Ressource n° R13 Yaoundé MEFEYA FOSSI CYRILLE
COMPLÉMENT SUR LES SUITES NUMÉRIQUES
Remarques générales sur le document produit par l'étudiant en référence aux caractéristiques attendues d'une ressource PReNuM-AC
0. Le document traduit un travail très sérieux et intéressant de l'étudiant.
1. Le document est clair et bien rédigé dans l'ensemble : l'étudiant a fait un réel effort de présentation. Les consignes ont été prises en compte dans la plupart des cas.
La table des matières (appelée en général sommaire lorsqu’elle est placée en tête de l’ouvrage) est détaillée.
2. Des ajouts sont à envisager :
- un classement d’exercices pour la partie 9 avec indications de solution
- deux devoirs "maison" (en donnant des éléments d'analyse concernant le choix des exercices)
- la feuille d'exercices Wims
3. Le titre est-il adapté ou est-il lié à l’intitulé des programmes ? Serait-il judicieux de parler de suites récurrentes, de valeur approchée de solution d’une équation ?
Le cours lui-même – un questionnement
Ce cours fort intéressant est-il réellement destiné à des élèves de Terminale scientifique ? Un enseignant de Terminale scientifique peut-il confirmer la capacité des élèves de ce niveau à en profiter ?
L’évaluateur aimerait avoir une réponse à ce sujet.
Sauf erreur de ma part, je n’ai pas trouvé ce complément sur les suites dans les programmes, mais ceux-ci ont peut-être été modifiés.
Lecture recommandée en groupe de travail
Il s'agit de l'article mentionné ci-dessous comme élément de réflexion, si possible en groupe de travail.
Cet article "Les suites numériques comme objet d'enseignement" de Françoise Boschet publié dans la revue "Recherches en Didactique des Mathématiques" - en 1982 - est proposé ci- dessous en fichier attaché.
En voici le résumé :
« L’étude qui fait l’objet de cet article fait partie d’un ensemble de recherches sur l’enseignement des débuts de l’analyse. Elle décrit le contenu des cours sur les suites numériques, le vocabulaire de la convergence, les modèles exprimés dans un ensemble de données comprenant des manuels, des polycopiés, des notes de cours du premier cycle de l’enseignement supérieur français. Elle met en évidence quelques éléments de transposition didactique ainsi que certains implicites du discours mathématique. Elle ébauche également une comparaison cours oral, cours écrit, à partir de l’enregistrement d’un cours oral. »