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The Astrophysical Journal; - Vol. XXX; juillet-décembre 1909

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HAL Id: jpa-00241642

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00241642

Submitted on 1 Jan 1911

HAL is a multi-disciplinary open access archive for the deposit and dissemination of sci- entific research documents, whether they are pub- lished or not. The documents may come from teaching and research institutions in France or abroad, or from public or private research centers.

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The Astrophysical Journal; - Vol. XXX; juillet-décembre 1909

Jules Baillaud

To cite this version:

Jules Baillaud. The Astrophysical Journal; - Vol. XXX; juillet-décembre 1909. J. Phys. Theor. Appl.,

1911, 1 (1), pp.75-79. �10.1051/jphystap:019110010107501�. �jpa-00241642�

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vées ne sont pas équidistantes; les auteurs indiquent divers procédés

et notamment une formule, permettant de passer des lectures de la machine à diviser aux valeurs des différences de longueurs d’onde.

Résultats.

-

Les raies satellites fournissent des valeurs de - qui

7>1

sont du même ordre de grandeur que celles déduites de l’étude des rayons cathodiques.

Pour divers satellites de la raie les valeurs de e varient

’ ln

de 2,47 à 2,97 . 107 (champs variant de 535 à 1.158 gauss).

Pour certains satellites de la raie 436 u.u., les valeurs de !!... oscillent

,

B

»i

de 1,97 à 2,2 . 107 (champs variant de 775 à 1.265 gauss).

Pour la raie 492 pp, ces valeurs sont 1,80 et i,8‘~ . ~0’ (champs res- pectivement de 751 et 6.870 gauss).

Pour les raies jaunes 571 et ~’l9 u.~,, ces valeurs sont respectivement 2,06 et ~ ,93 . 107 (champ de 1.120 gauss). Ces deux dernières valeurs diffèrent un peu entre elles, et l’écart constaté est supérieur aux erreurs expérimentales.

En outre, les auteurs n’ont pu mettre en évidence, d’une façon certaine, la dissymétrie des composantes extérieures prévue par la

théorie.

Henri LABROUSTE.

THE ASTROPHYSICAL JOURNAL;

Vol. XXX; juillet-décembre 1909.

ARTHUR S. KING. - The Zeeman effect for titanium (L’effet Zeeman pour le titane).

P. 1-13.

Dans un mémoire précédent 29, p. 76), M. A.-S. King

a publié une première liste de raies du titane, en indiquant leurs séparations dans le champ magnétique. Ces raies avaient été choisies parmi bien d’autres pour être comparées aux raies du spectre des taches solaires. Le mémoire actuel contient la liste complète des raies imprimées sur les photographies de l’auteur, environ 300 entre À

3901,92 et X 6~~fi,3l. En plus de leur longueur d’onde se trouvent indiqués le nombre de composantes à angle droit des lignes de force

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:019110010107501

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et les séparations à ,2 des composants polarisées parallèlement et per-

pendiculairement aux lignes de force. Deux planches représentent

les types principaux observés.

JAMES The new lines in the spectrum of calcium (Raies nouvelles dans le spectre du calcium.

-

P. 14-19.

Cette note contient les résultats de mesure de long ueurs d’ondes

de certaines raies du spectre d’arc du calcium dans le vide : raies d’une série de triplets (deux découverts par Kayser et Runge et les

trois autres par Saunders) et groupes de raies qui apparaissent dans

l’arc dans le vide et qui manquent dans l’arc dans l’air à la pression atmosphérique.

W.-J. HUMPHREYS. 2013 On the radiation exponent of dry air (Sur l’exposant de la formule du rayonnement de l’air sec).

-

P. 20-25.

II s’agit de la formule du rayonnement de l’air sec en fonction de la

température. L’auteur la détermine en considérant la terre comme un

corps noir rayonnant vers une enceinte à la température que pos- sède l’air sec dans la région isotherme. La relation entre le rayonne- ment total R d’un corps noir et sa température absolue T s’exprime

par l’équation :

R = KT4.

M. Humphreys conclut qu’aux températures modérées et basses la

relation entre le rayonnement total E de l’air sec et sa température

absolue s’exprime par une équation semblable : E == cTn ;

.

n est à peu près égal à 4 ou c et K sont probablement très différents,

en sorte qu’à une température donnée la radiation de l’air n’est pro- bablement qu’une petite fraction de la radiation totale du corps noir.

J.-A. PARKURST. - The evidence from photographie color fiitei°s in regard to

the absorption of light in space (Sur la démonstration tirée des photographies à

travers écrans colorés de l’existence d’une absorption de la lumière dans

l’espace).

-

P. 33-39.

On sait qu’il n’a pas été aussi simple qu’on s’y attendait de faire

concorderles grandeurs photographiques des étoiles avec leurs gran-

(4)

deurs visuelles. Le temps de pose, calculé d’après laloi de réciprocité

de Bunsen et Roscoe,

pour faire gagner cinq grandeurs d’étoiles d’après la définition des

grandeurs visuelles en fonction des intensités lumineuses, ne permet

en réalité que de gagner quatre grandeurs sur les photographies.

On a naturellement pensé que la loi It = CI, était fausse et qu’il

fallait la remplacer par une loi, purement photographique encore,

de la forme :

Mais certains astronomes ont récemment émis l’opinion que l’on n’avait pas affaire simplement à un phénomène photog raphique, mais

a un phénomène cosmique, celui de l’al)sorption de la lumière dans

l’espace, absorption naturellement plus importante pour les radia- tions de couries longueurs d’onde. Conformément à cette opinion, Tikhoff, qui a fait des photographies de variables à travers divers écrans colorés, a trouvé que l’exposant p , pour les radiations stellaires

photographiques, variait de 0,67 à 0,79, tandis que, pour les radia- tions stellaires vert jaune, il était compris entre 0,91 et 0,96.

NJ. J.-A. Parkurst montre dans son article que si les causes cos-

miques jouent quelque rôle dans la matière, elles sont complètement

~,

masquées par les effets photographiques. L’exposant p ne varie pas seulement, en effet, avec la longueur d’onde des radiations actives,

mais anssi avec l’opacité des images et la nature des plaques em- ployées. L auteur a pu obtenir à travers des écrans colorés des photo- graphies qui lui ont donné pour p des valeurs inverses de celles de

’rik-Iloff.

PAUL-R. HEYL. - Thé apparent dispersion of light in space

(La dispersion apparente de la lumière dans l’espace).

-

P. 40-43.

Note sur les observations de Nordmann et de Tikhoff, et sur les critiques de Lebedew. . P. R. Heyl pense que Nordmann est loin 1’avoir tiré tout ce qu’il aurait pu d’une méthode réellement bonne ;

l’autre part que Lebedew a été trop dur dans sa critique de la

méthode de Nordmann.

(5)

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lBIITCHELL. - vYater vapor in Sun spots (La vapeur d’eau dans les taches du Soleil).

-

P. 44-47.

La présence de la vapeur d’eau dans les taches solaires a donné lieu à de nombreuses controverses qui n’ont abouti à aucune conclu-

, I

sion positive. M. Walter-M. Mitchell indique un procédé qui permet de s’assurer si l’élargissement des raies du spectre des taches attri- bué à la vapeur d’eau est bien dû à une action solaire, c’est de vérifier si leurs longueurs d’onde varient avec la position de la tache sur le

nisque, comme elles devraient le faire par suite de l’effet Doppler.

Les instruments dont il disposait lui permettaient de mettre facilement

en évidence la rotation solaire, mais ne lui ont montré aucun dépla-

cement ou élargissement dissymétrique des raies de la vapeur d’eau.

Il conclut donc que l’existence de la vapeur d’eau dans les taches solaires peut être possible, mais que, à son avis, il n’y a pas de

preuves de sa présence.

>

HAROLD STILES. - A determination of wave-lengths (international system) for

the arc and spark spectrum of mercury [Détermination des longueurs d’ondes (système international) des raies des spectres d’arc et d’étincelle du mercure].

- P. 48-61.

. Les mesures de M. Harold Stiles sont basées sur le système de longueur d’onde établi, à la demande de l’Union internationale de

physique solaire, par Fabry et Buisson, Pfund et Everslieim; elles ont porté sur une centaine de raies du spectre d’arc et environ 450 du

~~

spectre d’étincelle de ~ ~. ~~9 à ), 7.082.

MITCIIELL. - Recent solar observations at Haverford

°

(Observations solaires récentes à Haverford).

-

P. ’?5-85.

Les faibles dimensions du réfracteur de M. W.-M. Mitchell

(10 pouces) l’ont empêché de placer son spectroscope dans le prolon-

gement du tube de la lunette ; il lui est accolé ; un système convenable

de prismes à réflexion totale et une lentille négative renvoient sur

la fente une image solaire agrandie. L’organe dispersif est un réseau

de Rowland dont l’auteur s’était déjà servi dans un spectroscope

attaché à un réfracteur de 23 pouces d’ouverture. Un grand intérêt

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de la note de 11. lVlitchell, c’est de montrer que, pour les observations solaires les plus délicates, un équatorial relativement petit n’est pas de beaucoup inférieur à un instrument beaucoup plus puissant, mais beaucoup plus coûteux.

La note contient le détail d’observations visuelles qui confirment

les observations photographiques de Hale sur l’effet Zeeman dans les taches solaires.

°

Jules BAILLAUD.

PHILOSOPHICAL MAGAZINE ;

1er semestre 1909.

TAYLOR JONES. - Electrical oscillations in coupled circuits (Oscillations

~

électriques dans des circuits couplés).

-

P. 28.

. Le cas étudié par l’auteur est celui ou les oscillations sont excitées dans un circuit secondaire par rupture brusque du courant dans un

circuit primaire.

L’application de la méthode générale de Drude à ce cas particulier

permet de calculer en fonction du temps les valeurs de la différence de potentiel aux extrémités du circuit secondaire.

Ces valeurs sont comparées à celles que fournit la mesure des élé-

ments de courbes obtenues sous forme d’épreuves photographiques

à l’aide d’un instrument particulier précédemment décrit par l’auteur

sous le nom d’oscillographe électrostatique.

Les courbes enregistrées photographiquement présentent la forme générale que la théorie prévoit. Toutefois, les mesures précises S

montrent que si les zéros observés coïncident bien avec les zéros

calculés, il n’en est pas de méme pour les valeurs des maxima.

L’auteur attribue ces divergences à l’absorption d’énergie qui se produit dans les condensateurs à papier paraffiné qu’il a employer

pour réaliser les grandes capacités dont il a fait usage dans le cir- cuit primaire (9,55 et 11,87 microfarads).

La méme méthode d’enregistrement photog raphique de courbes oscillographiques a été également appliquée par l’auteur à l’excita-

£

tion d’un circuit par arc chantant.

Références

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