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HAL Id: jpa-00205951

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00205951

Submitted on 1 Jan 1965

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Largeur naturelle des raies spectrales et irréversibilité

M. Mizushima, D. Robert, L. Galatry

To cite this version:

M. Mizushima, D. Robert, L. Galatry. Largeur naturelle des raies spectrales et irréversibilité. Journal

de Physique, 1965, 26 (4), pp.194-198. �10.1051/jphys:01965002604019400�. �jpa-00205951�

(2)

LARGEUR NATURELLE DES RAIES SPECTRALES ET IRRÉVERSIBILITÉ

Par M. MIZUSHIMA (1), D. ROBERT et L. GALATRY,

Faculté des Sciences, Rennes, France.

Résumé. 2014 On présente une théorie de la largeur naturelle des raies spectrales, basée sur l’étude

de l’évolution de l’opérateur densité d’un système composé par un atome et par l’ensemble des oscillateurs du champ électromagnétique. La largeur naturelle apparaît comme conséquence de

la présence dans les équations, du propagateur de ce système, propagateur dont on a calculé les éléments de matrice jusqu’à l’approximation du second ordre. On a également étudié l’influence de l’intensité du champ sur la forme de la raie spectrale. Cette dernière correction n’apporte de

modification qu’au déplacement du centre de la raie. Le formalisme utilisé permet de mettre en

évidence la liaison étroite qui existe entre la largeur naturelle et le caractère irréversible de l’évolu- tion du système.

Abstract. - A theory of the natural line shape derived from the study of the time evolution of the density operator for an atom and field oscillators is proposed. The finite width is a direct consequence of the presence of a propagator in the evolution equations ; the matrix elements of this propagator have been computed up to the second order. The influence of the field intensity

has been taken into account to this approximation and gives a modification of the shift of the line

only. The formalism used here makes obvious the strong relationship between the natural line width and the irreversible character of the evolution.

PHYSIQUE 26, 1965,

1. Introduction.

-

On considere un atome

(Hamiltonien Ha, 6tats propres lot), - ..., p), ... )

et un ensemble d’oscillateurs de champ (Hamil-

tonien H, Hi, 6tats propres In,, ..., n9, ...,

i

ni, ..., na)) contenus dans une cavite cubique de

cote L. Le systeme total

(Hamiltonien Ha + H, + F = Ho + F)

est decrit par une fonction d’état P(t). La varia- tion, dans le temps, des coefficients ck(t) du d6ve- loppement de (D(t), dans la base

; nt, ..., ru, ..., ni,

...

ng) } = a) },

permet de suivre 1’evolution du systeme sous l’in-

fluence du couplage F. Weisskopf et Wigner [1], [2]

ont montre comment il est possible de r6soudre les equations d’evolution des ck(t), en adoptant

pour solution iterative d’ordre zero des quantites

du type exp (- yt/2) 8ki. La transition 6tudi6e

poss6de alors une demi-largeur naturelle de

valeur y/2 a mi-intensit6, au lieu d’etre repre-

sentee par une fonction de Dirac. De plus, pour

que les equations d’evolution soient satisfaites

identiquement, du moins au premier ordre en y, il est n6cessaire [2] que la partie r6elle de y soit

6gale a la probabilite de transition par unite de

temps d’émission spontan6e entre les deux 6tats relatifs a la transition consid6r6e.

L’etude plus r6cente, presentee par Messiah [3],

consiste en un calcul des elements de matrice de

1’operateur d’evolution du systeme total, qui con-

duit a un r6sultat analogue, pour un couplage F faible, a celui de Weisskopf et Wigner.

(1) Adresse permanente : Department of Physics and Astrophysics, University of Colorado, Boulder, Colorado.

Dans cette note, on pr6sente une approche de

la theorie de la largeur naturelle des raies spec- trales bas6e, non sur Involution d’un 6tat pur D(t),

mais au contraire sur celle de 1’etat statistique

d’un ensemble de systemes (atome et oscillateurs du champ). Le couplage F est introduit de fagon

soudaine au temps t

=

0, le systeme 6tant alors

dans un 6tat statistique decrit par un opérateur

densite connu p(O), diagonal dans le systeme

lex, I ni 1). Par suite de la presence de F, p(t) est

different de p(0) pour t > 0. Les propri6t6s spec- trales de I’atome en interaction avec le rayon- nement seront obtenues en 6tudiant la proba-

bilit6 p(t) pour que l’occupation d’un oscillateur de

champ de frequence wi

=

2xv;, de vecteur de pro-

pagation et de polarisation donn6s, suppose peuple

par Ni photons au temps t

=

0 soit la meme pour t donne, positif, que pour t

=

0, ceci quel

que soit 1’etat d’occupation des autres oscillateurs et de I’atome au temps t. L’6tat du systeme pour

t

=

0 est tel que :

On prendra par la suite la)

=

loc ; nl, ... ,

’4, ..., n;, ..., nq), ou oc est 1’etat de base de 1’atome. La probabilite p(t) introduite ci-dessous s’ecrit donc :

o-h l’indice prime restreint la sommation’ A tous les ensembles I ni dans lesquels ni reste identique àN;.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphys:01965002604019400

(3)

195 II. evolution de Ilopdrateur densit6.

-

Pour

calculer p(0)

-

p(t), on introduira la representation

d’interaction :

telle que P’(t) ob6isse a l’ équation

avec

ou le crochet symbolise le commutateur des deux

operateurs F(t) et A.

Par integration de (4), compte tenu de la condi-

tion initiale (1), on obtient d’apr6s (2) :

il n’est 6videmment pas possible de calculer rigou-

reusement l’int6grale de (6). On obtiendra seule-

ment une expression approch6e de cette int6grale

en remplaçant le processus d’interaction reel,

soit F # 0 pour t > 0, par un processus fictif of F

=

0 pour t t2 tl. On imposera de plus

la presence d’une transition radiative entre t = t2

et t = t2 + dt2, et on int6grera le r6sultat final sur t2 entre les instants 0 et ti. Ce processus revient a negliger l’influence de toutes les tran- sitions radiatives qui surviennent dans le processus

r6e], antérieurement a une transition radiative,

dont on localise 1’eventualite dans l’intervalle de duree dt2. L’integration sur dt2 revient a calculer

la somme des probabilités attach6es aux divers

processus possibles, c’est-a-dire aux diverses valeurs

-possibles de t2 dans l’intervalle t 0, t¡ 1. Dans cette

approximation on a :

Par ailleurs puisque le systeme 6volue entre t2 et t1 en suivant son mouvement nature] :

ou le propagateur G’(tl, t2) est solution de 1’6qua-

tion :

La resolution, par iteration, de cette equation,

fournit le r6sultat bien connu :

Si l’on impose a la premiere des transitions radiatives dans l’ordre chronologique de se pro- duire entre les instants t2 et t2 + dt2, on obtient

pour G’(tl’ ts), d’après (10), la forme suivante,

notee Gt.(t1’ t2) :

En portant (7) et (11) dans (8), et le r6sultat obtenu dans (6), il vient apr6s integration sur t2 :

(la contribution du terme 1 dans le membre de droite de (11) 6tant nulle).

III. Calcul des éléments de matrice du propa- gateur.

-

Puisque 1’operateur G’(tl, t2) est une

fonction de 1’operateur Fx il est defini dans 1’es-

paceproduittensoriel de l’espace I ta), ..., 7 1 b)) ... }

par lui-meme [4]. Ses elements de matrice sont

donc définis par quatre indices. Soit :

ou G’(t1, t2) doit etre remplac6 par sa definition

(equation (10)) et ou [4] :

Si l’on ne retient dans G’(tl, t2) que le terme

constant (ce qui revient a negliger l’influence de toutes les transitions radiatives pouvant survenir

entre t

=

t2 + dt2 et t

=

t1), on peut voir que

la forme de p(t) (equation (12)) se r6duit, pour des temps t tres grands, 6 une somme de quantites proportionnelles a t. 8( Cùab) wab est la diffé-

rence 6nerg6tique entre les 6tats non perturb6s la)

et lb). Dans ce cas la raie ne poss6de aucune largeur.

Nous considerons, en premier lieu, le cas ou

1’hamiltonien d’interaction F est lin6aire par rap- port a l’amplitude des oscillateurs du champ. Les

elements de matrice de F entre 6tats identiques

sont alors nuls. (L’influence du terme de F pro-

portionnel au carr6 du potentiel vecteur est exa-

minee au paragraphe V.)

Le calcul montre que les termes non diagonaux

de G’(t1, t2) sont uniquement des sommes de

termes oscillants avec t1 et avec t2, dont l’in- fluence dans la contribution finale, pour t 2013> oo, est n6g]igeable devant celle des termes diagonaux.

On n6gligera donc par la suite les elements de matrice non diagonaux du propagateur.

Le recours a une representation graphique pour

le calcul du d6veloppement des elements de

matrice du propagateur permet alors, pour cal-

culer les elements diagonaux restants, d’utiliser le

théorème fondamental [5], [6] :

(4)

196

ou 1’etat de vide rèdéfini 10) a ete choisi identique à ba) et ou G§c, nombre scalaire, rapr6sente la

somme des. contributions de tours les diagrammes

isol6s connexe, en admettant que le diag’ramme

d’ordre zero, qui correspflndf au terme 1 dans

le developpement de G’(tl, t2), est un diagramme

lie et non un diagramme isol6 connexe.

Les diagrammes intervenant dans (15) sont

relatifs a des elements de matrice entre vecteurs de 1’espace tensoriel d6fini au d6but du para-

graphe III. Ces vecteurs seront notes 10), IP), IQ), etc...

La contribution de Goc a,u premier ordre (fig. I)

est nulle dans le cas considere :

FIG. I.

FIG. II.

Celle du second ordre (fig. IIa) s’ecrit :

ou encore,

En faisant tendre L vers l’infini, ce qui perm’et

de consid6rer comme continu le spectre de Hr et

d’introduire la fonction (( mab) [2], on obtient done pour contribution diagonale, en se limitant au

second ordre en F du d6veloppement de Goc:

avec :

L’equation (17) n’est valable que si (tl

-

t2)-1

est inférieur a l’intervalle de f requence A, sur lequel p( Wi) .1(aIFld) 2 (of p désigne la densité des etats du champ électromagnétique) varie de fagon appreciable [7]. Or o(wi)

==

87r 3 2 vi 2 et I( a I F I d )1 2

c3

est proportionnel a ni vi-1 ou à (ni +.1). vi1. Les

relations (18) sont donc valables si (t1 - t2) »A-I,

et si la population des 6tats ni est sensiblement constante sur l’intervalle A. En choisissant, par

exemple, A

=

v/10 on en deduit que t1- t2 > 10T (ou Test la p6riode de l’oscillateur de champ mis

en jeu) constitue la condition de validite de (18).

Nous supposerons, par la suite, que cette condi- tion est remplie, ce qui revient à négliger les devia-

tions a 1’.egalite (17) lorsque ti - t2 ;::s 10 T. Souli-

gnons de plus que cette equation (17) a ete obtenue

en n6gligeant dans 1’argument de l’exponentielle

tous les termes d’ordre sup6rieur a deux en F. La

consideration de ces termes entrainerait une forme naturelle de la raie spectrale qui differerait, par

sa demi-largeur, du profil de Lorentz obtenu plus

bas [equation (22)].

IV. Calcul du profil spectral en absorption.

-

En portant (17) et (13) dans (12) il vient succes-

sivement :

avec :

ou :

Seule nous int6resse la probabilite par unite de

temps définie par : .

A

Or on montre [8] que, pour t tres grand, l’int6- grale de (20) est 6gale a t f( iû)ba + rba), soit

d’apres (20) et (21) :

(5)

197

Puisque F ne peut introduire que des transitions a un seul quantum wi, on a :

suivant que la transition b - d comporte la crea-

tion ou l’annihilation d’un photon de frequence wi/27r. La probabilité Pest la somme de deux

series de termes r6sonants et non resonants, corres- pondant a toutes les transitions possibles entre

6tats non perturb6s de I’atome. A chaque terme resonant, correspond un profil de Lorentz centre

sur la f requence ( wBa + yba) et de demi-largeur yba.

On constate d’apr6s (18) que la demi-largeur

naturelle est la somme des demi-largeurs attach6es

a chacun des niveaux mis en jeu. Par ailleurs le deplacement de la raie est egal a la difference des

deplacements de ces niveaux.

V. Effet d’intensit6 sur le pr0fil spectral.

-

Par

suite de la non lin6arit6 de F par rapport a l’ampli-

tude des oscillateurs du champ

les elements de matrice de F entre 6tats identiques

deviennent non nuls et il apparait une nouvelle

contribution pour les 616ments de matrice dia- gonaux du propagateur.

Soit, au premier ordre en F ( fig. I)

ou

La contribution du second ordre en F, provenant

du terme en A2 e2/2mc2. correspond à un dia-

gramme non connexe (fig. IIb). D’apres la for-

mule (15) elle n’intervient pas dans les elements

diagonaux du propagateur.

On obtient alors pour expression de (baIG’(t1, t2)lba),

compte tenu de 1’effet d’intensite du mode vi :

avec :

La demi-largeur reste inchang6e, tandis que le

deplacement se trouve modifié par un facteur additif : 1i-l[(bIFlb)

-

(alFia)] qui n’est autre que la difference des deplacements des niveaux I a) et I b) calcul6e a l’aide de la theorie de perturbation au premier ordre.

En outre, par suite de la non lin6arit6 de F,

nous obtenons a partir de (12), au lieu de (19), la

relation :

Re I (aIF(t1)lb) (bIF(t2)la) (baIG’(ti, t2)1ba) (1

’-

8ab) }.Pa{O)

(26) d’où en tenant compte de (21), (24) et (25) :

Ainsi, quoique les elements de matrice (ajf[a)

soient maintenant consid6r6s comme diff6rents de

zero, ils ne contribuent pas a l’intensit6 de 1’absorp- tion, car ils ne correspondent pas a des transitions.

effectives pour 1’ensemble du systeme (atome ‘et

oscillateurs de champ).

VI. Irréversibilité et largeur naturelle.

-

L’equation (12) exprime explicitement que, dans Involution du systeme, deux transitions radiatives

sont intervenues, la premiere entre t2 et t2 + dt2,

la seconde entre t1 et t, + dt1; cette equation

tient 6galement compte, par la presence du pro-

pagateur G’(t1, t2), de l’influence de toutes les autres transitions radiatives possibles entre t2 + dt2

et tl. Ces transitions peuvent done faire en sorte

qu’h 1’instant t1 le systeme ne soit pas dans le meme 6tat statistique qu’h l’instant t2 + dt2 (par exemple par emission spontan6e du quantum vi absorbe en t2 sur un autre mode i 0 1, de polari-

sation et de direction de propagation différente) ;

dans ce cas l’interaction intervenant entre t1 et t1-E- dt1 ne peut plus ramener le systeme dans

1’6tat initial ou il se trouvait antérieurement a t2.

Si le volume contenant le rayonnement devient

infiniment grand, le nombre de modes possibles

tend vers l’infini. Ainsi 1’excitation pr6sente sur

l’atome au temps t imm6diatement post6rieur à t2 + dt2, et qui est pass6e par action de G’(tl, t2)

sur un oscillateur du rayonnement autre que vi,

possede une probabilite infiniment faible de revenir, toujours par action de G’(t1, t2) sur l’atome avant

l’instant tl. La presence du propagateur dote donc

le processus considere d’un caract6re irreversible.

C’est aussi la presence de G’(tl, t2) qui introduit

une largeur finie pour la raie spectrale (pour G’(tl, t2)

=

1, le profil se r6duit a une fonction de

Dirac).

Ainsi largeur naturelle et irréversibilité de l’inter- action entre atome et oscillateurs du champ sont

intimement li6es.

L’evolution du systeme, telle qu’elle a ete consi-

d6r6e ci-dessus, est sch6matis6e dans la figure IIIa,

(6)

FIG, IIIa.

FIG. IIIb.

Il est possible de generaliser ce schema 4 des pro-

cessus a plusieurs quanta en introduisant entre t

=

0 et t = t2 une s6rie de processus analogues a

celui qui est sch6matis6 dans la figure IIIa entre

t

=

0 et t = t1 (fig. //7&).

Manuscrit requ le 26 f6vrier 1965.

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