locle samedi i) juin en juillet -. ne concernent

rpie les experts.

Neuchàtel \

ils n'ont pas besoin de les réclamer. (Communiqué prl'Inspectorat cant, des apprentissages.)

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LA FEDERATION HORLOGERE SUISSE 235

Exposition universelle de Paris, en 1900

Les autorités supérieures de l'Exposi- tion brûlent les étapes.

Après avoir inauguré, alors q u e rien n'était prêt, les voilà qui décrètent q u ' o n ne recevra plus aucun produit après le 1 2 mai. Encore faudrait-il q u e tout fût prêt pour pouvoir installer.

Mais ce qui cause la plus grande sur- prise, c'est l'avis de la convocation du j u r y international p o u r le 17 mai, à Paris.

En prévision de cette convocation, le Département fédéral du commerce a convoqué, mercredi 9 mai, la commission centrale de l'Exposition, avec, à l'ordre du j o u r : Propositions p o u r la nomina- tion des m e m b r e s suisses du jury inter- national.

A travers l'Exposition

L'Exposition n'a encore été ouverte qu'à tous les vents, dit Aurèlien Scholl dans Y Echo

de Paris.

Le spectacle sera merveilleux, on peut déjà s'en rendre compte. Cette immense cité, cet amoncellement de palais, sortis de terre com- me par un coup de baguette, forcent l'admi- ration des visiteurs. Mais les résultats de ces tours de force du génie humain sont toujours décevants. Ce qu'il s'est formé de plans, de projets, de trapes et de pièges pour la plus vaste exploitation du public, il faudrait cin- quante volumes de l'Encyclopédie pour l'en- registrer.

Une exposition a pour zélateurs les cour-

tiers en publicité, les limonadiers, les restau- rateurs, les marchands de vins et les gens qui espèrent y trouver des positions lucratives ou y décrocher des timbales de décorations.

Chaque exposition sert de prétexte à une élé- vation de prix des denrées alimentaires et ces prix restent. Le bifteck, qui coûtait un franc cinquante en 1866, s'est vendu ^francs en

iSÙ? ; en 1889, un homme de génie a inventé

la séparation du mets et de la garniture : bif- teck, 5 francs : pommes frites, 1 fr. 50. La môme distinction s'appliqua au riz de veau et à l'oseille, au pigeons et aux petits pois. Les jacobins qui payaient le bifteck « six sols » au siècle dernier, sérail certainement surpris de voir que la Déclaration des droits de l'homme a surtout consacré les droits du bifteck. La demi-tasse de café à 75 centimes, le petit verre à 3 francs (ce qui met la bouteille à cinq louis) sont autant de bienfaits des expositions.

D'autres part, ces solennités attirent à Paris un grand nombre d'ouvriers des départements.

Maçons, serruriers, terrassiers manouvriers de tous genres accourent de tous cotés. Il n'y a plus d'Auvergnats en Auvergne, plus de Sa- voyards en Savoie. Ces braves gens trouvent du travail tant que dure l'exposition, après quoi ils restent sur le pavé, augmentant le nombre déjà si considérable des bras inoccu- pés. C'est la territoriale de l'émeute. Et quand ces immigrants ont, une fois, tàLé de la grande ville, de l'assommoir et des bonnes fortunes des boulevards extérieurs, ils ne peuvent se résigner à retourner au village. Il leur faut la lumière électrique, les trottoirs, les cafés-con- certs et les réunions publiques. Plusieurs rê- vent la deputation, mais, pour un qui devient ministre, combien échouent dans les attaques nocturnes ! ,

Nouvelles diverses

D o u a n e s . — République argentine. — Une loi du 3 janvier 1900 décrétée par le con- grès argentin stipule que la taxe supplémen

r

taire de 10 % ad valorem imposée aux mar- chandises d'importation par la loi douanière du 22 septembre 1898 sera réduite à 5°/» à partir du 1

er

janvier 1900. Les marchandises qui, à teneur de la législation en la matière, sont soumises à un droit spécial, doivent ac- quitter également une taxe supplémentaire de 5 % sur.la valeur telle qu'elle est fixée par le

tarif d'estimation.

Une i n a u g u r a t i o n . — On lit dans le Cour-

rier du Val-de-Travers :

Pendant qu'ailleurs, le jour du 1

er

mai re- tentit des revendications ouvrières, le person- nel des fabriques de boîtes de montres Renfer célébrait avec ses patrons, comme en famille, l'inauguration des fabriques de Buttes et de Fleurier qui coïncidait, par un heureux ha- sard, avec les noces d'argent de M. et M

,ne

Renfer.

De nombreux invités, autorités des villages de Noiraigue, de Fleurier, de Buttes, des amis, des clients, des parents, venus de partout, se réunissaient, mardi à 11 h., pour visiter la fabrique, construite avec toute la modernité possible et qui renferme un outillage améri- cain des plus perfectionnés. De là toute une colonne se dirige vers Beau-Site où M. Joseph Kauffmann avait préparé, avec le talent qu'on lui connait, un dîner de 200 couverts.

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