HAL Id: jpa-00237802
https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00237802
Submitted on 1 Jan 1881
HAL is a multi-disciplinary open access archive for the deposit and dissemination of sci- entific research documents, whether they are pub- lished or not. The documents may come from teaching and research institutions in France or abroad, or from public or private research centers.
L’archive ouverte pluridisciplinaire HAL, est destinée au dépôt et à la diffusion de documents scientifiques de niveau recherche, publiés ou non, émanant des établissements d’enseignement et de recherche français ou étrangers, des laboratoires publics ou privés.
TH. CRAIG. - On steady motion in an incompressible viscous fluid (Sur le mouvement stationnaire dans un fluide visqueux et incompressible); Phil. Magazine, 5e
série, t. X, p. 342; 1880
A. Guébhard
To cite this version:
A. Guébhard. TH. CRAIG. - On steady motion in an incompressible viscous fluid (Sur le mouvement stationnaire dans un fluide visqueux et incompressible); Phil. Magazine, 5e série, t. X, p. 342; 1880. J.
Phys. Theor. Appl., 1881, 10 (1), pp.326-327. �10.1051/jphystap:0188100100032601�. �jpa-00237802�
326
rant était de
0m,090,
leurlargeur
de0m, 018
a0m,024.
Les extré- mités de cesplaques
sont recouvertes de cuivre par lagalvano- plastie
et les fils de communication sont soudés sur le cuivre. Lasource lumineuse est une
lampe
deBreitenlohner,
brûlant un mé-lange
d’air et de vapeurd’alcool,
et dont la flamme est colorée parune
perle
desoude;
les rayons émis par cettelampe
traversent unef ente,
uncollimateur,
un prisme au minimum de déviation et enfin tombent sur laplaque.
On mesure les résistances en éclairant alternativement l’une ou
l’autre des
plaques. Chaque expérience
dure environquinze
mi-nutes, et l’on constate que l’action de la lumière semble
augmenter
avec le
temps ;
le maximum necorrespond jamais
au commence-ment de
l’expérience.
Il y aurait même lieu deprolonger davantage
l’action de la lumière et l’on se rendrait sans doute
compte
des ré- sultatsnégatifs
desexpériences
de 31. Hansemann(’ ?, qui
éclairaitses
plaques pendant
une minute auplus.
L’appareil
donne seulement lerapport
des conductibilités etn’indique
rien sur leurs variations absolues. Dans 226expériences
sur
245,
lerapport
de la conductibilité de laplaque
éclairée à cellede l’autre
plaque
estplus grand
que i etégal
en moyenne à1,000149.
Le sélénium n’est donc pas le seul corps dont la conductibilité
augmente
parl’éclaireu1enL;
cettepropriété appartient
àl’argent
et
probablement
aussi aux autres métaux. C. DAGUENET.TH. CRAIG. 2014 On steady motion in an incompressible viscous fluid (Sur le mou-
vement stationnaire dans un fluide visqueux et incompressible); Phil. Magazine,
5e série, t. X, p. 342; 1880.
Aprés
avoir établi par uneanalyse
trèsélégante
leséquations gé-
nérales du mouvement, l’auteur
applique
à lagénéralisation
d’uncas étudié par M.
Bruthcer,
dans lesProceedings of
the Londonmathematical
Societ),
une méthode de calcul due à Borckhardt(Monatsberichte der Berliner Akademie,1873)
(1) Annaden der Physik and Chemie, t.II,p.550:1877.
Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:0188100100032601
327 11 arrive ainsi à une solution
partielle
du mouvement duliquide
autour d’une
sphère
solideimmergée,
mais sanspouvoir
détermi -ner la forme même des
lignes
de courant ni la résistanceopposée
au mouvement de la
sphère
par le frottement duliquide.
A. GUÉBHARD.
J. NORMAN LOCKYER. 2014 On the iron lines widened in solar spots (Sur les lignes larges du fer dans les taches solaires); Proceed. of the royal Society, t. XXXI,
p. 348; 1881.
Dans
plusieurs
tachessolaires, parmi
leslignes
dufer,
les unesapparurent contournées,
cequi
est dîi à un mouvement tandis que les autres restaient droites. L’auteur en conclut que les consti-tuants de nos éléments terrestres existent sous des formes indé-
pendantes
dans le Soleil. J. MACÉ DE LÉPINAY.SITZUNGSBERICHTE DER MATHEMATISCH-NATURWISSENSCHAFTLICHEN CLASSE DER KAISERLICHEN AKADEMIE DER WISSENSCHAFTEN IN WIEN (Comptes
rendus des séances de l’Académie des Sciences de
Vienne) ;
1880.J. STEFAN. - Sur la force portante d’un aimant, p. 14.
On
peut
calculer cette force dans le cas où l’aimant et son con- tact forment un anneau circulaire.Le maximum de la force
correspond
au cas où le moment ma-gnétique
de l’unité de volun1e de fer est tel quechaque
centimètrecarré des surfaces en contact
porte 12450gr.
On ne connait pas d’une manière
précise
la relationqui
existeentre la force
portante
et l’intensité du courantqui
a servi à l’ai-mantation. Sa force croit
plus rapidement
que l’intensitéjusqu’à
ce
qu’elle
ait atteint lequart
de la valeur maximum. Dans le voisi- nage de cette limite la force est à peuprès proportionnelle
à l’in-tensité.
La force a sa
plns grande
valeurlorsque
leplan qui sépare
l’ai-mant et le contact est diamétral. Les surfaces en contact croissent à mesure que leur