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ÉPREUVE OPTIONNELLE DE PHYSIQUE CORRIGÉ

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Texte intégral

(1)

ÉPREUVE OPTIONNELLE DE PHYSIQUE CORRIGÉ

Mécanique du solide.

1. L'équilibre de la poulie C se traduit par :

0 T CJ T CI 0 F g T

T0+ '0+M + r = , ∧ 0 + ∧ '0= soit :

(

x

)

0

k Mg ' T

T0+ 0+ − C0−A0 = (1)

(

T0−T'0

)

a=0 (2) L'équilibre du solide S se traduit par :

0 T g0 = m soit :

0 T

mg− 0 = (3)

Des relations (1), (2) et (3) on déduit la position du centre C de la poulie à l'équilibre :

( )

0 0

C k

g m 2

x M+ +A

= 2. Le fil f ne glisse pas sur la poulie soit :

(

J, f /

)

=

(

J, f /

)

(

J, /

)

=

V C V R V C R 0

Or, V

(

J,f/R

)

=0 car une extrémité du fil est attachée à un bâti fixe. Il en résulte que :

(

J, /

)

=

(

C, /

)

+

(

/

)

=

V C R V C R ω C R CJ 0 d'où on déduit :

(

C, /

)

=xC x = −

(

/

)

∧ = − θ

( ) ( )

z ∧ a y = θa x

V C R e ω C R CJ e e e

D'autre part ce fil, qui ne glisse pas sur la poulie, est inextensible ce qui implique :

(

G /

)

=

(

I,f /

)

=

(

I, /

)

=

(

C, /

)

+

(

/

)

=

(

C, /

) (

/

)

V R V R V C R V C R ω C R CI V C R ω C R CJ soit :

(

G /

)

=2

(

C, /

)

=2aθ x

V R V C R e

3. On applique le théorème de la puissance cinétique au système Σ = ∪C S dans R, soit :

( )

int

dt ext

/

dKΣ R =P +P

La puissance développée par les forces intérieures est nulle car le fil est inextensible et ne glisse pas sur la poulie.

La puissance développée par les forces extérieures est :

( ) ( ) ( ) ( ) ( )

ext =m .g V G / +M .g V C, / +F Vr. C, / +M C / Cz→ .ω /

P R C R C R C C R

avec :

M

(

C / CzC

) (

.ω C/R

)

=0 car la liaison pivot est supposée parfaite

V

(

C, /C R

)

=xC xe =xex = θaex

Fr =−k

(

xC−A0

)

ex =−k

[

x+

(

xC0−A0

) ]

ex

On en déduit, compte tenu du résultat de la question 1 : x

ext =−kx P

L'énergie cinétique de Σ dans R est :

( ) ( )

2 2 2

(

8m 3M

)

x2

4 J 1 2 x 1 2M x 1 2 2m / 1

R = + + θ = +

(2)

En reportant ces résultats dans l'expression du théorème de la puissance cinétique on obtient l'équation différentielle du mouvement en x :

0 mx 8 M 3

k

x 2 =

+ +

4. C'est l'équation différentielle d'un oscillateur harmonique de pulsation : m

8 M 3

k 2

0 = +

ω

5. Avec les conditions initiales

( )

et x

( )

0 0 2

0 1

x = ε0 = l'équation différentielle obtenue à la question 3 s'intègre en :

( )

cos

( )

t t 2

x ε0 ω0

=

Le théorème de la résultante dynamique appliqué au solide S dans R nous conduit à : T

mg x m 2 x

mP = = −

On en déduit la tension qu'exerce, à chaque instant, la partie mobile du fil sur la poulie :

( )

t mg m cos

( )

t T = + ω20ε0 ω0

6. Le théorème du moment cinétique appliqué à C dans R en projection selon Cz nous donne :

(

T T'

)

a

a Jx

Jθ= = −

Compte tenu du résultat précédent on en déduit la tension qu'exerce, à chaque instant, la partie fixe du fil sur la poulie, soit :

( )

cos

( )

t

4 m M mg

t '

T 20 0  ω0

 

 + ε ω +

=

Mouvement d'une fusée.

7. On considère le système fermé F constitué :

♦ à l'instant de date t, par la fusée et son contenu ;

♦ à l'instant de date t + ∆t, par la fusée, son contenu et la masse ∆mg = −∆m de gaz éjecté pendant la durée

∆t.

Les quantités de mouvement de ce système, à ces deux instants, sont respectivement :

( )

t m

( ) ( )

t t , F

(

t t

)

m

(

t t

) (

t t

)

m

( (

t t

) )

F = V p +∆ = +∆ V +∆ −∆ u+V +∆

p Il en résulte que :

( )

p

( )

p

( ) ( ( ) ( )

V

) ( ) (

u V

( ) ) ( ) ( )

V u

p D

dt t t d m dt t

t dm dt

t t m d t

t t lim t

dt t

d F F

0 t

F = − + = +

 

∆ +

= +

en introduisant le débit massique des gaz

dt dm dt

D= dmg =− .

Le théorème de la résultante cinétique, appliqué à F dans R, nous conduit alors, en négligeant la résistance de l'air, à :

( ) ( ) ( )

V u

( )

g

p D mt

dt t t d dt m

t d F

= +

=

Compte tenu que m

( )

t =m0−Dt, on en déduit l'accélération de la fusée :

( )

t t

D t m

0 = −τ−

=g u g u

a

8. Le carburant sera totalement consommé au bout d'une durée t1 - comptée depuis l'instant origine - telle que :

( )

t =m Dt =m

(

1α

)

m 1 0 1 0

(3)

soit :

ατ α =

= D t1 m0

9. La projection du vecteur accélération suivant Oz nous donne :

( )

t g u dt

t dV

− +τ

= Compte tenu que V(0) = 0 il en résulte que :

( )

 

−τ

= t

1 ln u gt t V

La vitesse de la fusée à l'instant de date t1 est alors :

( )

=− ατ−

(

−α

)

=Vt g uln1

V1 1

10. Sachant que z(0) = 0 on obtient, en intégrant V(t), l'altitude atteinte par la fusée pendant la phase de combustion :

( )

 



 

−τ



 

−τ τ +

= t ln 1 t t

1 u 2gt t 1

z 2

A la fin de la combustion du carburant cette altitude est :

( )

=− α τ + τ

[ (

−α

) (

−α

)

]

= g u 1 ln1

2 t 1 z

z1 1 2 2

11. A l'instant t = 0 on a a(0) = g ce qui nous donne : s g 200 2

u =

= τ 12. Si α = 1/2 alors z1 ≈ 71 km.

13. L'altitude maximale z2 est atteinte lorsque la vitesse de la fusée s'annule. Lorsque tout le carburant a été consommé la fusée, de masse m0

(

1α

)

constante, constitue un système fermé ; on peut donc lui appliquer le théorème de l'énergie cinétique entre l'instant t1 et l'instant t2 où sa vitesse s'annule. Il vient :

( )

12 0

( )(

2 1

)

0 1 V m g 1 z z

2m

0−1 −α =− −α −

d'où on déduit :

( )

(

g uln1

)

225km g

2 z 1 g 2 z V

z 1 2

12 1

2 = + = + ατ+ −α ≈

Électrostatique des conducteurs.

14. La sphère métallique S0, de capacité C0 =4πε0R0, portée au potentiel V0, acquiert la charge électrique Q0 =4πε0R0V0, puis est isolée. Cette charge, invariable, se répartit uniformément sur sa surface avec une densité :

0 0 0 20

0 0 R

V R

4

Q =ε

= π σ 15. Son énergie électrostatique est alors :

02 0 0 0

0V 2 R V

2Q

1 = πε

E=

16. Quand on entoure S0 par la sphère creuse S1, par influence totale, la paroi interne de S1 acquiert la charge Q1i = −Q0. S1 étant isolée et initialement neutre, sa charge totale se conserve et sa paroi extérieure porte alors la charge Q1e = +Q0.

La symétrie sphérique du problème implique que le champ électrostatique, créé par ces charges à l'extérieur des conducteurs, est tel que E = E(r)er.

(4)

Le théorème de Gauss appliqué à une surface sphérique concentrique aux sphères, de rayon r > Re, nous conduit à :

2 r 0 0

r 4

Q e

E= πε

Le potentiel étant nul à l'infini, il résulte de E = −∇V que :

( )

r 4 r Q V

0 0

= πε . Or S1 est une surface équipotentielle, d'où :

( )

0

e 0 e 0 e 0

1 V

R R R 4 R Q V

V =

= πε

=

17. Dans l'espace inter conducteur (R0 < r < Ri) le champ électrique conserve la même expression que précédemment. Le calcul de sa circulation du point P à la sphère S1 le long d'une ligne de champ nous conduit à :

( )



 

 + −

= πε



 

 − + πε

=

i e 0

0 i

0

1 0 R

1 R

1 r 1 4

Q R

1 r 1 4 V Q P V

18. On impose V'1 = 0 en reliant S1 au sol. La circulation de E le long d'une ligne de champ dans l'espace inter conducteur nous conduit alors à :



 

 −

=



 −

= πε

i 0 0 i 0 0

0 0 R

1 R R V

1 R

1 4 ' Q V

Notons que cette situation, où Q1e = 0 et Q1i = −Q0, correspond à un condensateur sphérique de capacité

0 i

i 0 0

R R

R R C 4

= πε soumis à la tension V'0.

19. On a le même condensateur que précédemment mais soumis à la tension V"0. Dans ce cas il acquiert la charge Q'0 telle que :

0 0 i

i 0 0 0

0 V"

R R

R 4 R

"

CV '

Q = = πε −

20. L'énergie électrostatique du système formé par l'ensemble des deux sphères est alors égale à l'énergie stockée par le condensateur, soit :

20 0 i

i 0 0 0

0 V"

R R

R 2 R

"

V ' 2Q 1

πε −

= E'=

Optique géométrique : lunette de Galilée.

21. Le système doit être afocal c'est-à-dire tel que Fi1 =Fo2. La distance entre les centres optiques des deux lentilles est alors :

cm 10 ' f ' f O O

e= 1 2 = 1+ 2=

22. On note A'B' l'image, à travers L1, d'un objet à l'infini, qui sert d'objet virtuel pour L2. Dans les conditions de Gauss on a :

2 2 o 1 2

1 i

1.F O .F O

' B '

A =α =α

On en déduit :

2 1 1 2 2 o

1 1 i 1

2 f'

' f F

O F

O =−α

α

= α

23. Le grossissement de l'instrument est alors : ' 3 f

' G f

2 1 1

2 =− =

α

24. Le grandissement transversal de la lunette est :

(5)

1 2 1

1 i 1 i 2

o 2 2 o

' f

' f F

O ' A . F ' A F

F O AB

' B ' .A ' B ' A

"

B

"

A AB

"

B

"

A =−



−





−

=

=

= γ

25. On ne touche pas au tirage donc la lunette reste afocale (Fi1 = Fo2). Les positions limites de l'objet sont telles que les positions limites de l'image sont les limites de vision distincte de l'observateur. L'une de ses limites est l'infini, l'image étant alors à l'infini. L'autre correspond au punctum proximum donc à un objet plus rapproché de la lunette. Soit A cette position

(

Fo1A=2f'1+f'2+d−dm

)

et A" son image dans la lunette

(

Fi2A"=−f'2+d−δm

)

.

Avec la formule de conjugaison de Newton on peut écrire respectivement pour chaque lentille :

22 2

i 2 2 o

1 1

i 1

o A.F A' f' , F A.'F A" f'

F =− =−

En faisant le rapport membre à membre de ces deux relations il vient :

2

2 1 m

2

m 2 1

' f

' f d

' f

d d ' f ' f

2 

 

= δ

− +

− + + On en déduit :

(

d f'

)

144cm '

f ' d f ' f ' f 2

d m 2

2

2 2 1

1

m  −δ − =



− + +

=

26. Dans ce cas limite le grossissement de la lunette est :

4 , d 2 AB .OA

"

OA

"

B

"

G A

m m 0

1 i =

γδ

= α =

= α

27. On suppose la position de l'oeil inchangée soit d=O2O=2cm. Par contre la lunette n'est plus afocale car il faut modifier le tirage. L'image définitive doit être telle que OA"=−δM =−25cm.

L'image intermédiaire est dans le plan focal image de L1 et sert d'objet virtuel pour L2, soit :

(

2 M

)

22

1 2 i o 2 1 i 2 i

o F .F A" F F . f' d f'

F = − + −δ =−

qui nous donne :

cm 39 , ' 1 f d ' F f

F

2 M

22 1

2 i

o =

+

Fi1 se trouve donc à 1,39 cm en arrière de Fo2. Il a donc fallu diminuer le tirage de l'instrument qui est maintenant égal à :

cm 61 , 8 ' f F F ' f O F F F F O O O '

e= 1 2 = 1 i1+ i1 o2+ o2 2 = 1+ i1 o2+ 2= 28. Dans ce cas le grossissement de la lunette devient :

"

OA F .O F O

"

A F

"

OA F .O ' B F

"

B

"

A ' B F

F .O

"

OA

"

B

"

G A 1 i1

2 2 i

2 i 1 1 i 1 i 1 i

1 1 i 0

2 i = = =−

α

= α

soit :

16 , ' 2 f 1 d ' f

' G f

M 2 2

2 1 =

 

 δ

− −

=

Électrocinétique : régime transitoire.

29. A la fin du régime transitoire les deux condensateurs sont soumis à la même tension donc :

2 2 1 1

C Q C Q =

Par ailleurs la partie inférieure du circuit étant galvaniquement isolée sa charge totale se conserve, soit :

0 2

1 Q Q

Q + =

Des ces deux relations on déduit la charge finale du condensateur C1 :

(6)

2 1 0 1

1 C C

Q C

Q = +

30. La charge finale du condensateur C2 est alors :

2 1 0 2 1 0

2 C C

Q C Q Q

Q = − = +

31. La variation d'énergie électrostatique de l'ensemble des deux condensateurs est :

1 02

2 22

1 12 i

f C

Q 2 1 C Q 2 1 C Q 2

1 −



 −

=

=

E E E

soit :

(

C C

)

0

C Q C 2 1

2 1 1

02

2 <

− +

=

E

32. La loi des mailles nous conduit à l'équation :

( ) ( ) ( )

2 2 1

1

C t t q C Ri

t

q = +

En dérivant par rapport au temps et compte tenu que q2

( )

t =−q1

( ) ( )

t =it on obtient :

( )

i

( )

t 0

C RC

C C dt

t di

2 1

2

1+ =

+

Sachant qu'à l'instant initial

( ) ( ) ( )

1 2 0

0

1 RC

0 Q i donc 0 0 q et Q 0

q = = = , l'équation précédente s'intègre en :

( )



 

 +

=

 

 +

= t

C RC

C exp C

I C t RC

C exp C

RC t Q i

2 1

2 0 1

2 1

2 1 1

0

33. Évidemment on peut écrire

( )

 

−τ

=I exp t t

i 0 si on pose :

2 1

2 1

C C

C RC

= + τ

34. L'énergie dissipée par effet Joule dans la résistance est :

( )

1

(

1 2

)

20 2 2

1 0 0

J 2 2C C C

Q C C

Q R dt 2 t

Ri  = +

 

 τ 

=

=+∞

E

On observe évidemment que EJ =−∆E : la variation d'énergie électrostatique de l'ensemble des deux condensateurs est dissipée dans la résistance.

Circuits couplés par inductance.

35. La loi des mailles nous conduit à écrire, compte tenu que ik

( )

t =qk

( )

t (k = 1,2) :

( ) ( ) ( ) ( ) ( ) ( ) ( ) ( )

0

C t t q q L t q L L , C 0

t t q q L t q L

L+ 0 1 + 02 + 1 = + 0 2 + 01 + 2 =

36. Ce système de deux oscillateurs étant symétrique, on peut introduire les coordonnées normales :

( ) ( ( ) ( ) ) ( ) (

q

( )

t q

( )

t

)

2 t 1 q , t q t 2 q t 1

q+ = 1 + 2 = 12

Il en résulte le système différentiel :

( ) ( ) ( ) ( ) ( )

0

C t t q q L , C 0

t t q q L 2

L+ 0 + + + = + =

Ces équations différentielles admettent des solutions harmoniques dont les pulsations sont respectivement :

(7)

(

0

)

2 1

1 LC

, 1 C L 2 L

1 Ω = >Ω

= + Ω

Ce sont les pulsations propres du système couplé.

37. Avec les conditions initiales

( ) ( )

et q

( )

0 q

( )

0 0 2

0 Q q 0

q+ = = 0 + = = , les solutions du système différentiel précédent sont :

( ) ( ) ( )

cos

(

t

)

2 t Q q , t 2 cos t Q

q+ = 01 = 02

On en déduit aisément :

( ) [

cos

( )

t cos

(

t

) ]

2 t Q

q1 = 01 + Ω2

38. Puis :

( ) [

cos

( )

t cos

( )

t

]

2 t Q

q2 = 01 − Ω2

39. Si on veut exciter le mode propre de pulsation Ω1 on doit avoir q(t) = 0 quel que soit t. Sachant que q1

( )

0 =Q0 il faut imposer :

( )

02 0

2 0 Q Q

q = =

Dans ce cas i1(t) = i2(t) et le courant qui traverse la bobine B0 est i(t) = 2i1(t) = 2i2(t). On peut décomposer B0 en deux bobines associées en parallèle, d'inductance propre 2L0, traversées chacune par le courant d'intensité i(t)/2 = i1(t) = i2(t). Tout se passe comme si on avait deux circuits "LC série" identiques indépendants comprenant chacun en série L, C et 2L0. La pulsation propre commune à ces deux circuits vaut donc Ω1.

40. De même, si on veut exciter le mode propre de pulsation Ω2 on doit avoir q+(t) = 0 quel que soit t.

Sachant que q1

( )

0 =Q0 il faut imposer :

( )

02 0

2 0 Q' Q

q = =−

Dans ce cas i1(t) = −i2(t). L'intensité du courant qui traverse la bobine B0 est alors nulle à chaque instant et cette bobine est sans effet. Le circuit est alors équivalent à un circuit "LC série" d'inductance propre 2L et de capacité C/2 obtenues en associant les éléments jumeaux en série. Sa pulsation propre vaut donc Ω2.

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