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sont donc positives : les termes de la suite (u

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Academic year: 2022

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Texte intégral

(1)

Exercice 1 10 points Partie A - étude graphique

1. Quel que soit n naturel et quel que soit le réel x , e

(n1)x

> 0 et 1+ e

x

> 1 > 0 : les fonctions f

n

sont donc positives : les termes de la suite (u

n

) sont des intégrales de fonctions positives sur [0 ; 1] : u

n

est donc l’aire, en unités d’aire de la surface limitée par la courbe C

n

, l’axe des abscisses et les droites d’équation x = 0 et x = 1 .

2. D’après l’allure des courbes on peut conjecturer que la suite (u

n

) est décroissante et a pour limite 0 .

3.

0,1 0,2 0,3 0,4 0,5 0,6 0,7

0 0,1 0,2 0,3 0,4 0,5 0,6 0,7 0,8 0,9 1,0 1,1 0,1 0

0,1 0,2 0,3 0,4 0,5 0,6 0,7

0 0,1 0,2 0,3 0,4 0,5 0,6 0,7 0,8 0,9 1,0 1,1 C

4

L’aire de la surface grisée s’obtient comme la somme des aires de deux trapèzes et d’un triangle : 4 + 6 + 2, 5 = 12, 5 carrés d’aire 0,01.

L’aire de la surface limitée par les axes et la ligne rouge se décompose en 10, 5 + 3 + 3, 5 = 17 aires de carrés d’aire 0,01.

On en déduit que 0, 125 < u

4

< 0, 17 . On a donc

0, 12 < u

4

< 0, 17.

Partie B - Étude théorique 1. u

0

=

1

0

f

0

(x) d x =

1

0

e

x

1 + e

x

d x .

En posant u (x) = 1 + e

x

on obtient u

(x) = e

x

, donc : u

0

=

1

0

u

(x)

u(x) d x = [ln u(x)]

10

= [ ln (

1 + e

x

)]

10

= ln (1 + e ) ln 2 = ln ( 1 + e

2 )

. 2. Par linéarité de l’intégrale :

u

0

+ u

1

=

1

0

f

n

(x) d x +

1

0

f

n

(x) d x =

1

0

( e

x

1 + e

x

+

e

(11)x

1 + e

x

) d x =

1

0

( e

x

1 + e

x

+

1 1 + e

x

) d x =

1

0

e

x

+ 1 1 + e

x

d x =

1

0

1 dx = 1 0 = 1 . On en déduit que : u

1

= 1 u

0

= 1 ln (

1+e

2

) .

3. L’intégrale d’une fonction positive sur l’intervalle [0 ; 1] est positive. Donc u

n

> 0 4. a. d

n

(x) = f

n+1

(x) f

n

(x) = e

−(n+1−1)x

1 + e

x

e

−(n−1)x

1 + e

x

=

e

−nx

1 + e

x

e

−(n−1)x

1 + e

x

= e

nx

1 + e

x

(1 e

x

) = e

nx1−1+eexx

.

1

(2)

b. On sait que pour tout naturel n et pour tout réel x , e

−nx

> 0 et que 1 + e

x

> 1 > 0 .

Le signe de d

n

(x) est donc celui de 1 e

x

.

Or 0 ⩽ x1 e

0

⩽ e

x

⩽ e

1

par croissance de la fonction exponentielle, soit 1 ⩽ e

x

⩽ e, d’où e ⩽ e

x

−1 et enfin 1 e ⩽ 1 e

x

0 .

Conclusion : 1 e

x

0 d

n

(x) ⩽ 0 .

5. d

n

(x) < 0 ⇐⇒ f

n+1

(x) f

n

(x) < 0 ⇐⇒ f

n+1

(x) < f

n

(x) .

Il en résulte par intégration sur l’intervalle [0 ; 1]que u

n+1

< u

n

: la suite (u

n

) est décroissante.

Comme on a vu qu’elle minorée par zéro, elle est donc convergente vers une limite supérieure ou égale à zéro.

6. a. u

n

+ u

n+1

=

1

0

e

−(n−1)x

1 + e

x

+

1

0

e

−(n+1−1)x

1 + e

x

et par linéarité de l’intégrale : u

n

+ u

n+1

=

1

0

[ e

(n1)x

1 + e

x

+

e

nx

1 + e

x

] d x =

1

0

e

nx

1 + e

x

( e

x

+ 1 ) d x =

1

0

e

−nx

d x = [ e

nx

n ]

1

0

= − e

n

n + 1

n = 1 e

n

n . b. On sait que lim

n→+∞

e

−n

= 0 , donc lim

n→+∞

1 e

−n

= 1 et enfin lim

n→+∞

1 e

−n

n = 0 . On a donc = 0.

c. Tant que K < N Affecter 1 e

−K

K U Ã U Affecter K + 1 Ã K Fin Tant que

Exercice 2 7 points

1. Le point H a pour coordonnées (1 ; 1 ; 1) . M (BH) ⇐⇒ il existe t R −−−→

B M = t −−→

BH ⇐⇒

 

x 0 = t(1 0) y 0 = t(1 0) z 0 = t(1 0)

⇐⇒

 

x = t y = t z = t 2. On a D(1 ; 1 ; 0), E(1 ; 0 ; 1) et G(0 ; 1 ; 1).

D’où −−→ DE (0 ; 1 ; 1), −−→

DG ( 1 ; 0 ; 1) .

Comme −−→ BH (1 ; 1 ; 1) ce vecteur est orthogonal à −−→ DE et à −−→ DG , soit à deux vecteurs non colinéaires du plan (DEG). Le vecteur −−→ BH est donc normal au plan (DEG) : la droite (BH) est perpendiculaire au plan (DEG).

3. D’après la question précédente une équation du plan (DEG) est : M(x ; y ; z) ( DEG ) ⇐⇒ 1x + 1y + 1z + d = 0 .

On a par exemple D ( DEG ) ⇐⇒ 1+ 1 + 0 + d = 0 ⇐⇒ d = −2 . Donc M (x ; y ; z) ( DEG ) ⇐⇒ x + y + z 2 = 0 .

4. les coordonnées de P vérifient l’équation paramétrique de la droite (Bh) et l’équation du plan (DEG) soit :

 

 

 

x = t

y = t

z = t

x + y + z 2 = 0

3t 2 = 0 ⇐⇒ t = 2 3 . On a donc P

( 2 3 ; 2

3 ; 2 3 )

.

2

(3)

5. On a : PD

2

= (

1 2 3

)

2

+

( 1 2

3 )

2

+ 0 ; PE

2

=

( 1 2

3 )

2

+ 0 + (

1 2 3

)

2

; PG

2

= 0 +

( 1 2

3 )

2

+ (

1 2 3

)

2

.

On a donc de façon évidente PD

2

= PE

2

= PG

2

soit PD = PE = PG.

Le point P est donc équidistant des trois sommets du triangle (DEG), c’est donc le centre du cercle circonscrit au triangle (DEG), mais comme celui-ci est équilatéral car ses trois côtés sont des diagonales de carrés de côté 1, le point P est orthocentre, centre du cercle circonscrit et centre de gravité du triangle équilatéral (DEG).

Exercice 3 3 points

0 1 5,8 10 13,9 22

1. On sait que p(T22) = 0, 023 .

a. Le premier domaine est limité par la courbe, l’axe des abscisses et la droite verticale d’équation x = 22 .

L’autre domaine est le symétrique du premier par rapport à la droite d’équation x = 13, 9 ; 22 13, 9 = 8, 1 et 13, 9 8, 1 = 5, 8 .

Le second domaine est limité par la courbe, l’axe des abscisses et la droite d’équation x = 5, 8 . Voir ci-dessus

b. P (5, 8 ⩽ T22) = 1 (P (T > 22) + P (T < 5, 8)) = 1 2 × 0, 023 = 1 0, 046 = 0, 954 D’après le cours, P 2σ ⩽ Tµ + 2σ) 0, 954 , donc on a

P (13, 9 2 σT13, 9 + 2 σ ) = 0, 954 .

On en déduit que σ vérifie 13, 9 2 σ = 5, 8 et 13, 9 + 2 σ = 22 , ce qui donne σ 4, 05 , soit 4,1 au dixième.

2. On cherche la probabilité qu’un jeune soit connecté à internet plus de 18 heures par semaine, c’est-à-dire P (T > 18) .

On trouve à la calculatrice, en prenant m = 13, 9 et σ = 4, 1 : P (T > 18) 0, 16 .

3

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