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L e s C o n s u l a t s s u i s s e s à l ' é t r a n g e r r e ç o i v e n t l e j o u r n a l . pa Douzième Année. — N

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L e s C o n s u l a t s s u i s s e s à l ' é t r a n g e r r e ç o i v e n t l e j o u r n a l . pa Douzième Année. — N

0

35.

Prix du n u m é r o 10 centimes

Dimanche 2 Mai 1897.

Bureaux: Rue de la Serre, 58.

Un an : Six mois

Suisse . . . . Fr. Ij»— Kr. Ά»—

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Oi'jsrmie d e In S o c i é t é i n t c r c a n t o n a l e «les* lsi«lu-.<rie» d n J u r a , de** Cliaoil>re*> tic c o m m e r c e , d e » l i i i i - c a n x d e c o n t r ô l e e t d e s S y n d i c a t » lu-ofCMwioiiiielN.

L'Enseignement professionnel des apprentis en Belgique

« A aucune époque de notre civilisa- tion, grâce aux moyens de transport fa- ciles et multipliés, le commerce interna- tional n'a acquis un développement aussi considérable qu'aujourd'hui. Mais l'étendue du champ commercial oblige aussi à viser bien plus qu'autrefois an caractère de l'universalité, et à modifier les besoins régionaux et locaux.

Le peuple qui est le plus capable de s'instruire et qui sait le mieux fondre dans son caractère ce que le passé ofi're de meilleur avec ce que réclame le pré- sent, pourra, comme peuple civilisé, occuper le premier rang, remporter la victoire et voir la prospérité s'établir dans son sein. »

Ainsi s'exprimait un jour, en parlant de renseignement professionnel, à la société suisse d'utilité publique, M.Fisch- bach, de St-GaIl.

Si ces paroles vraies s'adressent in- distinctement à tous nos peuples d'Eu- rope, elles sont particulièrement à mé- diter par les petits Etats, comme la Suisse et la Belgique, dont la force consiste, avant tout, dans le développe- ment des individualités. L'atelier, dès lors, ne suffit plus pour faire l'instruc- tion de l'apprenti qui doit, par nécessité des temps, acquérir des connaissances toujours plus n o m b r e u s e s et plus va- riées: mais l'école professionnelle don- nera à l'artisan le savoir et l'habileté qui lui sont indispensables pour produire utilement et avec le plus d'avantages possibles, ce que ne p o u r r a jamais faire la machine, quel que soit son méca- nisme perfectionné, parce qu'elle est privée de raison.

Pour en arriver là, l'éducation intel- lectuelle doit marcher de pair avec le travail manuel, et on ne saurait trop tôt

habituer la jeunesse à ce dualisme, aussi bien dans son intérêt particulier (pie dans l'intérêt général de la nation.

Sous ce rapport, la Belgique, il y a quelque trente ans, tenta un louable et énergique effort, en adoptant et mettant en pratique, des premières, dans ses écoles du jeune âge, les enseignements de F r œ b e l . Elle s'arrêta malheureuse- ment en chemin, et les .travaux manuels n'ont pas encore, actuellement, franchi d'une manière un peu générale le seuil de ses écoles primaires.

11 est logique cependant de continuer renseignement des travaux manuels pen- dant tout le temps scolaire, surtout si l'on considère que cet enseignement, en se développant, ne peut que fortilier la faculté créatrice que l'enfant a en soi, compléter son éducation d'une manière harmonique, aider enlin, à la compré- hension d'autres matières enseignées, telles le dessin, la géométrie, la physique.

Mais il faut commencer par d o n n e r le goût de cet enseignement aux futurs instituteurs, autrement dit, aux élèves des écoles normales, et lui accorder une importance, même dans les examens, qui j u s q u ' à maintenant, lui a été refusée, du moins en Belgique ; aussi attribuons- nous, en grande partie, à ce fait la cause du peu de développement (pie les tra- vaux manuels ont pris dans nos écoles primaires.

Si nous considérons, d'autre part, la situation, en notre pays, de l'enseigne- ment professionnel p r o p r e m e n t dil, ce- lui qui doit suppléer à l'insullïsance de l'apprentissage et préparer des ouvriers réellement capables pour les différentes branches de notre industrie, nous devons reconnaître qu'il n'a, non plus, reçu toutes les extensions, tous les dévelop- pements désirables. II serait assez diffi- cile, pour le moment, d'établir exacte- ment cette situation, étant donné que,

dequis 1884, aucun rapport, aucune statistique n'a été publiée au sujet de cet enseignement. C'est dire sullisamment en quel oubli coupable il a élé laissé par le gouvernement en ces dernières années.

Aussi, dans la discussion du budjet de l'industrie et du travail qui vient d'avoir lieu à la Chambre des représentants, les réclamations ont été n o m b r e u s e s ; des orateurs de tous les partis et fractions de partis dont se compose aujourd'hui la Chambre belge, se sont élevés contre cette indifférence et ont demandé une p r o m p t e et énergique intervention gou- vernementale pour donner à notre en- seignement technique tous les dévelop- pements dont il est susceptible et qu'il importe de lui communiquer, sans plus de retard, si l'on ne veut c o m p r o m e t t r e les intérêts de notre industrie sur le grand marché international. Or, ni plus ni moins d'un tiers de la production nationale est aujourd'hui engagé dans le commerce de nation à nation.

L'émotion qui s'est subitement empa- rée de nos gouvernants se conçoit donc aisément; elle a du reste été partagée par le ministre même du département de l'industrie et du travail qui s'en est exprimé en disant : « On est unanime, sur tous les bancs de Ia Chambre, p o u r émettre le vœux que l'enseignement in- dustriel, professionnel et ménager re- çoive, dans notre pays, les développe- ments les plus considérables. Le souci de répandre les institutions d'enseigne- ment technique nous est d'ailleurs inspiré par l'exemple des nations étran- gères et par la volonté, que nous avons tous, de sauvegarder et de développer la prospérité de nos industries. »

Nous pouvons donc, pour l'avenir, compter que le gouvernement se char- gera de p r o v o q u e r la création de nou- velles écoles professionnelles et qu'il y aidera par ses subsides, de même que

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190 LA FEDERATION HORLOGERE SUISSE

les autres pouvoirs publics : Provinces el Communes.

E n 1880, nous avions vu se fonder une œuvre des écoles professionnelles organisée par l'initiative privée : son siège était dans la capitale el elle avait constitué des comités locaux dans les principaux centres de population du pays.

Tandis que le comité de Bruxelles par- venait à fonder une école d'horlogerie, celui de Liège jetait les bases d'une école de tailleurs sur le modèle de celle déjà existante dans cette première ville et qui était aussi due à l'initiative des mar- chands tailleurs. Peu de temps après, ce m ê m e comité contribuait activement à la fondation d'une école d'horticulture, d'arboriculture et de culture maraîchère.

Ces trois institutions subsistent et sont prospères, mais l'œuvre des écoles p r o - fessionnelles ne fit guère plus et, deux ans après sa constitution, elle avait déjà cessé d'exister.

Il n'en était pas moins établi que l'ini- tiative privée, si elle était suffisamment stimulée, pourrait utilement concourir au développement de notre enseignement industriel et professionnel. C'est par elle, du reste, que nons avons encore vu se fonder, depuis lors, des écoles de laiterie en plusieurs points du pays, une école manufacturière à Yerviers et, plus r é c e m m e n t , une école d'armurerie à Liège. Aussi, le gouvernement se pro- pose-t-il de faire, de nouveau, appel à cette initiative de liberté, se réservant de n'intervenir que par voie de subsi- d e s ; mais bien résolu également, nous dit-on, de se mettre lui-même à la lâche, p o u r le cas où les initiatives seraient t r o p lentes à se produire.

L'importance du problème à résoudre parait, aujourd'hui, être beaucoup mieux saisie qu'il y a dix ans, or. pour peu que t o u s : pouvoirs publics, patrons el ouvriers se prêtent u n mutuel appui en la circonstance, le fassent sans plus de retard, nous ne verrons pas compromis les intérêts de nos industries nationales qui sont, en somme, ceux de la nation tout entière. Et le premier qui tirera profil de l'étal de chose amélioré sera certainement l'ouvrier, car ainsi que le disait dernièrement à la Chambre M. Hec- tor Denis, l'école professionnelle per- mettra à l'ouvrier, d'une part, de s'adap- ter à des conditions nouvelles de travail, de l'autre d'exercer avec le plus haut degré de perfection el de productivité possible la branche de l'industrie, à la- quelle il s'appliquera. Ce problème est, au surplus, un des rares où l'entente puisse s'accomplir sans eonllits, sans avoir à rencontrer trop d'obstacles, non seulement entre les partis, mais entre les classes.

Comme exemple frappant des avanta- ges que le travailleur peut retirer d'un enseignement industriel bien organisé,

ce fait, emprunté à un rapport récent de

notre Association des maîtres de carrière, vaut la peine d'être cité:

Nous avons, en Belgique, deux centres principaux de production de la pierre, l'un aux Ecaussines, dans la province du Hainaut, l'autre dans la province de Liège. Les ouvriers carriers des Ecaus- sines reçoivent 3 ftans par mètre carré de pierres, ceux de la province de Liège i francs: or, il est constaté que le gain journalier de l'ouvrier des Ecaussines

est généralement supérieur au salaire de l'ouvrier de Liège, bien que, par unité, ce dernier salaire soit de 2;i°/o supérieur au salaire payé aux ouvriers des Ecaus- sines.

Et le rapport des maîtres de carrières n'hésite pas à dire que cela est dû aux développements de l'enseignement tech- nique au sein de la population ouvrière des Ecaussines.

L'atelier ne pent plus suffire à l'ap- prentissage du bon ouvrier, personne aujourd'hui ne le conteste ; par nécessité donc autant que par devoir, plaçons, par- tout à côté dé l'atelier, l'école profession- nelle qui en est devenue le complément indispensable. Ce n'est qu'à celle condi- tion, comme le disait dernièrement à la Chambre belge M. Hector Denis, que nous assurerons à l'ouvrier la capacité de conjurer les effets funestes de la division du travail, de la transformation inces- sante des machines el, au moins dans u n e certaine mesure, des crises indus-

trielles. Alfred Micha.

Une statistique. — Les grèves en 1896.

L'action des syndicats

L'Office du travail vient de publier une sta- tistique non pas réjouissante, mais moins alarmante qu'on ne l'eut pu craindre. Il y a eu, l'an dernier, 470 grèves. Chiffre certes considérable et qui même, tout d'abord, sem- ble accuser une aggravation des troubles du travail, puisqu'il excède de Tl celui de 1895.

Or. ce n'est pas tout à fait vrai. Car, tandis qu'en 1895, le nombre des journées chômées avait été de 618,896, soit un chômage moyen de treize journées et demie, le nombre total des grévistes étant de 45,801, le nombre des journées chômées a été, en 1896, de 6 i l , 168, ce qui représente moins de treize journées de chômage par gréviste, le nombre des grévistes s'étant élevé à!49,851. 306 grèves, en effet, ont duré moins de huit jours: 98 de huit à quinze: 90 une journée ou moins d'une jour- née ; 97 d'un à;deux jours. Et c'est, maintes fois, par scrupule d'exactitude que l'Office du travail a voulu 'enregistrer une grève là où ses correspondants ne lui signalaient qu'un mal- entendu sans conséquence entre patrons et ouvriers. La caractéristique de cette année semble dune être uni- brièveté croissante des différents entre le capital et le travail. Bon symptôme. Ci s accommodements plus prompts témoignent, en effet, d'une moindre tension de leurs rapports. Donc, sans exulter précisé- ment, constatons ce que cette statistique offre de rassurant, et souhaitons que 1897, les Basly el les Lamandin aidant, comme à la Grand'Combe, n'accuse pas de pires résultats.

Le directeur de l'Office du travail observe que la proportion des grévistes syndiqués est en général de 50",o. 11 ajoute que, dans 234 grèves sur les 176 de l'année dernière, les ou-

vriers étaient syndiqués en tout ou en partie.

La conclusion, c'est que les syndicats incitent aux conflits, bien loin de le prévenir, comme c'était, dans la pensée du législateur de 1884, le but essentiel de leur institution. De sorte qu'il ne resterait plus, à ce législateur, qu'à faire un méâ eu/pet plus motivé que celui de M. Pochon, s'il ne comptait sur un assagissc- menl progressif des dirigeants de ces corpora- tions. Mais peut être cette espérance est-elle chimérique, et nous craignons qu'il ne faille pas attendre de ce côté les influences apai- santes.

Nos syndiqués ont cepedant des modèles excellents dans les trade-unionistes anglais, et les travaux du Musée social —• que beau- coup d'entre eux connaissent — sur les gran- des et pacifiques associations d'outre-Manche devraient contribuer à modifier leur esprit. Il y a quelques mois seulement, M. Paul de Roussiors publiait sur le trade-unionisme une étude que nous avons eu occasion d'apprécier ici et dont un chapitre serait particulièrement à méditer pour ceux qui ont quelque action sur nos groupements ouvriers. C'est celui sur les causes générales du succès des unions. Ne parlons que du succès auprès des patrons.

Imaginerait-on, en France, rien de pareil ! En Angleterre, ce qui correspond à nos sydicats jouit de l'estime el de la faveur des patrons.

Pourquoi l Parce que ses associations, qui se donnent pour but la paix des ateliers, ne se détournent pas de leur objet, et donc, les chefs d'industrie, les sachant animées d'un esprit sincère de conciliation, ont confiance en elles, négocient volontiers avec elles. Parfois, d'un commun accord, un conseil est institué pour régler toutes les difficultés possibles, et en de- hors de ces cas d'arbitrage permanent, jamais un conflit n'éclate sans qu'un comité mixte n'examine les questions pendantes, et souvent ce comité tranche le différent. A Newcastle, dans une réunion ouvrière pourtant très vio- lante, M. de Roussiers entendait un charpen- tier de Manchester se vanter de ce que, depuis plusieurs années, son Union avait terminé, entre patrons et ouvriers, quarante-neuf litiges sur cinquante. Il rapporte aussi le mot du se- crétaire d'une Union de tailleurs de pierre :

« Voyez-vous, les patrons sont exactement ce que nous les faisons». Enfin il cite l'exemple du comte de Warwick, propriétaire de mines considérables, qui a donné à ses agents l'ordre formel de ne jamais prendre de décision im- portante au sujet du personnel ou du travail sans en avoir préalablement conféré avec le réprésentant des mineurs.

Correspondant parisien du Journal de Genève.

B r e v e t s d ' i n v e n t i o n

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N" 4192. 31 mars 1897, 7 h. p. — Ouvert. — 1 modèle. — Mouvement remontoir pour montre de poche. — Braunscluveig et·

Hirsch, Chaux-de-Fonds (Suisse).

N» 4212. — 0 avril 1897, S h. a. — Ouvert.

— 6 modèles. — Calibres de montres. — Bourquin. Ferdinand. Sl-Imier (Suisse).

N" 4213. 2 avril 1897, 7 '/. h. p. — Ouvert.

j modèle. — Etui de montre. — lhdts- heim & O , Chaux-de-Fonds (Suisse).

.Mortification»

N" 334. 23 février 1892. 11 Ά h. a. — Ouvert.

7 modèles. — Boites de montres. — Perret & O . Fritz, Chaux-de-Fonds (Suisse). Cession du 31 mars 1897, en fa- veur de la «Fabrique de boites de montres

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LA F E D E R A T I O N H O R L O G E R E S U I S S E 191

or, suce, de Fritz Perret & G" (société ano- nyme)», G h a u x - d e - F o n d s (Suisse) enre- gistrement du 7 avril 1807.

N" 500 2 janvier 1803, 8 h. a. — Ouvert. — 2 modèles. — Boites de montres. — Perret

& C"·, Fritz, Chaux-de-Fonds (Suisse). — Cession du 31 m a r s 1807, en faveur de la

« F a b r i q u e de boites de montres or, suce, de Fritz Perret & Cie (société a n o n y m e ) » , Chaux-de-Fonds (Suisse): enregistrement du 7 avril 1897.

I V o I m i i i i i t l o i i M

N0 334. "23 février 1802, l l ' / s h . a. — (IIIe

période 1807/1002). — 1 modèle s u r 7. — Boites de montres — Fabrique de boîtes de montres or, suce, de lu-itz Perret &

O (société anonyme). Chaux-de-Fonds (Suisse): enregistrement du 7 avril 1807.

Consulat

Le Conseil fédéral a accepté, avec ses meil- leurs remerciements pour les services rendus·, la démission offerte, pour cause de départ, par M. Emile Meister, de Dachsen (Zurich), consul suisse à Bahia. M. Hans Massirii, de Bàle, est nommé à ce poste.

Prescriptions douanières

Vu le nombre croissant de réclamations

•ducs à la connaissance insuffisante des pres- criptions douanières, nous croyons devoir re- commander instamment au public qui a affaire a u x douanes de se mettre le plus possible au courant des prescriptions de la loi s u r les douanes du 28 juin 1803 et surtout du règle-

ment d'exécution du 12 février 1805 pour cette loi.

On peut se procurer c e s imprimés aux di- rections d'arrondissement de douanes à Bàle, Schaffhouse, Coire, Ljugano, Lausanne et Genève, au prix de 25 centimes l'exemplaire de la loi s u r les douanes et de 50 centimes l'exemplaire du règlement d'exécution.

Berne, le 27 avril 1897.

Direction générale des douanes suisses.

Avis

P a r voie d'annonces insérées dans divers journaux suisses, la société du gaz acétylène, 81, rue St-Lazare, à P a r i s , offre de faire assu- rer auprès d'une «très importante compa- g n i e » les établissemente ou habitations utili- sant l'acétylène.

D'informations prises, il résulte que la com- pagnie en question est la « P a t r i o l i c » , non concessionnée par le Conseil fédéral et qui par conséquent n'est pas autorisée à faire en Suisse des opérations d'assurances.

Le bureau soussigné croit devoir rendre le public attentif au fait que la loi du 25 juin 1885, s u r la surveillance des entreprises pri- vées en matière d'assurance, punit d'amende et d'emprisonnement les personnes coupables d'exploitation illicite-d'affaires d'assurance, et celles qui prêtent leurs concours à une ex- ploitation de ce genre".

Berne, le 24 avril 1897.

Bureau fédéral des assurances.

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Quantité Im- portée dans la même pérlojle1895 741 10ο 6,3Sl 6,77o 1,070 o40 Io 4o 14 12

Pièces 1,218 73 114

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