HAL Id: jpa-00238071
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Submitted on 1 Jan 1883
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E. GOLDSTEIN. - On the reflection of electrical rays (Sur la réflexion des rayons électriques); Phil. Mag., 5e
série, t. XIV, p. 449; 1882
G. Foussereau
To cite this version:
G. Foussereau. E. GOLDSTEIN. - On the reflection of electrical rays (Sur la réflexion des rayons
électriques); Phil. Mag., 5e série, t. XIV, p. 449; 1882. J. Phys. Theor. Appl., 1883, 2 (1),
pp.179-180. �10.1051/jphystap:018830020017901�. �jpa-00238071�
179 par les autres
parties.
Cesphénomènes
sont surtou tappréciables
avec des lames à
angles
rentrants, en forme de croix ou d’étoiles.On
peut empêcher
cette actionrépulsive
eninterposant
lesbranches des écrans convenablement
placés.
Larépulsion
devientplus
activequand
lapression
d111~111111e. Cette variation dans l’ac- tionrépulsive pourrait expliquer
les directions variables queprennent
les rayonsélectriques
suivant lapression,
et les diverses apparencesqui
en résultent. G. FOUSSEREAU.E. GOLDSTEIN. - On the reflection of electrical rays (Sur la réflexion des rayons électriques); Phil. Mag., 5e série, t. XIV, p. 449; 1882.
Quand
les rayonsélectriques
sepropagent
suivant l’axe de l’une des branches d’un tubelégèrement coudé,
ces rayons nepeuvent
atteindre directement l’extrémité de la seconde branche. Le pro- fesseur Wiedemann y acependant
observé une i lluminationplus
faible que celle des rayons directs. Il l’a attribuée à une déviation de ces rayons sous l’influence d’une
répulsion
de laparoi
voisineélectrisée.
D’après
M.Goldstein,
cetteexplication
nepeut
êtreadmise,
parce que les rayons directsproduisent
un éclatbeaucoup plus intense,
comme onpeut
s’en assurer en les déviant par un aimant. Lephénomène
cessecomplètement, d’ailleurs,
si le tubeprésente
une seconde courbure. On nepeut
pas admettre davan- tage que lasurface,
directementfrappée, sé comporte
comme un cathode secondairerayonnant
dans la seconde branche dutube,
car on
peut
faire en sorte que cet te surface soit l’anode lui-même,
cequi
nechange
rien au résultat. L’anode n’absorbe donc pas les rayonscathodiques :
il secomporte
avec eux comme le ferait une surfacequelconque.
Le
phénomène paraît
êtredî~,
enréalité,
à une réflexion diffuse des rayonsélectriques qui
sontrenvoyés
dans toutes les directions à lafois,
comme onpeut
s’en assurer en observant l’illumination simultanément sur des surfaces diversementplacées
ou en inter-posant sur le
trajet
des rayons directs desdiaphragmes
ou desécrans de diverses formes
qui
atténuent l’éclat de l’illumination secondaire sans enchanger
les limites et sans donner naissance àArticle published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018830020017901
180
des ombres nettement tranchées. La couleur de l’illumination secondaire
dépend
de la nature de la surfaceclui
lamanifeste,
maisreste
indépendante
de la surface réfléchissante. Les rayons diiTu- séspeuvent
être déviéspar les
aimants comme les rayons directs.G. FOUSSEREAU.
G. POLONI. 2014 Sul magnetismo permanente dell’ acciaio a diverse temperature (Sur le magnétisme permanent de l’acier à diverses températures) ; Reale
Accademia dei Lincei; 1882.
Dans un Mémoire antérieur
( ~ ~,
l’auteur avait démontre que l’é- lévation detempérature produit
des diminutionspermanentes
ettemporaires
dumagnétisme
des barreauxd’acier; qu’à
toute tem-pérature
maximum àlaquelle
onporte
un barreaucorrespond
unétat normal
particulier qui
n’est modifié que d’une manière transi- toire par des échauffementsrépétés
entre les mêmes limites detempérature, qu’en
outre le décroissement dumagnétisme s’opère
d’une manière
particulièrement rapide
auvoisinage
de 200°. 81. Po-loni se propose
aujourd’hui
decompléter
ces recherches en étu- diant la distribution dumagnétisme
dans les barreauxportés
à destempératures plus
ou moins élevées. A ceteffet,
ilemploie
la mé-thode connue de van
Rees,
consistant dansl’emploi
d’un toron defil
qui
entoure lebarreau,
y et dans la mesure du courant induit dé-veloppé quand
onplace
le toron enregard
d’une section déter- minée du barreau etqu’on éloigne
ensuite celui-ci à une distancephysiquen1ent
infinie.Pour
appliquer
cetteméthode,
11I. Poloni réchauffe le barreauqu’il
étudie dans un bain d’huileannulaire ;
le barreau bute par son extrémité inférieure sur unplan qu’on peut
relever àvolonté,
tandisque le toron induit occupe une situation
fixe ;
en relevantplus
oumoins le
plan,
onpeut
donc modifier laposition
initiale relative dubarreau et du toron. On soulève ensuite
rapidement
le barreau à l’aide d’unsystème
de cordons et depoulies,
et la mesure du con-x
rant induit fournit la
quanuilé
lnd,r,
endésignant
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