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Partie 1 : une première façon de calculer I = Z

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Academic year: 2021

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Texte intégral

(1)

SESSION 2009 E3A

Concours ENSAM - ESTP - EUCLIDE - ARCHIMEDE Epreuve de Mathématiques A PSI

Applications simples du cours

Question 1.

1.1.

1

−1

1 G γ

1.2.L’arcγest la réunion de deux arcs. On parcourt d’abordγ1 : t7→

t t2

,tvariant de0à1puisγ2 : t7→

t2 t

, tvariant de1à0.

Z

γ1

V= Z1

0

(P(x(t), y(t))×x(t) +Q(x(t), y(t))y(t)) dt

= Z1

0

(2t3−t2) + (t+t4)(2t) dt=

Z1

0

(2t5+2t3+t2)dt

= 2 6 +2

4 +1 3 = 7

6, et

Z

γ2

V= Z0

1

(2t3−t4)(2t) + (2t2) dt=

Z1

0

(2t5−4t4−2t2)dt

= 2 6− 4

5− 2 3 = −17

15. Finalement,

Z

γ

V= Z

γ1

V+ Z

γ2

V= 7 6 −17

15 = 1 30. Z

γ

V= 1 30. 1.3.D’après la formule de Green-Riemann,

Z

γ

V= ZZ

G

∂Q

∂x(x, y) −∂P

∂y(x, y)

dxdy= ZZ

06x61, x26y6 x

(1−2x)dxdy

= Z1

0

(1−2x) Zx

x2

dy

! dx=

Z1

0

(1−2x)(√

x−x2)dx= Z1

0

(x1/2−x2−2x3/2+2x3)dx= 2 3 −1

3− 4 5+ 2

4 = 1 30, et on retrouve

(2)

Z

γ

V= 1 30.

Question 2. 2.1.D’après la formule deGreen-Riermann, Z

γ

V= ZZ

G

∂Q

∂x(x, y) −∂P

∂y(x, y)

dxdy=0.

2.2.On peut prendre : ∀(x, y)∈R2,

P(x, y) Q(x, y)

= x

y

.

Question 3. 3.1.Pour (x, y)∈R2, posonsP(x, y) =0 etQ(x, y) =x. D’après la formule deGreen-Riermann, A1=

Z

γ

xdy= ZZ

G

∂Q

∂x(x, y) −∂P

∂y(x, y)

dxdy= ZZ

G

dxdy.

De même, la formule de Green-Riermann appliquée au casP(x, y) = −y et Q(x, y) = 0 et au cas P(x, y) = −1 2y et Q(x, y) = 1

2xfournitA2= ZZ

G

dxdy=A3. Les trois nombresA1, A2 et A3 sont égaux à l’aire du domaine du plan de frontièreγ.

3.2.•Pour toutt∈[−π, π],M(−t) = (cos3t,−sin3t) = (x(t),−y(t)) =s(Ox)(M(t)puis pour toutt∈[0, π],M(π−t) = s(Oy)(M(t))et enfin pour toutt∈h

0,π 2

i,Mπ 2 −t

=sy=x(M(t)). Donc, on étudie et on construit la portion de courbe correspondant à t ∈ h

0,π 4

i puis on obtient la courbe complète par réflexion d’axe la droite d’équation y = x puis par réflexion d’axe(Oy)et enfin par réflexion d’axe(Ox).

•Les fonctions t7→x(t)ett7→y(t)sont strictement croissantes sur h 0,π

4 i.

•Tangentes aux point singuliers.Pour t∈h 0,π

4 i,

−−dM→ dt =

−3sintcos2t 3costsin2t

=3sintcost

−cost sint

. Donc, pour t∈h

0,π 4

i,

−−dM→

dt =−→0 ⇔3sintcost=0⇔t=0. Quandt décrith 0,π

4

i, on obtient un point singulier et un seul à savoir le pointM(0).

Maintenant, quandttend vers0par valeur supérieures,x(t) −x(0) =cos3t−1= (cost−1)(cos2t+cost+1)∼−3t2 2 et y(t) −y(0) =sin3t∼t3. On en déduit que lim

t0 t>0

x(t) −x(0) t2 = −3

2 et lim

t0 t>0

y(t) −y(0)

t2 =0ou encore que

tlim0 t>0

1 t2

−−−−→ OM(t) =

−3 2, 0

6

=−→0.

Ainsi, pourt ∈i 0,π

4

i, le vecteur 1 t2

−−−−→

OM(t)dirige la droite(OM(t))et ce vecteur a une limite non nulle quand t tend vers0 à savoir−3

2

→i. On en déduit que la tangente enM(0)est dirigée par le vecteur−3 2

→i ou aussi par le vecteur−→i. Par symétrie par rapport à(Ox), le pointM(0)est un point de rebroussement de première espèce.

1

−1 1

(3)

3.3.On note A l’aire du domaine délimité par la courbeγ.

A= 1 2

Zπ

−π

((cos3t)(3sin2tcost) − (sin3t)(−3cos2tsint))dt= 3 2

Zπ

−π

cos2tsin2t dt= 3 8

Zπ

−π

sin2(2t)dt

= 3 16

Zπ

−π

(1−cos(4t))dt= 3 16

Zπ

−π

dt= 3π 8 .

L’aire du domaine délimité par la courbeγest égale à 3π 8 .

(4)

Problème

Préliminaires

1.

1

1 2 3

y=2πx y=x

y=sinx

π 2

2. 2.1 lim

t0ϕ(t) = lim

t0

sint

t =1. Donc on peut prolongerϕpar continuité en 0en posantϕ(0) =1.

2.2Soitx > 1. Les deux fonctionst7→ 1

t ett7→−costsont de classeC1sur[1, x]. On peut donc effectuer une intégration par parties et on obtient

Zx

1

sint t dt=

−cost t

x

1

− Zx

1

cost

t2 dt=cos1−cosx x −

Zx

1

cost t2 dt.

2.3La fonction t 7→ cost

t2 est continue sur[1,+∞[ et est dominée par 1

t2 quand t tend vers+∞. On en déduit que la fonctiont7→cost

t2 est intégrable sur[1,+∞[et en particulier la fonctionx7→

Zx

1

cost

t2 dta une limite réelle quandxtend vers+∞.

D’autre part, puisque∀x > 1,

cosx x

6 1

x, lim

x+

cosx

x =0. Finalement, la fonction x7→

Zx

1

sint

t dt a une limite réelle quandxtend vers+∞.

2.4ϕest continue sur]0, 1]et prolongeable par continuité en0. Doncϕest intégrable sur]0, 1]. En particulier, la fonction y7→

Z1

y

sint

t dta une limite réelle quand ytend vers0. Comme d’autre part, la la fonctionx7→

Zx

1

sint

t dt a une limite réelle quandxtend vers+∞, on a montré que

l’intégrale Z+

0

sint

t dtest convergente.

Partie 1 : une première façon de calculer I = Z

+

0

sin t t dt

Question 1. SoitUun domaine deR2ne contenant pas l’origine. Les fonctionsPetQsont de classeC1surUen tant que quotient de fonctions de classeC1 surUdont le dénominateur ne s’annule pas surU.

Question 2. Puisque γ n’entoure pas l’origine, on peut choisir un ouvert Ude R2 contenant γ et ne contenant pas l’origine. Pour(x, y)∈U,

∂Q(x, y) =e−y

− 2x

(xcosx+ysinx) + 1

(cosx−xsinx+ycosx)

(5)

∂P

∂y(x, y) =e−y

− 1

x2+y2(xsinx−ycosx) − 2y

(x2+y2)2(xsinx−ycosx) + 1

x2+y2(−cosx)

= e−y

(x2+y2)2 (−x2+y2+x2y+y3)cosx+ (−2xy−x3−xy2)sinx .

Donc surU, on a ∂Q

∂x = ∂P

∂y. Mais alors la formule deGreen-Riemannfournit Z

γ

V= ZZ

G

∂Q

∂x(x, y) − ∂P

∂y(x, y)

dxdy=0.

Question 3. 3.1.Soitρ > 0.

Aρ= Zπ/2

0

e−ρsinθ

ρ2 ((ρcosθsin(ρcosθ) −ρsinθcos(ρcosθ))(−ρsinθ) + (ρcosθcos(ρcosθ) +ρsinθsin(ρcosθ))(ρcosθ)) dθ

= Zπ/2

0

e−ρsinθ(sin(ρcosθ)(−cosθsinθ+cosθsinθ) +cos(ρcosθ)(cos2θ+sin2θ))dθ

= Zπ/2

0

e−ρsinθcos(ρcosθ)dθ.

∀ρ > 0,Aρ= Zπ/2

0

e−ρsinθcos(ρcosθ)dθ.

3.2.• Pour tout réelρ∈[0,+∞[, la fonctionθ7→e−ρsinθcos(ρcosθ)est continue surh 0,π

2 i.

•Pour tout réelθ∈h 0,π

2

i, la fonctionρ7→e−ρsinθcos(ρcosθ)est continue sur[0,+∞[.

Pour tout(θ, ρ)∈h 0,π

2 i

×[0,+∞[,

e−ρsinθcos(ρcosθ)

61=ϕ0(θ)oùϕ0 est continue sur le segmenth 0,π

2

iet donc intégrable sur ce segment.

D’après le théorème de continuité des intégrales à paramètres, la fonctionρ7→Aρest continue sur[0,+∞[. En particulier,

ρlim0+Aρ=A0= Zπ/2

0

dθ= π 2.

ρlim0+Aρ= π 2.

3.3.Soitρ > 0. D’après la question 1. des préliminaires,∀θ∈h 0,π

2

i, sinθ> 2θ

π et donc

|Aρ|6 Zπ/2

0

e−ρsinθdθ6 Zπ/2

0

e−2ρθ/πdθ= π

2ρ 1−e−ρ 6 π

2ρ, et comme lim

ρ+

π

2ρ=0, on a montré que

ρlim+Aρ=0.

Question 4. 4.1.

(6)

r R γ

4.2.Une paramétrisation du segment[A1, A2]estt7→(t, 0),t variant der àR. Donc

(7)

Z

γ1

V= ZR

r

e0

t2((tsint−0)×1+ (tcost+0)×0)dt= ZR

r

sint t dt.

Z

γ1

V= ZR

r

sinx x dx.

4.3.Une paramétrisation du segment[A3, A4]estt7→(0, t),t variant deRà r. Donc Z

γ3

V= Zr

R

e−t

t2 ((0−t)×0+0×1)dt=0.

Z

γ3

V=0.

4.4.Soientr etRtels que0 < r < R. D’après la question 2, Z

γ1

V+ Z

γ2

V+ Z

γ3

V+ Z

γ4

V= Z

γ

V=0. Mais alors, d’après la question 4.2,

ZR

r

sinx

x dx= −AR+Ar. Quandrtend vers0et Rtend vers+∞, les questions 3.2 et 3.3 fournissent

Z+

0

sinx

x dx= π 2.

Partie 2 : une deuxième façon de calculer I = Z

+

0

sin t t dt

Question 1. 1.1.Soitn∈N. La fonctionf : t7→ costsin(2nt)

sint est continue suri 0,π

2

iet se prolonge par continuité en0en posantf(0) =2n. Donc la fonctionfest intégrable suri

0,π 2

i. De même, la fonctiong : t7→ sin(2nt)

t est continue suri 0,π

2

iet se prolonge par continuité en 0 en posantg(0) =2n.

Donc la fonctiongest intégrable suri 0,π

2 i.

On a montré que pour tout entier naturel non nuln, un et vn existent.

1.2.Soitn∈N.

un+1−un = Zπ/2

0

cost(sin((2n+2)t) −sin(2nt))

sint dt=

Zπ/2

0

2costcos((2n+1)t)dt

= Zπ/2

0

(cos((2n+2)t) +cos(2nt))dt=

sin((2n+2)t)

2n+2 + sin(2nt) 2n

π/2

0

=0.

Donc la suite(un)n∈N est constante. On en déduit que pour tout entier naturel non nul n un =u1=

Zπ/2

0

costsin(2t) sint dt=

Zπ/2

0

2cos2t dt= Zπ/2

0

(1+cos(2t))dt= π 2.

∀n∈N,un= π 2.

Question 2.Soit m∈N. Les fonctions t 7→h(t)et t7→ eimt

im sont de classe C1 sur le segment [α, β]. On peut donc effectuer une intégration par parties et on obtient

(8)

Hm=

h(t)eimt im

β

α

− Zβ

α

h(t)eimt

im dt= 1

im eimβh(β) −eimαh(α) − Zβ

α

h(t)eimtdt

! , et donc

|Hm|6 1

m |h(α)|+|h(β)|+

Zβ

α

|h(t)|dt

! .

Puisque lim

m+

1

m |h(α)|+|h(β)|+

Zβ

α

|h(t)|dt

!

=0, on a montré que

mlim+

Hm=0.

Question 3. • h(t) =

t0

1

t − 1+o(t) t+o(t2) =

t0

1 t

1−1+o(t) 1+o(t)

=

t0

1

t(1−1+o(t)) =

t0 o(1). Donc la fonction h se prolonge par continuité en0en posanth(0) =0 (on note encorehle prolongement).

•h est de classeC1suri 0,π

2

iet pourt∈i 0,π

2

i, h(t) = −1 t2 + 1

sin2t.

•h(t) =

t0−1

t2+ 1

t−t3

6 +o(t3) 2 =

t0

1

t2 −1+

1− t2

6 +o(t2) −2!

t=0

1 t2

−1+1+t2

3 +o(t2)

= 1

3+o(1).

En résumé, la fonction h est de classe C1 sur i 0,π

2

i, se prolonge en une fonction continue sur h 0,π

2

i et la dérivée du prolongement a une limite réelle en0à droite. D’après un théorème classique d’analyse, ce prolongement est de classeC1 surh

0,π 2

i.

Question 4. 4.1.Soitn∈N. Avec les notations des questions 2 et 3, vn−un =

Zπ/2

0

h(t)sin(2nt)dt=Im(H2n).

Puisque la fonctionh se prolonge en une fonction de classeC1surh 0,π

2

i, le lemme deLebesgue permet d’affirmer que

nlim+

(vn−un) =0.

4.2.D’après les questions II.1.2 et II.4.1, lim

n+vn= π 2. Soit n ∈ N. Posons u = 2nt. On obtient vn =

Z

0

sinu

u du. Puisque l’intégrale Z+

0

sinx

x dx converge, on a aussi

nlim+

vn= Z+

0

sinx

x dx. On retrouve donc

Z+

0

sinx

x dx= π 2.

Partie 3 : une troisième façon de calculer I = Z

+

0

sin t t dt

Question 1. Soitα∈R.

Z Z

e(−α+i)x

e−αx

(9)

J= Zu

0

Zu 0

(sinx)e−xy dy

dx= Zu

0

sinx1−e−xu

x dx

où l’expression 1−e−xu

x désigne la fonction continue sur [0, u]ϕ : x7→



1−e−xu

x six∈]0, u]

usix=0

. D’après la question précédente, on a aussi

J= Zu

0

Zu 0

(sinx)e−xy dx

dy= Zu

0

−e−yx(cosx+ysinx) 1+y2

x=u

x=0

dy= Zu

0

1−e−yu(cosu+ysinu)

1+y2 dy.

∀u > 0, Zu

0

sinx

x (1−e−xu)dx= Zu

0

1−e−yu(cosu+ysinu)

1+y2 dy.

Question 3. 3.1.Soitu > 0. On sait que∀x>0,|sinx|6xet donc∀x > 0,

sinx x

61. On en déduit que

|K1|6 Zu

0

e−xu

sinx x

dx6 Zu

0

e−xudx= 1−e−u2

u 6 1

u. Comme lim

u+

1

u=0, on a montré que

ulim+K1=0.

3.2.Soitu > 0. Pour tout réely, on a(|y|−1)2>0et donc |y|

1+y2 61

2. On en déduit que

|K2|6 Zu

0

|y||sinu|

1+y2 + |cosu|

1+y2

e−yudy6 Zu

0

3

2e−yudy6 3 2u et donc

ulim+K2=0.

3.3.D’après la question 3.1, lim

u+

Zu

0

sinx

x (1−e−xu)dx= Z+

0

sinx

x dxet d’après la question 3.2,

ulim+

Zu

0

1−e−yu(cosu+ysinu) 1+y2 dy=

Z+

0

1

1+y2 dy= [Arctany]+0= π

2. En faisant tendreuvers+∞dans l’égalité de la question 2, on retrouve encore une fois

Z+

0

sinx

x dx= π 2.

Question 4. 4.1.La fonction x7→ sin2x

x2 est continue sur]0,+∞[, prolongeable par continuité en0 et dominée par 1 x2 en+∞. On en déduit que la fonctionx7→sin2x

x2 est intégrable sur]0,+∞[. En particulier l’intégrale

Z+

0

sin2x

x2 dxest convergente.

4.2.

Z+

0

sin2x x2 dx=

Z+

0

1−cos(2x) 2x2 dx.

Soit(a, A)∈R2tel que 0 < a < A. Les deux fonctionsx7→ 1−cos(2x)

2 etx7→−1

x sont de classeC1sur[a, A]. On peut donc effectuer une intégration par parties et on obtient

ZA

a

1−cos(2x) 2x2 dx=

−1−cos(2x) 2x

A

a

+ ZA

a

sin(2x)

x dx= 1−cos(2a)

2a −1−cos(2A)

2A +

ZA

a

sin(2x) x dx.

(10)

Maintenant, 1−cos(2a)

2a ∼

a0

(2a)2/2

2a =2a et donc lim

a0

1−cos(2a)

2a =0. D’autre part,

1−cos(2A) 2A

6 1

A et donc

Alim+

1−cos(2A) 2A =0.

Quanda tend vers0 et Atend vers +∞, on obtient donc Z+

0

sin2x x2 dx=

Z+

0

sin(2x)

x dx. Enfin, en posantu=2x et doncdx= du

2 , on obtient Z+

0

sin(2x) x dx=

Z+

0

sinu u/2

du 2 =

Z+

0

sinu

u du. Finalement, Z+

0

sin2x x2 dx=

Z+

0

sinx

x dx= π 2.

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