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E. EDLUND. — On the electrical resistance of vacuum (Sur la résistance électrique du vide); Phil. Magazine, 5e série, t. XIII, p. 1; 1882

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Academic year: 2021

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Texte intégral

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HAL Id: jpa-00237927

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00237927

Submitted on 1 Jan 1882

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E. EDLUND. - On the electrical resistance of vacuum (Sur la résistance électrique du vide); Phil. Magazine,

5e série, t. XIII, p. 1; 1882

B.-C. Damien

To cite this version:

B.-C. Damien. E. EDLUND. - On the electrical resistance of vacuum (Sur la résistance électrique du vide); Phil. Magazine, 5e série, t. XIII, p. 1; 1882. J. Phys. Theor. Appl., 1882, 1 (1), pp.234-235.

�10.1051/jphystap:018820010023401�. �jpa-00237927�

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234

circonstances

atmosphériques

restaient sensiblement uniformes.

Les

poids

additionnels avaient été

compares

avec le

plus grand

soin au

kilogramme

étalon de Berlin. H. DUFET.

E. EDLUND. 2014 On the electrical resistance of vacuum (Sur la résistance élec- trique du vide); Phil. Magazine, 5e série, t. XIII, p. 1; 1882.

C,est un fait bien connu, que les courants

électriques

ne

peuvent

pas traverser le

vide.

de

Torricelli,

et l’on en conclut habituel- lement que le vide offre un manque absolu de conductibilité.

Comment

expliquer

alors l’action

électrique

exercée par un corps céleste sur un autre, comme

c’est,

par

exemple,

le cas entre le

Soleil et la Terre? L’auteur s’est demandé si le fait

précédent

était dû à la résistance proprement dite du gaz raréfié ou à la résis-

tance subie par le courant à son passage du gaz à l’électrode solide.

Le

développement

intense de chaleur que MM. Naccari et Bel- lati ont trouvé à l’électrode

négative

montre bien

qu’ici,

comme

dans Farc

voltaïque,

il doit exister un obstacle à la

propagation

du courant. Si nous

désignons

cet obstacle par 1 et par r1 la résis-

tance du

gaz, 1 représentant

!a distance des

électrodes,

r + F1 l est

l’obstacle total à la

propagation

du courant d’une électrode à l’autre. l’our

qu’une décharge

ait lieu il faut que la tension élec-

trique

des électrodes

puisse

surmonter cette somnze. Or les

expé-

riences directes montrent que r 1 diminue constamment avec la

pression

du gaz

jusqu’à

ce que cette

pression

soit descendue à une

quantité

très

petite

Imm

environ,

et

pendant

ce

temps

r augmente incessamment de valeur. Doit-on admettre que i-,,

après

avoir in-

cessaxnment

diminué, prend

subitement une très

grande

valeur

quand

on

éloigne

les dernières molécules de gaz, ou est-il pro- hahle que la résistance 1 sur les électrodes continue à augmen- ter ? C’est cette dernière

hypothèse qu’admet

M. Edlund : r peut recevoir une

augmentation

tellement

grande

que le courant ne

peut plus

circuler.

Cette

hypothèse admise,

toutes les

expériences

connues s’ex-

pliquent aisément,

et en

particulier

celles de Pliicker et

Gassiot,

dans

lesquelles

l’air d’un

tube,

assez raréfié pour

empêcher

le pas-

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018820010023401

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235

sage direct d’un courant, se laisse pourtant traverser par des cou- rants

produits

par

influence, lesquels

sont

cependant beaucoup plus

faibles. L’action

qui

s’exerce entre les corps célestes se con-

çoit

aussi facilement. Tout

indique

donc que le vide est un bon conducteur de l’électricité et,

d’après l’auteur,

il est

impossihle

de

trouver une seule preuve

expérimentale

certaine de la non-con-

d uctibili té du vide absolu. B.-C. DAMIEN.

C. CHRISTIANSEN. 2014 Einige Versuche über die Wärmeleitung (Quelques re- cherches sur la conductibilité calorifique); Ann. der Physik und Chemie, t. XIV,

p. 23; 1881.

La méthode de 31. Chrisuiansen n’est

applicable qu’aux

corps mauvais conducteurs : elle est fondée sur l’observation des

ten1pé-

ratures stationnaires et ne fournit que des conductibilités relatives.

Pour comparer les conductibilités de deux

substances,

par

exemple

celle de l’air et celle de

l’eau,

on

dispose

l’une au-dessus

de l’autre trois

plaques

de cuivre d’environ 0m, 0 i

d’épaisseur,

écar-

tées par de

petites

cales de verre de 0cm, 02 à 0cm, 07. Les intervalles contiennent les deux substances à comparer. La

plaque

de cuivre

supérieure

est

échauffée,

la

plaque

inférieure

répondra

à des

temlaé-

ratures constantes à l’aide de courants d’eau chaude ou

froide ;

en-

fin des thermomètres horizontaux

pénètrent

par des trous

percés

dans la surface

cylindrigue

des

plaques

de cuivre et donnent la tem-

pérature

moyennes au centre de chacune des

plaques.

Quand

les corps

employés

sont très mauvais

conducteurs,

on

peut

considérer sans erreur sensible la

température

de

cliaque plaque

de cuivre comme uniforme dans toute son

épaisseur ;

soient

T1, T2

et

To

les

températures indiquées par les

trois

thermomètres,

et, C2

les

épaisseurs

des

plaques

mauvaises

conductrices, K, , K2

leurs coefficients de conductibilité

intérieure;

la

perte

latérale de cha- leur étant

négligeable,

on a évidemment

d’où l’on tire

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