• Aucun résultat trouvé

Moreau , X. Rébillard , P. Coloby J.-L. survey on quality of life of urologists in 2009 2009 Enquête CAPURO sur la qualité de vie des urologuesen

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "Moreau , X. Rébillard , P. Coloby J.-L. survey on quality of life of urologists in 2009 2009 Enquête CAPURO sur la qualité de vie des urologuesen"

Copied!
7
0
0

Texte intégral

(1)

ARTICLE ORIGINAL

Enquête CAPURO sur la qualité de vie des urologues en 2009

CAPURO survey on quality of life of urologists in 2009

J.-L. Moreau

a,∗

, X. Rébillard

b

, P. Coloby

c

aCentred’urologie,8,rueColette,54000Nancy,France

bCliniqueBeau-soleil,119,avenuedeLodève,34000Montpellier,France

cServiced’urologie,centrehospitalier,6,avenuedel’Île-de-France,95300Pontoise,France

Rec¸ule21juillet2011;acceptéle29juillet2011 DisponiblesurInternetle16septembre2011

MOTSCLÉS Enquête; Urologue; Pratique

professionnelle; Formationmédicale continue;

Bien-êtreautravail

Résumé

Objectifs.—Le bien-êtredes médecins au travailest de plusen plussouvent étudié, mais jusqu’àprésent,peud’étudesontconcernélaspécialitéurologique.L’objectifdel’enquête CAPUROaétéd’évaluerlaqualitédeviedesurologuesfranc¸ais,derecueillirlaperception deleurvieprofessionnelleetleurssentimentsvis-à-visdesréformesencours,d’identifierles activitéspratiquéesendehorsdel’urologie.

Méthodes.—Cetteenquête aétéréalisée en2009sur unepériode d’un moisà l’aided’un questionnairede25questionsdisponiblelorsducongrèsdel’Associationfranc¸aised’urologie (AFU)etsurlesiteinternetwww.cap-uro.com.

Résultats.—Deuxcentquatre-vingtseizeurologuesontréponduàcetteenquête.Plusdedeux urologuessurtroisontdéclaréêtresatisfaitsoutrèssatisfaitsdeleurmoded’exerciceetce sentimentaétéencoreplusimportantchezlesurologueslibéraux.Avecuneduréehebdoma- dairemoyennedetravailde 57heures,lesurologuesontsoulignéqu’ils passaientuntemps importantàdesactivitésnondirectementliées ausoin,maisnéanmoinsutilespourlaqua- litédessoinsetl’évaluationdespratiques.Unsentimentd’insuffisanced’accèsauxnouvelles techniquesaétéexprimé par90%desparticipants àl’enquête.Soixante pourcentd’entre euxétaientintéressésparlarechercheclinique,maislaplupartnedisposaientpasdesmoyens nécessairespourladévelopper.Lesoutilsdeformationmédicalecontinue (FMC)leurparais- saientdansl’ensemblesatisfaisants;enrevanche,l’aidequ’ilsrecevaientpourl’accréditation étaitdéclarée insuffisante.Lestroissurspécialitéslespluspratiquéesontétéautraversde

Niveaudepreuve:3.

Auteurcorrespondant.

Adressee-mail:jlucmoreau@yahoo.fr(J.-L.Moreau).

1166-7087/$seefrontmatter©2011ElsevierMassonSAS.Tousdroitsréservés.

doi:10.1016/j.purol.2011.07.012

(2)

practices;

Medicaltraining;

Well-beingatwork

Methods.—Thedurationofthissurveyconductedin2009wasonemonthwithaquestionnaire of25questionsavailableattheAFUcongressandontheInternetsitewww.cap-uro.com.

Results.—Twohundredandninety-sixurologistshaveansweredthequestionnaire.Morethan twoofthreeurologistsdeclaredbeingsatisfiedoftheirwork,especiallyprivateurologists.The meandurationofweeklyworkwas 57hourswithmuchtimespentforactivitiesnotdirectly relatedtothecareofpatients,butjudgedusefultodevelopqualityofcareandevaluationof practices.Ninetypercentofurologistsdeclarednottohaveaneasyaccess tothenewtech- niquesand60%ofthemwereinterestedbyclinicalresearch,butmostofthemdidn’thavethe necessaryresources.Theydeclaredtobesatisfiedbythecontinuousmedicaltraining,butthey affirmedlackingofhelptogetaccreditation.Oncology,benignhyperplasiasofprostate,lithia- sisandendourologywerethemainurologicalspecialitiesexercisedbyurologists.Amajority ofFrenchurologistsseemedtobeveryanxiousaboutthefuture,mainlybecauseofongoing reforms.Afewnumbersofurologistshadextraprofessionalactivities.

Conclusion.—In2009,FrenchurologistswhoparticipatedinthesurveyCAPUROweremostly satisfiedorverysatisfiedwiththeirconditionsofpractice,butwithsomedissatisfactionjusti- fyingarealdialoguebetweenhealthauthoritiesandprofessionals.

©2011ElsevierMassonSAS.Allrightsreserved.

Introduction

Le bien-être au travail de l’urologue a peu été étudié alors qu’il y a de plus en plus de publications sur les facteurs qui conduisent au stress et à l’épuisement pro- fessionnel des acteurs de santé. L’Association franc¸aise d’urologie (AFU) asouhaité connaître les motifs de satis- factionetd’insatisfactiondesurologuesfranc¸aisdansleur exercice et leur organisation professionnelle au travers d’uneenquêtequis’estdérouléeen2009:«Lebaromètre social estenpleine ébullition,lesenquêtessur laqualité de vie des patients se multiplient, l’éducation thérapeu- tique devient obligatoire, mais qu’en est-il du bien-être des urologues dans leur activité professionnelle, de leur niveau de confiance dans l’évolution de leur spécialité, del’impactauquotidien desmesuresadministratives,des processusd’évaluationdes pratiques, des mesures sécuri- taires?»[1].

L’enquêteCAPURO[1]initiéeparl’AFUs’estintéressée àtoutescesquestionsetaainsipermisderecueillirlevécu desurologuesdansleurvieprofessionnelle.

Matériel

Cetteenquêteanonymeaétémenéeauprèsdesmembresde l’AFUàl’aided’unquestionnairemisàleurdispositionlors

ducongrèsfranc¸aisd’urologieennovembre2009etdirecte- mentaccessiblesurlesiteInternet«www.cap-uro.com».

Elle a été réalisée sur une période d’un mois, fin 2009.Lequestionnairecomprenait25questionsrépartiesen troisgrandespartiesconcernantl’activitéprofessionnelle, l’avenirdelaprofessionetlesactivitéspratiquéesendehors del’urologie.

Résultats

Caractéristiques générales des urologues ayant répondu à l’enquête

Deux cent quatre-vingt seize urologues ont répondu à l’enquête: la moitié (n=148) avaient une activité libé- rale,114(38,5%)uneactivitéhospitalière(54enCHU,49en hôpitalnonuniversitaireet11enPSPH)et34(11,5%)une activitémixte:

• peud’urologues (16,7%) travaillaientseuls;lamajorité exerc¸aitenassociation(38,9%)ouauseind’uneéquipe (44,5%);

• presque tous les urologues (n=293; 99%) pratiquaient l’urologie générale avec, pour environ un tiers d’entre eux, une «surspécialité» identifiée. En particulier, les

(3)

Figure1. Satisfactionvis-à-visdumoded’exerciceenfonctiondutyped’activité.

urologuesâgésdemoinsde30ansontdéclaréavoirune surspécialitédanstroiscassurquatre;

• laduréemoyennedutravailhebdomadairevariaitselonle typed’activitéde57heuresà66heures.Lesactivitésnon directementliéesauxsoins,apparaissaienttrèsconsom- matricesdetemps,maisétaientreconnuessouventutiles pourlaqualitédessoinsetl’évaluationdespratiques.

Satisfaction globale de l’activité professionnelle

Parmiles296participants,plusdedeuxurologuessurtrois (68,3%)ontdéclaréêtretrèssatisfaitsousatisfaitsdeleur moded’exercice:

• le degré de satisfaction variait en fonction du mode d’exercice:54,5%pourlesmédecinsPSPH,63%exerc¸ant enCHU,73,6%deslibérauxsedéclaraienttrèssatisfaits ousatisfaits(Fig.1);

• le niveau de satisfactionétait plus élevépour les uro- loguesenassociation(73,9%)ouenéquipe(67,5%)que pourlesmédecinsexerc¸antseuls(59,1%).

Retentissement de la T2A en fonction du type d’activité

Lesdonnéesindiquaientunretentissement dela T2Atrès variableselonletyped’activité,moinsimportantpour les urologues libéraux ou ayant une activité mixte que pour lesurologues d’établissements PSPH etdans une moindre mesuredeCHUoud’hôpitauxnonuniversitaires(Fig.2).

Accès aux nouvelles techniques

Plusde 90%des urologuesont déclarénepas avoiraccès ouunaccèsseulementpartielàl’évolutiondestechniques urologiques, les obstacles le plus souvent invoqués étant l’absenceou l’insuffisance de valorisation de l’acte et le refusd’investirdel’établissement(Fig.3).Lesautresmotifs avancésétaientlecoûtdel’acte,le manquedetempset l’insuffisancedeformation.

Activité de recherche clinique

60,8%desurologuessouhaitaientparticiperàdesactivités derechercheclinique,volontéplussouventaffirméeparles médecinshospitaliers(CHU, hôpitalnonuniversitaire,éta- blissement PSPH) que parles médecinslibéraux ouayant uneactivitémixte.

Enrevanche, parmi les 180urologues intéressés par la recherche clinique, 83,8% d’entreeux déclaraient nepas disposer demoyens suffisants pour développer cetteacti- vité.

Formation médicale continue (FMC), évaluation des pratiques professionnelles (EPP) et accréditation

Alors que plus de trois urologues sur quatre déclaraient être satisfaits des moyens mis à leur disposition pour la FMC,48,3%, 63,5%et60,4% d’entreeux estimaientavoir trop peu de temps à consacrer à la FMC, à l’EPP et à l’accréditation.

LesdifférentssupportsdeFMCétaientconsidéréscomme intéressants: programmes de formation universitaire et ceux proposés par l’AFU, congrès... Pour l’EPP, les pro- grammesdel’AFUétaientlesplussuivis.

Types de chirurgie pratiquée

Lestypesdechirurgie:

• en 2009, les technologies complexes (2—6%) et la chirurgie robot-assistée (0—7%) restaient peu souvent pratiquéesdemêmequeletraitementparHIFU(0—2%);

• les données en fonction du mode d’exercice (exercice seul,en association ouenéquipe) étaientcomparables saufpourlachirurgiecœlio-laparoscopiqueplussouvent pratiquéeparlesurologuesenassociation ouenéquipe queparlesurologuesseuls;

• lesurologuesexerc¸antunesurspécialitépratiquaientplus souventla chirurgiecœlio-laparoscopique. La chirurgie endoscopique était plus souvent réalisée en urologie générale(Tableau1).

(4)

Figure2. RetentissementdelaT2Aenfonctiondutyped’activité.

Figure3. Principauxobstaclesàl’accèsauxnouvellestechniquesenfonctiondumoded’exercice.

Surspécialités les plus pratiquées par les urologues

Leurpratiqueétaitvariable,maisunemajoritéd’urologues déclaraitavoiruneactivitédecancérologie(92,5%descas), de traitement de l’hypertrophie bénigne de la prostate

(HBP)(72%descas),delalithiase(67,5%descas).Ilsétaient moinsnombreuxàprendreenchargel’incontinenceurinaire etlaneuro-urologie(47%),l’andrologie(16,9%)etlatrans- plantationrénale(6,4%).

Des différences ont été observées selon le mode d’exercicedel’urologie(Fig.4).

Tableau1 Répartitiondel’activitéchirurgicaleenfonctiondutypedebranche.

Urologiegénérale (%)

Urologiegénéraleavec surspécialité(%)

Surspécialité exclusive(%)

Chirurgieouverte 28 29 23

Chirurgieendoscopique 47 36 10

Chirurgiecœlio-laparoscopique 16 21 25

Technologiescomplexes 1 5 10

HIFU 0 1 0

LEC 7 6 2

Chirurgierobot-assistée 0 3 30

(5)

Figure4. Spécialitéslespluspratiquéesenfonctiondutyped’activité.

Satisfaction vis-à-vis de l’Association franc ¸aise d’urologie

De75à88,2%desurologuesdisaientêtresatisfaitsoutrès satisfaitsdel’AFU.

Avenir de l’urologie

L’avenirdel’urologie:

• 61,1% desurologuesétaientinquiets faceauxréformes hospitalières:lesurologuesdeCHU(72,2%),d’hôpitaux non universitaires (75,5%) ou ayant une activité mixte (61,7%)étaientlesplusnombreuxàexprimercetteopi- nion.Cetteinquiétudeétaitressentiepar59,6%à65,4% desurologuesde30à60ans,100%desjeunesurologues de moins de 30ans et 47,6% des urologues de plus de 60ans;

• seulement2%deréactions positivesontété rapportées faceàcesréformes;

• pourlesréformesdelamédecinelibérale:79%desméde- cinsétaientinquiets,lesurologueslibérauxouayantune activitémixte étant particulièrementconcernés(89,1% et88,2%).Seulement,2%desurologuesétaientenaccord aveccesréformes.L’âgedesurologuesaeupeud’impact surcesentimentd’inquiétude;

• pour la FMC et l’EPP, 61,4% des urologues libéraux et 61,7% des urologuesayant une activitémixte ont aussi manifestéleurinquiétude.Lessentimentsexpriméspar lesurologueshospitaliersétaientplusnuancés(Fig.5).En revanche,lesjeunesurologues(ceuxdemoinsde30ans etde30à40ans)étaientplussouventsereinsparrapport àcetteproblématiquequelesurologuesâgésdeplusde 40ans;

• l’accréditation des médecins était aussi source d’inquiétude, plus particulièrement pour les urologues

Figure5. Évolutiondelaformationmédicalecontinueetdel’évaluationdespratiquesprofessionnelles/sentimentsdesurologuesen fonctiondeleurtyped’activité.

(6)

Figure6. Activités pratiquéesendehorsdelachirurgieurolo- gique.

libéraux (60,1%) ou les urologues ayant une activité mixte;(70,5%);

• 83,4% des urologues ne considéraient pas la spécialité urologiqueendanger.

Activités extraprofessionnelles

Parmilesurologues,peupratiquaientdesactivitésendehors de l’urologie et près de deux médecins sur trois consi- déraient y consacrer trop peu de temps. Les activités extraprofessionnelleslesplussouventpratiquéesétaientles activitéssportivesdans25,7%descasetlesactivitésasso- ciativesdans19,7%descas(Fig.6).

Discussion

Deplusenplusd’enquêtesétudientlebien-êtredumédecin etdessoignantsautravail,ainsiquelerisqued’épuisement professionnel, dit burn out lié à ces professions. Une enquête canadienneauprès de54médecinsa identifié les facteurspositifsetnégatifsassociésaubien-êtreautravail.

Elleasoulignélebénéficedutravailenéquipeparlesou- tienetlacommunicationinternequ’ilprocure,ainsiquele stressémotionnelliéàlarelationmédecin-patient[2].Des publicationsrécentesontportésurlescauses dustresset del’épuisementprofessionnel enchirurgie[3]etchezles internesenmédecine[4].Desstratégiesorganisationnelles etindividuellespour éviterle burnout ontétéproposées [3]. L’AFU et le Collège franc¸ais des urologues (CFU) ont rédigéleréférentielMétierpourl’urologie,listantlesdiffé- rentesressourcesenconnaissancesetcompétencesrequises pour la spécialité, dont par exemple, les savoir-faires en communication et coopération. [5]. L’enquête originale CAPUROconduiteen2009auprèsde296urologuessur1080, soit plus d’un quart des urologues membres de l’AFU, a permis de dresserunrapide état des lieux surla percep- tiondesurologuesvis-à-visdeleuractivitéprofessionnelle Un taux de participation élevé a aussi été obtenu dans

souhaitaient d’abord se diriger vers une activité libérale [8].Pourl’évaluationdubien-êtreaveclarégletteEVA-BT [6],lesmeilleursscoresontétéobtenuspourlesurologues de moins de 50ans, exerc¸ant dans une ville de plus de 250000habitantsavecunstatutd’universitaireoulibéral; lespraticienshospitaliersetles urologuesdevilles moins importantesreconnaissaientuncertainmalêtre.

Lerythmemoyendetravailhebdomadairedesurologues se situait dans l’enquête CAPURO entre 57et 66heures, trèssupérieureàladuréehebdomadairedutravailfixéeà 48heuresenmoyenne.Cescontraintesdetempsexpliquent qu’une majorité des urologues ont déclaré manquer de tempspour laFMC,l’EPP etl’accréditation des médecins [11].

Le temps professionnel laisse peu deplace aux activi- tésextra-urologiques,d’abordsportives[1,6],mais85%des urologuesdéclarentavoirunhobby[6].

Lesrésultatsdel’enquêteCAPUROetd’autresenquêtes [7—9]fontapparaîtretroissujetsd’inquiétude:

• le manquede moyenspour la recherche clinique,alors quel’enquêtemontreuneréellemotivationdesurologues pour participer à des essaiscliniques. Bien que le plan cancerpréconise15%d’inclusionsdepatientsatteintsde cancerdansdesessais,laFrancequellequesoitlaspé- cialité aune mauvaiseréputationde recrutement.Une politiquevolontaristeenfaveurdelarechercheclinique doit impérativement être engagée par les tutelles, les sociétéssavantes,dontl’AFU,etd’autrespartenaires;

• pour lesnouvellestechnologies,leuraccès devraitêtre plus encadré avec une évaluation prospective mieux faite et une ouverture à tous les centres volontaires s’engageantsurlerespectd’unecharteetleremplissage d’unregistre;

• ledernierpointconcernelarépartitiondutempsentrele soindirectetlesactivitésnondirectementliéesausoin, nonrémunéréesetdeplusenplusprégnantes.

Uneréflexioncommuneentrelesprofessionnelsdesanté etlestutelless’imposepournepasaggraverledéséquilibre liénotammentàl’augmentationdescontraintesadministra- tives.

Conclusion

Les résultats de l’enquête CAPURO menée auprès de 296urologues ont montré que les urologues interrogés

(7)

étaientmajoritairement satisfaits deleur activité profes- sionnelle même s’ils regrettaient de disposer de moyens insuffisantspouravoiraccèsauxnouvellestechniques,par- ticiperà des programmesde recherche clinique etmieux répondreauxprogrammesd’accréditation.Lesdifférentes réformesencoursleurinspiraientunegrandeinquiétude.La priseencomptedecesmotifsd’insatisfactiondesurologues justifiaitunevéritableconcertationentrelestutellesetles professionnelsdesanté.

Déclaration d’intérêts

Lesauteursdéclarentnepasavoirdeconflitsd’intérêtsen relationaveccetarticle.

Références

[1]EnquêteAFUCAPURO.http://cap-uro.com/index.php.

[2]Wallace JE, Lemaire J. On physician well-being-You’ll get by with a little help from your friends. Soc Sci Med 2007;64:2565—77.

[3] Balch CM, Shanafelt T. Combating stress and burnout in surgical practice: a review. Thorac Surg Clin 2011;21:

417—30.

[4]Grebot E, et al. Schémas précoces inadaptés, activisme professionnel et épuisement professionnel chez des internes en médecine. J Ther Comport Cogn 2011;21:

43—52.

[5]Doré B., Chartier-Kastler E., Sibert L., Rousselot F. E- mémoiresde l’Académienationale dechirurgie.Référentiel métier/Compétencesduchirurgienenurologie2009;8:63—67.

[6]Charlery A.,Delmas C.Congrès franc¸aisd’urologie2010. Le quotidienduCongrèsno2,2010.

[7]Delmas C, Plu BureauG. Évaluation du bien-être au tra- vail:comparaisonde2instrumentsdemesure.ArchMalProf 2007:566—71.

[8]Bigot P, et al. Formation et avenir des internes et chefs de clinique d’urologie en France: résultats d’une enquête nationale auprès de 154urologues en formation. Prog Urol 2011;21:139—45.

[9]Thefutureofurologyinquestion:newsurveyrevealsthetop concernsfacingspecialiststoday.Marketresearchconducted byIsmarHealthcare.March2011.

[10]CaremelR,etal.Résultatd’uneenquêteparquestionnairesur l’intérêtportéàlaneuro-urologie.ProgUrol2010;20:458—64.

[11] www.urofrance.org—accréditationdesmédecins.

Références

Documents relatifs

La cyto- logie des TVES est moins sensible que celle des tumeurs vésicales, même pour des lésions de haut grade, et doit idéa- lement être réalisée in situ [6].. Les lésions de

— Connaître l’opinion des urologues franc ¸ais concernant la place des douleurs pelvipéri- néales chroniques au sein de leur activité clinique, leur organisation de prise en

— Traduction et validation linguistique en langue franc ¸aise du questionnaire Bladder Cancer Index (BCI) validé sur le plan méthodologique aux États-Unis et utilisé dans les

Bien sûr les résultats de ces études ont peu de chance d’être publiés dans Progrès en Urologie mais voilà ce que la revue peut faire pour faciliter la recherche clinique en

En plus de questions concernant la démographie et les modèles de pratique des spécialistes, des questions relatives à l’étiologie, aux consultations, au suivi systématique et à

d’attribuer une note de 0 à 10) sur la qualité de sa forma- tion urologique, les moyens d’entraînement (pelvi-trainer, simulateur, école de chirurgie, modèles animaux ou

L’objectif de cette étude était d’évaluer les motiva- tions, l’organisation pratique et les modes de financement de l’année de Master 2 recherche chez les jeunes urologues

Les recommandations franc ¸aises ont, depuis 1998, posé le cadre des bonnes pratiques de désinfection des disposi- tifs médicaux (DM) réutilisables, classant les cystoscopes