• Aucun résultat trouvé

1. On montre que la fonction cos est dans E en ajoutant les deux formules usuelles cos(x + y) = cos x cos y − sin x sin y

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "1. On montre que la fonction cos est dans E en ajoutant les deux formules usuelles cos(x + y) = cos x cos y − sin x sin y"

Copied!
4
0
0

Texte intégral

(1)

MPSI B 2010-2011 Corrigé du DS 5 29 juin 2019

Pb I. Équation fonctionnelle

Partie I.

1. On montre que la fonction cos est dans E en ajoutant les deux formules usuelles cos(x + y) = cos x cos y − sin x sin y

cos(x − y) = cos x cos y + sin x sin y cos(x + y) + cos(x − y) = 2 cos x cos y

2. Exprimons sh(x + y) en fonction de ch et sh : ch(x + y) = 1

2 e x+y + e −x−y

= 1

2 e x+y − e x−y + e x−y + e −x−y

= e x sh(y) + e −y ch(x) = (ch x + sh x) sh y + (ch y − sh y) ch(x)

= sh x sh y + ch y ch x On peut donc ajouter les deux ch comme les deux cos pour montrer que ch est dans E .

ch(x + y) = ch x ch y + sh x sh y ch(x − y) = ch x ch y − sh x sh y ch(x + y) + ch(x − y) = 2 ch x ch y

3. Lorsque f vérie l'équation fonctionnelle, il est immédiat que f α la vérie aussi.

4. a. Dans l'équation fonctionnelle, remplaçons x et y par 0 . On en tire 2f (0) = 2f (0) 2 ⇒ f (0) ∈ {0, 1}

b. Supposons f (0) = 0 et prenons y = 0 avec x quelconque dans l'équation fonction- nelle. Il vient :

2f (x) = 2f(x)f (0) = 0 La fonction est alors identiquement nulle.

c. On suppose ici f (0) = 1 . Dans l'équation fonctionnelle, prenons cette fois x = 0 et y quelconque. On obtient

f (y) + f (−y) = 2f (0)f (y) ⇒ f(y) = 1

2 (f (y) + f (−y))

⇒ f (−y) = 1

2 (f (−y) + f (y)) = f(y) La fonction est donc paire.

Partie II.

1. a. Par dénition de F , une fonction f ∈ F n'est pas identiquement nulle mais s'annule au moins une fois. On a donc f (0) = 1 d'après I.4.b. sinon elle serait identiquement nulle. D'autre part si elle s'annule en un réel a , ce réel est non nul et la fonction s'annule aussi en −a par parité. Elle s'annule donc en un réel strictement positif.

b. D'après le a , l'ensemble E est une partie non vide de ]0, +∞[ . Elle est donc minorée par 0 et admet une borne inférieure que l'on notera a .

c. Pour tout entier naturel n non nul, comme a est le plus grand des minorants de F , le réel a + n 1 n'est pas un minorant de E . Il existe donc un a n ∈ E tel que

a ≤ a n < a + 1 n

Avec les inégalités précédentes, le théorème d'encadrement montre que la suite (a n ) n∈N converge vers a . Comme la fonction f est continue en a , la suite (f (a n )) n∈N converge vers f (a) . Or cette suite est nulle car chaque a n est dans E . On en déduit que f (a) = 0 .

Comme 0 est un minorant de E et que a est le plus grand des minorants, on a 0 ≤ a et a 6= 0 car f (0) = 1 .

d. Soit x ∈]0, a[ . Comme a est un minorant de E et comme a ≤ x est faux, le réel x n'est pas dans E . Par conséquent f(x) 6= 0 .

Rappelons que f est continue. Si f (x) était strictement négatif, comme f (0) = 1 , il existerait (d'après le théorème de la valeur intermédiaire) un c tel que 0 < c <

x < a tel que f (c) = 0 . Ceci est en contradiction avec le fait que a est un minorant de E .

2. a. Appliquons la relation fonctionnelle avec x = y = a

2 q+1 On obtient

f ( a

2 q ) + f (0) = 2f ( a 2 q+1 ) 2 b. Démontrons la formule

(P q ) : f ( a

2 q ) = g( a 2 q )

Cette création est mise à disposition selon le Contrat

Paternité-Partage des Conditions Initiales à l'Identique 2.0 France disponible en ligne http://creativecommons.org/licenses/by-sa/2.0/fr/

1

Rémy Nicolai S1005C

(2)

MPSI B 2010-2011 Corrigé du DS 5 29 juin 2019

par récurrence sur q . Notons x q = 2 a

q

de sorte que 2x q+1 = x q .

D'après les questions 1 et 3 de la partie I, les fonctions f et g vérient la même relation fonctionelle. En prenant x = y = x q+1 , on obtient

g(x q+1 ) 2 = 1

2 (g(x q ) + 1) et f (x q+1 ) 2 = 1

2 (f (x q ) + 1)

D'après les propriétés de la fonction cos , on a g(x q+1 > 0 , d'après 1.d, f (x q+1 > 0 . On en déduit :

(P q ) ⇒ f ( a

2 q ) = g( a

2 q ) ⇒ f (x q+1 ) =

r f (x q ) + 1

2 =

r g(x q ) + 1

2 = g(x q+1 ) c. Posons x 1 = 2 a

q

et x p = px 1 pour tout naturel p . Remarquons que x 0 = 0 et que

f (0) = 1 = g(0) donc f (x 0 ) = g(x 0 ) . On a aussi f (x 1 ) = g(x 1 ) d'après la question b. On va montrer par récurrence que f (x p ) = g(x p ) pour tous les p . Cela vient de ce que les deux suites vérient la même relation de récurrence car les fonction vérient la même relation fonctionnelle.

f (x p+1 ) = f (x p + x) = −f (x p−1 ) + 2f (x p )f (x 1 )

= −g(x p−1 ) + 2g(x p )g(x 1 ) = g(x p+1 ) On en déduit que f (x) = g(x) pour tous les x strictement positifs de D a . Cela s'étend par parité à tous les éléments de D a .

3. D'après le résultat admis dans l'introduction, tout réel x est la limite d'une suite d'éléments (d n ) n∈

N de D a . Comme f et g sont continues en a , la limite de (f (d n )) n∈

est f (a) et celle de (g(d n )) n∈ N

N est g(a) . Comme f et g coïncident sur D a ces suites sont égales d'où f (x) = g(x) pour tout x réel.

On en déduit que les fonctions de F sont les fonctions de la forme x → cos(λx)

pour λ > 0 . Partie III.

1. Il est clair que la suite (u n ) n∈N est bien dénie et à valeurs strictement positives.

Démontrons par récurrence la proposition P n suivante.

P n : u 0 ≤ u 1 ≤ · · · ≤ u n ≤ 1

Cette proposition est vériée pour n = 0 . Montrons maintenant que P n entraine P n+1 . Il sut de montrer que u n ≤ u n+1 ≤ 1 .

L'inégalité de droite vient de :

u n ≤ 1 ⇒ 1 + u n

2 ≤ 1 ⇒ u n+1 ≤ 1 Comme tout est positif, on peut comparer les carrés :

u 2 n+1 − u 2 n = 1

2 (u n + 1 − 2u 2 n ) = 1

2 (2u n + 1)(1 − u n ) ≥ 0

La suite est donc croissante et majorée par 1 . On en déduit qu'elle est convergente, on note l sa limite. Par passage à la limite dans une inégalité, on a u 0 ≤ l ≤ 1 .

La suite (u n+1 ) n∈

N converge également vers l . La fonction x → q

1+x

2 est continue dans R + donc en particulier en l . On en déduit

l =

r 1 + x

2 ⇒ l 2 = 1 + l

2 ⇒ l ∈ {− 1

2 , 1} ⇒ l = 1 à cause de l'encadrement de l déjà obtenu.

2. a. Remarquons d'abord que comme f (0) = 1 (la fonction n'est pas identiquement nulle) et comme f ne prend pas la valeur 0 , le théorème des valeurs intermédiaires montre que f (x) > 0 pour tout réel x . Dans l'équation fonctionnelle, prenons x = y . Il vient

f(x) 2 = f (2x) + 1 2 > 1

2 ⇒ f (x) ≥ 1

√ 2 b. Montrons par récurrence la propriété Q n pour tout entier n .

Q n : ∀x ∈ R , f (x) ≥ u n

Elle est vraie d'après a pour n = 0 . D'autre part P n entraine f (2x) ≥ u n et donc : f (x) 2 = f (2x) + 1

2 ≥ u n + 1

2 ⇒ f (x) ≥ u n+1 Par passage à la limite dans une inégalité, on obtient f (x) ≥ 1 .

3. Comme f (1) ≥ 1 , il existe un unique α ≥ 0 tel que ch(α) = f (1) . On peut montrer, par la même méthode qu'à la partie II, que

∀(p, q) ∈ N 2 : f ( p

2 q ) = ch(α p 2 q )

On conclut comme plus haut. Chaque réel x est la limite d'une suite d'éléments de D 1 , les fonctions f et x → ch(αx coïncident sur D 1 et sont continues en x . On en déduit f (x) = ch(αx) .

Cette création est mise à disposition selon le Contrat

Paternité-Partage des Conditions Initiales à l'Identique 2.0 France disponible en ligne http://creativecommons.org/licenses/by-sa/2.0/fr/

2

Rémy Nicolai S1005C

(3)

MPSI B 2010-2011 Corrigé du DS 5 29 juin 2019

Pb II. Une énumération des rationnels strictement positifs

1. a. Selon les dénitions de l'énoncé : C 2 = {1} , C 3 =

1 2 , 2

, C 4 =

1 3 , 3

b. Avec la dénition de f , on trouve

u 0 = 1, u 1 = 1

2 , u 2 = 1

1 − 1 2 = 2, u 3 = 1

3 , u 4 = 1 1 − 1 3 = 3

2 , u 5 = 1

1 + 1 − 1 2 = 2

3 , u 6 = 1

1 − 2 3 = 3, u 7 = 1 3 + 1 = 1

4 On remarque en particulier que

C 2 = {u 0 } , C 3 = {u 1 , u 2 } , C 4 = {u 3 , u 6 }

Cette remarque servira à initialiser une récurrence dans la dernière question.

c. Avec les dénitions des parties entières et fractionnaires, il est immédiat que bx + 1c = bxc + 1, {x + 1} = {x}

2. a. On doit vérier que f ◦ g(x) = x pour tout x ∈]0, +∞[ et que g ◦ f (x) = x pour tout x ∈ [0, +∞[ .

Calcul de f ◦ g(x) = x pour x > 0 . Si 1 x ∈ N

g(x) = 1

x − 1 ∈ N , bg(x)c = 1

x − 1, {g(x)} = 0 ⇒ f (g(x)) = 1

1

x − 1 + 1 = x Si 1 x 6∈ N.

g(x) = b 1

x c + 1 − { 1 x }

| {z }

∈]0,1[

⇒ bg(x)c = b 1

x c, {g(x)} = 1 − { 1 x }

⇒ f (g(x)) = 1

b x 1 c + 1 − (1 − { x 1 }) = 1

b 1 x c + { 1 x } = 1

1 x

= x

Calcul de g ◦ f (x) = x pour x ≥ 0 .

Traitons à part x = 0 . On a g ◦ f (0) = g(1) = 1 − 1 = 0 . Pour x > 0 , commençons par caractériser g(x) 1 ∈ N .

1

g(x) ∈ N ⇔ bxc + 1 − {x} ∈ N ⇔ {x} = 0 ⇔ x ∈ N On traite alors deux cas.

Si x ∈ N .

g ◦ f (x) = 1

f (x) − 1 = bxc + 1 − 1 = bxc = x Si x 6∈ N .

1

f (x) = bxc + 1 − {x}

| {z }

∈]0,1[

 

 

 b 1

f (x) c = bxc { 1

f (x) } = 1 − {x}

⇒ g(f (x)) = bxc + 1 − (1 − {x}) = bxc + {x} = x b. Comme r(x) = 1+x x = 1− 1+x 1 , il est bien clair que r est une application continue et

strictement croissante de [0, +∞[ vers [0, 1[ . Elle est donc bijective. Pour prouver que ρ est sa bijection réciproque, il sut donc de montrer que ρ ◦ r(x) = x .

∀x ∈ [0, +∞[: ρ ◦ r(x) = r(x) 1 − r(x) =

x 1+x

1 − 1+x x =

x 1+x

1 1+x

= x

c. Il est totalement évident que l et λ sont des bijections réciproques l'une de l'autre.

Ce sont de simples translations.

3. a. Pour tout x ∈ [0, 1[ , bxc = 0 et {x} = x . On en déduit que f (x) = 1−x 1 . b. Calcul de f ◦ r(x) pour x ≥ 0 .

Si x = 0 alors r(0) = 0 donc f ◦ r(0) = f (0) = 1 = l(0) . Si x > 0 alors r(x) ∈]0, 1[ donc :

f (r(x)) = 1

1 − r(x) = 1

1 − 1+x x = x + 1 = l(x) c. Calcul de r ◦ f (x) pour x ≥ 0 .

Si x = 0 , f (0) = 1 , r ◦ f (0) = r(1) = 1 2 .D'autre part l(0) = 1 , f ◦ l(0) = f (1) =

Cette création est mise à disposition selon le Contrat

Paternité-Partage des Conditions Initiales à l'Identique 2.0 France disponible en ligne http://creativecommons.org/licenses/by-sa/2.0/fr/

3

Rémy Nicolai S1005C

(4)

MPSI B 2010-2011 Corrigé du DS 5 29 juin 2019

1

1+1 = 1 2 . On a donc bien r ◦ f (0) = f ◦ l(0) . Si x > 0 , en utilisant 1.c.

r ◦ f (x) = f (x)

1 + f(x) = 1

1

f(x) + 1 = 1

bxc + 1 − {x} + 1

= 1

bx + 1c + 1 − {x + 1} = f ◦ l(x) d. On peut combiner les questions précédentes et utiliser l'associativité de la com-

position des applications.

l ◦ f = (f ◦ r) ◦ f = f ◦ (r ◦ f ) = f ◦ (f ◦ l) = (f ◦ f ) ◦ l

4. a. On a montré que f était une bijection de [0, +∞[ dans ]0, +∞[ avec f (0) = 1 . Cela entraine que tous les u n sont non nuls. Si u n = 1 avec n ≥ 1 , comme u n = f (u n−1 ) , on a f (u n−1 ) = 1 donc u n−1 = 0 ce qui est impossible.

b. Supposons p < q et u p = u q . Cela peut s'écrire avec des compositions de f u p = f ◦ f ◦ · · · ◦ f

| {z }

p fois

(1) = f ◦ f ◦ · · · ◦ f

| {z }

q fois

(1) = u q

On peut alors composer p fois à gauche par la bijection réciproque g ce qui donne 1 = f ◦ f ◦ · · · ◦ f

| {z }

q−p fois

(1) = u q−p

Ceci est en contradiction avec la question a. et montre que l'application n → u n

est injective.

5. a. Si l'écriture x = p q n'est pas irréductible, il en existe une autre de la forme x = p q

1

qui est irréductible avec un entier naturel k tel que p = kp 1 et q = kq 1 . On a alors

1

π(x) = p 1 + q 1 ≤ p + q .

b. Soit x un nombre rationnel strictement plus grand que 1 et p q une écriture irré- ductible de ce nombre. Alors :

π(λ(x)) = π( p

q − 1) = π( p − q

q ) ≤ p − q + q = p < π(x) = p + q

c. Soit x un nombre rationnel dans ]0, 1[ et p q une écriture irréductible de ce nombre.

Alors :

π(ρ(x)) = π(

p q

1 − p q ) = π( p

q − p ) ≤ p + q − p = q < π(x) = p + q

6. On va démontrer par récurrence la propriété suivante.

(R m ) ∀x ∈ W m , ∃n ∈ N tel que x = u n

La question 1.a. montre que les propriétés R 2 , R 3 , R 4 sont vraies. Montrons mainte- nant que W m entraine W m+1 .

Il s'agit de montrer que tout rationnel x (autre que 1 = u 0 ) de poids m + 1 est un u k pour un certain entier k .

Si x > 1 , considérons λ(x) . Comme π(λ(x)) < π(x) on a λ(x) ∈ W m et d'après l'hypothèse de récurrence, il existe un entier n tel que

λ(x) = u n = f ◦ f ◦ · · · ◦ f

| {z }

n fois

(1)

On peut écrire alors x = l(λ(x)) et utiliser les propriétés de la question 3.

x = l ◦ f ◦ f ◦ · · · ◦ f

| {z }

n fois

(1) = f ◦ f ◦ l ◦ f ◦ f ◦ · · · ◦ f

| {z }

n−1 fois

(1)

= · · · = f ◦ f ◦ · · · ◦ f

| {z }

2n fois

◦ l(1) = f ◦ f ◦ · · · ◦ f

| {z }

2n fois

(2) = f ◦ f ◦ · · · ◦ f

| {z }

2n+2 fois

(1) = u 2n+2

car 2 = u 2 = f ◦ f (1) .

Si 0 < x < 1 . On considère ρ(x) dont le poids est strictement plus petit que celui de x . Il existe donc un n tel que ρ(x) = u n . On utilise alors r :

x = r ◦ ρ(x) = r ◦ f ◦ f ◦ · · · ◦ f

| {z }

n fois

(1) = f ◦ l ◦ f ◦ f ◦ · · · ◦ f

| {z }

n−1 fois

(1)

= · · · = f ◦ f ◦ · · · ◦ f

| {z }

2n−1 fois

◦ l(1) = u 2n+1

Ceci montre bien la surjectivité de l'application n → u n de N dans l'ensemble des rationnels strictement positifs.

Cette création est mise à disposition selon le Contrat

Paternité-Partage des Conditions Initiales à l'Identique 2.0 France disponible en ligne http://creativecommons.org/licenses/by-sa/2.0/fr/

4

Rémy Nicolai S1005C

Références

Documents relatifs

En déduire la dérivée de sinus en

[r]

[r]

Donc la droite ( IE ) est la médiatrice du segment [ AB ]. En effet, l'aire de IAB est le double de l'aire de IAD en posant D le milieu de [ AB ]. d ) Une valeur approchée de l'aire

ABC est un triangle équilatéral de centre de gravité G tel que ait pour mesure principale 3 π.. Déterminer, en radian, les mesures principales des angles

Relations trigonométriques, Connaître et utiliser dans le triangle rectangle les relations entre le cosinus, le sinus ou la tangente d'un angle aigu et les longueurs de deux

On définit ensuite un sens de rotation appelé « sens direct » A tout réel x, on associe un point M sur le cercle de la façon suivante :.. - si x &gt; 0, on parcourt la distance

- Pour tout x, cos(-x) = cos(x), donc la fonction cosinus est paire (la courbe est donc symétrique par rapport à l’axe des ordonnées)... La