HAL Id: jpa-00237899
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Submitted on 1 Jan 1882
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MACFARLANE. - The disruptive discharge of electricity (La décharge disruptive d’électricité); Phil.
Magazine, 5e série, t. X, p. 389; 1880
Foussereau
To cite this version:
Foussereau. MACFARLANE. - The disruptive discharge of electricity (La décharge disruptive
d’électricité); Phil. Magazine, 5e série, t. X, p. 389; 1880. J. Phys. Theor. Appl., 1882, 1 (1),
pp.144-146. �10.1051/jphystap:018820010014401�. �jpa-00237899�
144
Pour
cela,
il a étudié unprisme d’aragonite
dont une des facescoïncide avec la base
rlmmbe,
et dont l’arête est un des côtés decette base rhombe.
La seconde face
reçoit
normalement un faisceau de lumièresolaire;
il se forme donc dans l’intérieur du cristal deux si-stèi»es d’ondesplanes, parallèles
à la faced’entrée;
à la sortie duprisme,
il se forme deuxspectres.
M. vonLang emploie
pour cesmesures un
goniomètre particulier,
oii le cercle divisé fait corpsavec la
lunette,
et ou laplate-forme
est fixée auvernier;
cette dis-position permet
de rendre facilement une face duprisme
normaleau faisceau incident.
L’auteur mesurait
séparément
la déviation pour la raie D à l’aide d’une flamme àsodium,
et les distances de la raie D aux autresraies du
spectre,
à l’aide de la lumière solaire. Les valeurs obte-nues pour les indices ont servi à calculer les coefficients
a, b,
c dela formule de
Cauchy :
Les différences en tre les indices mesurés et les indices calculés E à l’aide de la formule n’affectent que la
cinquième décimale,
etsont par
conséquent
de l’ordre des erreursd’expériences.
Voici cesdifférences :
H. DUFET.
MACFARLANE. 2014 The disruptive discharge of electricity (La décharge disruptive d’électricité); Phil. Magazine, 5e série, t. X, p. 389; 1880.
L’électricité était
empruntée
à une machine deHoltz,
dont leconducteur
négatif communiquait
avec le sol tandis que l’autreArticle published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018820010014401
145 conducteur était relié à une
tige métallique pénétrant
par une tubu- lure dans lerécipient
d’une machinepneumatique.
Cettetige portait
undisque
de lnétal en faceduquel
on en avait installé un secondcommuniquant
avec le sol. Une ballemétallique A,
soi-gneusement
isolée,
était reliée par un fil avec le conducteurpositif.
Une seconde balle
B,
isolée de même etplacée
en face de la pre-1nière,
à une distanceconvenable, communiquait
avec un des qua- drants de l’électromètre de Thomson,.Quand
lepotentiel
de laballe A s’élevait par le fonctionnement de la
machine,
celui de laballe B s’élevait
aussi,
tout en conservant une valeurmesurable,
jusqu’au
moment de ladécharge
entre lesdisclues, qui
ramenait lerepère
de l’électromètre à saposition primitive.
L’écart maximum de cerepère pouvait
être considéré commeproportionnel à
la dif-férence de
potentiel
des électrodes au lnoment de ladécharge,
comme l’ont montré des
expériences préalables
exécutées en di-minuant de moitié la
charge
de la balle A par le contact d’une balleégale.
Les
expériences
ont conduit aux résultats suivants :Sous la
pression atmosphérique,
pour deslongueurs
d’étin-celle variant entre
0m,0025
et 0m,01, on tro uve entre la différence depotentiel
V et lalongueur
s de l’ é ti n celle une relation de forme sensiblementhyperbolique
Cette même forme de relation convient aux
expériences
faitesdans d’autres
conditions; mains,
pour unepression plus faihle,
l’axetransverse de
l’hyperbole
augmente tandis que l’aleimaginaire
diminue.
Quand
onremplace
l’air par de111Jdrogène,
les axesdiminuent tous
deux,
mais le secondplus
vite que lepremier.
La force
électrostatique
R=V s
ne reste pas constante, mais tendvers une valeur constante
quand
lalongueur
de l’étincelle aug-mente.
La tension
électrique 1)
=KR2
8rr va en diminuantde plus
enplus
lentement. °
Quand
on fait varier lapression p
pour une mêmelongueur
d’éuincelle, V
est encore déterminée par une formulehyperbolique
146
L’axe transverse croit lentement et l’autre
rapidement
avec lalongueur
de l’étincelle. Avecl’hydrogène,
legrand
axe est troisfois
plus long.
Les résultats ne sont pas altérés
quand
onchange
lacapacité
duconducteur par l’introduction de bouteilles de
Leyde.
L’élévation de la
température
des électrodes diminue la diffé-rence de
potentiel
au moment de l’étincelle. Ce résultat reste lemémCy
que l’étincelle passe entre desplaques
ou entre des filsque l’on fait d’abord
rou3’ir
par le passage du courant d’unepile.
En installant les
disques
dans une clochecylindrique
de verrecontenant de l’air dont on élève
progressivement
latempérature.
on reconnait que la différence de
potentiel
décroît à mesure que latempér ature
de l’air s’élève. Cet effet neparaît
paspouvoir
êtreattribué entièrement au
changement
de densité de l’air.La substitution aux
plaques
d’électrodes de faibledimension,
comme des
boules,
despointes coniques,
altère la forme de la courbe obtenue. Les différences depotentiel
sont aussi altéréeslégèrement
si l’on met le conducteurpositif
de la machine en com-munication avec le
sol,
au lieu du conducteurnégatif.
Quand
on fait passer l’étincelle dans desliquides,
comme l’es-sence de térébenthine ou l’huile
d’olives,
à des distancesvariables,
la différence de
potentiel
est liée à lalongueur
de l’étincelle parune
équation représentant
uneligne
droiteB == --B s -- B.
L’auteur termine en donnant une Table des résistances
spéci- fiques
de diverses substances gazeuses etliquides.,
c’est-à-dire des foi"cesélectrostatiques
maxima obtenues au moment du passage d’une étincelle de mêmelongueur
à travers cessubstances,
et deleurs résistances
spécifiques,
c’est-à-dire des tensionsélectriques
atteintes au moment de l’étincelle. FOUSSEREAU.
Miss EVELYN M. WALTON. 2014 Liquéfaction and cold produced by the mutual réaction of solid substances (Liquéfaction et froid produits par la réaction niti- tuelle de substances solides); Phil. Magazine, 3e série, t. XII, p. 290; 1881.
1. La